• l’année dernière
Transcription
00:00...
00:08Mamy va pote vient encore de dégainer le 49.3
00:11C'est une fuite en avant permanente
00:13On arrive à une inversion complète des valeurs
00:15On est dans une impasse politique totale
00:17On empêche les gens de discuter
00:18Et bah derrière les gens vont dans la rue
00:20Ils veulent remplacer la France
00:21La France est le pays le plus inquiétant
00:23Rire
00:24Rire
00:24Voilà, d'envahissement
00:25Vous ne posséderez plus rien et vous serez heureux
00:27...
00:29Ah c'est terrible, la prochaine catastrophe qui arrive
00:31Le prochain complot d'Ursula et Albert Bourla
00:34Ah oui oui oui oui, je l'ai dit hier sur les réseaux
00:36Cherchez à qui profite le prix
00:37Ça fait je sais pas combien de temps que je spot du toxin
00:40Il faut rendre la parole au peuple
00:41Le peuple c'est le souverain
00:42Il faut arrêter de baisser les bras en disant tout est terminé
00:45Retrouvons la volonté, retrouvons l'intelligence
00:47Imaginons de la pipo
00:50...
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01:13Et pour ce corps à corps aujourd'hui
01:14Je suis très heureuse de recevoir
01:17Mon couple de médecins préférés
01:19Les docteurs de l'épine
01:21Docteur Nicole de l'épine
01:22Et docteur Gérard de l'épine
01:24Bonjour à vous deux
01:25Bonjour, bonsoir Clémence, merci
01:28Sonnel toxin, pour le sujet dont on va parler, c'est majeur
01:31Et voilà, je vais rappeler évidemment
01:34Vous venez pour nous parler de dysphorie de genre
01:36Et on va prendre le temps de dire
01:38Non seulement ce que c'est, mais quels sont les dangers
01:40Et quelles sont les arnaques, c'est très important
01:42Et c'est pour ça qu'aujourd'hui
01:44Et avec ce livre, vous avez décidé de sonner le toxin
01:47Dysphorie de genre, c'est votre livre aux éditions FAUVE
01:49Hormones, chirurgie, transformation, risques
01:52Et dérive de la transformation de genre
01:53Chez les enfants et les adolescents
01:55Puisqu'on le voit de plus en plus arriver
01:58De plus en plus même promu sur les réseaux sociaux
02:01On en parle même dans les écoles
02:03Promu par une certaine circulaire, la circulaire blancaire
02:06Donc tout ça, on va en parler
02:07D'abord, je vais quand même rappeler à nos auditeurs qui vous êtes
02:10Docteur Nicole de l'épine, vous êtes pédiatre, oncologue
02:12Ancien chef de service en cancérologie pédiatrique
02:14À l'assistance publique Hôpitaux de Paris
02:16Et puis vous avez écrit de nombreux livres
02:18Avec votre mari Gérard de l'épine
02:21Chirurgien orthopédiste
02:23L'un des précurseurs de la chirurgie conservatrice
02:25Et dans la pose de prothèse
02:27Et reconnu dans le monde entier pour ses travaux depuis 20 ans
02:31Alors, vous aviez, et on vous avait reçu pour de nombreux sujets
02:34Mais notamment celui du confinement aveugle, celui des vaccins
02:38Et aujourd'hui, donc, en fait, je vais vous dire
02:40Je ne vous attendais pas sur ce terrain-là, tous les deux
02:43Sur la dysphorie de genre
02:44Et ce sera ma première question
02:47Comment et pourquoi vous êtes intéressé à la dysphorie de genre ?
02:50Et d'abord, juste faisons une petite définition
02:53Si vous le voulez bien, de la dysphorie de genre
02:56Merci, la dysphorie de genre, c'est un malaise
02:58Le mot dysphorie, ça veut dire malaise
03:01Et effectivement, on a fini par, à force de publicité
03:05Et de détournement de la réalité
03:07A faire croire aux enfants que les deux sexes n'existaient pas
03:11Que c'était une construction sociale dans la tête d'un certain nombre de gens
03:15Et qu'on pouvait être n'importe quoi d'autre
03:18Mais pas forcément un homme ou une femme
03:21Même si on était nés comme ça
03:23Et en fait, effectivement, on a été à un moment
03:25Particulièrement en tant que pédiatre
03:26J'ai été appelé au départ, en octobre de l'année dernière
03:31Quand M. Papandiei, le ministre de l'époque, a décrété
03:35Que la priorité de son ministère serait l'éducation sexuelle à l'école
03:43Alors déjà, éducation sexuelle en soi, le mot est aberrant
03:46Parce que la sexualité, ça ne s'enseigne pas
03:50Alors c'était déjà un premier taux de sainte, si j'ose dire
03:55Mais surtout après, les parents, rapidement, ça a été suivi des fesses
04:00Ce qu'il a dit, c'est-à-dire qu'effectivement dans les écoles
04:02Ils ont poussé, par l'application de la circulaire blanquaire
04:06Qui datait de septembre 21, pour en reparler si vous voulez
04:10Ils ont poussé à appliquer ça, c'est-à-dire à essayer
04:16D'appliquer un enseignement, entre guillemets, encore une fois le mot ne convient absolument pas
04:19Mais ils ont envoyé des infirmières formées un petit peu là-dessus
04:22Et qui étaient consentantes probablement
04:24Pour essayer d'expliquer aux enfants la sexualité
04:27Et aussi bien de 6 ans à 15 ou 16 ans
04:31Et les parents, là, ont commencé
04:34Bon, moi j'ai souvent des parents pour des maladies, pour des conseils, etc.
