• il y a 5 mois
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00:00:00Vous êtes bien sur France 3 Nouvelle-Aquitaine.
00:00:08Ici, c'est France Bleu Berne Bigore.
00:00:10A la radio, sur l'appli Ici, tous les réseaux et sur France 3.
00:00:15Sur France Bleu Berne Bigore, on fait de la radio, on fait également de la télé.
00:00:21On est ravis, vous qui venez de nous rejoindre sur le canal 33 de France 3 Pau Sud Aquitaine.
00:00:27On salue une petite main pour vous dire bonjour.
00:00:30Je ne suis pas toute seule évidemment, il y a vous de l'autre côté.
00:00:32Et puis il y a Sophie Péridieu avec nous. Bonjour Sophie.
00:00:34Bonjour Émilie, bonjour à tous.
00:00:36Bonjour Mathias.
00:00:37Bonjour, bonjour tout le monde.
00:00:38Nous sommes ensemble pour la dernière de cette matinale version classique
00:00:44puisqu'à partir de lundi ce sera la version estivale.
00:00:47Et puis c'est la dernière fois également que vous allez pouvoir admirer nos petits minois
00:00:51puisque après ce sera la pause pour la télévision.
00:00:54Mais qu'à cela ne tienne, on vous accompagne quand même comme il se doit jusqu'à 9h.
00:00:58Mais pour leur synchronisation démontre tout le monde.
00:01:00Nous sommes vendredi le 28 juin.
00:01:02Et 28 juin, il est 7.
00:01:07Il faut tout mettre dans l'ordre.
00:01:08Dans l'ordre dans le ciel, du gris, de la bruine mais des températures, oui on peut le dire, estivales.
00:01:15On fait un point complet juste après votre journal Sophie Péridieu.
00:01:18Et à trois jours du scrutin et alors que la campagne officielle se termine ce soir,
00:01:23les échanges ont été plutôt vifs lors du dernier débat télévisé hier soir.
00:01:27Plus de deux heures d'échange sur France 2 et France Info entre Jordan Bardella,
00:01:32le président du Rassemblement National, Olivier Faure, le premier secrétaire du Parti Socialiste
00:01:36qui représentait le Nouveau Front Populaire et Gabriel Attal, le toujours Premier ministre
00:01:41donc pour la majorité présidentielle.
00:01:43Un débat électrique voire carrément tendu.
00:01:47Ce sont les deux aspirants premiers ministres revendiqués sur le plateau.
00:01:50Moi si demain je suis un premier ministre de cohabitation, je n'envisage pas d'être le collaborateur du président.
00:01:56Gabriel Attal, Jordan Bardella surjouent le duel.
00:01:59On ne peut pas se présenter ici comme l'homme du rassemblement, l'homme de l'apaisement
00:02:03quand on propose dans son programme de stigmatiser 3,5 millions de Français binationaux comme vous le faites.
00:02:08Polémiques sur les binationaux, rôle du président en période de cohabitation et même le droit des femmes.
00:02:13Tous vos alliés, ceux dont vous vous revendiquez, vos amis au niveau européen, organisent la régression des droits des femmes.
00:02:19On l'a promis tout à l'heure, un mot sur le handicap.
00:02:21Le mouvement politique qui ambitionne de faire élire une femme à la présidence de la République française, c'est le mien et ce n'est pas le vôtre.
00:02:25Olivier Faure, cravate rose fuchée à sa gasse.
00:02:28C'est un duo qui fonctionne depuis des années.
00:02:30Vous avez un gouvernement qui a choisi un adversaire facile, commode.
00:02:34Comme il y a 48 heures, même stratégie à gauche l'esquive avant la contre-attaque pour cibler le Rassemblement National.
00:02:40Je voyais ces petits Français et je me disais qu'avec vous, Premier ministre, une partie d'entre eux ne seront jamais Français.
00:02:46Ils ne connaissent que la France et vous allez rentrer à des étrangers.
00:02:49En fin de débat, des points communs apparaissent même entre Gabriel Attal et Olivier Faure.
00:02:52Jordan Bardella s'en amuse, je le cite, vous étiez ensemble au Parti Socialiste il y a quelques années.
00:02:58Et la campagne officielle se termine ce soir.
00:03:01Emmanuel Macron, lui qui avait pourtant promis de se mettre en retrait de cette campagne, a dénoncé cette nuit l'arrogance du Rassemblement National
00:03:08qui, selon lui, se partage déjà les postes du gouvernement.
00:03:11Il a dénoncé également la parole désinhibée de ces derniers jours avec le racisme et l'antisémitisme.
00:03:16En effet, les élections législatives, c'est aussi ces nouvelles manifestations contre justement l'extrême droite.
00:03:22A Paris, plusieurs milliers de personnes hier.
00:03:25Des rassemblements aussi dans d'autres villes dont Tarbes et Pau.
00:03:28Une centaine de personnes à chaque fois.
00:03:31Nous les entendrons tout à l'heure dans le journal de 7h30.
00:03:34Et puis nous débattrons dans un petit quart d'heure de cette campagne chez nous.
00:03:38Et des attentes des uns et des autres avec trois invités.
00:03:42Oui, nous serons avec Lionel Imiri-Saldou, restaurateur et président de l'Union des métiers et des industries de l'hôtellerie dans les Pyrénées-Atlantiques.
00:03:49Marc Dupouille, agriculteur, secrétaire général de l'AFDSEA, le syndicat agricole.
00:03:54Et Vony Corveste, médecin et porte-parole du collectif Médecins pour Demain dans le 64.
00:03:59Et puis juste un petit mot pour vous dire qu'aux Etats-Unis, c'était le premier débat entre Joe Biden et Donald Trump.
00:04:04Tous deux candidats à la présidentielle et c'était cette nuit.
00:04:08Vous écoutez France Bleu, Bernd Bigor, il est 7h04.
00:04:10On parle à Président Saufi d'une affaire de trafic de chatons qui était examinée hier par le tribunal d'Opo.
00:04:15Pendant un an et neuf mois, entre 2019 et 2021, dans le département des Pyrénées-Atlantiques,
00:04:20trois hommes et deux femmes ont arnaqué des dizaines de personnes à qui ils ont vendu très cher des petits chats
00:04:26qui n'étaient pas de race mais vendus comme tel.
00:04:28Et pour vendre ces chats, ils ont usurpé des numéros sirette d'animalerie et d'élevage.
00:04:33Les chats étaient croisés, certains pas vaccinés.
00:04:36C'est la SPA qui avait signalé ce trafic aux gendarmes.
00:04:39Chantal est éleveuse en région parisienne.
00:04:41Elle a été victime et elle a tenu un témoignage hier devant la justice à Pau pour faire passer un message.
00:04:45Comme je l'ai dit au tribunal, j'ai été très en colère parce que moi je suis responsable d'une association qui est reconnue de race.
00:04:55De plus, à cette époque-là, j'avais moi-même des orientaux et des siamois à vendre.
00:05:00Et eux faisaient passer une annonce avec un birman et ils marquaient que le birman était croisé avec un siamois.
00:05:09Ça ne veut rien dire du tout.
00:05:11Donc la morale à tirer de tout ça, je crois, c'est de voir un éleveur, de s'arranger avec lui pour payer en plusieurs fois.
00:05:18Moi, c'est ce que je fais, le chat.
00:05:20Plutôt que d'acheter, comme ça a été dit, sur un coin de parking, un chat qu'on ne sait pas d'où il sort, s'il est malade.
00:05:27Et ça évitera des problèmes.
00:05:30Les acheteurs ont payé entre 200 et 500 euros ces chatons, alors que des chats de race, ça peut valoir jusqu'à 1500 euros.
00:05:35La décision du tribunal a été mise en délibérée et sera rendue en septembre prochain.
00:05:40Des peines allant d'un an de prison ferme à 105 heures de travail d'intérêt général ont été requises hier.
00:05:48Et puis, il y a eu une manifestation à Oloron.
00:05:52Hier, une trentaine de personnes rassemblées pour protester contre la fermeture de l'abattoir.
00:05:56La manifestation s'est déroulée dans le calme, indiquent les gendarmes.
00:06:00À Oloron, un préavis de grève a été déposé, mais cette fois pour la rentrée de septembre, par les enseignants du collège Tristan de Rheim.
00:06:06Ils réclament l'ouverture d'une quatrième classe supplémentaire.
00:06:09Sinon, les classes vont être surchargées, y l'ont écrit l'inspecteur d'académie cette semaine.
00:06:14Le corps d'un randonneur anglais de 71 ans, porté disparu depuis lundi en Valais d'Aspe, a été retrouvé.
00:06:19Ce sont les secours espagnols de la guardia civile qui l'ont localisé jeudi après-midi côté Navaret.
00:06:24Le peloton de gendarmerie de Haute-Montagne de Oloron avait lancé un appel à témoins jeudi
00:06:28et des recherches avaient été lancées sur le secteur d'Urdos.
00:06:31Et puis, la gendarmerie a lancé un nouvel appel à témoins pour disparition, cette fois à Hortès.
00:06:35Un homme de 78 ans qui n'a plus donné signe de vie depuis mardi soir.
00:06:39Il a des problèmes cardiaques, des recherches en cours notamment avec des chiens.
00:06:43Vous pouvez retrouver toutes les infos sur francebleu.fr
00:06:46Et on en vient justement à cette association d'aide dans la recherche de personnes disparues, ARPD,
00:06:52qui vient d'installer une antenne dans les Pyrénées-Atlantiques.
00:06:55C'est une association qui existe depuis 2003 au niveau national
00:06:58et qui aide les familles dont un proche est porté disparu.
00:07:01Elle apporte du soutien psychologique et accompagne aussi les proches dans les démarches, les recherches,
00:07:06en lien parfois avec les services de police et de gendarmerie.
00:07:08Et le coordinateur de l'antenne qui se met en place petit à petit depuis février, c'est Lionel Lemaire.
00:07:13Il est retraité de la police.
00:07:14C'est un soutien à la famille, mais également on procède à des recherches pour retrouver la personne disparue.
00:07:21Une personne qui a un souci dans sa famille, on prend contact avec cette personne,
00:07:26on se rend chez elle et la personne nous fournit des éléments.
00:07:29C'est une petite enquête, mais disons, c'est du terre-à-terre.
00:07:32C'est-à-dire qu'on facilite les relations des familles avec les différents intervenants.
00:07:37C'est quelque chose de précieux parce que ce problème de disparition d'un membre dans une famille,
00:07:42ça peut arriver à tout le monde.
00:07:44Donc c'est un petit peu la raison pour laquelle, déjà et d'une, je me suis impliqué dans cette association.
00:07:49Dans le passé, j'étais en activité au sein de la police nationale.
00:07:53Donc ça aussi, ça m'a entraîné dans le circuit de la RPD.
00:07:56Et pour contacter l'association dans les Pyrénées-Atlantiques,
00:07:59il y a un numéro de permanence tous les premiers vendredis du mois,
00:08:02de 14h à 16h, 06 47 18 10 15.
00:08:06L'antenne de cette association est d'être dans la recherche de personnes disparues.
00:08:12Le rugby, et c'est une première.
00:08:14Le stade Vélodrome de Marseille accueille ce soir la finale du top 14.
00:08:17Le tenant du titre, le stade Toulousain, affronte l'Union Bordeaux-Bègle,
00:08:21qui dispute sa première finale.
00:08:23C'est à 21h05.
00:08:25Et puis en athlétisme, Christophe Lemaitre, médaille olympique 2016 sur 200 mètres,
00:08:29met un terme à sa carrière.
00:08:31Il ne participera pas au prochain JO.
00:08:33Le corps n'arrivait pas à suivre.
00:08:35A-t-il expliqué ?
00:08:37La météo 100% locale, avec Libertium l'Escar.
00:08:40Concessionnaire de camping-cars, fourgons, vannes aménagées.
00:08:43Neuf et d'occasion à l'Escar.
00:08:46Et à 7h08, sur France Bouleverde, Bigorre.
00:08:49Un peu de bruine, Émilie de Kegel, ou pas, comme cette nuit ?
00:08:52Si, ça continue.
00:08:54Nous fûmes surpris.
00:08:55Oui, nous fûmes très surprites, ce matin.
00:08:58Alors, mise à jour du bulletin de Météo France fait il y a quelques instants,
00:09:02pendant votre journal, avec cette phrase.
00:09:04Le temps est généralement très nuageux, à couvert.
00:09:08Bon.
00:09:09Soyons tous à couvert.
00:09:11L'après-midi, jusqu'en début de soirée, établissement d'un vent de secteur nord-ouest.
