Salò ou les 120 Journées de Sodome est un film controversé réalisé en 1975 par Pier Paolo Pasolini. Adapté du célèbre roman de Sade, il dépeint de manière crue et choquante les atrocités commises par quatre dignitaires fascistes sur un groupe de jeunes gens pendant la République de Salò en Italie.
Synopsis
Dans un château isolé, quatre anciens dignitaires fascistes - un duc, un évêque, un magistrat et un président - kidnappent 9 adolescents et 9 adolescentes. Pendant 120 jours, ils les soumettent à un règlement pervers impliquant tortures physiques et psychologiques, viols, meurtres et actes de pure cruauté. Le film est divisé en quatre segments représentant les cercles de l'Enfer sadien : les manies, la merde, la violence et les folies meurtrières. Chaque section expose des actes de plus en plus dégradants et sadiques perpétrés par les bourreaux fascistes sur leurs victimes impuissantes.
Un choc cinématographique
Salò fut un choc à sa sortie en raison de sa représentation extrême de la violence, de la torture et de la dépravation sexuelle. Malgré son interdiction dans plusieurs pays, le film est aujourd'hui considéré comme une œuvre majeure et une critique virulente du fascisme et de la décadence bourgeoise. Pasolini utilise des images d'une crudité insoutenable pour dénoncer l'horreur du régime fasciste et la perversion du pouvoir absolu. Son film demeure l'une des expériences cinématographiques les plus éprouvantes et controversées de l'histoire.
Synopsis
Dans un château isolé, quatre anciens dignitaires fascistes - un duc, un évêque, un magistrat et un président - kidnappent 9 adolescents et 9 adolescentes. Pendant 120 jours, ils les soumettent à un règlement pervers impliquant tortures physiques et psychologiques, viols, meurtres et actes de pure cruauté. Le film est divisé en quatre segments représentant les cercles de l'Enfer sadien : les manies, la merde, la violence et les folies meurtrières. Chaque section expose des actes de plus en plus dégradants et sadiques perpétrés par les bourreaux fascistes sur leurs victimes impuissantes.
Un choc cinématographique
Salò fut un choc à sa sortie en raison de sa représentation extrême de la violence, de la torture et de la dépravation sexuelle. Malgré son interdiction dans plusieurs pays, le film est aujourd'hui considéré comme une œuvre majeure et une critique virulente du fascisme et de la décadence bourgeoise. Pasolini utilise des images d'une crudité insoutenable pour dénoncer l'horreur du régime fasciste et la perversion du pouvoir absolu. Son film demeure l'une des expériences cinématographiques les plus éprouvantes et controversées de l'histoire.
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00:00:30Sous-titrage MFP.
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00:16:34Pour l'emmener du collège religieux où elle était cloîtrée,
00:16:37nous avons convaincu deux sœurs.
00:16:40Je parie que tu préfères être avec nous que chez les sœurs, Albertina.
00:16:44Je ne sais pas encore, monsieur.
00:16:46Bien, bien, très bien. Déshabillez-la.
00:16:54Une minute.
00:17:05Personne ne s'en était rendu compte.
00:17:08Une aussi belle jeune fille.
00:17:10Madame Castelli, veuillez l'emmener.
00:17:25Fais attention. Tu ne me fais pas honneur. Regarde-toi.
00:17:28Je te connais.
00:17:35Elle pleure parce que pour la prendre,
00:17:37nous avons attendu qu'elle sorte avec sa maman.
00:17:39Mais son imbécile de maman, pour la défendre,
00:17:42s'est pressivitée dans le fleuve et elle s'est noyée.
00:17:45Bel et bien noyée sous les yeux de ce petit ange.
00:18:34On y va.
00:18:36On y va.
00:19:03Les garçons étaient neufs.
00:19:05À propos de vite, savez-vous la différence qu'il y a entre l'heure,
00:19:08le docteur et la famille?
00:19:11Non, bien sûr. Dites, nous brûlons d'envie de savoir.
00:19:14L'heure dure une heure. Le docteur est docteur.
00:19:19Et la famille?
00:19:21Ça va, merci.
00:19:35On y va.
00:20:06Bonjour.
00:20:08Bonjour. Tout est prêt.
00:20:10Tout est prêt selon vos désirs.
00:20:36Bonjour.
00:20:56Faibles créatures enchaînées,
00:20:58destinées à notre plaisir.
00:21:00J'espère que vous ne vous attendez pas à trouver
00:21:03la liberté ridicule que vous concède le monde extérieur.
00:21:08Ici, vous êtes hors des limites de toute l'égalité.
00:21:12Personne sur Terre ne sait que vous êtes ici.
00:21:16Pour le monde, vous êtes déjà morts.
00:21:20Écoutez le règlement qui régira maintenant votre vie.
00:21:26À 18 heures précises, toute la compagnie devra se réunir
00:21:30dans la salle dite « désorgie »
00:21:32où les narratrices viendront tour à tour
00:21:35nous raconter une histoire
00:21:37sur un thème chaque fois différent.
00:21:41Les amis pourront interrompre à tout moment
00:21:44et autant de fois qu'ils le voudront ce récit
00:21:47dont le but est d'exciter l'imagination
00:21:50et toute lassiveté sera autorisée.
00:21:54Après dîner, ces messieurs passeront à la célébration
00:21:58de ce qu'on désigne par le terme « orgie ».
00:22:02Il régnera dans le salon et dans les autres pièces une douce chaleur.
00:22:07Tous les participants seront vêtus selon les circonstances.
00:22:11Couchés par terre comme des animaux
00:22:14et changeant de position,
00:22:16ils se mêleront, s'étreindront, s'accoupleront
00:22:20insistueusement, adultèrement, sodomitiquement.
00:22:25Telle sera, messieurs, notre façon de procéder sans exception.
00:22:28Par contre, tout homme...
00:22:30Mais que font là les serviteurs ? Chassez-les !
00:22:44Tout homme trouvé en flagrant délit avec une femme
00:22:49sera puni par la perte d'un membre.
00:22:53Les plus petits actes religieux, les plus insignifiants
00:22:56auxquels quiconque se livrera
00:22:58se verront punis aussitôt par la mort.
00:23:03Tous à l'intérieur ! Faites-les rentrer !
00:23:52Tout le monde ne peut s'effectuer que par l'obstacle de ses normes.
00:24:23Je suis pratiquement née dans un collège
00:24:26où ma mère était domestique.
00:24:28Un jour, ma sœur aînée me dit
00:24:30« Connais-tu le professeur gentil ? »
00:24:32Je dis que non.
00:24:33« Eh bien, regarde d'en dehors, il te cherche
00:24:36pour te montrer ce qu'il m'a déjà montré à moi.
00:24:41Mais fais attention, ne te sauve pas, cocotte.
00:24:44Si tu le laisses faire, il te paiera bien.
00:24:47Sans la moindre hésitation, je m'en vais.
00:24:50Sans la moindre hésitation, je courus vers ce professeur gentil.
00:24:54J'avais du mal à y croire.
00:24:56Il m'arrêta en disant « Mais où vas-tu ?
00:24:59Arrangez les chaises, professeur.
00:25:01Ah, mais laisse ta sœur faire ça, viens plutôt voir.
00:25:04J'ai quelque chose à te montrer que tu n'as jamais vue.
00:25:07Je le suivis, nous entrammes, il referma la porte.
00:25:10Regarde, mignonne.
00:25:12Et il sortit de son pantalon un pénis monstrueux.