04:38Sur 50 ans de pédiatrie, on a gardé des contacts
04:41Et là, on a eu des hurlements de parents
04:44Qui ont eu en fait des commentaires de leur enfant
04:47C'est-à-dire qu'ils n'ont pas été prévenus
04:48Alors là, c'est une des premières choses que je dis
04:51Et que j'en répéterai dans cette émission
04:53Il faut absolument que, parents, vous exigiez
04:56En début d'année scolaire ou maintenant
04:58Par l'être recommandé, accusé de réception
05:01Que toute intervention de ce type
05:04Nommée éducation sexuelle, vous soit notifiée
05:08Et que vous puissiez évidemment, vous y opposer
05:13Pour ne pas soumettre les enfants à ça
05:15Parce que les mamans, et surtout les mamans
05:18Enfin quelques papas aussi, ont raconté
05:19Que l'enfant, à revenir à la maison
05:21Il commençait à 9 ans, 6 ans, 7 ans
05:24A poser des questions bizarres
05:26Sur ce qu'il faisait avec papa
05:28Si la vierge de papa était droit à tout côté
05:30Enfin bon, je ne sais pas
05:32Ah oui, c'est horrible
05:33Et là, les pédophiles ont carrément raconté
05:36Qu'ils avaient pleuré, qu'ils avaient mis les doigts sur leurs oreilles
05:39Qu'ils voulaient sortir, qu'on leur avait interdit de sortir
05:41Donc beaucoup, beaucoup de témoignages de parents
05:44Qui se sont vraiment multipliés
05:47Et d'ailleurs, je souligne quand même
05:49L'intervention des parents
05:51Qui se sont vite quand même organisés
05:53Effectivement avec des associations
05:55Comme parents en colère, parents en douleur
05:57SOS éducation, il y en a plein
06:00Et évidemment, les mamans l'ont
06:02Avec Ratsan en première ligne
06:05Et tous ces parents ont quand même été très efficaces
06:08Ils ont quand même mis, enfin déjà
06:09Déjà, ne serait-ce que parce que du coup
06:11Effectivement, on en parle
06:12Du coup, nous, on a fait un livre
06:14Mais d'autres gens, évidemment
06:15Beaucoup de gens ont travaillé là-dessus
06:18Notre amie, maître Virginie Arrogio
06:23Je ne sais pas si vous allez le voir, le livre
06:25Je ne sais pas si vous connaissez
06:26Protéger les mineurs de l'idéologie totalitaire, oui
06:28Voilà, et elle a fait un excellent livre
06:30Je le signale parce qu'il y a quand même
06:32Toutes les lettres dedans
06:33Que les parents peuvent recopier
06:34Bon, ces lettres, elles sont sur plein de sites
06:36Mais souvent, on nous dit, c'est difficile
06:38Donc vraiment, il faut que les parents
06:40Se défendent d'emblée de ce qui, effectivement
06:42Est une déferlante, une hystérie sexuelle
06:46Là, de nous mettre ça dans la nez
06:48Et il y a des parents désespérés
06:50Parce qu'il est clair quand même
06:52Il faut le dire d'emblée
06:52C'est qu'un enfant qui a été soumis
06:55À ce genre d'enseignement, si j'ose dire
06:59Ou de propagande, ou de, voilà
07:01Il est, s'il a bien voulu écouter
07:04S'il a écouté, il est, il est
07:07Il y a une effraction psychique pour définitive
07:12Ce n'est pas des choses qu'on rattrape
07:15On a essayé, évidemment
07:16Les psychiatres font leur travail
07:18Mais c'est vraiment des pathologies mentales
07:23Qu'on fabrique, qu'on fabrique volontairement
07:26Parce que du coup, le gamin va complètement
07:28Être déconnecté de la réalité, de la vie
07:31Et l'apprentissage va sombrer quand même
07:34Effectivement, une pathologie psychique
07:38Donc vraiment, c'est pour ça
07:40En fait, ça rejoint complètement la pédiatrique
07:42Que nous avions fait
07:43Et le sauvetage des gamins
07:44Pour lesquels on se battait
07:46En dernier, pour les vaccinations
07:49Les injections expérimentales de Covid
07:51Et puis, encore en tout dernier
07:53En particulier, pour travailler sur le cadre d'asile
07:56Vous commencez à aborder
07:57Pourquoi finalement, vous notamment
08:00Docteur Nicole de Lépine
08:01Vous êtes intéressée au sujet
08:03Parce que vous êtes pédiatre
08:04Et que donc, vous aviez des alertes
08:05Je tiens à préciser
08:06Vous donnez le nom de SOS Éducation
08:08Et des Maman Louvre
08:09Nous les avons reçues
08:09Nous avons fait une émission
08:10D'ailleurs, j'appelle tous nos auditeurs
08:12À réécouter cette émission
08:15Avec des témoignages absolument terribles
08:19Où l'on voit notamment
08:21Une petite fille forcée à l'école
08:24Alors que les parents avaient prévenu
08:25Qu'elle était particulièrement sensible
08:26Parce qu'elle avait été victime, etc.
08:28Forcée à l'école
08:30À mettre un préservatif
08:31Sur je ne sais plus quoi
08:33Je crois que c'est un sextoy
08:35Enfin, voilà
08:36En tout cas, à l'entraînement
08:37De la mise d'un préservatif
08:38Devant tous ces petits voisins et voisines de classe
08:42Et ce genre de choses
08:44Ce sont des classes qui sont rendues obligatoires
08:47Les parents n'ont pas leur mot à dire
08:48Et si les parents tentent d'avoir leur mot
08:50Donc de récupérer ce qu'on appelle
08:51Une autorité parentale
08:52Qui est normalement de faite
08:54Eh bien, c'est la famille
08:56Qui est mise en accusation aujourd'hui
08:57Voilà
08:58Donc dans quel climat
09:01Contexte nous sommes
09:03Et c'est dans ce contexte de ces cours
09:04Donc que vous l'avez dit
09:05D'éducation sexuelle
09:06Qui sont à raison environ de trois par an
09:09Je crois, si je ne me trompe pas
09:10Qu'il peut y avoir
09:11Donc cette promotion finalement
09:14De la transition de genre
09:17De la dysphorie de genre
09:18Au moment où finalement
09:19On appelle l'enfant à reconnaître
09:22Qu'il est d'un autre sexe
09:25Ou qu'il n'a pas de sexe, etc.