00:09:16Oui, peut-être.
00:09:17Il se pourrait quand même que le soleil fasse quelques petites apparitions,
00:09:20cet après-midi, ça et là.
00:09:22Mais ce ne sera pas très franc, malheureusement.
00:09:26Par contre, de l'humidité, ça c'est une certitude.
00:09:29Des nuages, oui, et des températures élevées.
00:09:32Météo France nous annonce à Pau, 27 degrés cet après-midi.
00:09:35À Tarbes, 28 degrés.
00:09:36Lourdes, 24.
00:09:37Nailles, 26.
00:09:38Et ce matin, à Saint-Pé de Bigorre, il y a chez Laurent, 19 degrés.
00:09:42Trois.
00:09:43À Pau, chez Raphaël, 19 degrés.
00:09:45À Burnos, chez JP, 14 degrés.
00:09:47Et chez vous, quelles sont les températures, l'ambiance matinale ?
00:09:50N'hésitez pas à venir nous rejoindre sur la page Facebook de France Bleu Berne Bigorre.
00:09:55Il est quasiment 7h10.
00:09:58Le 6-9, France Bleu Berne Bigorre.
00:10:01Émilie de Kegel.
00:10:04En quelques secondes, il sera précisément 7h10.
00:10:07L'heure pour vous de nous rejoindre, pour tenter de gagner des cadeaux.
00:10:12Nous vous offrons deux places pour le concert de Big Flow et Oli.
00:10:15Ce sera au Transmusical de Las.
00:10:17Ce sera le vendredi 2 août à 19h30.
00:10:21Vous avez envie de gagner ces deux places, soyez attentifs.
00:10:24Petit plaisir coupable.
00:10:28Ce matin, dans le jeu de la douche, une chanson que j'aime beaucoup,
00:10:33qui ne date pas d'hier, mais qui sent bon l'été,
00:10:37qui sent bon également la bonne nourriture italienne à cette heure-ci.
00:10:42Ça fait très plaisir.
00:10:440559 98 0909.
00:10:46Vous nous appelez si vous avez le nom du groupe, de l'artiste et ou de la chanson.
00:10:52Alors je me lance, je vais chanter en polenta.
00:10:56Un calzone, avec du parmigiano, 4 formaggi, avec du parmigiano.
00:11:04Il ha ragazzo, avec du parmigiano, 4 straggioni, avec du parmigiano.
00:11:11Et nanan ni nanana, avec du parmigiano.
00:11:15Et nanan ni nanana, avec du parmigiano.
00:11:18Vous me donnez presque faim.
00:11:20Ah mais moi j'ai la balle à sortir.
00:11:22Je prendrais bien une pizza 4 formaggi, avec du parmigiano.
00:11:27Quel est le nom de ce groupe italien ?
00:11:31Ils sont deux.
00:11:33Tout à l'heure on a eu David et Jonathan, mais on ne fait pas ça.
00:11:37Et le titre vous l'avez aussi, vous pouvez le dire dans la langue que vous voulez.
00:11:42Par contre, là où il ne faut pas se tromper, c'est dans le numéro pour venir nous rejoindre.
00:11:460559 98 0909.
00:11:51Deux places pour le concert de Big Flow et Oli au Transmusical de là sur vendredi 2 août prochain à 19h30.
00:11:57Venez nous rejoindre.
00:11:58Appelez maintenant au 0559 98 0909.
00:12:03Et peut-être que peut-être c'est vous que nous allons accueillir dans quelques instants, juste après Patrick Fiori.
00:12:08J'ai changé de ville, mille fois changé de nom.
00:12:13Cent fois j'ai failli finir dans les plumes et le goudron.
00:12:19Je guette les signes, à mon transit plus que baron.
00:12:24Ma vie c'est le jeu, les vis, les cartes et les faux jetons.
00:12:29Si je croise un prêtre, je m'y mets à fond sur les rouges.
00:12:34Une mouche à la fenêtre et c'est pas mon jour.
00:12:42Et peut-être que peut-être, peut-être pas,
00:12:47Madame Fortune enfin me prendra dans ses bras.
00:12:53Et peut-être, oui peut-être que cette fois,
00:12:58Je ferai la une en tirant au sort où les rois.
00:13:03Et qui verra vivra dix fois.
00:13:09Ma vie c'est la chance, mes châteaux, des casinos.
00:13:15C'est le diable que je tente au poker, un peu les chevaux.
00:13:21Chaque jour est neuf, je ne vis que des débuts.
00:13:26Des martingales en coup de bluff, un peu d'embrouille au menu.
00:13:31Si cette vie avance, je mise tout chiffre impair.
00:13:37Si sa chaise se balance, j'attends la rivière.
00:13:45Et peut-être que peut-être, peut-être pas,
00:13:49Madame Fortune enfin me prendra dans ses bras.
00:13:55Et peut-être, oui peut-être que cette fois,
00:14:00Je ferai la une en tirant au sort où les rois.
00:14:05Et qui verra vivra, alléluia, oh.
00:14:11Et peut-être que peut-être au matin là-bas,
00:14:16Cette fille brune ira semblant de me croire.
00:14:22Et peut-être, oui peut-être qu'elle me suivra,
00:14:27Au clair de la lune, ami Pierrot, j'en ai pas.
00:14:32Paris perdu, t'es qu'un barrière.
00:14:43Madame Fortune, oh prends-moi dans tes bras.
00:14:49Et peut-être que peut-être c'était Patrick Fiori sur France Bleu Berne Bigorre.
00:14:56Bonjour Nathalie.
00:14:57Et bonjour.
00:14:59Bonjour, comment ça va Nathalie ce matin ?
00:15:02Et bien ça va très bien.
00:15:04Nous aussi on est ravis, merci pour votre fidélité, merci pour votre perspicacité également.
00:15:10Vous avez retrouvé le nom du groupe de la chanson qu'on a tenté de vous faire découvrir il y a quelques instants.
00:15:16C'était qui alors ?
00:15:17Alors Rikki et Poveri, c'est les riches et les pauvres.
00:15:21Et la canzone, ça rappelle qu'elle vit à Montréal.
00:15:25Voilà bref, on ne va pas la refaire.
00:15:27Merci beaucoup Nathalie pour votre fidélité.
00:15:30Vous irez donc avec la personne de votre choix applaudir Big Flo et Oli le vendredi 2 août prochain dans le cadre des Transmusicales de Last.
00:15:37On vous souhaite une bonne journée.
00:15:39Merci également.
00:15:40A très vite.
00:15:41Bonne journée à vous.
00:15:42Le temps avance vite évidemment, déjà 7h15 dans quelques instants.
00:15:46Les invités du 6-9 de France Bleu, Berne Bigor, représentants de la société civile à l'occasion de ces élections législatives anticipées avec Sophie Paris-Dunas.
00:16:01Samedi, c'est l'événement basket en direct à 17h20.
00:16:05Les finales 3 contre 3 du Poitiers Challenger 2024 sont sur Noa.
00:16:10Ces équipes du circuit mondial masculin vont se livrer une bataille acharnée pour décrocher la victoire.
00:16:18En direct de la place du maréchal Leclerc à Poitiers, les séries finales 3 contre 3 du Poitiers Challenger 2024 sont à vivre samedi à 17h20 sur Noa.
00:16:32Votre chaîne 100% Nouvelle Aquitaine disponible sur tous vos écrans.
00:16:40Le 6-9, ici, c'est France Bleu, Berne Bigor.
00:17:03Spéciale élections législatives sur France Bleu, Berne Bigor.
00:17:08Et pour cette dernière journée de campagne, nous recevons trois représentants de la société civile.
00:17:14Ils répondent à vos questions, Sophie Paris-Dunas.
00:17:16France Bleu, Berne Bigor, numéro 1 sur l'info locale.
00:17:22Et avec nous en studio Lionel Myri Saldou, restaurateur à Rontinion, président de l'UMI64, c'est l'union des métiers et des industries hôtelières.
00:17:30Marc Dupouille, éleveur à Arzac et secrétaire général de la FDSEA64, le syndicat agricole.
00:17:35Et par téléphone, Vonik Corveste, médecin à Bizanos et porte-parole du collectif Médecins pour Demain, qui devrait nous rejoindre dans quelques instants.
00:17:44Bonjour messieurs.
00:17:45Bonjour.
00:17:46Merci d'être venu ce matin sur France Bleu, Berne Bigor, pour nous dire un petit peu, tout d'abord, quel est votre ressenti sur cette campagne très courte, inattendue, surprise, on l'a dit, on l'a dit, mais là, ça va vite ?
00:18:00Oui, effectivement, rapide, oui, 15 jours pour prendre des décisions concernant un vote, et regarder les programmes, c'est un peu notre difficulté actuellement, oui.
00:18:12Vous-même, vous vous êtes mis tout de suite à regarder les programmes, à écouter un peu ce qui se disait, d'un côté comme de l'autre ?
00:18:20Écouter, regarder, mais pas approfondir, parce qu'on a aussi notre travail, mais quand même, on va être vigilants à certaines prises de position des futurs candidats.
00:18:34On va en parler.
00:18:35Marc Dupouille, vous aussi, vous avez été un peu surpris par cette campagne claire, et pas évident de s'y retrouver peut-être ?
00:18:40Alors, bien sûr, surpris, on a été surpris, on voit des changements qui ont l'air de vouloir, des changements, oui, des changements qui s'est impulsés par ces élections européennes,
00:18:57mais bon, on est tous dans l'expectative. Après, notre syndicat, l'FDS1, et son partenaire national, étaient déjà fortement mobilisés depuis cet hiver, avec les actions qu'il y a eu cet hiver.
00:19:08On est en plein chantier pour faire des évolutions de l'agriculture, et le... Donc, on était prêts à ça, on était prêts, on avait des travaux engagés, et on continue de se lancer.
00:19:25Prêts à continuer à vous faire entendre, à vous mobiliser, c'est ce que je veux dire.
00:19:29Et quoi qu'il se passe.
00:19:30Après, la loi d'orientation agricole, du coup, n'a pas été votée. On est d'accord.
00:19:34Elle est votée, mais tout est suspendu, et les travaux sont stoppés.
00:19:39Les travaux de l'Assemblée nationale ont été suspendus.
00:19:41Oui, complètement, les travaux sont stoppés, oui.
00:19:43Est-ce que vous l'avez trouvée à la hauteur des enjeux sur le fond ? Est-ce qu'on a parlé pas mal d'une fracture ?
00:19:51On entend ces derniers jours, quand même, que c'est vraiment un camp contre un autre, il y a un peu des invectives, etc.
00:19:57Ça, comment vous le vivez ? Vous trouvez que c'est le jeu, finalement, ou quand même ça vous inquiète ?
00:20:01Oui, enfin, ça nous inquiète un peu quand même, mais c'est le jeu démocratique.
00:20:05Nous sommes dans un pays républicain, donc il faut en prendre compte de ce bouleversement et de ce changement de mentalité des personnes.
00:20:15C'est vrai que les élections européennes ont mis un coup de pied dans la fourmilière.
00:20:21Évidemment, maintenant, on est soumis à une dissolution et à un vote, ce qui est un peu pénible.
00:20:27C'est le travail qu'on a fait depuis deux ans avec un gouvernement en place, et on est obligés, nous par contre, de recommencer le travail avec le futur gouvernement qui sera mis en place.
00:20:38Mais je disais aussi au niveau de l'ambiance de cette campagne. Est-ce que vous avez l'impression que les gens que vous rencontrez, ça s'exacerbe un peu, ça se tend ?
00:20:50Effectivement, on nous rabâche que depuis 15 jours, on est soumis à deux blocs.
00:20:57C'est vrai que ça met un peu des tensions. On n'a pas de choix. Il y a deux blocs et un bloc sortant.
00:21:05Il y en a trois ?
00:21:06Oui, deux blocs extrêmes et un bloc sortant, donc c'est un peu la difficulté.
00:21:11Et c'est vrai que ça met un peu de tension chez les gens, même si beaucoup ont déjà leur avis sur le vote.
00:21:16Vous le sentez aussi parmi les gens que vous côtoyez, qu'il y a une petite tension ?
00:21:23Oui, la tension est liée. Un ras-le-bol latin est très profond depuis des années, qui ne date pas des derniers mois ou des dernières années,
00:21:39qui fait qu'il y a quelque chose qui se passe dans la tête des gens et qui s'exprime aujourd'hui.
00:21:44Après, nous, on constate ça localement, on voit nationalement des comportements qui sont bizarres dans la forme.
00:21:57Une forme de trivialité, quoi.