00:25:16Dis-moi, continua-t-il en se masturbant ?
00:25:18As-tu jamais vu quelque chose de pareil ?
00:25:21Je l'ai montré à ta sœur, je l'ai montré à toutes les fillettes de ton âge.
00:25:25Aide-moi de ta main.
00:25:27Oui, aide-le à faire jaillir la semence qui nous permet de voir le jour.
00:25:32Je la ferai gicler sur ton visage.
00:25:35Car vois-tu, c'est ma passion, cher enfant, je n'en ai point d'autre.
00:25:39Et toi, tu vas en être le témoin.
00:25:43Et au même instant,
00:25:45soudain, je me sentis complètement trempée
00:25:48d'un liquide blanc comme de l'écume, trempée de la tête aux pieds.
00:25:52Un instant, Mme Vaccaré.
00:25:54Il convient que vous ne négligiez absolument aucun détail.
00:25:57Ce n'est qu'à ce prix que nous pourrons tirer de vos histoires
00:26:00les indispensables éléments d'excitation que nous attendons de vous.
00:26:15Mon cher monsieur, je sais fort bien, on m'a prévenu
00:26:19que je ne devais omettre aucune précision,
00:26:21mais au contraire, fournir les moindres détails.
00:26:24Chaque fois qu'il pourrait contribuer à faire mieux comprendre
00:26:27les aspects particuliers de la personnalité même dont je parle,
00:26:30ainsi que le genre de passion qui est sienne,
00:26:33je ne crois pas n'avoir rien négligé qui...
00:26:36Pourtant, je vais vous donner un exemple.
00:26:39J'ignore totalement quelle était la dimension du pénis de ce professeur.
00:26:43J'ignore totalement quel était son type d'éjaculation.
00:26:46Et je ne sais pas non plus si vous avez touché ses organes génitaux
00:26:49ou s'il vous a forcé à les prendre dans votre main.
00:26:52Je vous en prie, chère Mme Vaccaré, un peu plus de clarté.
00:26:56Je vous demande pardon et je vous promets que désormais
00:26:59je vais être prodigue de détails. Puis-je continuer ?
00:27:02Un instant.
00:27:04Un instant, monsieur.
00:27:06Juste le temps de lui faire goûter le bâton de ma vieillesse.
00:27:13Ce fut peu de temps après avoir accompli mes sept ans
00:27:16qu'un jour, en accompagnant une de mes petites amies chez le professeur,
00:27:20je la trouvais en compagnie d'un collègue à l'église.
00:27:23Les deux hommes nous entraînèrent à l'intérieur,
00:27:26tandis que l'un des deux dit à l'autre en me regardant...
00:27:29Eh bien, Geoffrey, ne t'avais-je pas dit que c'était une beauté ?
00:27:33Monsieur, oui, oui, oui, tu as parfaitement raison.
00:27:37C'est vrai qu'elle est jolie. C'est un vrai bijou.
00:27:41Ainsi parla Geoffrey en me prenant affectueusement sur ses genoux
00:27:45et en me donnant un baiser.
00:27:47Quel âge as-tu, ma jolie ?
00:27:49Sept ans, monsieur le professeur.
00:27:51Vigre, mais alors, nous avons cinquante ans de différence,
00:27:54dit le charmant professeur en m'embrassant à nouveau.
00:27:58L'autre, pendant ce temps,
00:28:00était occupé à préparer un étrange sirop épais.
00:28:03Il réussit à me le faire ingurgiter
00:28:05en disant que cela n'était destiné qu'à me faire faire pipi.
00:28:08Et ils ajoutèrent gentiment...
00:28:10Pour être sincère, charmante enfant,
00:28:12nous voulons seulement que tu urines et que tu le fasses devant moi
00:28:16et moi seule dans ma chambre.
00:28:18Suis-moi.
00:28:20Un genou, un genou ! J'ai dit un genou !
00:28:23Excellence ! Impligez une punition exemplaire à cette jeune canaille !
00:28:28Nous sommes tous à votre entière disposition.
00:28:31Non seulement c'est un incapable de son nom,
00:28:33mais il a eu l'impudence de se soustraire.
00:28:37En ce cas, prenez-en un autre.
00:28:39Choisissez un des nôtres, si aucun des vôtres ne vous satisfait.
00:28:43Non, je vous remercie.
00:28:50Les efforts pour me satisfaire seraient maintenant énormes,
00:28:55et bien au-delà des péchés réellement véniels,
00:28:58qui eussent suffi un peu auparavant.
00:29:02Et vous savez très bien à quoi conduit
00:29:05un désir qui demeure frustré.
00:29:09La seule chose que je vous demande,
00:29:12c'est une punition exemplaire que vous devez infliger à cet enfant de putain.
00:29:18Monseigneur, moi je suis prête à vous satisfaire.
00:29:23A moi, vous n'aurez vraiment rien à apprendre.
00:29:26Non, non, je n'en ai pas besoin.
00:29:30Du reste, vous devriez savoir qu'en de nombreuses occasions,
00:29:34on n'a aucun désir de l'anus d'une femme.
00:29:37Je peux attendre, je peux attendre que Mme Vacary continue.
00:29:42Et bien, les choses avaient été organisées de telle façon
00:29:46que le professeur réussit à engurgiter jusqu'à la dernière goutte de mon pipi,
00:29:50et dans le même temps, sachez que son pénis,
00:29:53confus de sa victoire, pleurait sur moi des larmes de sang.
00:29:58Mais à ce moment, le professeur parut se rendre compte
00:30:01qu'il n'avait plus pour son idole,
00:30:03maintenant que tout l'ensemble était consumé,
00:30:06la même dévotion qu'il avait éprouvée jusqu'alors.
00:30:11Aussi, sans plus de manière,
00:30:13il me refit la délire dans la poche de mon tablier
00:30:16et me chassa de sa chambre.
00:30:26Monseigneur, ce garçon ne sait pas masturber.
00:30:30Il lui faut absolument des leçons.
00:30:32On dirait qu'il n'a jamais vu un membre viril, c'est scandaleux.
00:30:51Ma foi, messieurs, il ne fait aucun doute que Mme Vacary,
00:30:54d'ici deux semaines, transformera ces jeunes personnes en vrais putains.
00:30:58Rien n'est plus contagieux que le mal.
00:31:01Je crois, Excellence, que vous êtes dans l'erreur.
00:31:03Il y a des gens qui ne peuvent réussir à se comporter mal
00:31:06que lorsque la passion les pousse au mal.
00:31:09Il y a des gens dont la nature est toujours malheureuse
00:31:12et qui passent leur vie à se repentir le matin de ce qu'ils ont fait la veille.
00:31:16Enfin, va le jour où...
00:31:18Où je devins un porc,
00:31:20j'exerçais mes dents sur l'écorce des arbres
00:31:23et contemplais mon jardin avec délice.
00:31:58Ah !
00:32:14Umberto Franco, regardez.
00:32:17Qu'en dites-vous, hein ?
00:32:19Qu'en dites-vous ?
00:32:24Jeunes gens, regardez un peu.
00:32:27Hein ?
00:32:29Hein ?
00:32:31Rinaldo, observe bien.
00:32:33Observe bien.
00:32:37Bravo, bravo.
00:32:39Claudio, Bruno, vous aussi.
00:32:42Regardez-moi cette merveille.
00:32:46Ephisio, Ephisio.
00:32:48À moi, à moi, à moi.