09:26Et on avait notamment parlé également
09:28De cette circulaire blancaire
09:31Qui est tenue d'accompagner l'enfant
09:33Dans cette transition
09:35Même s'il y a des accords des parents
09:38Et nous avions également reçu
09:39Un petit peu plus tôt encore
09:40Voilà, je vous renvoie à toutes les vidéos
09:42Qu'on avait déjà réalisées
09:43Des parents qui avaient découvert
09:45Après coup, que leur enfant avait changé de genre
09:48Que l'école avait reconnu ce changement de genre
09:50Que même ces cartes de cantine
09:52Et de je ne sais plus trop quoi
09:53De bibliothèque
09:54Qui ont été mises à son nouveau nom
09:56Et tout ça sans l'accord des parents
09:59Encore une fois
10:00Imaginez quand même
10:02Comment on peut arriver
10:03À une chose pareille en France
10:05Voilà, c'était pour vous donner
10:06Un petit peu le contexte de la situation
10:08Et comment aujourd'hui
10:10Et pourquoi il faut s'intéresser
10:11À ce changement de sexe qu'il y a
10:13Et c'est aussi votre rôle de médecin
10:15On n'est pas seulement là dans un délire
10:19Psychiatrique, etc.
10:21On est aussi dans du physique
10:22Puisqu'il y a des transformations physiques
10:23Qui sont faites et qui sont gravissimes
10:26Voilà, bah effectivement
10:28Pourquoi il faut bien rapprocher
10:30Les séances d'éducation sexuelle
10:32À la théorie du genre ?
10:33Parce que finalement
10:34Les enfants, par exemple, 6 ans, 7 ans
10:37Volontiers, il y a des cours
10:39On leur dit
10:40Est-ce qu'on fait même des interrogatoires ?
10:42Vous vous sentez femme ou vous vous sentez homme ?
10:44Le gamin, à cette âge-là, 5-6 ans
10:47N'a jamais pensé à un truc pareil
10:49Si on ne lui met pas dans la tête
10:50Et on lui met là forcément une confusion mentale
10:53Qui fait que progressivement
10:54On va instiller cette espèce de poison
10:58Ils font qu'ils vont plus se reconnaître
11:00Après on dit que les enfants de 15-20 ans vont mal
11:02Mais à partir du moment où
11:04Entre 6 ans et même avant
11:05Puisque maintenant on est du saccage en sexuel
11:07Selon les critères de l'OMS
11:09Appliqués par la France
11:10Et qu'on trouve sur le ministère de la Santé
11:12Normalement, il faut faire l'éducation sexuelle
11:15À partir de 0 ans
11:17Donc vraiment, c'est absolument épouvantable
11:20Et effectivement, cette circulaire blanquière Paris
11:22En septembre 2021
11:25Est passée quand même franchement inaperçue
11:27En plein Covid
11:28Il me semble, elle était en plein Covid
11:30Les gens pensaient à autre chose
11:31Mais effectivement, elle a pour but
11:33Pour en dire deux mots
11:34Elle a pour but de protéger l'enfant transgenre
11:36Le but officiel c'est de l'accompagner, etc.
11:41Le protéger
11:42Et donc effectivement, elle dit
11:44Ce que vous venez de dire, tout clairement
11:46C'est que tout enfant qui est le
11:48Bon finalement, je suis un petit garçon
11:50Je m'appelle Jean-Jacques
11:52Finalement, je me sens fille
11:54Donc je veux que vous m'appelez Martine
11:56Et s'ils disent ça le vendredi
11:58On dit à la classe et à l'enseignant
12:00Et au directeur de l'école
12:02À partir de lundi, il faut absolument
12:04Appliquer ce qu'ils demandent
12:08Moi, il me semble qu'il y a plein de choses
12:10C'est toute lettre effectivement
12:11Et sans en parler aux parents
12:13Il y a toute chose à voir
12:15De façon épouvantable
12:17C'est qu'on protège l'enfant transgenre
12:19Très bien, je veux bien
12:20Enfin qui n'est pas encore transgenre
12:22On ne le protège pas
12:24On le pousse
12:26Officiellement
12:28Dans la circulaire, c'est marqué protégé
12:30Mais même
12:32Dans l'absolu
12:34Je ne sais pas, mettons 30 dans la classe
12:36Et les 29 autres, on les protège comment ?
12:38Le lundi, ils vont arriver
12:40Voir ce petit gars qui a dû se transformer
12:42En petite fille dans le week-end
12:44Ce qui est gravissime
12:46Et qui est écrit en toutes lettres
12:48Dans cette circulaire, c'est qu'on n'a pas le droit
12:51L'enseignant n'a pas le droit de prendre le temps
12:53De discuter avec lui
12:55Ni avec les autres de la classe
12:57On n'a pas le droit de poser le problème
12:59La question n'est pas autorisée
13:01Si vous voulez, c'est le même genre que la question
13:03Est-ce qu'il y avait des faits secondaires
13:05Sur l'injection expérimentale
13:07On n'avait pas le droit
13:09Et on a juste encore le droit
13:11De poser la question
13:13Puisque le ministre actuel de la santé dit que ça n'existe pas
13:15Donc
13:17Le propre de notre société
13:19Est totalement transformé de plus en plus
13:21Ça ne date pas de 2020 mais là ça a explosé
13:23De l'évidence pour tout le monde depuis 2020
13:25C'est qu'on n'a pas le droit de poser la question
13:27Et imaginez ces gamins
13:29Dans quel état ils vont être
13:31Puisqu'on n'a pas le droit de discuter avec eux
13:33Du changement apparent de genre
13:35De leur petit copain