00:21:59C'est ainsi qu'on a vu dans les débats nationals, dans les prises de parole, qui peut-être est une forme de jeunisme,
00:22:06mais qui enlève peut-être un peu de valeur à la fonction politique.
00:22:10Les débats ne sont pas d'une très haute tenue, selon vous ?
00:22:13Sur le point, je ne vais pas juger sur la forme, je trouve que oui.
00:22:18Après, je reviens à notre fonction de représentation.
00:22:23De toute façon, quoi qu'il se passe, on travaillera avec les gens qui seront là.
00:22:30C'est notre fonction.
00:22:32Et au moins pour notre syndicat, on sait que tous les candidats auront des votes des agriculteurs.
00:22:39D'accord ? Tous les candidats.
00:22:41On représente un métier, pas une idée politique, on ne fait que de la politique agricole.
00:22:47Oui, comme dans la société française.
00:22:49Toutes les opinions vont se retrouver.
00:22:51C'est ça.
00:22:52Et quoi qu'il se passe, c'est vrai qu'on a engagé un travail profond là,
00:22:56et qu'on regrette de devoir redémarrer peut-être à zéro, peut-être pas du tout, ça on ne sait pas.
00:23:02Mais on travaillera avec tous ceux qui seront là.
00:23:09Spéciale élection législative sur France Bleu, Béarnes-Bigorre.
00:23:14Il est 7h23 pour cette dernière journée de campagne.
00:23:17Ce sont des représentants de la société civile que nous recevons sur France Bleu, Béarnes-Bigorre.
00:23:21Lionel Ymirissaldou, restaurateur à Rontinon, président de l'Union des métiers et des industries de l'hôtellerie.
00:23:26Marc Dupouille, éleveur à Arzac, secrétaire général de la FDSEA, 64, donc agriculteur.
00:23:32Quels sont vos espoirs, vos attentes, Lionel Ymirissaldou ?
00:23:37Et peut-être, quelles sont les propositions qui vous ont intéressé, ou au contraire que vous rejetez absolument ?
00:23:44Nos attentes, pour tout vous dire, elles sont très nombreuses.
00:23:48Il y a d'abord la problématique de la ruralité.
00:23:51Alors là, vous allez le partager certainement avec Marc Dupouille.
00:23:55Effectivement, avec Marc, on partage beaucoup de choses.
00:23:59Nous avons un souci actuellement sur le territoire, c'est la transmission et la reprise d'établissements.
00:24:05Que ce soit des restaurants, des cafés, des hôtels ?
00:24:08Oui, tout à fait, toutes sortes de commerces concernant la ruralité.
00:24:12Il faut quand même qu'il sache que les candidats représentent pour le département presque 10% du PIB et 17 000 emplois.
00:24:21Donc vous n'êtes pas à négliger ?
00:24:23On n'est pas à négliger, voilà, c'est une chose importante.
00:24:26Il y a aussi la problématique, on a un territoire très riche.
00:24:29Nous avons la montagne, nous avons le littoral, nous avons donc, comme j'ai dit, la ruralité.
00:24:34Il y a aussi l'encadrement de l'allocation des meublés de tourisme, qui est très important.
00:24:38C'est vrai qu'il y a eu un travail de fait.
00:24:40Ce qui est intéressant et ce que nous on souhaite, c'est qu'il y ait eu un travail de fait au niveau d'un député.
00:24:44Donc ça, vous aimeriez que ça aboutisse ?
00:24:46Que ça aboutisse, mais il y a eu un travail déjà de fait pour un député de la circonscription, du département de la 4ème,
00:24:53qui a bien travaillé, qui est en quartier PS et qui a très bien travaillé avec un député.
00:24:57De l'opposition ?
00:24:58De l'opposition, oui, de Madame Le Meur au Finistère.
00:25:02Donc voilà, c'est des idées qui se rassemblent et qui vont dans le bon sens pour nous.
00:25:08Et ça, vous aimeriez que ça puisse aboutir ?
00:25:10Voilà, qu'il y ait une continuité.
00:25:12Mais j'ai bien peur qu'avec, comme a dit Marc, avec ces soucis de ce qu'on voit actuellement à l'Assemblée
00:25:18et ce qui risque de se passer au 7, au 8 juillet...
00:25:24Qu'est-ce qui risque de se passer selon vous ?
00:25:27Est-ce que ça va être gouvernable ?
00:25:29Voilà, c'est l'interrogation majeure. Est-ce que ça va être gouvernable ? Voilà.
00:25:34S'il n'y a pas de majorité absolue ou en tout cas même pas relative ?
00:25:37Exactement. Comment vont se passer ?
00:25:40Donc vous souhaitez qu'on n'oublie pas ces problématiques de transmission, de ruralité, de tourisme ?
00:25:47Oui, c'est un point essentiel. Dans n'importe quel village reculé, c'est un lien social.
00:25:54Nos établissements représentent...
00:25:56Et pour ça, il y a des programmes qui vous paraissent plus intéressants que d'autres ?
00:26:00Il y a des incitations qui doivent être faites ?
00:26:03Évidemment, beaucoup sont intéressés. Dès qu'on parle de ruralité, tout de suite, tous les candidats plongent dedans
00:26:08en disant oui, on est là pour aider la ruralité, mais il faut aller encore plus loin.
00:26:12C'est un long combat. Il y a les banques derrière, il y a un problème comme même à Gourette.
00:26:17Il y a quand même des établissements où les patrons, en 70 ans, ne peuvent pas vendre leur établissement.
00:26:21C'est quand même très important d'arriver à une perte d'établissements dans des lieux touristiques comme Gourette.
00:26:30Marc Dupuy, vous, quelles sont, même question, vos espoirs, vos attentes ?
00:26:34Et est-ce qu'il y a des choses qui ont particulièrement retenu votre attention dans ce qui est proposé ou pas ?
00:26:39Les espoirs et les attentes correspondent parfaitement à ce qu'on avait engagé là, maintenant, et qui était encore en travail.
00:26:48Donc, être entendu, être payé, votre juste rémunération ?
00:26:53Il y a un point central, c'est remettre à l'agriculture comme un enjeu majeur pour notre société.
00:27:01Nous, c'est notre métier, on sait, on sait, on tousse...
00:27:05Et ça vous donne l'impression qu'on en a parlé assez ?
00:27:07Alors, oui, on en a certainement beaucoup parlé, mais parler ne suffit pas.
00:27:11Parler ne suffit pas. Il faut des actes, et la loi a été votée, il y avait encore beaucoup de travail à faire dessus.
00:27:18Il faut que ce travail continue.
00:27:20Et ça englobe la rémunération des agriculteurs, la simplification de leur travail et leur dignité.
00:27:26Les respecter pour ce qui sont le revenu et en particulier la retraite.
00:27:35Du coup, dans les propositions que vous avez pu regarder, qui ont été faites,
00:27:38est-ce qu'il y a des choses qui vous inquiètent, justement, par rapport à ce que vous attendez ?
00:27:42Ou est-ce que finalement, tout le monde prend en compte ce problème agricole et a ses réponses ?
00:27:48Alors, ils sont pris, mais par différents angles.
00:27:51Tous prennent en compte l'agriculture, mais souvent sectoriellement.
00:27:59Et nous, ce qu'on veut arriver à faire, c'est qu'elle soit prise dans sa globalité,
00:28:04c'est-à-dire l'agriculture de tous les territoires, l'agriculture qui nourrit toutes les personnes,
00:28:09celles qui ont du pouvoir d'achat, celles qui sont très sensibles à l'environnement,
00:28:12celles qui sont très sensibles à leur porte-monnaie.
00:28:15Il y a tous ces gens-là dans la société et il faut qu'on puisse les nourrir tous
00:28:18en ayant, nous, un travail faisable, vivable et viable.
00:28:28Et souvent, dans ce que portent les politiques dans leur campagne, c'est un peu sectoriel.
00:28:39Et on a besoin d'une vision plus globale.
00:28:42Merci beaucoup messieurs, vous voyez, ce fut très rapide d'avoir été avec nous ce matin sur France Bleu,
00:28:47Béarnes, Bigorre. Merci Marc Dupouille, éleveur à Arzac, secrétaire général de la FDSEA64.
00:28:53Merci Lionel Myrissaldou, restaurateur, président de l'Union des métiers et des industries hôtelières.
00:28:58Merci à vous.
00:29:09Ici, dans quelques instants, le journal de 7h30, avec vous, Sophie Perré-Dieu.
00:29:12On va parler du journal des législatives.
00:29:14Oui, puisque comme tous les jours à 7h30, c'est le journal des législatives.
00:29:17On va revenir sur les manifestations qui ont eu lieu encore hier contre l'extrême droite,
00:29:22sur le débat entre les trois représentants des trois principaux blocs pour ce législatif,
00:29:28qui avait lieu hier à la télé.
00:29:30Et puis on parlera tout de même de ce béret, ce béret spécial équipe de France.
00:29:36Ici Matin, revient dans un instant.
00:29:42Ce soir sur France 3.
00:29:43Bon, alors il est où l'arbre du crime ?
00:29:45Un meurtre haut perché.
00:29:47Des cheveux bruns.
00:29:48Retrouvé sous le lit.
00:29:49Elle est vraiment morte.
00:29:50Visiblement.
00:29:51Et une alliance.
00:29:52Ramassée sur l'oreiller.
00:29:53Des suspects bien perchés.
00:29:56C'est comme ça la compagne.
00:29:57Tout le monde se connaît ici, vous savez.
00:29:59Mais des enquêteurs qui ont les pieds sur terre.
00:30:01Les viperents pour la dernière fois.
00:30:03On est pas dans les affaires des autres, moi.
00:30:05Nous, oui, c'est notre travail.
00:30:07Surtout quand il y a eu un crime.
00:30:08Il y a toujours un détail pour déjouer les crimes parfaits.
00:30:12Ce soir à 21h10 sur France 3.
00:30:14Et déjà sur la plateforme France.tv.
00:30:16Ce programme est disponible en audio description.
00:30:43France Bleu, Berne, Bigorre.
00:30:47Ici, on parle d'ici.
00:30:49Nous sommes vendredi le 28 juin.
00:30:51Il est 7h30.
00:30:52Une journée grise.
00:30:53Avec quelques brunes ce matin.
00:30:55Des éclaircies cet après-midi.
00:30:56Mais toujours des températures estivales.
00:30:57Point complet sur la météo du jour en Berne et en Bigorre.
00:31:00Juste après votre journal, Sophie Perricieux.
00:31:03Et comme tous les matins à 7h30.
00:31:05Le journal des législatives sur France Bleu, Berne, Bigorre.
00:31:08Et on revient tout d'abord sur ces rassemblements
00:31:10contre l'extrême droite.
00:31:11Hier, dans plusieurs villes de France.
00:31:13À Paris, bien sûr.
00:31:15Dans les principales villes du pays également.
00:31:18Et à Tarbes, à Pau.
00:31:19120 personnes à peu près en fin de journée.
00:31:21À Pau, moins que la dernière fois.
00:31:23Puisque samedi, ils étaient environ 650 manifestants.
00:31:25Hier soir, il y avait des militants de gauche.
00:31:27D'extrême gauche.
00:31:28D'autres qui se revendiquent antifascistes.
00:31:30Étaient présents aussi les candidats
00:31:32sur les circonscriptions de Pau.
00:31:34Les candidats du nouveau Front populaire.
00:31:36Des manifestants en tout cas inquiets
00:31:38de voir le Rassemblement national.
00:31:39Accéder au pouvoir à l'issue de ces élections.
00:31:41On a très peur de ce qui va se passer.
00:31:43Ils sont dangereux, mais ils cachent leur jeu.
00:31:45Là, on est vraiment déçus.
00:31:46Quand on voit qu'on a milité toute notre vie
00:31:48pour en arriver là.
00:31:49Franchement, on se demande
00:31:51si on a perdu notre temps.
00:31:53On le voit là encore, il y a eu un article
00:31:55sur une des candidates RN.
00:31:58La deuxième circonscription turboraciste
00:32:00qui prend les défenses de l'OAS.
00:32:02On marche sur la tête, quoi.
00:32:04On ne veut pas de ce régime-là.
00:32:05Si on se bouge, il n'y arrivera pas en tête.
00:32:07On ne peut pas ne pas être inquiets
00:32:09pour les minorités de race, de genre,
00:32:11de classe, d'orientation sexuelle.
00:32:12On ne laissera aucune place à l'extrême droite
00:32:14que ce soit dans la rue ou dans les urnes.
00:32:15Étant donné que je suis une femme trans,
00:32:17j'aimerais pouvoir continuer à protéger mes droits
00:32:19et le peu que j'ai les garder, surtout.