00:32:51À moi, Ephisio. Vas-y, vas-y.
00:32:58Non, non.
00:33:00Je t'en jure, mon amour.
00:33:02Je t'en jure, mon amour.
00:33:04Je t'en jure, mon amour.
00:33:06Je t'en jure, mon amour.
00:33:08Je t'en jure, mon amour.
00:33:25Je t'en jure, mon amour.
00:33:27Je t'en jure, mon amour.
00:33:29Je t'en jure, mon amour.
00:33:31Je t'en jure, mon amour.
00:33:33Je t'en jure, mon amour.
00:33:35Je t'en jure, mon amour.
00:33:37Je t'en jure, mon amour.
00:33:39Je t'en jure, mon amour.
00:33:41Je t'en jure, mon amour.
00:33:43Je t'en jure, mon amour.
00:33:45Je t'en jure, mon amour.
00:33:47Je t'en jure, mon amour.
00:33:49Je t'en jure, mon amour.
00:33:51Je t'en jure, mon amour.
00:33:53Je t'en jure, mon amour.
00:33:55Je t'en jure, mon amour.
00:33:57Je t'en jure, mon amour.
00:33:59Je t'en jure, mon amour.
00:34:01Je t'en jure, mon amour.
00:34:03Je t'en jure, mon amour.
00:34:05Je t'en jure, mon amour.
00:34:07Je t'en jure, mon amour.
00:34:09Je t'en jure, mon amour.
00:34:11Je t'en jure, mon amour.
00:34:13Je t'en jure, mon amour.
00:34:15Je t'en jure, mon amour.
00:34:17Je t'en jure, mon amour.
00:34:19Je t'en jure, mon amour.
00:34:21Je t'en jure, mon amour.
00:34:23Je t'en jure, mon amour.
00:34:25Je t'en jure, mon amour.
00:34:27Je t'en jure, mon amour.
00:34:29Je t'en jure, mon amour.
00:34:31Je t'en jure, mon amour.
00:34:33Je t'en jure, mon amour.
00:34:35Je t'en jure, mon amour.
00:34:37Je t'en jure, mon amour.
00:34:39Je t'en jure, mon amour.
00:34:41Je t'en jure, mon amour.
00:34:43Je t'en jure, mon amour.
00:34:45Je t'en jure, mon amour.
00:34:47Je t'en jure, mon amour.
00:34:49Je t'en jure, mon amour.
00:34:51Je t'en jure, mon amour.
00:34:53Je t'en jure, mon amour.
00:34:55À terre! À coucher!
00:34:59Bien. Ces messieurs sont mécontents de vous.
00:35:02Une des premières choses à apprendre, c'est comment le saisir dans la main.
00:35:06Toi, viens ici!
00:35:26Alors!
00:35:33Allez, vas-y!
00:35:40En haut, en bas! En haut, en bas! En haut, en bas!
00:35:44Sur le mieux!
00:35:46En haut, en bas! En haut, en bas!
00:35:50En haut, en bas!
00:35:52Sur le mieux!
00:35:54Et de l'autre main, touche-le par en dessous!
00:36:00Pauvre conne! Regarde comment on fait!
00:36:03Regarde comment on fait!
00:36:20Oh, mon Dieu!
00:36:23Ainsi, les jeunes filles aussi ne sont plus neufs, mais huit.
00:36:27À propos encore de huit, je me rappelle une histoire.
00:36:31Il s'agit d'un homme qui avait un de ses amis qui s'appelait Siparvite.
00:36:35Une nuit, rentrant tous deux dans un quartier obscur, il se perdit.
00:36:40Alors, notre homme chercha son ami.
00:36:43Dans le noir, à tâtons, il cherche, il cherche, il cherche,
00:36:47et finalement, il lui semble voir quelque chose qui remue vaguement.
00:36:51Aussitôt, il s'écrit, pensant qu'il a enfin trouvé son ami Siparvite!
00:36:57Hé! Siparvite!
00:36:59Et une voix lui répond, quarante-huit!
00:37:06Musique! À présent, Madame Vacary, un autre récit.
00:37:10Quelque chose de stimulant, afin de donner l'unaire pour ce nouvel bataille.
00:37:18Or, bien, messieurs, j'avais neuf ans,
00:37:21lorsque ma sœur aînée m'emmena à Milan, chez Madame Kalzecki,
00:37:25là qu'elle m'examina attentivement et me demanda si j'avais envie de travailler pour elle.
00:37:30Oui, Madame, lui répondis-je, quel que soit le travail, s'il est payé!
00:37:34S'il tôt dit, s'il tôt fait, et je commençais mes activités.
00:37:37Il se présenta à M. Corpulent, lequel me divisa, jante la tête aux pieds.
00:37:42Il s'appelait Vacary.
00:37:44Aussitôt, nous nous retirâmes dans une chambre,
00:37:46et je lui montrais ma chatte, que je croyais alors très précieuse.
00:37:50Je le vis horrifié, qui se cachait les yeux.
00:37:53Il me dit, grâce, bel enfant, mieux vaut ne pas en parler.
00:37:56Il n'y a rien à faire avec ton vagin.
00:37:58Non, rien! Cache ce vagin, je te prie!
00:38:02Et il me le couvrit en mettant donc sur le lit la tête en bas.
00:38:06Ah! Et il me dit, ces pauvres catins n'ont rien d'autre à montrer que leur vagin.
00:38:13Il va falloir pour jouir que je chante de mon esprit cette vision terrifiante.
00:38:18Puis il m'enveloppa tout entière dans un drap.
00:38:21De la tête aux pieds, comme une momie.
00:38:24Il ne laissa découvert que mon postérieur.
00:38:27Il le manipula d'abord doucement, puis il l'ouvrit,
00:38:30puis le referma, le suça volument,
00:38:33et le resuça encore.
00:38:36Ensuite, il prit un tabouret,
00:38:38et méticuleusement, il plaça son membre entre mes fesses.
00:38:43Ses mouvements devinrent plus rapides,
00:38:46jusqu'à devenir convulsifs.
00:38:49Ah! Qu'il est joli, ce petit postérieur!
00:38:52Et qu'il est doux, ce petit anus!
00:38:54Et comme je m'en vais le mouiller!
00:38:56Il répéta la phrase trois ou quatre fois.
00:39:00Je ne l'ai plus revu de ma vie.
00:39:03Ce monsieur Vaccarie, votre premier client,
00:39:06avait pourtant de la femme une idée qui n'est pas celle de la majorité.
00:39:10Souvent, il est vrai que l'hommage rendu à ce temple vénérable
00:39:14est plus ardent que la flamme que suscite l'autre.
00:39:17En fait, c'est là une discussion que je propose à toute la compagnie.
00:39:21Quelle peut être la façon de bien déterminer
00:39:24le véritable sexe d'un petit garçon ou d'une petite fille,
00:39:28autrement dit, la partie la plus propice au plaisir?
00:39:31Je crois que la seule façon est la masturbation
00:39:34des différentes parties de son anatomie.
00:39:36Je propose de choisir tous les jeunes dont nous ne savons pas les goûts précis
00:39:40et d'aller en faire l'expérience dans la salle voisine afin de vérifier.
00:39:48Le fait d'observer comme nous le faisons,
00:39:51avec tout autant de passion que d'apathie,
00:39:54Guido et la Vaccarie masturbant ces deux corps qui sont notre propriété,
00:39:59m'amène à toute une série de réflexions intéressantes.
