• il y a 6 mois
Les imprimeurs doivent livrer la propagande électorale en préfecture avant mardi à 18 heures. Une course contre la montre alors que tous n'ont pas encore reçu tous les éléments nécessaires pour lancer les impressions.

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00:00A Toulouse, dans cette imprimerie, c'est la course.
00:03Depuis le lancement des campagnes législatives, le travail s'est intensifié.
00:07Jour et nuit, les employés s'activent à imprimer les brochures d'une vingtaine de candidats.
00:12D'habitude, sur les législatives, on a 5 ans pour les préparer, pour s'organiser.
00:16Là, on a eu 15 jours.
00:18Pour tenir l'agenda et gérer les commandes inattendues, il faut donc s'adapter.
00:22Il faut forcément demander à nos clients, qui étaient déjà prévus dans le planning,
00:26de bien vouloir, ce soir, attendre un peu la production des imprimés qui sont au planning pour eux,
00:31pour pouvoir faire passer les candidats.
00:33Tous ne le comprennent pas, c'est pour ça qu'on est obligés de travailler la nuit et le week-end.
00:37Malgré le stress que va susciter la production rapide du matériel de vote,
00:41ils peuvent s'appuyer sur des machines de pointe.
00:44On a des machines qui ont des niveaux de qualité qui sont bien supérieurs à ce qui est attendu pour ce type de document.
00:50La seule figure technique consiste à répondre en temps et en heure à ce défi-là,
00:55d'imprimer X candidats d'ici au dépôt des documents en préfecture.
01:00Une charge de travail conséquente qui devrait générer 15% du chiffre d'affaires mensuel de l'entreprise.

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