00:32:21Je me sens menacée.
00:32:22Je ne sais pas trop sur quel pied danser
00:32:24par rapport à mon avenir.
00:32:25C'est sûr que c'est un climat assez puant
00:32:27qui va arriver.
00:32:28C'est pour ça qu'il ne faut pas se cantonner
00:32:30à se rassembler là et voter pour les élections
00:32:32en se disant que ça va passer.
00:32:33Il faut continuer à s'organiser au quotidien
00:32:35pour repousser ça et faire partir
00:32:37ces idées un peu annoncées à la bande.
00:32:39C'est la bonne chose, quoi.
00:32:40Et on rappelle que, d'après les derniers sondages,
00:32:42le RN est en tête devant l'Union des Gauches
00:32:44et loin devant la majorité présidentielle
00:32:46à 36% des intentions de vote.
00:32:48Et puis hier soir, c'était le dernier débat
00:32:50télévisé avant la fin de la campagne
00:32:52officielle ce soir.
00:32:53Un débat pour peut-être aider les électeurs
00:32:55indécis à trancher, maintenant qu'on sait
00:32:57que les deux tiers devraient se rendre aux urnes.
00:32:59Gabriel Attal pour la majorité présidentielle,
00:33:01Jordan Bardella pour le RN
00:33:03et Olivier Faure pour le Nouveau Front Populaire
00:33:05ont abordé de nombreuses questions.
00:33:07Le SMIC, les impôts, l'environnement,
00:33:09la sécurité, l'éducation ou encore la bilationalité
00:33:11ou l'immigration.
00:33:12Écoutez cette passe d'armes entre
00:33:14Jordan Bardella et Olivier Faure.
00:33:16Qu'est-ce qu'on a ?
00:33:17Qu'est-ce qu'on a ?
00:33:18Qu'est-ce qu'on a ?
00:33:19Qu'est-ce qu'on a ?
00:33:20Qu'est-ce qu'on a ?
00:33:21Qu'est-ce qu'on a ?
00:33:22Qu'est-ce qu'on a ?
00:33:23Qu'est-ce qu'on a ?
00:33:24Qu'est-ce qu'on a ?
00:33:25Qu'est-ce qu'on a ?
00:33:26Qu'est-ce qu'on a ?
00:33:27Interdit aux chiens et aux Italiens.
00:33:29Vous devez vous en rappeler.
00:33:31Ça devrait vous dire quelque chose.
00:33:33Et vous aussi, vous devriez avoir
00:33:35la mémoire de ce pays
00:33:37qui vous a accueillis comme j'ai été moi-même.
00:33:39Ma mère a été accueillie dans ce pays
00:33:41parce qu'elle venait de quelques milliers de kilomètres
00:33:43au plus loin.
00:33:44Très bien, M. Faure.
00:33:45Non pas M. Très bien.
00:33:46Ce que je dis là, c'est ce que pensent
00:33:47des millions de Françaises et de Français
00:33:49qui sont écœurés par la façon
00:33:51dont vous considérez des êtres humains
00:33:53qui ont fait le choix de la France,
00:33:55qui sont ici sur notre sol.
00:33:57Pourquoi vous ne parlez pas de votre projet ?
00:33:59D'augmenter par exemple les aides sociales aux étrangers.
00:34:01En situation irrégulière.
00:34:02Il ne s'agit pas d'augmenter quoi que ce soit.
00:34:04Pourquoi vous ne dites pas
00:34:05que ce sont les Français qui nous regardent ?
00:34:07Toutes celles et ceux qui aujourd'hui travaillent en France
00:34:09doivent être régularisées.
00:34:10Parce qu'effectivement, il faut régulariser
00:34:12celles et ceux qui travaillent et qui fournissent
00:34:14une main d'œuvre qui est souvent
00:34:16exploitée éhontément.
00:34:18Olivier Faure et Jordan Bardella.
00:34:20Le Premier ministre Gabriel Attal,
00:34:22lui, a notamment reproché à son rival
00:34:24d'extrême droite de présenter une centaine
00:34:26de candidats ayant tenu des propos racistes
00:34:28ou homophobes et a promis de soumettre
00:34:30chaque année au référendum des questions
00:34:32importantes.
00:34:33Quant à Emmanuel Macron,
00:34:34qui avait pourtant promis de se mettre
00:34:36en retrait de la campagne,
00:34:37il a dénoncé, lui, dans la nuit,
00:34:38l'arrogance du Rassemblement national,
00:34:40qui, selon lui, se partage déjà
00:34:41les postes du gouvernement.
00:34:43Et puis, on vous parle également
00:34:44sur France Bleue, Béarne Bigor,
00:34:46de ceux qu'on appelle les petits candidats.
00:34:48Qui ont parfois du mal à trouver leur place
00:34:50et à se faire entendre dans cette campagne éclair.
00:34:52Par exemple, avec le parti nationaliste Basque
00:34:54qui a obtenu 1% des voix aux européennes
00:34:56et aimerait bien créer la surprise,
00:34:58notamment sur la quatrième circonscription
00:35:00du 64, la Basco-Béarnaise.
00:35:02Celle de Jean Lassalle, qui se retrouve face
00:35:04aux députés sortant Nouveau Front Populaire,
00:35:06Ignaki et Chanis.
00:35:07Gratian Mirenbeek est la représentante
00:35:09du PNBL, souligne ses origines à la fois
00:35:11basque et béarnaise et estime que,
00:35:12d'un côté comme de l'autre,
00:35:13les difficultés se ressemblent.
00:35:15On a beaucoup de problématiques.
00:35:16Cette circo, elle est quand même
00:35:18assez particulière.
00:35:19Il va falloir trouver un moyen
00:35:20de la désenclaver.
00:35:21La première solution, ça va être
00:35:23de redonner l'attractivité à ces vallées
00:35:25et notamment dans les économies.
00:35:27Une économie qui se diversifie.
00:35:29On ne peut pas dépendre d'une
00:35:31ou deux filières, comme on l'est avec l'aéronautique.
00:35:33On doit avoir vraiment toute
00:35:35une chaîne de production qui se développe
00:35:37pour avoir une économie pérenne,
00:35:39notamment en bas de vallée.
00:35:40En haute vallée, il va falloir travailler
00:35:42sur l'activité pastorale,
00:35:44la question du loup, mais aussi
00:35:46la question du service public.
00:35:47On a l'abattoir Doloron qui est fermé,
00:35:49la chaîne portine est bloquée.
00:35:51On a demandé aux gens, pendant des années,
00:35:53de faire du circuit court, de produire local.
00:35:55Les gens ont investi.
00:35:56Et aujourd'hui, l'État ne répond pas
00:35:58de cette responsabilité de faire fonctionner
00:36:00cet abattoir pour des questions
00:36:02financières ou des questions de contrôle vétérinaire.
00:36:04Et ça, c'est inacceptable.
00:36:05Justement, il y a une trentaine de personnes
00:36:07se sont rassemblées à Oloron devant l'abattoir
00:36:09pour protester contre sa fermeture.
00:36:12Une manifestation dans le calme
00:36:14sur France Bleu, Berne, Bigorne.
00:36:15Nous serons tout à l'heure à 8h15
00:36:18notre consultant politique pour faire le point
00:36:20sur les enjeux de ce premier tour sur notre territoire.
00:36:22Et on attend vos appels au 0559 98 0909.
00:36:25Est-ce que cette campagne vous a intéressé ?
00:36:27Est-ce que vous hésitez encore à voter ?
00:36:29Est-ce que votre choix est fait ?
00:36:30N'hésitez pas à prendre la parole.
00:36:39Et on poursuit ce journal à 7h36.
00:36:41Dans l'actualité, il y a aussi, Sophie,
00:36:42la découverte du corps du randonneur anglais
00:36:44de 71 ans qui était porté disparu
00:36:46depuis lundi en Val d'Asta.
00:36:47Et ce sont les secours espagnols de la Guardia Civil
00:36:49qui l'ont localisé jeudi après-midi côté Navaret.
00:36:51Le PGHM avait lancé un appel à témoins.
00:36:54Des recherches avaient été lancées
00:36:55sur le secteur d'Urdos.
00:36:57La gendarmerie qui a lancé un nouvel appel à témoins
00:36:59cette fois pour disparition.
00:37:00Hortès, un homme de 78 ans
00:37:02qui n'a plus donné signe de vie depuis mardi soir.
00:37:04Il a des problèmes cardiaques.
00:37:05Vous retrouvez toutes les infos sur francebleu.fr.
00:37:08Et puis la maison Lolaire vient de créer
00:37:10un béret unique pour les supporters
00:37:12des équipes de France.
00:37:13Ah oui, le fabricant de bérets installé à Oloron
00:37:15a imaginé un béret bleu, bien sûr,
00:37:17avec un liseré bleu-blanc-rouge sur le côté.
00:37:19Entre l'Euro de football,
00:37:21la coupe du monde de rugby des moins de 20 ans
00:37:22et bien sûr les Jeux Olympiques de Paris,
00:37:24il y a beaucoup d'occasions de le porter,
00:37:26explique la directrice de la maison Lolaire,
00:37:28Rosabelle Forsy.
00:37:29On a eu l'idée de simplifier le béret,
00:37:31d'avoir un béret qui pourrait être remis
00:37:33pour toutes les occasions
00:37:35et qui pourrait être un béret de qualité
00:37:37pour à chaque fois qu'on a envie
00:37:40d'être le supporter de nos belles équipes de France.
00:37:43C'est notre symbole pour le reste du monde.
00:37:46Quoi qu'on ait envie,
00:37:48on reste les hommes et les femmes au béret.
00:37:50C'est un très bon moment,
00:37:51c'est un moment où en effet
00:37:53il y a beaucoup d'occasions
00:37:54de défendre nos couleurs.
00:37:56Le sport arrive à s'aidérer de cette façon-là
00:37:59et ça allège un peu
00:38:00et ça fait du bien dans ce moment.
00:38:02On a choisi le bleu principal
00:38:03parce que c'est une couleur
00:38:04qu'on trouve très vive,
00:38:06qu'on trouve très explicite.
00:38:08On s'est posé la question
00:38:09d'en faire potentiellement un noir,
00:38:11mais le bleu c'est vraiment l'équipe de France.
00:38:13C'est vraiment avec ça
00:38:15qu'on avait envie d'être vus, reconnus
00:38:18et d'aller porter notre énergie sur le stade
00:38:21et qu'on puisse tous nous voir et nous entendre.
00:38:24Ce béret est disponible sur le site de la Maison Lolaire
00:38:26au prix de 49 euros par les sports.
00:38:28Ce soir, il y a un grand rendez-vous de sport en rugby
00:38:31puisque c'est la finale du Top 14
00:38:33et c'est le Stade Toulousain
00:38:34qui affronte l'UBB, l'Union Bordeaux-Bègles.
00:38:36C'est à 21h05 et c'est à Marseille.
00:38:39Mais pour l'instant, 7h38,
00:38:42nous sommes à Pau,
00:38:43nous sommes en Béarn,
00:38:44nous sommes en Bigorre
00:38:45et nous allons nous intéresser à la météo,
00:38:47Emilie de Kegel.
00:38:48Vous êtes sûre ?
00:38:49Non !
00:38:50Je suis obligée, madame.
00:38:53Alors oui, il faut savoir
00:38:56qu'est-ce qu'on se met dessus.
00:38:57Mais aujourd'hui, c'est très problématique
00:38:59parce qu'en fait, il y a un taux d'humidité assez élevé.
00:39:01On s'habille légèrement,
00:39:02mais on prend un truc pour la pluie.
00:39:03C'est ça, en fait, parce qu'il va faire chaud.
00:39:04Mais si on se met un caoué par-dessus,
00:39:07un imperméable, un ciré,
00:39:09on va avoir trop chaud,
00:39:10on va transpirer,
00:39:11donc on va être mouillé dehors,
00:39:12dedans, partout, tout ça,
00:39:13ça n'a aucun intérêt.
00:39:14Donc, journée un petit peu compliquée,
00:39:15mais on l'accepte avec bienveillance,
00:39:17cette météo du jour,
00:39:18donc avec un ciel nuageux.
00:39:19En même temps, on n'a pas le choix,
00:39:20j'ai envie de vous dire.
00:39:21Il bruit nasse,
00:39:22comme nous dirait une auditrice
00:39:24sur la page Facebook de France Bleu,
00:39:26Béarn, Bigorre,
00:39:27avec des températures, ce matin,
00:39:29fraîches, mais plus trop non plus.