00:40:03Ayez donc la bonté de nous en faire part, cher Duc.
00:40:06Nous autres fascistes sommes les seuls véritables anarchistes,
00:40:10une fois que nous nous sommes emparés de l'État, bien sûr.
00:40:13En fait, la seule véritable anarchie est celle du pouvoir.
00:40:16Cependant, regardez ici.
00:40:18La gesticulation obscène est un langage de sourd muet, avec son code.
00:40:23Aucun d'entre nous, malgré son libre arbitre sans limite, ne peut transgresser.
00:40:28Il n'y a rien à faire.
00:40:30Notre choix n'est que structure.
00:40:33Nous devons subordonner notre jouissance à un geste unique.
00:40:38Klosowski.
00:40:39Courage! Courage! C'est venu, c'est un homme.
00:40:43C'est incroyable.
00:40:45Ah, bien, très bien.
00:40:48Ainsi, notre petit Sergio s'est bien comporté.
00:40:51Et ici, voici une femme.
00:40:53Et le premier couple est formé.
00:40:56Courage, Sergio, tu nous as prouvé que tu étais un homme.
00:41:00Voici ta récompense.
00:41:14Avancez, allez, avancez.
00:41:20Bien.
00:41:21Et puisque ces messieurs se sont tous mis d'accord
00:41:24pour vous concéder un tel privilège,
00:41:27je vous prie d'y aller.
00:41:29Allez, allez, allez.
00:41:31Allez, allez, allez.
00:41:33Allez, allez, allez.
00:41:35Allez, allez, allez.
00:41:37Allez, allez, allez.
00:41:39Allez, allez, allez.
00:41:41Un tel privilège.
00:41:43Célébrons solennellement votre mariage.
00:41:48C'est bien.
00:41:52C'est bien.
00:42:08Quelle belle crie.
00:42:17Quelle belle crie.
00:42:47Quelle belle crie.
00:43:06Quelle belle crie.
00:43:08Quelle belle crie.
00:43:17Quelle belle crie.
00:43:25Chers amis, reprenons la cérémonie interrompue.
00:43:28Sergio consente à prendre pour épouse
00:43:31Renata, ici présente.
00:43:33Oui, je le veux.
00:43:34Et toi, Renata, veux-tu prendre pour épouse Sergio, ici présente ?
00:43:38Oui, je le veux.
00:43:40Puisqu'il en est ainsi, je vous déclare mari et femme.
00:43:48Je ne suis pas une épouse.
00:44:04Visez le camp, vous entendez ?
00:44:06Disparez.
00:44:08Laissez ce levau vous, vous pardonne pareille.
00:44:11Allez-vous-en.
00:44:13Tout le monde dehors.
00:44:15Qu'est-ce qui se passe ?
00:44:45Vous êtes de jeunes mariés ou pas.
00:44:48Vous êtes libres à présent de manifester vos sentiments.
00:45:02Allez-y !
00:45:05Allons !
00:45:45Allons !
00:46:08Non, ça non, cette fleur nous est réservée.
00:46:45Le principe de toute grandeur sur la Terre a été totalement et longuement trempé.
00:47:15Et encore, mes amis, si ma mémoire ne me trahit pas, oui, c'est ça, sans répandre le sang, il n'est point, il n'est point de pardon sans répandre le sang Baudelaire.
00:47:32Pardonnez-moi, Excellence, le texte que vous avez cité n'a pas pour auteur Baudelaire, mais Nietzsche, et il s'agit précisément de Tsurgéniologie et d'air moral.
00:47:42Mais pas du tout. Ce n'est ni de Baudelaire, ni de Nietzsche, ni, éventuellement, de Saint-Paul et pitre aux Romains. C'est du dada.
00:47:54Chantez ce petit mot que j'aime tellement.
00:47:58Que fait dada, dada, dada.
00:48:02Charmante créature, vous voulez mon linge, ça, mon vieux linge. Savez-vous que c'est d'une délicatesse achevée. Vous voyez comme je sens le prix des choses.
00:48:17Écoutez, mon ange, j'ai toute l'envie du monde de vous contenter en cela, car vous savez que je respecte les goûts, les fantaisies, quel que baroque qu'elles soient, je les trouve toutes respectables.
00:48:32Et parce qu'on n'en est pas le maître, et parce que la plus singulière et la plus bizarre de toutes, bien analysée, remonte toujours à un principe de délicatesse.
00:48:46Et oui, vieux enculés, esprit de délicatesse.
00:49:08Un jour, la patronne du bordel m'envoyait au domicile d'un grand libertin.
00:49:17Il me reçut dans une vaste pièce dont le parquet était recouvert d'un splendide tapis chinois.
00:49:23Après m'avoir fait déshabiller, il me fit mettre un catapulte comme un animal.
00:49:28Et puis, ensuite me secourant la tête à plusieurs reprises, je veux voir si vous avez des réflexes aussi rapides que mes chiens.
00:49:46Prête ? Allez-y !
00:49:48Et il lança par terre de gros marrons grillés en me disant comme un chien, allez hop hop !
00:49:59Je pensais alors que la meilleure chose que j'avais à faire était de me prêter de bonnes grâces à ce jeu.
00:50:07Allons, viens !
00:50:11Et je me mis donc à courir à quatre pattes pour saisir un marron.
00:50:18Tu as de beaux yeux pour regarder, alors tu vas regarder.
00:50:22Et on t'amène un renvoi.
00:50:27Pisse, pisse !
00:50:30Vous avez besoin d'entraînement pour être fort.
00:50:34Les chiens ne vous moqueront pas, ils se contenteront de vous regarder avec mépris s'ils s'aperçoivent que vous êtes maladroite.
00:50:41Allons, faisons un enseignement.
00:50:44Hop hop !
00:50:52Regardez là, regardez là !
00:50:56Fange, ordure, putain, chien d'immonde, s'écria-t-il encore en venant près de moi et l'éjacula soudain sur mon dos.
00:51:10Ainsi finit l'épisode.
00:51:12L'homme disparut, je me relevais et trouvais vingt-cinq mille lires dans mon manteau.
00:51:42Hop hop hop !
00:51:45Voilà, voilà !
00:51:57C'est bon ?
00:51:59Allez, vas-y !
00:52:05Allez, mange !
00:52:07Mange !
00:52:11Viens, bravo !
00:52:17Bravo !
00:52:23Là, viens !
00:52:27Allez !
00:52:31Là !
00:52:34Bravo !
00:52:36Mange, mange, allez !
00:52:40Mange toi aussi !
00:52:44Mange, mange chéri, mange !
00:53:03Mange !
00:53:11Eh bien excellent, êtes-vous convaincu ?
00:53:13C'est de la vue de ceux qui ne jouissent pas de ce dont je jouis et qui souffrent les pires atrocités que dérive la fascination de pouvoir se dire.
00:53:20Cependant moi, je suis infiniment plus heureux qu'un canaille qu'on appelle le peuple.
00:53:24Partout où les hommes sont égaux et où n'existe pas cette différence, le bonheur lui non plus n'existera jamais.
00:53:30Quoi, vous ne secoureriez donc ni les humbles, ni les malheureux ?
00:53:34Il va s'en dire. Dans le monde entier, une évolupté qui flatte plus d'essence que le privilège social.
00:53:41Mange, mange !
00:53:44Ici !
00:53:48Allez, mange !
00:53:50Allez, mange !
00:54:00Allez, mange !
00:54:30Mange, mange !