13:37Comment on peut
13:39Pourrait-on ne pas voir que c'est pour détraquer
13:41Complètement les cerveaux des enfants
13:43Les coller en dissonance
13:45Une fille, t'es un garçon, t'es machin
13:47T'as le droit de faire, t'as pas le droit de faire
13:49Avec évidemment en plus
13:51Cette interdiction des parents
13:53D'interférer qui sont vite traités
13:55Ils sont pas contents
13:57Effectivement quand on dit
13:59Ils vont avoir des ennuis
14:01C'est carrément la tutelle de leur enfant
14:03S'ils sont un petit peu trop virulents
14:05C'est-à-dire qu'ils n'ont plus le droit
14:07De choisir éventuellement
14:09Leur gamin est placé en maison
14:11En famille d'accueil etc
14:13Donc ça va très très loin
14:15C'est pour ça que ça
14:17Oui ça nous a vraiment
14:19Moi ce qui m'a vraiment frappé
14:21C'est qu'on a transformé
14:23La démocratie qui est théoriquement
14:25La loi de la majorité
14:27En une tyrannie des minorités
14:29Quand on parle de minorités
14:31C'est des minorités
14:33Il ne faut pas oublier que
14:35La pourcentage
14:37Des transgenres c'est infime
14:39On a les chiffres
14:41De la sécurité sociale
14:43Dans son grande
14:45Générosité, la sécurité sociale
14:47Rembourse intégralement
14:49Les soins médicaux et la chirurgie
14:51Des gens qui veulent
14:53Changer de sexe
14:55Alors juste une parenthèse là-dessus
14:57Parce qu'en effet je l'ai lu
14:59Est-ce que vous pouvez vous qui êtes médecin
15:01Qui avez beaucoup d'expérience
15:03Faire une comparaison par rapport à d'autres maladies
15:05Qui sont peut-être plus graves
15:07Et qui elles ne sont pas remboursées
15:09Ou pas accompagnées
15:11Vous avez parlé de maladies
15:13Un changement de sexe
15:15Or il est dit dans la loi française grâce à nos députés
15:17Que ce n'est pas une maladie
15:19C'est une position
15:21Ce n'est pas une maladie
15:23Oui mais donc c'est encore pire
15:25Si ce n'est pas une maladie pourquoi c'est accompagné par la sécu
15:27Exactement c'est la question
15:29Pourquoi est-ce qu'on rembourse à 100%
15:31Quelque chose qui n'est pas une maladie
15:33Alors que les gens qui ne le voient pas bien
15:35Comme moi qui ai besoin de mulettes
15:37Ou des gens qui n'ont pas de dents
15:39Ils ne sont pas remboursés
15:41C'est un choix
15:43Alors je ne sais pas combien de temps on aura
15:45Mais je voudrais quand même
15:47Insister sur une chose
15:49C'est qu'il faudrait informer les enfants
15:51Et c'est le rôle de notre profession
15:53Qui n'est pas appliqué
15:55Parce que là aussi
15:57Dans cette fameuse circulaire malencaire
15:59Elle demande aussi aux médecins
16:01Et en tout cas dans toute l'application
16:03De ces transformations de genre
16:05Elle demande aux médecins de se taire
16:07C'est-à-dire
16:09Si on vous compare à d'autres maladies
16:11C'est extraordinaire
16:13C'est l'enfant qui dit
16:15Je suis une fille
16:17Et je veux faire cette transformation de genre
16:19Finalement
16:21Qu'est-ce que font les parents ?
16:23Ils vont voir le généraliste
16:25Qui dit que ce n'est pas compétent
16:27Ce qui est honnête
16:29Et du coup je vous envoie voir des spécialistes
16:31Sauf qu'il ne faut pas oublier
16:33Ces fameux spécialistes
16:35Ce sont des idéologues et des militants
16:37De l'imposition du genre
16:39Et donc ils l'impliquent avec joie
16:41C'est la théorie de l'affirmative
16:43C'est que l'enfant dit
16:45Je suis une femme
16:47Donc elle est une femme
16:49Donc il faut faire ce qu'il faut
16:51Et les parents n'ont rien à dire
16:53Même la consultation psychologique
16:55N'est pas obligatoire
16:57Oui puis de toute façon
16:59On peut très bien trouver un psy
17:01Qui aille dans le même sens
17:03C'est vraiment une théorie
17:05C'est un fait, ça a été totalement démontré
17:07Par les enquêtes qui ont été faites
17:09Dans les pays qui étaient les pionniers
17:11Des changements de genre
17:13L'Angleterre et la Suède
17:15Cette année, en 23
17:17Donc la Suède comme l'Angleterre
17:19On dit qu'il ne fallait plus donner d'hormones
17:21Aux enfants pour les changements de sexe
17:23Et ce n'est pas venu par hasard
17:25C'est venu après des enquêtes indépendantes
17:27Sur la pratique réelle
17:29Des établissements qui pratiquaient
17:31Ces changements de sexe
17:33Donc soit l'institut Karolinska pour la Suède
17:35Soit la clinique
17:37Travistock en Grande-Bretagne
17:39On s'est rendu compte que dans ces deux endroits
17:41Les gamins qui étaient envoyés
17:43Pour avis étaient systématiquement
17:45Convaincus, on leur faisait
17:47La propagande pour démontrer
17:49Qu'ils avaient raison de demander le changement de sexe
17:51Et des études par des auteurs indépendants
17:53Montraient qu'en fait ces gens étaient
17:55En général ces pauvres gamins étaient atteints
17:57Dans 80% des cas
17:59D'autres maladies psychologiques
18:01Ou psychiatriques
18:03Que ce soit l'autisme, etc.