00:39:32À Dogne, chez Laurent, 20 degrés.
00:39:34À Artyx, chez Nathalia, 19 degrés.
00:39:36À Est-Laurentiste, chez Bernadette, 20 degrés.
00:39:38Et cet après-midi, ça grimpe,
00:39:40je vous dis, avec un taux d'humidité
00:39:41assez important,
00:39:42pas mal de nuages.
00:39:44À Hortès, 28 degrés.
00:39:45Au Laurent-Sainte-Marie, 25 degrés,
00:39:46comme à l'Embaye.
00:39:47Bagnères de Bigorre, 24 degrés,
00:39:49tout comme à Lourdes.
00:39:50Tarbes, 28 degrés.
00:39:51Pau, 27 degrés.
00:39:56Il est 7h39.
00:39:58Le 6-9.
00:39:59France Bleu, Béarn, Bigorre.
00:40:01Émilie de Kegel.
00:40:02Tant qu'on en est à parler de chiffres
00:40:0405-59-98-30-60,
00:40:08c'est le numéro de notre répondeur
00:40:10sur lequel vous nous laissez un message
00:40:12si tant est que vous ayez une information
00:40:14à partager avec nous
00:40:15sur un événement qui aura lieu peut-être
00:40:17ce week-end, le week-end prochain,
00:40:18pendant les vacances.
00:40:19Vous organisez des stages, des soirées,
00:40:21les fêtes de village,
00:40:22des animations, des ateliers.
00:40:23Bref, vous avez envie de partager avec nous
00:40:25un événement que vous organisez
00:40:27ou dont vous avez les infos.
00:40:29N'hésitez pas, c'est gratuit.
00:40:31Et c'est 24h sur 24, 7 jours sur 7,
00:40:33même le dimanche.
00:40:35Matt Bianco pour la musique,
00:40:36à 8h moins 20,
00:40:37pour vous réveiller de bonheur peut-être,
00:40:40mais surtout de bonne humeur.
00:40:43Et après, le répondeur.
00:40:55Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org
00:41:25Abonnez-vous !
00:41:55Abonnez-vous !
00:42:25Abonnez-vous !
00:42:55Abonnez-vous !
00:43:01Abonnez-vous !
00:43:07Abonnez-vous !
00:43:15Abonnez-vous !
00:43:25Abonnez-vous !
00:43:35Abonnez-vous !
00:43:42Yeah, yeah !
00:43:43À 7h43 sur France Bleu,
00:43:44Berne Bigorre,
00:43:45histoire de nous mettre de bonne humeur
00:43:47ce matin, c'était Matt Bianco.
00:43:49Ça aussi, ça va nous mettre de bonne humeur
00:43:51parce qu'on va pouvoir remplir les pages
00:43:52de notre agenda avec des bons plans
00:43:54que vous avez partagés avec nous
00:43:55sur notre répondeur.
00:43:56Une nouvelle chorale de variété française
00:43:58qui s'appelle « Les couleurs du temps »
00:44:00et qui est dirigée par Séverine Verbot.
00:44:02Elle sera accompagnée au piano et aux percussions
00:44:04samedi 29 juin à 20h30
00:44:06à l'église Saint-Trois-de-Morla.
00:44:08L'entrée sera de 10 euros,
00:44:10gratuite pour les moins de 12 ans.
00:44:11Le 6 juillet 2024,
00:44:13le foyer René Gab, Doloron-Sainte-Marie,
00:44:15Organisme 4 et Légunion,
00:44:17une soirée vide-grenier, ouverte à tous,
00:44:19suivie d'une soirée concert
00:44:21avec participation libre.
00:44:22Si vous souhaitez vous inscrire au vide-grenier,
00:44:24merci d'appeler le secrétariat du foyer.
00:44:26Les concerts débuteront à 18h30
00:44:28pour finir vers 22h.
00:44:30Se produiront les groupes
00:44:32Boca Verde, Yaourt et Datura.
00:44:34Vous êtes tous les bienvenus.
00:44:35Nous comptons sur vous.
00:44:36Vous en êtes nombreux.
00:44:380559 98 30 60
00:44:42Pour nous laisser vos messages,
00:44:43n'hésitez pas, on les écoute et on les diffuse,
00:44:45on les partage avec nos auditeurs.
00:44:47Notre invité sur France Bleu Bernbigord
00:44:49dans quelques instants s'appelle
00:44:51Jean-Christophe et il va nous parler
00:44:53parce que cette saison aussi,
00:44:54ils ont recommencé, ce sont les marchés
00:44:56de producteurs de pays.
00:44:57On a un tout à l'heure, ce soir,
00:44:59à partir de 18h, place de l'église.
00:45:01C'est à Luc de Berne.
00:45:02On en parle avec notre invité.
00:45:03Ne bougez pas.
00:45:05Ici Matin, revient dans un instant.
00:45:11Tous les matins sur France 3,
00:45:12accompagnez-moi dans Outre-mer-le-Mag.
00:45:14En compagnie de mes nouveaux complices
00:45:16Sanji et Max,
00:45:17nous passerons des moments chaleureux
00:45:19pour une approche authentique
00:45:20des identités ultramarines
00:45:22qui ont tant à partager.
00:45:23Aujourd'hui, je t'emmène au bord de l'eau.
00:45:25J'adhère tout de suite.
00:45:26Des reportages de l'évasion,
00:45:27de la gourmandise et un portrait
00:45:29qui vous plongeront dans le quotidien
00:45:31des populations des Outre-mer.
00:45:32On est en parfaite harmonie avec la nature.
00:45:34C'est un voyage au cœur des Outre-mer
00:45:36qui vous attend.
00:45:37Présenté par Brice-Laurent Dubois,
00:45:39Outre-mer-le-Mag,
00:45:40du lundi au vendredi à 11h15.
00:45:42Suivi de Outre-mer, l'info sur France 3
00:45:44et sur la plateforme France.tv
00:46:02L'U6-9.
00:46:14Ici, c'est France Bleu Berne Bigorre.
00:46:18Alors Bigflo et Oli nous chantent
00:46:20« Un jour j'irai sur la lune ».
00:46:21C'est bien d'avoir des rêves
00:46:23ou sinon on peut aussi rester les pieds sur terre
00:46:25et aller dans des endroits
00:46:27peut-être plus facilement accessibles
00:46:29à savoir les marchés de pays,
00:46:31les marchés de producteurs de pays
00:46:33avec la chambre d'agriculture.
00:46:35Ce matin, nous accueillons
00:46:37Jean-Christophe Berne.
00:46:38Bonjour Jean-Christophe.
00:46:39Bonjour.
00:46:40Vous êtes de la brasserie de l'AREC
00:46:42et on va pouvoir venir vous rendre
00:46:44une petite visite.
00:46:46Tout à l'heure, à partir de 18h
00:46:48sur la place de l'église
00:46:50de Luc de Béarn.
00:46:52Puisque ça y est, la saison est lancée.
00:46:54Les marchés de producteurs de pays
00:46:55reprennent leur droit dans les villes et villages.
00:46:58Et donc ce soir, tous rendez-vous à Luc de Béarn.
00:47:00C'est ça, c'est bien ça.
00:47:02Donc rendez-vous ce soir à Luc de Béarn.
00:47:04C'est un très joli village, une très jolie place.
00:47:06Et donc à partir de 18h,
00:47:08vous allez pouvoir déguster
00:47:10différents produits
00:47:12de producteurs locaux.
00:47:14Donc voilà,
00:47:16de la bière bien sûr, mais également du verre,
00:47:18des vignerons de Luc de Béarn,
00:47:20donc du bois sacré,
00:47:22de chez du Doré de la Roudée également,
00:47:24Jérémy Estouèche,
00:47:26des entrées de canards,
00:47:28de charcuterie,
00:47:30et en plat principal, des grillades
00:47:32de veau, d'agnons,
00:47:34des fermes Jeannot et Béetia.
00:47:36Oui, parce que l'avantage
00:47:38d'un marché de producteurs de pays,
00:47:40il y a le mot marché, ça veut dire qu'on peut venir
00:47:42faire ses emplettes d'avant-week-end.
00:47:44D'après longue journée
00:47:46de travail, on va avec son panier,
00:47:48on va acheter des fruits, des légumes,
00:47:50du fromage, de la viande, enfin plein de choses
00:47:52qu'on ramène après à la maison.
00:47:54Et puis on peut aussi déguster
00:47:56ce bon menu,
00:47:58ce bon repas à la table des producteurs,
00:48:00des restaurateurs, ça aussi c'est super sympa
00:48:02parce qu'on partage, c'est un échange,
00:48:04on peut papoter, on peut découvrir des gens,
00:48:06une ambiance très festive.
00:48:08C'est ça, donc là
00:48:10on est plutôt en mode repas
00:48:12ambiance festive, puisqu'il y aura un petit concert
00:48:14d'un groupe qui s'appelle
00:48:16Les Allumettes, qui vont
00:48:18ambiancer la soirée,
00:48:20et voilà, c'est vraiment l'occasion
00:48:22de s'éter un peu
00:48:24l'arrivée de l'été,
00:48:26avec un peu de beau temps ce soir.
00:48:28Alors écoutez, je vérifie
00:48:30pour ce soir,
00:48:32le temps est généralement
00:48:34sec, quelques rares
00:48:36averses sont possibles,
00:48:38mais bon, on va y croire quand même
00:48:40Jean-Christophe.
00:48:42On se met pas de pression,
00:48:44à part peut-être une petite denleveur ce soir
00:48:46à partir de 18h
00:48:48sur la place de l'église,
00:48:50le marché des producteurs de pays de Luc
00:48:52de Béarn, on en parlera évidemment
00:48:54tout au long de l'été, puisque tous les
00:48:56villages et les villes vont se succéder
00:48:58les producteurs sur les marchés de producteurs de pays
00:49:00avec la chambre d'agriculture.
00:49:02Merci beaucoup Jean-Christophe, bonne journée,
00:49:04bon courage, et puis
00:49:06bon été, à bientôt !
00:49:08Au revoir !
00:49:10L'été
00:49:12commence, une nouvelle
00:49:14grille va vous être
00:49:16proposée à partir de
00:49:18lundi. C'est la fin de saison,
00:49:20on commence un petit peu à fatiguer, c'est la fin
00:49:22de saison, on dit au revoir
00:49:24à certaines rubriques
00:49:26qu'on a eu l'occasion de vous proposer pendant
00:49:28tout au long de l'année, et puis parfois on dit aussi au revoir
00:49:30à certains collaborateurs.
00:49:32C'est la dernière
00:49:34vraie séquence
00:49:36de Daniel Cabary dans les mots doc, puisque vous le savez
00:49:38l'avantage de la radio, c'est qu'on peut garder
00:49:40tous ses sons précieusement dans un coffre
00:49:42et vous les proposer des années
00:49:44plus tard, mais aujourd'hui, on dit au revoir
00:49:46à Daniel Cabary.
00:49:48De la place Clémenceau à Pau,
00:49:50à la place de Verdun de Tarbes.
00:49:52France Bleu, 100%
00:49:54Béarn, 100% Bigorre.
00:49:56Aujourd'hui, nous sommes
00:49:58vendredi, c'est
00:50:00la dernière matinale
00:50:02semaine avant d'entamer notre grille
00:50:04d'été, mais c'est surtout votre
00:50:06dernier mot doc, Daniel Cabary.
00:50:08C'est mon dernier
00:50:10mot doc, oulala, j'ai failli
00:50:12lâcher un lapsus !
00:50:14Et tic-tac,
00:50:16et tic-tac,
00:50:18et tic-tac,
00:50:20et tic-tac,
00:50:22une chanson de Nadao que je ressens,
00:50:24celle d'un départ obligé, qui n'a
00:50:26rien d'une chanson de deuil.
00:50:28Simplement, je fatigue, parce que beaucoup d'émissions
00:50:30et c'était mon choix, demandant
00:50:32beaucoup de travail, de recherche.
00:50:34Et je suis heureux de ce qui s'est passé, parce que
00:50:36j'ai beaucoup appris.
00:50:38632 émissions écrites, à 3 minutes
00:50:40chacune en moyenne, cela fait
00:50:42plus de 30 heures d'écoute.
00:50:44Qu'allez-vous faire alors maintenant de ce trésor accumulé ?
00:50:46Ben, sans doute rien.
00:50:48Si les écrits resteront chez moi,
00:50:50émission après émission, les paroles
00:50:52se sont envolées. J'ai accepté le challenge
00:50:54de succéder à Jean-Claude Coudouille,
00:50:56qui dura, je crois, moins que moi
00:50:58au début de l'émission des mots docs, mais
00:51:00avec plus de talent. Pierre Ressal, qui
00:51:02assuma 15 années d'antenne avec une compétence
00:51:04absolument professionnelle.