00:54:32Allez, mange !
00:54:34Allez, mange !
00:54:36Allez, mange !
00:54:38Allez, mange !
00:54:40Allez, mange !
00:54:42Allez, mange !
00:54:44Allez, mange !
00:54:46Allez, mange !
00:54:48Allez, mange !
00:54:50Allez, mange !
00:54:52Allez, mange !
00:54:54Allez, mange !
00:54:56Allez, mange !
00:54:58Allez, mange !
00:55:00Allez, mange !
00:55:02Allez, mange !
00:55:04Allez, mange !
00:55:06Allez, mange !
00:55:08Allez, mange !
00:55:10Allez, mange !
00:55:12Allez, mange !
00:55:14Allez, mange !
00:55:16Allez, mange !
00:55:18Allez, mange !
00:55:20Allez, mange !
00:55:22Allez, mange !
00:55:24Allez, mange !
00:55:26Allez, mange !
00:55:28Allez, mange !
00:55:30Allez, mange !
00:55:32Allez, mange !
00:55:34Allez, mange !
00:55:36Allez, mange !
00:55:38Allez, mange !
00:55:40Allez, mange !
00:55:42Allez, mange !
00:55:44Allez, mange !
00:55:46Allez, mange !
00:55:48Allez, mange !
00:55:50Allez, mange !
00:55:52Allez, mange !
00:55:54Allez, mange !
00:55:56Allez, mange !
00:55:58Allez, mange !
00:56:00Allez, mange !
00:56:02Allez, mange !
00:56:04Allez, mange !
00:56:06Allez, mange !
00:56:08Allez, mange !
00:56:10Allez, mange !
00:56:12Allez, mange !
00:56:14Allez, mange !
00:56:16Allez, mange !
00:56:18Allez, mange !
00:56:20Allez, mange !
00:56:22Allez, mange !
00:56:24Allez, mange !
00:56:26Allez, mange !
00:56:28Allez, mange !
00:56:30Allez, mange !
00:56:32Allez, mange !
00:56:34Allez, mange !
00:56:36Allez, mange !
00:56:38Allez, mange !
00:56:40Allez, mange !
00:56:42Allez, mange !
00:56:44Allez, mange !
00:56:46Allez, mange !
00:56:48Allez, mange !
00:56:50Allez, mange !
00:57:20Allez, mange !
00:57:22Allez, mange !
00:57:24Allez, mange !
00:57:26Allez, mange !
00:57:28Allez, mange !
00:57:30Allez, mange !
00:57:32Allez, mange !
00:57:34Allez, mange !
00:57:36Allez, mange !
00:57:38Allez, mange !
00:57:40Allez, mange !
00:57:42Allez, mange !
00:57:44Allez, mange !
00:57:46Allez, mange !
00:57:48Allez, mange !
00:57:50Allez, mange !
00:57:52Allez, mange !
00:57:54Allez, mange !
00:57:56Allez, mange !
00:57:58Allez, mange !
00:58:00Allez, mange !
00:58:02Allez, mange !
00:58:04Allez, mange !
00:58:06Allez, mange !
00:58:08Allez, mange !
00:58:10Allez, mange !
00:58:12Allez, mange !
00:58:14Allez, mange !
00:58:16Allez, mange !
00:58:18Allez, mange !
00:58:20Allez, mange !
00:58:22Allez, mange !
00:58:24Allez, mange !
00:58:26Allez, mange !
00:58:28Allez, mange !
00:58:30Allez, mange !
00:58:32Allez, mange !
00:58:34Allez, mange !
00:58:36Allez, mange !
00:58:38Allez, mange !
00:58:40Allez, mange !
00:58:42Allez, mange !
00:58:44Allez, mange !
00:58:46Allez, mange !
00:58:48Allez, mange !
00:58:50Allez, mange !
00:58:52Allez, mange !
00:58:54Allez, mange !
00:58:56Allez, mange !
00:58:58Allez, mange !
00:59:00Allez, mange !
00:59:02Allez, mange !
00:59:04Allez, mange !
00:59:06Allez, mange !
00:59:08Allez, mange !
00:59:10Allez, mange !
00:59:13Etant donné que ces messieurs auront fort apprécié la partie...
00:59:15que je considère, moi aussi, comme la meilleure qu'ils m'aitent donnée...
00:59:19je chercherai avec mon histoire à rester le plus près que je pourrais de mon sujet.
00:59:24Je suis certaine que mon récit sera très loin de déplaire au Président.
00:59:28En fait, il devra me permettre de l'entretenir d'une passion dont il est...
00:59:33pour le moins un enthousiaste habitué, qui rated l'honneur de faire sa connaissance.
00:59:39N'allez pas raconter toutes mes turpitudes devant de pauvres filles innocentes.
00:59:46Mon cher ami, assez.
00:59:47Je suis anxieux d'entendre la voix de Mme Madjid, sacré bordel.
00:59:55Je négligerai de faire le récit des années de mon enfance.
00:59:59Années occupées à donner seulement à mon corps
01:00:03la capacité de satisfaire les désirs les pires et les plus extravagants.
01:00:07Je devins très vite experte en cet art extrêmement difficile
01:00:11et ma réputation s'étendit dans toute l'Italie.
01:00:14J'eus parmi mes clients de très nombreuses éminentes personnalités
01:00:18et je leur donnais à tous le meilleur de mon air.
01:00:24Mais je commencerai en vous contant un épisode peu ordinaire de ma vie.
01:00:30Mme Evola, l'entremetteuse pour laquelle je travaillais,
01:00:34m'envoyait un jour chez un client après m'avoir gavé de nourriture
01:00:38à laquelle elle avait ajouté un puissant purgatif.
01:00:42J'arrivais chez le client, un vieux général des carabiniers
01:00:45qui voulait être déshabillé, élongé, comme un nouveau-né.
01:00:49Habitué à de telles extravagances, je le mis sur le lit
01:00:52et attendis qu'il manifesta ses désirs.
01:00:55Bientôt j'eus de terribles douleurs au ventre.
01:00:58L'homme s'en montra ravi et m'obligea à déféquer sous ses yeux
01:01:01ce que je fis sans la moindre gêne.
01:01:03Puis comme un nourrisson balbutiant,
01:01:06il m'obligea alors à ramasser mes excréments du bout des doigts
01:01:10et me dit de les lui faire avaler comme la bouillie d'un bébé.
01:01:14Le simulacre fut scrupuleux.
01:01:16Il mangea bien toute sa bouillie,
01:01:20simulant les pleurs d'un bébé,
01:01:23éjaculant dans ses langes propres.
01:01:26J'ai connu un homme qui était capable de bien d'autres choses
01:01:29et autrement plus raffiné dans ce genre.
01:01:31Nous attendons mieux de vous à présent. Beaucoup mieux.
01:01:35C'est vrai, j'ai bien d'autres récits.
01:01:38Celui que je vais vous faire eut lieu à Véronne.
01:01:43Le jeune garçon qui était venu me chercher m'avait dit
01:01:46que le client qui m'attendait à l'auberge
01:01:48était un vieux noble fort connu dans les environs
01:01:52pour sa dépravation.
01:01:54Et bien entendu, il me donna envie de voir aussitôt ce noble,
01:01:57mais ma mère fut ce soir-là encore plus jeune
01:02:00et encore plus inébranlable qu'à l'ordinaire,
01:02:03me suppliant même, en sanglotant, de ne pas y aller,
01:02:06de changer de vie et...