18:05Et donc on ne traitait pas les maladies réelles
18:07Pour les pousser au changement de sexe
18:09Et c'est la raison pour laquelle
18:11Les autorités sanitaires des deux pays
18:13Qui avaient poussé sur le transsexualisme
18:17Ont fait machine arrière cette année
18:19Et c'est aussi pour ça que
18:21Quelques années après
18:23Ils voient qu'ils ont toujours aussi mal
18:25Quand ils arrivent à en parler
18:27Parce que souvent on dit
18:29On apporte
18:31La thérapie va apporter une solution
18:33A une forme de malaise d'un enfant
18:35Et donc ça va le soigner
18:37C'est ce qui est dit en tout cas par ces associations
18:39Oui mais la démonstration est faite
18:41Que c'est faux puisque
18:43Il y a suffisamment de témoignages
18:45Qu'on appelle les détransitionneurs
18:47Qui après avoir fait
18:49Tout ce chemin difficile
18:51Qui est pavé d'enfer
18:53On ne va pas vers le paradis
18:55On va vers l'enfer
18:57On en parlera un petit peu dans les pratiques tout à l'heure
18:59Et ils se retrouvent
19:01A devoir
19:03Réaliser
19:05Qu'ils vont toujours mal
19:07Et c'est là qu'on fait des diagnostics d'autisme
19:09Et des choses comme ça
19:11S'ils ont bien la gentillesse de rester en vie
19:13Parce qu'il y a évidemment un pourcentage absolument majeur
19:15De suicides dans ces
19:17Enfants
19:19Qui ont supporté le genre
19:21Les transformations de genre
19:23C'est cet argument dire aux parents
19:25Laissez les faire, laissez les faire
19:27Quand on veut leur donner des arguments aux parents
19:29Puisqu'en gros ils ne veulent pas tant que ça leur donner des arguments
19:31Qu'est-ce qu'on leur impose
19:33Mais on leur dit sinon ils vont se suicider
19:35Oui c'est ça
19:37Ils sont pris un peu par l'affect
19:39Et puis parfois aussi accusés d'attente
19:41Alors parfois ça n'a rien à voir à la laïcité
19:43Puis comme vous dites on va leur dire sinon si ça continue
19:45Vous allez perdre l'autorité parentale
19:47Oui alors je voudrais
19:49Insister sur le problème du suicide
19:51Parce que c'est quelque chose de tout à fait important
19:53Puisque c'est l'argument majeur
19:55Des militants trans
19:57C'est-à-dire ils se suicident
19:59Parce que l'associété est méchante
20:01Avec eux
20:03Alors pourquoi pas on pourrait le croire
20:05Sauf que les gens qui ont commencé
20:07Les tout premiers c'était les néerlandais
20:09Ce sont les seuls qui au monde ont suivi
20:11Leurs malades
20:13Les néerlandais d'Amsterdam
20:15Disent
20:17Le taux de suicide est en gros de 40%
20:19Donc quand on est transgenre
20:21On a 40% de chance de se suicider
20:23Et puis ça n'a pas changé
20:25Depuis les 3 dernières décennies
20:27Autrement dit
20:29Les gamins qu'ils ont traités pour
20:31Changement de sexe
20:33Ne se sont pas améliorés
20:35Le taux de suicide n'a pas diminué
20:37Alors l'argument
20:39Il faut les écouter
20:41Pour éviter, pour diminuer le risque de suicide
20:43Est un mensonge total
20:45J'aimerais quand même insister
20:47Sur
20:49La contre-pensée
20:51Par rapport à ce qu'il dit sur les réseaux
20:53Parce qu'effectivement et particulièrement
20:55Depuis 2020 où les enfants étaient souvent isolés
20:57En particulier les ados
20:59Sur leur écran
21:01Et qu'ils étaient mal
21:03Avec mes parents
21:05Ils sont vite tombés dans des réseaux
21:07On leur a dit c'est parce que t'as pas le bon genre
21:09Viens avec nous
21:11Ils se sont sentis accueillis dans une famille
21:13Ça explique aussi que souvent il y a eu des épidémies
21:15De classe
21:17Des fois 3, 4 copines qui
21:19En même temps voulaient changer de genre
21:21Et là on leur
21:23On leur présente ça
21:25Comme tu vas te sentir
21:27Tellement mieux, tu vas voir le paradis
21:29Bon
21:31Il y a aussi le rôle
21:33Des influenceuses ou des influenceurs d'ailleurs
21:35Et puis après comme ils changent de genre
21:37Qui font cette promotion du soi-disant
21:39Je suis heureuse tout va beaucoup mieux
21:41Depuis que j'ai fait cette transition d'ailleurs
21:43Que la médecin allait voir
21:45Voilà
21:47Un risque à insister d'emblée
21:49C'est qu'il faut évidemment éviter
21:51L'autoprescription de médicaments
21:53Mais qu'il aurait facilité
21:55On leur dit
21:57Attends il y a des petites pilules
21:59Là tu commandes ça par internet
22:01Il n'y a pas de soucis
22:03Il y a effectivement des parents
22:05Qui s'aperçoivent des mois après
22:07Que leur gamin change
22:09En fait il prend des hormones
22:11On a le choix
22:13On fait tout ce qu'on veut
22:15Enfin les mineurs il faudrait que les parents interviennent
22:17Mais après même pour les adultes
22:19On fait ce qu'on veut
22:21Néanmoins est-ce qu'on ne va pas vers le paradis
22:23On va vers l'enfer
22:25Et ça c'est vraiment les gens
22:27Qui ont fait ce chemin, ce cheminement extrêmement difficile
22:29Qui nous le disent
22:31Et qui disent
22:33Il faut avertir
22:35Parce que nous sur les réseaux sociaux
22:37On ne montre que ce qui est sympa
22:39Il y a des gens qui donnent ces phrases là
22:41Et vous les mettez dans votre livre
22:43Donc vraiment
22:45Changement de genre ça veut dire
22:47Premièrement prendre des médicaments toute sa vie
22:49Donc vous étiez un bien portant et vous devenez un malade chronique
22:51Alors effectivement les malades chroniques
22:53Ils n'ont pas choisi de l'être
22:55Demandez aux gens comme cela aux emplacs
22:57Ou même aux cancers en surveillance
22:59S'ils ont envie d'être malades chroniques
23:01Personne n'a envie d'aller chez le médecin tout le temps
23:03De faire tout le temps des examens, des contrôles etc
23:05Donc vraiment il faut le dire
23:07Il faut le dire aux enfants et aux jeunes adultes
23:09C'est pareil
23:11Ça concerne surtout les jeunes
23:13Plus on vieillit moins il y a des gens qui veulent changer de genre
23:15Donc
23:17C'est important de leur dire
23:19C'est vraiment un parcours
23:21Du combattant et un parcours
23:23Qui va être difficile
23:25Parce que de toute façon
23:27On va toujours tromper son corps
23:29Oui c'est ça
23:31Mais je voudrais qu'on y aille justement