00:51:06Olivier Pedeser,
00:51:08linguiste occitaniste confirmé,
00:51:10qui m'a précédé. Passer après ces 4
00:51:12mousquetaires n'était pas aisé. Mais vous,
00:51:14Émilie, Éric Dreux, Cynthia Lafontaine,
00:51:16Éric Benthard, vous m'avez appuyé
00:51:18et aidé, enregistrement après
00:51:20enregistrement, et ce n'est pas rien.
00:51:22Appuyer, pas la main sur la tête pour me
00:51:24noyer, non, mais pour me tirer vers le haut.
00:51:26Ça, c'est paradoxal.
00:51:28Qu'est-ce que vous allez retirer encore de votre passage
00:51:30à France Bleu, Bernbigor ?
00:51:32Un indéniable enrichissement personnel,
00:51:34non pas matériel, mais
00:51:36culturel. La chance d'avoir
00:51:38côtoyé des personnes de grande qualité et
00:51:40de travailler, puisque c'est devenu un travail
00:51:42plus qu'un amusement,
00:51:44dans une ambiance agréable.
00:51:46Une qualité d'accueil rare, la disponibilité
00:51:48des techniciens, les sourires
00:51:50si tôt franchis la porte d'entrée,
00:51:52et ce, dans chaque espace professionnel.
00:51:54C'est avec vous, Émilie, que s'est ouvert le chemin.
00:51:56C'est vrai. C'est avec vous qu'il se termine.
00:51:58Et je veux remercier
00:52:00les auditeurs pour leur patience
00:52:02qui nous a permis de m'écouter.
00:52:04Amis, c'est vrai et courageux
00:52:06d'avoir pas tout vu.
00:52:08Merci beaucoup, Daniel, pour votre présence
00:52:10pendant ces trois dernières saisons
00:52:12sur France Bleu, Bernbigor.
00:52:14Vous raccrochez le micro, mais on garde
00:52:16vos mots d'ordre bien précieusement, parce que vous disiez
00:52:18si les écrits restent, les paroles
00:52:20s'envolent. Pas à la radio, vous allez
00:52:22rester avec nous pendant de nombreuses
00:52:24années, avec les rediffusions
00:52:26de ces mots qui nous ont un peu fait rire.
00:52:28Voilà, je vous soupçonne de l'avoir enregistré.
00:52:30Allez, on la refait. Merci beaucoup, Daniel.
00:52:32Bonne continuation, et puis je suis sûr que
00:52:34nos chemins se recroiseront par-ci ou par-là.
00:52:36Merci, Émilie.
00:52:38Merci à Daniel Cabary de nous avoir
00:52:40accompagné pendant ces trois saisons.
00:52:42Bien entendu, il restera avec nous,
00:52:44comme Pierre Sale, évidemment, avec
00:52:46les mots d'ordre que vous allez pouvoir réécouter
00:52:48sans modération aucune, sur notre
00:52:50antenne, sur l'application ici, sur notre site
00:52:52internet francebleu.fr.
00:52:54Alors, si on parle de dernière,
00:52:56rassurez-vous, à partir de lundi,
00:52:58sur France Bleu, Birminghore, il y aura toujours
00:53:00votre équipe. On sera toujours là pour vous accompagner.
00:53:02C'est juste qu'on change un petit peu. On se met en mode
00:53:04été, les doigts de pied en éventail.
00:53:06Et vous, vous allez peut-être pouvoir
00:53:08vous mettre les doigts de pied en éventail
00:53:10sur un fauteuil de jardin tout neuf.
00:53:12Qui sait si c'est vous qui repartez
00:53:14avec la carte cadeau d'une valeur de
00:53:16250 euros. C'est le montant
00:53:18du bruit qui court.
00:53:20Vous avez envie de venir nous faire une
00:53:22proposition. C'est très simple. Vous nous appelez
00:53:24maintenant 055998
00:53:260909. Il y a
00:53:28trois places. Une peut-être pour vous.
00:53:30Vous avez envie de...
00:53:32Oui. Petite session de rattrapage.
00:53:38Le bruit qui court
00:53:40d'une valeur de 250 euros.
00:53:42Une carte cadeau peut-être
00:53:44pour vous. Une carte cadeau avec laquelle
00:53:46vous allez donc pouvoir vous faire plaisir.
00:53:48Faire plaisir. Il n'y a pas de
00:53:50nom d'une seule enseigne sur cette carte.
00:53:52Par contre, il y aura le vôtre, peut-être, si vous venez
00:53:54nous rejoindre. 0559
00:53:5698 09
00:53:5809. C'est une
00:54:00saison radiophonique
00:54:02qui s'achève tranquillement aujourd'hui.
00:54:04Ce week-end. Oui, lundi.
00:54:06Version estivale. On va pouvoir
00:54:08profiter de nous tous
00:54:10et de vous tous un petit peu différemment.
00:54:12Tout ça pour nous dire qu'allez,
00:54:14une de plus qui est faite. Sacré coup de vieux,
00:54:16les gars.
00:54:18Ma génération, elle a
00:54:20tout oublié des révisions du bac.
00:54:22Elle veut un dealer pas trop loin de la fac.
00:54:24Elle a grandi, elle s'en branle du regard des gens.
00:54:26Elle veut un coup d'un soir, mais qui dure deux ans.
00:54:28Elle faisait des tours géantes en Cap-Lar
00:54:30et le tour du monde sur un
00:54:32quartard. Elle grattait une piscine pour passer
00:54:34le mois d'août. Elle comptait des centimes pour s'acheter
00:54:36une couille de mammouth. Des fois, plus de cadeaux.
00:54:38Les parents séparés. Elle s'est inscrite à la salle,
00:54:40mais n'y est jamais allée. Le lait, toujours après
00:54:42les chocs à pics. Elle assume pas, mais elle a
00:54:44dansé la tecktonik. Défoncée, elle mate
00:54:46les inzards de l'espace. Elle écrivait des trucs
00:54:48au Blanco sur l'ISPAC. Ice pool musical.
00:54:50Anna Montana. Karaoké du lac
00:54:52du Connemara. C'est des rés, des
00:54:54ras, des rés. Personne comprenait, mais
00:54:56tout le monde chantait. Dans son salon, elle a
00:54:58des panneaux de chantier. Elle les collectionne
00:55:00quand elle est pourrie. Je vous parle
00:55:02d'un temps que les moins
00:55:04de vingt ans ne peuvent pas connaître. Je vous parle
00:55:06d'un temps que les
00:55:08moins de vous... C'était mieux avant.
00:55:10Remonter en temps.
00:55:12Premier jeu
00:55:14blanc. J'ai pris
00:55:16un coup de vieux. C'était mieux
00:55:18avant. Remonter
00:55:20en temps. Premier jeu
00:55:22blanc. J'ai pris
00:55:24un coup de vieux.
00:55:26Remonter en temps.
00:55:28Premier jeu
00:55:30blanc. J'ai pris
00:55:32un coup de vieux. C'était mieux
00:55:34avant. Remonter en temps.
00:55:36Premier jeu
00:55:38blanc. J'ai pris
00:55:40un coup de vieux.
00:55:42Bientôt 40 piges.
00:55:44J'ai connu Zelda.
00:55:46J'ai vu jouer Régine
00:55:48et JJ Okocha.
00:55:50Génération Spline.
00:55:52Booster ou 103.
00:55:54Les années des films
00:55:56qui se souviendront.
00:55:58Ma génération, elle voudrait
00:56:00dormir. Elle est épuisée. Réussir
00:56:02ses partiels sans les réviser. Faire la
00:56:04tournée des barres jusqu'à 4h du mat'. Puis
00:56:06se taper des barres devant Mission Cléopâtre.
00:56:08Encore choquée par Happy Tree Friends.
00:56:10La farine sur le chewing-gum de demain.
00:56:12Elle a eu des Magix. Elle a eu des Pogs
00:56:14sur le 33-10. Y'avait Crazy Frog.
00:56:16Big Baby Pop, ref de Tokyo.
00:56:18Elle buvait un yop devant Code Lyoko.
00:56:20À cause de Tony, elle voulait faire du skate.
00:56:22C'était Picasso quand elle était sur Payne.
00:56:24Déjà nostalgique que de l'ancienne époque.
00:56:26Elle voudrait prouver à ses parents qu'ils avaient tort.
00:56:28Elle s'en fout, on peut savoir ce qu'il y a après la mort.
00:56:30Elle débat sur qui était le meilleur Pokémon.
00:56:32J'ai vu des films de son Scooby-Doo.
00:56:36Dans la cuisine avec Adigou.
00:56:42C'était mieux avant.
00:56:44Remonter le temps.
00:56:46Premiers cheveux blancs.
00:56:48J'ai pris un coup de vieux.
00:56:50C'était mieux avant.
00:56:52Remonter le temps.
00:56:54Premiers cheveux blancs.
00:56:56J'ai pris un coup de vieux.
00:57:16Hélène, Lola,
00:57:18Lali, José.
00:57:20Les années défilent
00:57:22sur le podium du spleen.
00:57:24Pokémon, Diteuf,
00:57:26Beyblade, Didac.
00:57:28J't'ai cassé comme Brice de Nice.
00:57:30MSN, envoie-moi un Wiz.
00:57:32Je vous parle d'un temps.
00:57:34Tous les moins de vingt ans,
00:57:36on ne peut pas connaître.
00:57:38Je vous parle d'un temps.
00:57:40Tous les moins de vingt ans,
00:57:42on ne peut pas connaître.
00:57:44Je vous parle d'un temps.
00:57:46Tous les moins de vingt ans,
00:57:48on ne peut pas connaître.
00:57:50Coup de vieux, Big Flo et Oli.
00:57:52Julien Doré. Un coup de vieux
00:57:54que vous pourrez peut-être constater
00:57:56le 9 septembre.
00:57:58Parce qu'aujourd'hui, c'est la dernière fois
00:58:00que vous nous voyez en télé,
00:58:02sur France 3. Petite pause estivale.
00:58:04On continue évidemment sur France Bleu,
00:58:06Bernbigor, à version radio.
00:58:08Mais vous verrez donc au mois de septembre
00:58:10si on a pris quelques rides
00:58:12et quelques cheveux blancs supplémentaires.
00:58:14Le bruit qui court
00:58:16sur France Bleu, Bernbigor.
00:58:18Il n'a pas fini de courir.
00:58:20Très certainement.
00:58:22Le bruit qui court, il va falloir qu'il s'arrête
00:58:24à un moment donné. Lui aussi, il va prendre
00:58:26quelques congés. Sauf s'il tombe avant.
00:58:28Le bruit, c'est celui-ci.
00:58:30Le bruit qui court.
00:58:32Il vaut 250 euros.
00:58:34250 euros qui partiront peut-être chez Claudine.
00:58:36Bonjour Claudine. Bonjour.
00:58:38Alors, à jure en son, votre proposition à cette heure-ci,
00:58:40ce serait laquelle ?
00:58:42L'acrémonie d'un volet quand on l'ouvre.
00:58:44C'est une
00:58:46mauvaise réponse qui est tiède.
00:58:48Vous voulez en faire une autre ?
00:58:50Non.
00:58:52La fenêtre peut-être.
00:58:54Alors non. Là, ça devient froid.
00:58:56Bonne journée Claudine. On accueille Alexandre.
00:58:58Bonjour Alexandre.
00:59:00Bonjour. Alors, votre proposition
00:59:02à vous ? Alors moi,
00:59:04je pensais au bruit d'une vitre électrique
00:59:06qui s'ouvre ou qui se ferme.
00:59:08On l'a déjà eu tout à l'heure.
00:59:10Non, ce n'est pas la bonne réponse.
00:59:12À plus tard Alexandre.
00:59:14Peut-être que Maryse aura la bonne réponse.
00:59:16Artigelou, on va.
00:59:18Oui, bonjour. Bonjour.
00:59:20Moi, je suis dans un tout autre domaine.
00:59:22Je pensais au sifflement de la marmotte.
00:59:24Alors, animal.
00:59:26C'est froid.
00:59:28Il ne reste plus que quelques tentatives.
00:59:30Je vais prendre les devants.
00:59:32Je vais vous le dire. Ce n'est pas animal.
00:59:34D'accord ? Ce n'est pas un bruit animal.
00:59:36Bonne journée. Au revoir Maryse.
00:59:44Et là, c'est le temps qui court.