01:02:08Oui, et alors ?
01:02:09Je n'ai pu résister à la tentation et l'a tué.
01:02:13C'était bien la seule chose à faire.
01:02:19Oui, ce qui vous attendait à cet endroit
01:02:21était bien plus fort que tout au monde
01:02:24et méritait vraiment quelques sacrifices.
01:02:27C'est folie de décréter que l'on doive quelque chose à sa mère.
01:02:31Il faudrait peut-être lui savoir gré
01:02:33d'avoir joui pendant qu'un homme quelconque la possédait.
01:02:36J'ai toujours, pour ma part, jugé ça absurde.
01:02:40Il y a des années et des années, je me rappelle,
01:02:42j'ai eu moi aussi une mère qui m'inspirait à moi aussi
01:02:46les mêmes sentiments que ceux que vous éprouviez pour la vôtre.
01:02:49Et je m'en pressais, dès que je le pus,
01:02:51de l'envoyer dans l'autre monde.
01:02:53Et de ma vie, jamais je n'éprouvais le plaisir aussi subtil
01:02:56que celui qui m'étreignait lorsque je lui fermais les yeux.
01:03:04Que se passe-t-il ? Pourquoi cette petite pleure-t-elle ?
01:03:08Je m'en vais vous le dire pourquoi.
01:03:11Vos propos lui ont fait se souvenir de sa mère
01:03:14et comme vous le savez, elle est morte en essayant de la protéger.
01:03:18Magnifique !
01:03:20Magnifique !
01:03:23C'est pour sa maman que pleure cette mignonne.
01:03:26Viens, viens que je te console.
01:03:29Viens, viens auprès de moi, petite.
01:03:32Oh, viens, mon joli poussin,
01:03:34auprès de ton papa,
01:03:37une tendre berceuse, pour toi il chantera.
01:03:40Formidable, mon enfant, quelle occasion tu m'offres là.
01:03:44Le récit de cette chère madame Maji va être mis en pratique,
01:03:47attends, tu vas voir.
01:03:50Ma fille.
01:03:53Ayez pitié, respectez ma douleur.
01:03:58J'ai tant de peines pour le destin de ma mère.
01:04:02C'est pour moi qu'elle est morte et je ne la reviendrai jamais plus.
01:04:07Déhabillez-la, immédiatement.
01:04:12Tuez-moi !
01:04:14Oh, mon Dieu, j'en pleure, abdiquez-moi !
01:04:17Tuez-moi, votre bébé sonorée !
01:04:20Maudit soient mes yeux, si les cris de cette chienne
01:04:23ne sont pas les plus excitantes qu'il m'ait été permis d'entendre.
01:04:25Tuez-moi !
01:04:28Je n'aurais bien supporté de voir et d'entendre de telles horreurs chaque jour.
01:04:33Vous l'avez entendu tous ? La petite a invoqué Dieu.
01:04:37Excellence, inscrivez-la sans plus tarder sur le livre des punitions.
01:04:41Elle en mérite une terrible.
01:04:43Une punition la plus terrible,
01:04:46afin que je puisse rejoindre ma mère.
01:04:48Non, pas si vite.
01:04:50Nous savons bien ce que nous ferons de toi.
01:04:52Tu seras puni et effleuré lorsque nous jugerons le moment venu.
01:04:57En attendant, tu ne serais m'échapper, tu entends ?
01:05:00Et ne crois pas que tes pleurs pourront m'attendrir.
01:05:02C'est précisément le contraire.
01:05:18Pousse-moi.
01:05:44Avance, petite.
01:05:46Avance.
01:05:47Mettez-vous à genoux, les filles.
01:06:10Allez, courage.
01:06:13Allez, mange.
01:06:17Prends la cuillère.
01:06:33Mange !
01:06:47Mange, je te le dis.
01:06:50Mange !
01:06:54Mange, je te le dis.
01:06:59Mange !
01:07:00Mange !
01:07:02Mange !
01:07:04Mange !
01:07:05Mange-en encore !
01:07:12Mange-en encore !
01:07:36C'est insupportable !
01:07:38Quelle sotte de se comporter ainsi devant un messie fin et si exquis !
01:07:42Un ami à moi de Ferrar exigeait, quant à lui,
01:07:45que les excréments qu'il se faisait servir proviennent d'une vieille gueuse,
01:07:49afin qu'il fût plus relevé, qu'il pût davantage.
01:07:52Je lui avais...
01:07:54Je lui avais procuré une vieille de 70 ans.
01:07:57Appligez le cumeur et l'ulcère, et je la faisais décaquer devant lui.
01:08:02Il disait que c'était excellent.
01:08:04Et je découvris, avec le temps,
01:08:06que l'on pouvait rendre cette friandise encore plus appétissante.
01:08:10De quelle façon ?
01:08:12C'est simple. Il suffit de provoquer chez le sujet une légère ingestion.
01:08:16Et il n'est pas besoin de l'obliger à manger plus vite,
01:08:19encore qu'il soit fréquent.
01:08:21Une chose à varier procure une diarrhée excellente.
01:08:24Il suffit de le contraindre à manger vite,
01:08:27à diverses heures,
01:08:29et l'indigestion est déjà en cours.
01:08:32Il faut en faire vite l'expérience.
01:08:41Cher, cher Président,
01:08:43je suis vraiment très anxieux
01:08:45de savoir comment vous avez fait la connaissance
01:08:48de Madame Magie.
01:08:50Un peu de patience. Je préfère que ce soit elle qui vous le raconte.
01:08:53Après le mariage de Son Excellence et de Sergio,
01:08:56elle vous en fera le récit pour que vous pourriez jamais déporter.
01:08:59Je ne voudrais pas vous priver de ce plaisir.
01:09:01Le thème qu'aborde là notre narratrice
01:09:03exige, à mon avis,
01:09:05que nous apportions des modifications spéciales à notre règlement.
01:09:08Si vous voulez que nous profitions au maximum
01:09:10du fruit de l'expérience de notre séjour
01:09:13entre les murs de cette maison,
01:09:15je crois qu'il convient de revoir
01:09:17certains points des lois que nous nous étions fixés.
01:09:20Il nous faut, par exemple, faire placer dans les cabinets
01:09:23un grand baquet afin de réunir les selles de nos hôtes.
01:09:26Il a été dit que rien ne doit être perdu.
01:09:29Suivons donc, mes amis,
01:09:31le judicieux conseil de Madame Magie
01:09:33et ainsi offrons à notre cher Président
01:09:36la joie de voir se réaliser l'un de ses rêves.
01:09:40Bonjour à vous, Madame Castelli.
01:09:42Bonjour, Président.
01:09:44Excusez-moi, mais dans un instant, tout sera prêt.
01:09:46Bien sûr, je vous en prie.
01:09:48Je venais juste m'assurer...
01:09:50Allons, sortez les vases de nuit.
01:09:52Vite, dépêchez-vous.
01:10:02Madame Castelli,
01:10:04je vous en prie,
01:10:06sortez les vases de nuit.
01:10:18Dépêchez-vous.
01:10:37N'as-tu pas entendu les consignes ?
01:10:40Si, j'ai entendu, mais je...
01:10:42Comment est-ce que tu t'appelles ?
01:10:44Monsieur, je vous en supplie,
01:10:46avec toutes les cochonneries qu'il nous a fait manger ces derniers jours...
01:10:49Comment est-ce que tu t'appelles ?