23:33Vous avez tout un chapitre qui s'appelle la chirurgie du changement de sexe
23:35Peut-être que monsieur le chirurgien
23:37Vous pouvez nous en parler aussi
23:39Vous avez parlé des hormones tout à l'heure mais il n'y a pas que ça
23:41En fait il y a toute une chirurgie
23:43Pour faire croire à son propre corps
23:45Et aux autres qui nous regardent
23:47Que nous sommes de l'autre sexe
23:49Et c'est aussi ça qui est intéressant
23:51C'est qu'en fait le sexe n'est jamais changé
23:53Vous n'allez pas pouvoir enlever votre utérus
23:55Non
23:57On va éventuellement pouvoir créer des cavités
23:59Qui seront des plaies
24:01Ou vertes régulièrement
24:03Ou dans l'autre sens
24:05Faire des chirurgies qui vont vous ajouter quelque chose
24:07Qui ressemblera à un bout de peau ajouté
24:09Qui est censé être un sexe masculin
24:11Et voilà
24:13Donc en fait on ne fera que se mentir à soi-même et aux autres
24:15Mais ça ne va de toute façon
24:17Pas changer
24:19Votre corps et votre biologie
24:21Oui effectivement
24:23C'est là où la notion
24:25De consentement éclairé
24:27Est un leurre
24:29On ne leur montre pas
24:31C'est une chirurgie
24:33Je ne sais pas parler d'esthétique
24:35C'est une chirurgie d'esthétique
24:37On peut vous envoyer quelques images à un maître
24:39Ah oui bien sûr
24:41On les incrustera
24:43Alors ce qu'il faut savoir c'est que
24:45Par exemple pour les femmes qui veulent
24:47Se transformer en homme
24:49On a deux possibilités
24:51Faire une phallocratie plastique complète
24:53Soin complète
24:55Le problème de complet
24:57Il faut prendre un lambeau de bras
24:59Ou un lambeau de cuisse
25:01On a plein de techniques
25:03Parce qu'aucune technique ne s'est imposée comme étant la bonne
25:05Le taux de complication de ces interventions
25:07Est de l'ordre de 50 à 70%
25:09Selon les techniques, ça dépend
25:11Et puis ces femmes
25:13Qui veulent se transformer en homme
25:15On leur laisse leur utérus et leurs ovaires
25:17Ce qui explique d'ailleurs
25:19Qu'un homme peut être enceint
25:21Un homme qui a gardé son utérus et ses ovaires
25:23Et quand même une pénétration possible
25:25Donc un petit vagin
25:27Peut être enceint
25:29Mais il y a tout d'une femme
25:31C'est une femme sur laquelle
25:33On a modifié l'extérieur
25:35On a rajouté un bout de peau
25:37Qui en plus précisons-le
25:39N'a pas la fonction
25:41Du sexe masculin
25:43Pour bander
25:45On est obligé de mettre des pompes
25:47Et les pompes ça marche
25:49Parfois ça tombe en panne
25:51Et puis de toute manière
25:53Ça n'a pas la rigidité
25:55Le pseudo pénis qui existe
25:57N'a pas la sensibilité
25:59Parce que la peau a été dégagée
26:01Des terminaisons nerveuses
26:03Pour la transformer
26:05Donc ça n'est pas fonctionnel
26:07Quant aux femmes trans
26:09C'est-à-dire ces hommes
26:11Qui ont voulu se faire transformer en femme
26:13On leur a gardé la prostate
26:15Parce que si on enlève la prostate
26:17On a des problèmes avec l'ureterre épouvantables
26:19Des fistules urétrales
26:21Qui sont très importantes
26:23Dans les pseudo-néovagins
26:25Et on obtient
26:27Un taux de complication tel
26:29Que la plupart du temps
26:31On fait des néovagins plus courts
26:33Il y a beaucoup moins de complications
26:35Sauf qu'effectivement
26:37La pénétration est un peu courte
26:39Et puis à nouveau
26:41On tombe sur le problème
26:43De l'absence de sensibilité normale
26:45Et l'absence de lubrification
26:47Et en plus
26:49Ces pseudo-vagins créés
26:51Avancent naturellement à se rétrécir
26:53À se refermer
26:55Comme une plaie qui se referme
26:57À vie
26:59C'est vraiment l'enfer
27:01Qu'on leur propose
27:03Et à un moment ils n'en peuvent plus
27:05Ils abandonnent
27:07Pour qu'on comprenne bien
27:09On est obligé de garder
27:11On creuse une cavité
27:13Qui est une forme de plaie intérieure
27:15Et qui normalement
27:17Souhaiterait refermer cette plaie
27:19Et là on l'entretient comme étant une plaie ouverte
27:21Voilà pourquoi vous dites
27:23C'est l'enfer, on va complètement
27:25Non seulement à contre-nature
27:27C'est l'enfer de leur quotidien
27:29Avec des infections
27:31Par exemple le prostate
27:33Vous avez vu l'histoire récente
27:35Qui est une véritable histoire
27:37Je ne sais pas si c'est drôle
27:39C'est tragique
27:41De cet homme devenu
27:43Femme trans mais qui a évidemment sa prostate
27:45Et qui va voir un gynécologue
27:47Et le gynécologue lui dit
27:49Ecoutez madame, je suis désolé
27:51Ce n'est pas mes compétences
27:53Ce n'est pas le mot qu'il a appris
27:55Ou alors
27:57Il se fait traiter de transphobe
27:59Il se fait poursuivre comme transphobe
28:01Ce n'est pas sa compétence
28:03On arrive à des hallucinations
28:05Et alors ils sont malheureux
28:07Le gynécologue en question est malheureux aussi
28:09Parce que c'est quand même très désagréable
28:11De soigner bien ses patients
28:13Et de se faire un jour insulter comme ça
28:15C'est une femme transgenre
28:17Qui est un homme
28:19Qui va voir sa prostate
28:21Qui va voir le médecin
28:23Parce qu'elle a des problèmes
28:25Et qui lui dit
28:27Madame vous avez un cancer de la prostate
28:29La haute autorité de santé
28:31A dit qu'il ne fallait pas oublier
28:33Le dépistage des cancers
28:35À la fin vous avez fait tout ce circuit
28:37Que vous avez subi
28:39Les médicaments, les consultations
28:41Pour équilibrer les médicaments
28:43Il y a eu toutes les complications des médicaments
28:45Vous avez envie d'y croire et que les autres y croient
28:47Oui et puis surtout
28:49Vous retrouvez au bout du compte
28:51Vous avez un cancer de la prostate
28:53Ça doit quand même être dur à avaler
28:55On est quand même dans la folie généralisée
28:57D'ailleurs il y a des psychiatres
28:59Qui ont dit clairement
29:01Qu'on était dans le domaine
29:03De la maladie mentale
29:05Là je ne peux pas le choisir parce que je vais me faire traiter de transphobe
29:07Mais malheureusement
29:09Ces pauvres gens on les transforme
29:11S'ils n'étaient pas en maladie mentale du tout au départ
29:15Eux ils sont utilisés par qui, par quoi ?