00:59:46En quelques secondes, Mathias, nous allons parler
00:59:48des élections pendant votre journal de l'hiver.
00:59:50On va parler d'élections dans un instant.
00:59:52Évidemment, les législatives. Premier tour dimanche.
00:59:54On parlera aussi de ce trafic de chatons
00:59:56avec ce procès hier au tribunal de Pau.
00:59:58Et puis, de la mère de Mathéo, ce jeune
01:00:00disparu dans les Hautes-Pyrénées
01:00:02après des espoirs déçus. Donc, cette semaine.
01:00:04Ici, matin.
01:00:06Reviens dans un instant.
01:00:10Législative 2024.
01:00:12Dimanche, les antennes de France 3
01:00:14se mobilisent autour d'un dispositif
01:00:16exceptionnel dans chaque région.
01:00:18Nous sommes en direct sur France 3.
01:00:20En scrutant à suspense.
01:00:22Dès 19h55, priorité
01:00:24aux résultats et aux réactions
01:00:26dans votre circonscription.
01:00:28Nos équipes sont déployées auprès des candidats.
01:00:30Les résultats, les réactions,
01:00:32les analyses, c'est ici que tout se passe.
01:00:34France 3 au plus près du terrain.
01:00:36Élections législatives
01:00:38à suivre dimanche dès 19h55
01:00:40sur France 3 et sur la plateforme France.tv
01:01:10Il est 8h.
01:01:16Un petit peu de gris,
01:01:18quelques gouttes de pluie, quelques éclairciers,
01:01:20des températures toujours élevées. Voilà le programme météo
01:01:22que nous détaillerons juste après votre journal.
01:01:26Une affaire de trafic de chatons
01:01:28jugée hier au tribunal de Pau.
01:01:30Trois hommes, deux femmes
01:01:32qui ont reconnu avoir arnaqué des dizaines
01:01:34de personnes à qui on leur a revendu
01:01:36très cher des petits chats
01:01:38qui n'étaient pas de race dans tout le département
01:01:40des Pyrénées-Atlantiques.
01:01:42C'était entre 2019 et 2021.
01:01:44Environ 200 annonces tout de même.
01:01:46Près de 300 chatons revendus
01:01:48pour un gain estimé à 70 000 euros.
01:01:50Marion Aquiline.
01:01:52Deux hommes s'occupaient de récupérer des chatons
01:01:54dans des départements voisins, pas dans les Pyrénées-Atlantiques
01:01:56pour plus de discrétion.
01:01:58On payait 60, 80 euros
01:02:00les donneurs et on disait que c'était
01:02:02pour nos enfants. Dans le même temps,
01:02:04deux femmes impliquées dans ce trafic
01:02:06étaient chargées de poster les annonces
01:02:08sur le site d'internet Le Bon Coin.
01:02:10Et c'était toujours écrit « Vends chatons
01:02:12propres, sevrés, vermifugés ».
01:02:14Entre 200 et 500 euros.
01:02:16Ils étaient présentés comme de type
01:02:18persan ou encore siamois
01:02:20par exemple, alors qu'ils étaient croisés
01:02:22et surtout, des acheteurs ont eu
01:02:24des soucis parce que les chats n'étaient pas
01:02:26vaccinés. Certains ont eu des maladies,
01:02:28voire sont décédés prématurément
01:02:30et derrière les vendeurs étaient injoignables.
01:02:32Je ne voulais pas m'embêter à faire le service
01:02:34après vente. A réagi l'homme
01:02:36présenté comme la tête pensante de ce trafic
01:02:38déjà condamné pour une affaire
01:02:40similaire. Ce prévenu a conclu
01:02:42« J'ai fait ça pour l'argent. Je suis
01:02:44tombé dans un tourbillon. Je ne recommencerai
01:02:46pas. D'abord parce que c'est dur à faire
01:02:48et puis parce que c'est illégal.
01:02:50Oui, il y a des gens derrière tout ça. »
01:02:52a rappelé le tribunal.
01:02:54Et le parquet qui a requis des peines allant jusqu'à
01:02:56un an de prison ferme
01:02:58à 105
01:03:00heures de travaux d'intérêt général
01:03:02pour l'instant
01:03:04n'est pas encore la peine dans cette affaire
01:03:06de trafic de chatons.
01:03:08Dernier jour de campagne officielle avant la période
01:03:10de réserve ce week-end
01:03:12et le premier tour des législatives ce sera
01:03:14dimanche. Et on va en parler dans un instant avec notre
01:03:16invité à 8h15, c'est Jean Marziou
01:03:18qui sera avec nous, notre consultant politique
01:03:20sur France Bleu Béarn-Bigorre
01:03:22ancien rédacteur en chef au sein du groupe
01:03:24Pyrénées Presse. Il sera d'ailleurs avec nous
01:03:26dimanche soir à partir de
01:03:2819h30 pour notre grande soirée
01:03:30électorale pour vivre ses premiers résultats
01:03:32ce premier tour des législatives.
01:03:34Hier il y a eu le dernier grand débat
01:03:36à la télé, plus de deux heures d'échange
01:03:38sur France 2 entre
01:03:40trois personnes, Jordan Bardella
01:03:42le président du Rassemblement National, Olivier Faure
01:03:44le premier secrétaire du PS
01:03:46et Gabriel Attal, le toujours premier
01:03:48ministre. Parmi les très nombreux thèmes
01:03:50abordés, le SMIC, l'armée
01:03:52l'environnement, la binationalité
01:03:54ou encore l'éducation
01:03:56et Jordan Bardella qui a aussi insisté
01:03:58sur le thème de la sécurité.
01:04:00Moi je serai le premier ministre qui rétablira l'autorité
01:04:02de l'état, l'autorité dans la rue
01:04:04je ne dirai pas que par principe
01:04:06il y a des violences policières
01:04:08que nos policiers sont coupables et qu'il faut désarmer
01:04:10la police comme souhaite le faire le nouveau Front Populaire
01:04:12je rétablirai l'autorité
01:04:14à l'école, je protégerai
01:04:16évidemment nos enseignants et je rétablirai
01:04:18l'autorité dans les rues du pays
01:04:20parce qu'aujourd'hui nous vivons dans un état
01:04:22où il y a une agression gratuite toutes les 44 secondes
01:04:24et les français ont le sentiment
01:04:26qu'ils payent beaucoup d'impôts et que l'état
01:04:28n'assume plus ses missions régaliennes.
01:04:30La réponse aux fractures françaises, l'autorité.
01:04:32Et la perspective de voir l'extrême droite au pouvoir inquiète
01:04:34dans la rue, notamment il y a eu ces manifestations
01:04:36encore hier, 150 personnes à
01:04:38Tarbes, un peu plus d'une centaine à Pau
01:04:40comme Rémi, sympathisant du syndicat
01:04:42agricole de la Confédération Paysanne.
01:04:44On flippe, moi j'ai des enfants
01:04:46vraiment j'ai pas envie de leur laisser ce monde-là quoi
01:04:48moi je suis prof à la fac d'environnement
01:04:50et d'énergie, ma compagne est maraîchère à Pau
01:04:52on a des solutions à proposer
01:04:54il faut arrêter de se replier sur soi
01:04:56il faut arrêter de regarder la télé, il faut sortir
01:04:58il faut s'engager, il faut voir ce que c'est que la vie en communauté
01:05:00c'est pas facile tous les jours
01:05:02mais ça nécessite de sortir de chez soi
01:05:04aujourd'hui ce qu'on a envie de dire aux gens
01:05:06c'est que le RN ce qu'il propose
01:05:08c'est tout sauf la vie ensemble
01:05:10la vie citoyenne et les choses qui nous rassemblent
01:05:12il y a un faux discours derrière ça
01:05:14et aujourd'hui on veut pas croire à ça
01:05:16c'est pas possible, c'est le repli sur soi
01:05:18c'est vraiment le fait de croire
01:05:20à nos instincts les plus primitifs
01:05:22et le RN joue là-dessus et on se fait piéger là-dessus
01:05:24la manifestation aussi
01:05:26dans d'autres villes en France, notamment à Paris
01:05:28plusieurs milliers de personnes encore rassemblées hier soir
01:05:30et depuis Bruxelles, Emmanuel Macron
01:05:32qui avait pourtant promis de se mettre en retrait de cette campagne
01:05:34a dénoncé dans la nuit
01:05:36l'arrogance du rassemblement national
01:05:38aux Etats-Unis aussi
01:05:40c'était soir de débat
01:05:42le tout premier entre les deux candidats à la présidentielle de novembre
01:05:44Joe Biden et Donald Trump
01:05:46qui se sont affrontés
01:05:48sur CNN, un débat très tendu
01:05:50à la limite de l'insulte
01:05:52par moment, le président sortant Biden notamment
01:05:54a lancé à Trump, c'est vous, le pauvre type
01:05:56c'est vous le looser a-t-il dit
01:05:58et qu'il a qualifié aussi de repris de justice
01:06:00Donald Trump lui
01:06:02qui met Joe Biden au défi de passer un test cognitif
01:06:04lui répliquant aussi
01:06:06que la guerre en Ukraine n'aurait jamais eu lieu
01:06:08si les Etats-Unis avaient eu un vrai leader
01:06:10le ton est donc donné pour cette campagne
01:06:12aux Etats-Unis
01:06:14Il est 8h06, on poursuit ce journal sur France Bleu, Bern, Bigorre
01:06:16avec la disparition de Matteo dans les Hautes-Pyrénées
01:06:18les espoirs de retrouver son corps
01:06:20s'envolent pour ses proches
01:06:22Oui, les derniers indices retrouvés en début de semaine
01:06:24seraient donc sans lien avec
01:06:26le jeune homme disparu dans le secteur du
01:06:28Rio Majou sur la commune de Saint-Larry
01:06:30Matteo disparu en août
01:06:32dernier, ça fait 11 mois maintenant
01:06:34un short et des ossements avaient pourtant
01:06:36été découverts en bordure d'un ruisseau
01:06:38mais donc, a priori, c'est une
01:06:40fausse piste, Sonia Tisseron
01:06:42est la mère de Matteo
01:06:44et à chaque fois, elle est partagée entre espoir et prudence
01:06:46En fait, c'est l'ascenseur émotionnel
01:06:48parce que c'est vraiment ce qu'on attend
01:06:50depuis le début, moi, je suis convaincue
01:06:52de l'accident de montagne
01:06:54ce que j'attends, c'est de pouvoir récupérer le corps
01:06:56donc effectivement, quand ils nous ont dit
01:06:58on a retrouvé un short et des ossements
01:07:00je me dis, c'est peut-être le dénouement
01:07:02on va peut-être récupérer le corps de Matteo
01:07:04Moi, ce qui me rassure, ce qui fait du bien
01:07:06c'est qu'on sait que dès qu'il y a un objet
01:07:08qui est trouvé, il y a des recherches
01:07:10conséquentes qui sont engagées
01:07:12il y a même eu des vols d'hélicos
01:07:14Ce qui me rassure en tant que famille, c'est de se dire
01:07:16que toutes les personnes qui iront sur site
01:07:18qu'elles soient vigilantes
01:07:20si elles trouvent une chaussure
01:07:22le sac ou la paire de lunettes
01:07:24ou tout autre élément
01:07:26en les redonnant à l'âge d'ordre mûri
01:07:28ça permet de faire des recherches
01:07:30comme il n'y a rien
01:07:32je pense que le deuil sera plus facile
01:07:34même si c'est terrible
01:07:36de perdre un enfant
01:07:38avec le corps, je pense que le processus
01:07:40de deuil pourra vraiment débuter
01:07:42Les propos recueillis par Yannick Damon
01:07:44le corps du randonneur anglais
01:07:46recherché dans le secteur de la vallée d'Aspes
01:07:48âgé de 71 ans, lui a été retrouvé
01:07:50hier par
01:07:52la guardia espagnole
01:07:54les secours espagnols
01:07:56il a donc été localisé côté Navarre
01:07:58le peloton de gendarmerie de Haute-Montagne
01:08:00Doloron avait lancé cet appel à témoins
01:08:02on en a parlé hier matin, des recherches notamment lancées
01:08:04sur le secteur d'Urdos
01:08:06un appel à témoins aussi à Hortèze ce matin