01:10:51Elle s'appelle Doris, Président,
01:10:53et depuis le début, c'est une des plus indisciplinées.
01:10:58D'accord, je vous en supplie,
01:11:00je vous en supplie,
01:11:02je vous en supplie,
01:11:04je vous en supplie.
01:11:08Bien, puisque c'est ainsi,
01:11:10elle va tenir compagnie
01:11:12à ceux dont le nom a été porté sur cette liste.
01:11:35C'est à qui, ça ?
01:11:37A moi, si vous voulez y goûter.
01:11:39Ah, c'est ainsi que tu obéis à notre règlement.
01:11:42Petit impertinent.
01:11:44Bravo.
01:11:46Rino, s'il te plaît, sois gentil,
01:11:48montre-moi son derrière.
01:12:04Et qui plus est, tu as eu ensuite l'impudence de t'essuyer.
01:12:08Tu recevras la punition que tu mérites.
01:12:25Monsieur le Président, nous sommes prêts.
01:12:27Excusez-moi, mais j'ai préparé ce garçon
01:12:30et je n'ai pas pu, en même temps,
01:12:32surveiller, comme je le fais d'habitude,
01:12:34cette bande de vauriens.
01:13:03Ces messieurs savent
01:13:05que leurs demandes sont des lois pour nous
01:13:07et que chacun de leurs désirs est un ordre
01:13:10que nous sommes ravis d'exécuter.
01:13:12J'ai effectivement veillé
01:13:14à nourrir les créatures
01:13:16qui me semblaient les plus aptes,
01:13:18ainsi que cela m'a été autrefois enseillée,
01:13:21afin qu'elles nous fournissent
01:13:23pour ce solennel repas de noces
01:13:25le plus exquis des mots.
01:13:27Toutes les fillettes
01:13:29se sont abstenues de satisfaire
01:13:31leurs besoins en privé,
01:13:33comme l'exige votre loi.
01:13:38Tout ça pour vous donner ceci.
01:13:41Commençons donc le rite.
01:13:44L'athéisme sadien réintroduit
01:13:46le caractère divin de la monstruosité
01:13:49à travers des actes réitérés,
01:13:52c'est-à-dire des rites.
01:13:55Vous vous rendez compte
01:13:57que vous n'êtes plus enivrant
01:13:59et que vos sens en tireront
01:14:01d'une nouvelle vigueur
01:14:03pour les joutes qui vous attendent.
01:14:08Mange, ma bien-aimée et tendre épouse.
01:14:12Il faut que tu prennes des forces.
01:14:14Mange !
01:14:15Il faut que tu prennes des forces
01:14:17pour la nuit d'amour qui nous attend.
01:14:19Mange, car il n'est rien de pire
01:14:21qu'une haleine dépourvue de toute odeur.
01:14:25Eva ?
01:14:36Je ne pourrai pas y arriver.
01:14:38Fais-le pour l'amour de la madone.
01:14:54Carlo, mets tes doigts ainsi.
01:15:00Es-tu capable de dire
01:15:02je ne peux manger le ragout
01:15:04en tenant tes doigts ainsi ?
01:15:06Mais j'en ai ras-lou.
01:15:08Bon, alors mange la merde !
01:15:25Les faits que je m'en vais vous raconter
01:15:27concernent Cupidon en personne.
01:15:29Je fais allusion, comme vous l'avez bien compris,
01:15:32à notre illustre président.
01:15:34Dès que je lui satisfais,
01:15:36je demeurais frapper d'émerveillement,
01:15:38trouver des goûts aussi particuliers
01:15:40chez un individu.
01:15:42C'est ce que je fais.
01:15:44C'est ce que je fais.
01:15:46C'est ce que je fais.
01:15:48C'est ce que je fais.
01:15:50C'est ce que je fais.
01:15:52Des goûts particuliers chez un individu
01:15:54aussi jeune.
01:15:56Des goûts qui,
01:15:58n'ayez crainte,
01:16:00vous apparaîtront clairement
01:16:02au fil de mon histoire.
01:16:04Donc, mes amis,
01:16:06une fois libérée ma mère,
01:16:08la vie m'a parue soudain riche
01:16:10de toutes ces délices.
01:16:18Or, la femme pour laquelle je travaillais
01:16:20me présenta un jour
01:16:22au Libertage dont je vous parlais,
01:16:24dont les manies vous ont parues
01:16:26plutôt insolites.
01:16:30La scène eut lieu dans sa villa à Rovigo.
01:16:34On m'introduisit dans une chambre
01:16:36plutôt obscure
01:16:38où je pus apercevoir un homme
01:16:40étendu sur le lit
01:16:42et au centre de la pièce
01:16:44un cercueil.
01:16:46Vous avez devant vous,
01:16:48me dit le libertin,
01:16:50un homme gisant
01:16:52sur son lit de mort
01:16:54et qui se refuse
01:16:56à fermer les yeux
01:16:58sans rendre un dernier hommage
01:17:00à l'objet
01:17:02de son adoration.
01:17:04Or, j'adore
01:17:06le derrière.
01:17:08Et quand bien même je suis mourant,
01:17:10j'ai décidé de trépasser
01:17:12pendant que j'en baisins.
01:17:14Quand la vie aura abandonné
01:17:16ce pauvre corps qui est mien,
01:17:18ce sera à vous
01:17:20de me mettre dans ce cercueil,
01:17:22de me draper dans ce sueur
01:17:24et de rabattre le couvercle.
01:17:28C'est là ma volonté
01:17:30et j'entends être scrupuleusement servie
01:17:32en cet instant suprême
01:17:34et ce,
01:17:36par l'unique objet
01:17:38de mes désirs lubriques.
01:17:40Venez,
01:17:42venez,
01:17:44continua-t-il,
01:17:46la voie cassée et pleine de sanglots.
01:17:48Faites vite,
01:17:50car je suis sur le point
01:17:52d'ou mourir.
01:17:54Alors j'approchais, me tournais
01:17:56et lui montrais mes fesses.
01:17:58Ah,
01:18:00que merveilleux !
01:18:02S'écria-t-il,
01:18:06je pourrais emporter dans la tombe
01:18:08la vision d'un derrière
01:18:10beau comme celui-ci.
01:18:12Et il me le calina.
01:18:14Il l'ouvrit
01:18:16et il s'en amusa.
01:18:18Il le baisa,
01:18:20absolument comme le fait l'homme
01:18:22le plus sain du monde.
01:18:24Puis,
01:18:26il me força à me libérer
01:18:28de ce que mes intestins
01:18:30contenaient alors.
01:18:32Je le fis sans le moindre embarras.
01:18:34Ah,
01:18:36à présent il me faut mourir,
01:18:38il se tourna sur son lit.
01:18:40Le moment suprême
01:18:42est arrivé.
01:18:44Et en disant cela,
01:18:46il eut un profond soupir.
01:18:48Il devint,
01:18:50il devint rigide
01:18:52et joua son rôle.
01:18:56Viens.
01:19:02Vas-y,
01:19:04pisse.
01:19:08Allez,
01:19:10vas-y.
01:19:12Je n'y arrive pas.
01:19:14Je n'ai pas envie.
01:19:16Pisse.
01:19:38Voilà,
01:19:40j'ai fini.
01:20:08Le jeune homme
01:20:10venait d'un bureau de contrôle
01:20:12petit trapu porcin
01:20:14et dont le visage
01:20:16était extrêmement déplaisant.