29:17C'est aussi ce que vous dites dans votre livre
29:19Ils sont utilisés absolument
29:21Moi je crois par trois choses
29:23Au moins par deux
29:25Par les politiques parce que c'est pratique
29:27D'avoir des petites minorités
29:29De minorités qui revendiquent etc
29:31Ça permet de parler d'autres choses
29:33Et quand on voit quand même
29:35Le nombre de postes
29:37Complacés de politiques
29:39Dans tous les pays, aux Etats-Unis en particulier
29:41Je crois
29:43Pour ces gens-là
29:45On verrait bien
29:47Qu'il y en a beaucoup
29:49Alors c'est vraiment une très très petite minorité
29:51Oui on se rappelle qu'à la société sociale
29:53On recense des gens qui sont
29:55Des trans qui sont allés jusqu'à la transformation en réel
29:57Au moins de 8000
29:59En France
30:01Mais attention ce qui ne veut pas dire
30:03Que par contre la propagande n'est pas énorme
30:05Tous les jours dans les classes
30:07A la permanence
30:09Comme vous dites de toute façon
30:11Il y a eu cette effraction psychique
30:13Le chiffre est minime des véritables
30:15Transitions de genre
30:17En revanche l'atteinte psychique
30:19De la théorie du genre enseignée aux enfants
30:21Est majeure parce qu'elle essaie
30:23Effectivement de casser
30:25La grande majorité des enfants
30:27Qui ont moins de 12-13 ans
30:29Bon après ils seront peut-être moins cassés quand même
30:31Encore qu'ils le sont
30:33Il ne nous reste pas beaucoup de temps
30:35Je voudrais comme insister sur une chose
30:37Qui sont les lois
30:39Qui sont soi-disant
30:41Destinées à protéger les trans
30:43Et qui ont été
30:45Désastreuses pour les femmes
30:47On a imposé sous prétexte
30:49Il fallait les inclure, il ne fallait pas les mettre de côté
30:51Les hommes
30:53Les femmes trans, les hommes
30:55On leur a dit qu'ils avaient le droit de participer
30:57Aux compétitions internationales de sport
30:59Féminines
31:01Et bien entendu ils ont trusté tous les records
31:03Puisque que ce soit un homme ou une femme
31:05On a un coeur plus gros
31:07Et les poumons plus larges
31:09Donc même si on prend des hormones
31:11Le coeur et les poumons ils restent là
31:13Donc ils ont trusté tout
31:15Et là on a quand même un numéro d'espoir
31:17C'est que cette année, à nouveau en 23
31:19La Fédération internationale de l'athlétisme
31:21A interdit aux femmes trans de participer avec les femmes
31:23Bref
31:25Et la natation pareil
31:27Dans les prisons
31:29On voulait inclure les femmes trans avec les femmes
31:31Puis après quelques histoires de viol
31:33Par ces femmes trans sur les vraies femmes
31:35On a compris
31:37Quand même dans la plupart des pays
31:39Qu'il fallait séparer les femmes trans des vraies femmes
31:41Dans les vestiaires aussi
31:43Il y a eu quelques scandales
31:45Absolues
31:47Puisqu'il suffit de se présenter
31:49Comme je suis une femme trans
31:51Et je peux me remener avec mon pénis dans les douches
31:53Des femmes vraies, de naissance
31:55Donc ça a quand même créé quelques réactions
31:57Alors je voudrais
31:59C'est absolument fondamental ce que vous venez de dire
32:01Mais il y a un autre point fondamental
32:03Et qui est aussi un lien entre votre travail du jour
32:05Sur la dysphorie de genre
32:07Et puis vos anciens travaux
32:09C'est finalement Big Pharma
32:11Qui est toujours derrière
32:13Pour la vaccination, vous en avez parlé
32:15Big Pharma, pour les médicaments sur le cancer
32:17Vous êtes des spécialistes, Big Pharma
32:19Et là encore, ça fait partie de ce que vous révélez
32:21Dans votre livre
32:23Il y a un business derrière cette dysphorie de genre
32:25Vous dites que c'est un marché de plusieurs milliards de dollars
32:27J'aimerais bien que vous nous disiez
32:29Quel est ce marché, comment il fonctionne
32:31Et finalement, y a-t-il un lien entre
32:33Toujours ces Big Pharma
32:35Qui sont derrière finalement
32:37Toutes ces choses
32:39Contre lesquelles vous luttez
32:41Donc vaccination, médicaments anti-cancer, etc.
32:43Il est très clair qu'actuellement
32:45Le gouvernement de la France
32:47Est un appendice de Big Pharma
32:49On ne prend des décisions qu'en fonction
32:51De leurs intérêts
32:53Les vaccinations
32:55Ils voudraient nous mettre
32:5712 ou 13 vaccinations obligatoires
32:59On a le record du monde
33:01Des vaccinations obligatoires
33:03Ce qui est intéressant, c'est de voir
33:05Ce qu'écrit
33:07Transparency International
33:09Qui est l'organisme international
33:11Qui essaie d'évaluer les corruptions
33:13Selon les pays
33:15Et il y a une très belle carte qu'on a mis
33:17Sur internet, qui est celle des pays
33:19Les plus corrompus d'Europe
33:21Et à côté, la carte des obligations vaccinales
33:23Et vous remarquez
33:25Que c'est quasiment la même
33:27Plus on est corrompu
33:29Et plus on a d'obligations vaccinales
33:31Ça c'est la démonstration internationale
33:33Du phénomène que nous
33:35On vit au jour le jour
33:37En disant, tiens, pourquoi va-t-on
33:39Essayer de pousser sur le garde-asile
33:41Alors que ça n'a aucun intérêt
33:43Il a un intérêt majeur, c'est que c'est le vaccin
33:45Le plus cher du monde
33:47Une dose de garde-asile coûte 0,5 euros à fabriquer
33:49Et vendue en France, 123 euros
33:51Le Covid-19, ce n'est pas le plus cher ?