01:20:18Or, il mettait un vase sous eux,
01:20:20tous deux s'asseyaient dos à dos
01:20:22et il défaquait
01:20:24simultanément.
01:20:26Puis il saisissait le vase,
01:20:28fourrait les doigts dans les extréments,
01:20:30l'étouillait et les avalait.
01:20:32Ma soeur me disait qu'il suffisait
01:20:34à cet homme de voir son postérieur sale
01:20:36et qu'il ne pouvait pas l'écouler.
01:20:38Dites, madame Maggi,
01:20:40votre soeur avait-elle un beau cul?
01:20:42Vous pouvez en juger par ce simple détail.
01:20:44Un peintre réputé,
01:20:46ayant reçu la commande d'une Vénus
01:20:48dotée d'un magnifique derrière,
01:20:50la sollicita d'être son modèle
01:20:52après avoir consulté
01:20:54tous les putains d'Italie
01:20:56sans en trouver aucune
01:20:58dont le cul égale à le sien.
01:21:00Oui, mais dites,
01:21:02quel âge avait-elle donc?
01:21:04Cher Duc.
01:21:06Vous avez éveillé notre curiosité.
01:21:08Aussi, chère madame, si vous organisez
01:21:10un concours de beauté afin de connaître
01:21:12qui a le cul le plus beau parmi ces jeunes.
01:21:14Oui, je m'en charge, messieurs.
01:21:16Je suis spécialiste.
01:21:26Excellence, ça ne vous suggère rien,
01:21:28cette situation particulière?
01:21:30Eh bien!
01:21:32Madame Maggi, c'est terminé!
01:21:34Une minute!
01:21:36Encore une minute!
01:21:38Le geste sodomitique
01:21:40est le plus absolu
01:21:42parce qu'il contient de mortels
01:21:44pour l'espèce humaine.
01:21:46Et le plus ambigu, puisqu'il accepte
01:21:48les normes sociales pour les enfreindre.
01:21:50Il y a quelque chose de plus monstrueux
01:21:52que le geste du sodomite.
01:21:54C'est le geste du bourreau.
01:21:56C'est vrai, mais le geste du sodomite
01:21:58a l'avantage de pouvoir être répété
01:22:00des milliers de fois.
01:22:02On peut, selon moi, trouver une façon
01:22:04de réitérer aussi le geste du bourreau.
01:22:10Voilà, monsieur! C'est prêt!
01:22:20Éteignez la lumière!
01:22:22C'est mon chef d'oeuvre!
01:22:28Attendez!
01:22:30Eh bien?
01:22:32Mes amis, avant de juger,
01:22:34j'ai une proposition à vous faire.
01:22:36Dites! Dites!
01:22:38Nous n'avons pas encore décrété
01:22:40quel prix viendra récompenser
01:22:42celui ou celle
01:22:44dont le derrière sera jugé
01:22:46le plus admirable.
01:22:48Aussi,
01:22:50voici ce que je propose.
01:22:52Celui ou celle
01:22:54dont le derrière sera décrété
01:22:56le plus admirable
01:22:58sera immédiatement exécuté.
01:23:02D'accord.
01:23:12De cette façon,
01:23:14sans savoir à qui ils appartiennent,
01:23:16nous sommes sûrs d'être impartiaux.
01:23:18Observation fort juste.
01:23:20Merci, Excellence.
01:23:22Le fait de savoir
01:23:24qu'un cul appartient à un garçon
01:23:26plutôt qu'à une fille
01:23:28pourrait influencer notre décision,
01:23:30alors qu'il nous faut au contraire
01:23:32être complètement libres de choisir.
01:23:34C'est juste.
01:23:36Il est un piège astucieux
01:23:38dans lequel je ne veux pas tomber.
01:23:40Quand on a une préférence
01:23:42marquée pour les hommes,
01:23:44il est dur de parvenir à en changer.
01:23:46Les différences entre un garçon
01:23:48et une fille sont énormes,
01:23:50et on ne peut aller à la recherche
01:23:52de ce qui est manifestement inférieur.
01:23:54Eh, regardez celui-là.
01:23:56Pourtant,
01:23:58en juger par les récits
01:24:00que nous avons entendus,
01:24:02on pourrait conclure que, souvent,
01:24:04une jeune fille est préférable
01:24:06à un jeune garçon.
01:24:08Essayons quand même d'être objectifs.
01:24:10Tenez, messieurs,
01:24:12notez la beauté de cette rainure,
01:24:14l'élasticité de l'épiderme de ce cul.
01:24:16Je pense qu'il ne doit y avoir aucun doute
01:24:18quant à la...
01:24:20Une minute, mon cher Duc.
01:24:22Ce n'est pas que je veuille vous contredire,
01:24:24mais j'aimerais réexaminer un postérieur
01:24:26qui m'a particulièrement frappé.
01:24:28Eclairez-y, je vous prie.
01:24:30Nous n'avons aucun mal à vous satisfaire.
01:24:32Il ne me semble pas que la lourdeur
01:24:34de ces flancs puisse être comparée
01:24:36à la grâce que je vous ai signalée auparavant.
01:24:38C'est, selon moi,
01:24:40le plus beau cul de la ville.
01:24:42Toutefois, c'est là mon jugement personnel.
01:24:44Je m'en remets au jugement de la majorité.
01:24:46Je voterai pour le candidat du Duc.
01:24:48Quant à moi,
01:24:50je donne ma voix au candidat du Duc.
01:24:52Cher président, vous le voyez,
01:24:54le résultat est de trois voix contre une.
01:24:56Je m'incline devant la majorité.
01:24:58Je demanderai toutefois
01:25:00que me soit accordé mon candidat
01:25:02aussitôt que sera venu le moment
01:25:04de faire la fête.
01:25:06Oui, soit.
01:25:08Lumière!
01:25:10Vous voyez le mystère.
01:25:14C'est Francky, nous.
01:25:32Mais tue-le!
01:25:40Comment pouvais-tu penser
01:25:42que nous voulions te tuer?
01:25:44Ne sais-tu pas que nous voudrions
01:25:46te tuer mille fois
01:25:48jusqu'aux limites de l'éternité,
01:25:50si l'éternité pouvait avoir des limites?
01:25:54Je voudrais vous conter à présent
01:25:56l'histoire d'un mystérieux client
01:25:58dont la manie très particulière
01:26:00rejoint celle
01:26:02qui feront l'objet des récits
01:26:04de Madame Castel.
01:26:06Aussi, j'en demande pardon.
01:26:08L'homme en question
01:26:10ne voulait que des femmes
01:26:12condamnées à la peine capitale.
01:26:14Et mieux,
01:26:16plus l'heure de mourir était proche
01:26:18et plus il les payait.
01:26:22Il exigeait que sa visite
01:26:24n'ait lieu qu'une fois
01:26:26la sentence rendue.
01:26:28Grâce à sa position sociale élevée
01:26:30qui lui permettait de payer
01:26:32n'importe quel prix,
01:26:34il réussit à ne pas en laisser
01:26:36échapper une seule.
01:26:38Cependant, il ne s'unissait pas à elle fortuitement.
01:26:40Il exigeait qu'elle ne lui montrasse
01:26:42leur flanc,
01:26:44qu'elle défécasse devant lui.
01:26:46Il soutenait,
01:26:48en fait,
01:26:50qu'il n'ait pas de celle
01:26:52meilleure au monde
01:26:54que celle d'une femme
01:26:56à laquelle
01:26:58on vient de notifier
01:27:00sa condamnation à mort.
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