33:53Non
33:55C'est le plus cher de l'histoire de la vaccination
33:57Absolument
33:59Donc pour les médicaments
34:01Que ceux qui veulent se transformer
34:03Doivent prendre
34:05On a une idée de l'ordre de 3 000 euros par mois
34:07Pendant
34:09Évidemment à vie, s'il continue
34:11Donc c'est énorme, plus évidemment
34:13Toutes les complications qu'ils vont avoir de ces médicaments
34:15Et qu'ils vont nécessiter d'autres médicaments
34:17Pour augmenter la calcification
34:19Parce que sinon ils vont déclassifier
34:21Donc effectivement c'est des sources
34:23C'est merveilleux
34:25Parce que qu'est-ce qui n'est pas bien
34:27Pour un Covid-19
34:29C'est une maladie qui guérit rapidement
34:31Tandis que là
34:33C'est une maladie définitive
34:35C'est une fausse maladie
34:37Pour que les gens comprennent
34:39Qu'ils vont devenir des malades à vie
34:41Ça va être embêtant pour eux
34:43Alors bon les 3 000 euros ils s'en fichent peut-être
34:45Encore qu'ils ne s'en fichent pas partout
34:47Ils vont essayer de le faire rembourser partout
34:49Les californiens vont essayer de le faire rembourser partout
34:51Et en France pour l'instant c'est remboursé
34:53Mais combien de temps
34:55Parce qu'il diminue quand même
34:57L'audition ou je ne sais plus quoi
34:59J'ai vu récemment
35:01Un jour ou l'autre ils vont quand même
35:03Bien essayer, bon ça sera en dernier sûrement
35:05Pour ne pas avoir d'histoire
35:07Avec les minorités de minorités
35:09Et puis alors les interventions
35:11C'est des sommes fabriquées
35:13Il faut savoir qu'une transformation complète
35:15Comme au Etats-Unis coûte
35:17Donc on parle de la chirurgie, l'opération chirurgicale
35:19La chirurgie, je parle de la chirurgie
35:21Business is business
35:23J'aurais dû être chirurgien transgenre
35:25Parce que finalement à 200 000 euros la personne
35:27Ça vaut la peine d'avoir quelques clients
35:29Mais bon quand on perd ses interventions
35:31C'est vraiment affreux
35:33C'est vraiment
35:35200 000 euros vous dites dollars
35:37200 000 dollars aux Etats-Unis
35:39En France on a beaucoup de mal à savoir
35:41Oui et ce que vous disiez
35:43De l'ordre de 3 000 à 4 000 euros par mois
35:45Ça c'est remboursé par la sécurité ?
35:47Non les médicaments
35:49Les emplois
35:51Les défilations
35:53Mais ça c'est en plus
35:55Je vous ai donné le chiffre avoué par les Américains
35:57D'accord
35:59En France le prix
36:01C'est un petit peu difficile d'avoir des vrais chiffres
36:03Ce qui est sûr c'est aussi que
36:05Ces femmes transgenres par exemple
36:07Nous expliquent que c'est des soins
36:09Permanents de beauté
36:11Il faut arriver à se faire épiler
36:13Enfin c'est en permanence
36:15En permanence plus que toutes les autres
36:17Et c'est vraiment
36:19C'est un marché de la beauté aussi
36:21Oui on peut appeler ça comme ça
36:23C'est un marché de Bipharma
36:25Et des
36:27Pouces de Bipharma
36:29Parce que Bipharma entre bien quand même dans ces médecines
36:31Alternatives
36:33Dites alternatives qui vont compenser
36:35Tous les effets secondaires de ces médicaments
36:37Donc c'est une source infinie
36:39D'argent bien sûr
36:41Alors moi j'aimerais qu'on prenne un tout petit peu de recul
36:43On arrive à la fin de cette émission
36:45Et vous avez suffisamment d'expérience
36:47Travailler sur suffisamment de dossiers je pense pour pouvoir me répondre
36:49On arrive finalement à ce Bipharma
36:51Qui est très heureux d'avoir des malades
36:53Là où il y avait des personnes saines puisque ça fait
36:55Vous l'avez dit un marché rentable
36:57Sur le long terme et c'est bien pratique
36:59Et si en plus
37:01On commence finalement la création de la maladie
37:03Par exemple l'alimentation
37:05Par l'eau
37:07Par exemple
37:09Si finalement
37:11Les organismes
37:13Qui s'occupent aujourd'hui
37:15De vendre les pesticides
37:17Les insecticides etc
37:19Elles sont les mêmes
37:21Ou ont des liens avec ceux qui vendent les médicaments
37:23Pour nous sauver
37:25De ces mêmes produits
37:27Qui nous ont rendus malades au départ
37:29Finalement c'est jackpot
37:31Au début et à la fin du circuit
37:33Peut-être quoi que maintenant
37:35En tout cas
37:37Je n'ai pas les compétences pour vous répondre
37:39Sur une volonté délibérée
37:41Là moi
37:43Je pense
37:45Qu'il y a une volonté des populations
37:47Ça je le dis par rapport
37:49Aux injections multiples et variées
37:53Est-ce qu'il y a un rapport
37:55Direct avec
37:57Les pesticides
37:59Le fait
38:01Par exemple qu'on n'enlève pas
38:03Les pilules
38:05Qu'on ne traite pas les eaux usées
38:07Ou dans laquelle il y a toutes les pilules féminines
38:09Qu'on pourrait très bien enlever
38:11Alors là
38:13Les gens qui ont eu des contacts
38:15Avec les lobbyistes
38:17Et avec les députés
38:19Disent qu'ils s'en fichent complètement
38:21C'est le moins cher qui est le mieux
38:23Donc je ne sais pas
38:25Moi je n'oserais pas dire
38:27Que partout il y a
38:29Cette visibilité
38:31De détraquer les gens
38:33Mais par contre de ne pas les soigner
38:35Et de les rendre malades
38:37C'est certain que tout le monde s'en fiche
38:39C'est vraiment pas le problème de l'heure
38:41C'est sûr que l'état de la population
38:43N'est pas du tout
38:45On voit bien le problème avec le glyphosate
38:47Qui est reparti pour un cours
38:49C'est quand même irrissant
38:51Merci beaucoup
38:53Dr Gérard Delépine
38:55Le titre de votre livre
38:57Dysphorie de genre aux éditions fauves
38:59C'est un business à plusieurs milliards de dollars
39:01Mais également et surtout
39:03Et c'est pour ça que vous sonnez le tocsin
39:05C'est évidemment des victimes
39:07Des victimes de ce marché
39:09De cette propagande
39:11Qui est de plus en plus importante
39:13Et c'est pour ça qu'il faut être vigilant
39:15Parents, famille, etc
39:17À ce qu'il se passe aujourd'hui
39:19Surtout auprès des plus jeunes
39:21Merci beaucoup pour votre livre
39:23Et merci pour votre travail quotidien
39:25On continuera et on vous recevra une prochaine fois
39:27Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org