01:08:08par la gendarmerie des Pyrénées-Atlantiques
01:08:10pour tenter de retrouver
01:08:12cet homme de 78 ans qui n'a plus donné
01:08:14de signe de vie depuis mardi
01:08:16vous retrouvez sa photo ce matin sur francebleu.fr
01:08:18les gendarmes qui indiquent
01:08:20qu'il n'a pas de tendance suicidaire
01:08:22mais qu'il a des problèmes cardiaques
01:08:24on parle aussi de cette manifestation
01:08:26une trentaine de personnes rassemblées hier après-midi
01:08:28à Haute-Montagne devant l'abattoir
01:08:30pour protester contre sa fermeture
01:08:32chiffre communiqué par la gendarmerie
01:08:34les gendarmes qui indiquent que la manifestation
01:08:36s'est déroulée dans le calme
01:08:38et puis ce soir c'est soir de finale
01:08:40finale de top 14 en rugby
01:08:42entre d'un côté le tenant du titre
01:08:44le stade Toulousain
01:08:46qui affronte l'Union Bordeaux-Belges
01:08:48qui dispute sa première finale
01:08:50en tant que UBB
01:08:52et évidemment en tant qu'Union Bordeaux-Belges
01:08:54du côté Toulousain
01:08:56on vise un 23ème titre de champion
01:08:58le stade Toulousain
01:09:00qui part de la veux même
01:09:02des Bordelais favoris pour cette finale
01:09:0421h05 pour le coup d'envoi
01:09:06au stade Vélodrome
01:09:16Et la météo c'est relativement couvert
01:09:18pour ce vendredi Émilie
01:09:20C'est couvert, c'est gris, c'est plus vieux
01:09:22plus vouille
01:09:24de la bruine
01:09:26crachin breton
01:09:28météo pas très sympathique
01:09:30mais qu'on va quand même accepter avec beaucoup de bienveillance
01:09:32puisque de toute façon on n'a pas le choix
01:09:34La température encore élevée
01:09:36et ça, ça fait plaisir
01:09:38même si on ne sait plus trop comment s'habiller aujourd'hui
01:09:40à Pau, 27 degrés cet après-midi
01:09:42annoncé par Météo France
01:09:44à Lourdes, 24 degrés comme à Bagnères-de-Bigor
01:09:46Hortès, 28 degrés tout comme à Tarbes
01:09:48L'Embaye, 25 comme à Haut-Laurent-Sainte-Marie
01:09:50Et ce matin, vous nous dites
01:09:52les températures qu'il y a chez vous
01:09:54à Pau chez Raphaël, 19 degrés
01:09:56à Haraud chez Nicole, 19 degrés
01:09:58à Dogne chez Laurent, 20 degrés
01:10:00des messages que nous avons reçus
01:10:02avec plaisir sur la page Facebook de France Bleu Berne Bigor
01:10:06Il est 8h10
01:10:08Le 6-9
01:10:10France Bleu Berne Bigor
01:10:12Émilie de Kegel
01:10:14À suivre dans quelques minutes
01:10:16l'invité de France Bleu Berne Bigor, Jean Marziou
01:10:18avec lequel nous allons évidemment parler des législatives
01:10:20Le coup de cœur de France Bleu Berne Bigor
01:10:22signé, le coup de cœur
01:10:24le 6-José
01:10:26Oh, quoi que
01:10:28peut-être l'absus révélateur, à savoir
01:10:30d'ici quelques instants
01:10:32c'est monsieur le directeur qui vient nous rendre une visite
01:10:34c'est Joël Bitoun
01:10:36à qui on a accepté
01:10:38l'invitation, l'invitation de venir nous rejoindre
01:10:40l'invitation que vous venez nous rejoindre également
01:10:42en télé, mais attention, c'est la dernière fois
01:10:44J'acceptais pas de l'heure
01:10:46ton invitation
01:10:48J'ai dû gourer
01:10:50dans l'heure, j'ai dû me planter
01:10:52dans la saison
01:10:54J'ai confondu
01:10:56avec celle qui sourit pas
01:10:58mais celle qui est belle, bien entendu
01:11:00et qui dit belle
01:11:02dit pour moi, tu sais, j'ai pas
01:11:04toute ma raison
01:11:06si j'ai toujours raison
01:11:08tu sais, j'suis pas un mec
01:11:10sympa, et j'merde tout ça
01:11:12tout ça, tu sais, j'ai
01:11:14pas confiance
01:11:16j'ai pas confiance en moi, tu sais
01:11:18j'ai pas d'espérance
01:11:20et j'merde tout ça, tout ça
01:11:28Si tu veux, on parle de toi
01:11:30Si tu veux, on parle de moi
01:11:32Parlons de ta future vengeance
01:11:34Que t'auras, toi, sur moi
01:11:36Disons, ne te recouper de silence
01:11:38Qu'on est bien seuls pour une fois
01:11:40Qu'on est bien partis
01:11:42pour une danse
01:11:44C'est pas plus loin, tu vois
01:11:46J'ai accepté par erreur
01:11:48ton invitation
01:11:50J'ai dû gourer
01:11:52dans l'heure, j'ai dû me planter
01:11:54dans la saison
01:11:56J'ai dû gourer
01:11:58dans l'heure, j'ai dû me planter
01:12:00dans la saison
01:12:26J'ai accepté par erreur
01:12:28ton invitation
01:12:30J'ai dû gourer
01:12:32dans l'heure, j'ai dû me planter
01:12:34dans la saison
01:12:40Reste à savoir
01:12:42si on trace
01:12:44un coup et un point dans notre espace
01:12:46Si j'ai pas toute ma raison
01:12:48Si j'ai pas toute ma raison
01:12:50Si j'ai pas toute ma raison
01:12:52Si j'ai pas toute ma raison
01:12:54Si j'ai pas toute ma raison
01:12:56Si j'ai toujours raison
01:12:58Si j'ai pas toute ma raison
01:13:00Si j'ai toujours raison
01:13:02Si j'ai pas toute ma raison
01:13:04Si j'ai toujours raison
01:13:06Si j'ai toujours raison
01:13:08Si j'ai pas toute ma raison
01:13:10Ton invitation, Louise Attaque
01:13:12sur France Bleu, Berne, Bigorre
01:13:148h13
01:13:16France Bleu, Berne, Bigorre
01:13:18Tous les jours, celui-là
01:13:20j'espère que ça se termine
01:13:228h13
01:13:24Le billet d'humeur du jour
01:13:26signé Joël Bitoun, le directeur de France Bleu, Berne, Bigorre
01:13:28Bonjour Joël
01:13:30Merci d'être là, en direct dans notre studio
01:13:32Vous aviez un petit quelque chose à nous dire aujourd'hui
01:13:34Si j'osais ce matin, j'avouerais
01:13:36qu'aujourd'hui, je retourne ma veste
01:13:38Auparavant, je votais
01:13:40Dupont-Entamac
01:13:42Ce soir, je vais coller le bulletin
01:13:44plutôt Lucu-Penaud sur le
01:13:46Brenus. Avant, je militais en faveur
01:13:48de Barcola-Turam
01:13:50Pour lundi,
01:13:52je pars derrière la bannière
01:13:54Mbappé-Giroux, contre vos compatriotes
01:13:56les Médis, les Belges
01:13:58Alors oui, je confirme
01:14:00j'ai largué toutes mes convictions, je retourne
01:14:02ma veste, je fais le malin, mais je dois le reconnaître
01:14:04je suis fier d'être avec vous
01:14:06ce matin, pour la dernière du Si José
01:14:08de la saison. A partir de lundi
01:14:10et ça n'a rien à voir avec les élections
01:14:12cette chronique part en vacances
01:14:14mais même sous le soleil de l'été
01:14:16France Bleu, Berne, Bigorre gardera
01:14:18sa liberté d'expression, sa liberté
01:14:20de choisir, sa liberté de dire oui
01:14:22sa liberté de dire non aussi
01:14:24pas pour nous, non, pas pour nous
01:14:26mais pour vous, auditeurs
01:14:28pour vous, auditeurs béarnés et bigourdants
01:14:30pour vous, auditeurs historiques
01:14:32ou débutants, pour vous
01:14:34auditeurs grisonnants ou bourgeonnants
01:14:36pour vous épargner
01:14:38des connivences politiques, pour vous
01:14:40protéger des fausses informations
01:14:42pour vous préserver des influenceurs en plastique
01:14:44ou des prophètes de la pensée unique
01:14:46alors si comme nous
01:14:48vous chérissez votre indépendance
01:14:50je vous invite à rester avec nous au moins
01:14:52jusqu'à lundi prochain
01:14:54jusqu'au lundi d'après si c'est possible
01:14:56et peut-être même jusqu'en 2099
01:14:58ou plus tard si vous voulez. Plus s'y affiniter. Plus s'y affiniter
01:15:00exactement. Hier quand les
01:15:02journalistes de France Bleu, Berne, Bigorre
01:15:04sont venus me proposer de faire cette chronique
01:15:06en fait ils m'ont fait un cadeau
01:15:08un bonbon
01:15:10une douceur. Aujourd'hui
01:15:12vendredi 28 juin 2024
01:15:14c'était mon premier
01:15:16mais c'est aussi mon dernier
01:15:18l'occasion émue de vous dire que je vous aime
01:15:20Merci beaucoup Joël
01:15:22on vous embrasse et vous faites partie
01:15:24des meubles, même si à un moment donné
01:15:26il faut les changer de place
01:15:28les commodes
01:15:30Merci beaucoup Joël pour ce
01:15:32billet d'humeur, ce si José, vous avez
01:15:34osé et vous avez bien fait
01:15:36Dans quelques
01:15:38instants, l'invité de France Bleu, Berne
01:15:40Bigorre, ancien rédacteur en chef au sein
01:15:42du groupe Pierre Aimé Presse et consultant
01:15:44politique de France Bleu, Berne, Bigorre
01:15:46Jean Marziou, il répondra à vos questions d'ailleurs
01:15:48si vous avez envie de l'interpeller sur un sujet
01:15:50ou un autre n'hésitez pas 05 59 98
01:15:5209 09
01:15:54Ici Matin, revient
01:15:56dans un instant
01:16:12...
01:16:14...
01:16:16...
01:16:18...
01:16:20...
01:16:22...
01:16:24...
01:16:26Le 6 9, ici c'est
01:16:28France Bleu, Berne, Bigorre
01:16:30...
01:16:32...
01:16:34Spéciale élection législative
01:16:36sur France Bleu, Berne, Bigorre
01:16:38Il est 8h16
01:16:40L'invité de France Bleu, Berne, Bigorre
01:16:42à 7h06, c'est Jean Marziou
01:16:44qu'on connaît bien, évidemment, ancien rédacteur
01:16:46en chef au sein du groupe Pierre Aimé Presse
01:16:48et notre consultant politique sur
01:16:50France Bleu, Berne, Bigorre, qui sera d'attaque
01:16:52ce week-end, mais déjà avec nous ce matin, il répond
01:16:54à vos questions, Mathias Kern
01:16:56France Bleu, Berne, Bigorre, numéro 1 sur
01:16:58l'info locale
01:17:00Bonjour Jean Marziou
01:17:02Merci d'être avec nous ce matin sur
01:17:04France Bleu, Berne, Bigorre, on le disait, vous serez là aussi
01:17:06dimanche soir avec nous pour cette grande soirée
01:17:08électorale de premier tour
01:17:10dès 19h30 pour
01:17:12analyser, voir ses premiers
01:17:14résultats en Berne et en Bigorre, on dit que
01:17:16ce sera peut-être un tournant politique
01:17:18cette élection, ces législatives
01:17:20anticipées, y compris en Berne
01:17:22et en Bigorre, il y a 6 circonscriptions qui nous
01:17:24intéressent, évidemment, on va zoomer
01:17:26sur chacune d'entre elles dans un instant
01:17:28peut-être un mot général, Jean Marziou
01:17:30de cette campagne qu'on parle, une courte
01:17:32inédite, express
01:17:34chez nous aussi, peut-être sur les candidats
01:17:36déjà présents en Berne et en Bigorre
01:17:38on va souvent rejouer le match de 2022
01:17:40oui, dans un certain
01:17:42nombre de, la plupart des
01:17:44circonscriptions en Berne et en Bigorre
01:17:46effectivement, on va rejouer le match
01:17:48de 2022
01:17:50ce sont des matchs revanches
01:17:52certains
01:17:54de ces matchs sont
01:17:56plus passionnants que d'autres
01:17:58parce que, effectivement, les scores
01:18:00de 2022 avaient été très serrés
01:18:02et donc, on attend
01:18:04avec une certaine impatience, il faut bien le dire
01:18:06de voir comment, par exemple
01:18:08dans la première circonscription des Pyrénées-Atlantiques
01:18:10si Josy Poitou
01:18:12parvient une nouvelle fois
01:18:14à battre
01:18:16Jean-Yves Lalanne, qui sont
01:18:18les deux candidats les plus
01:18:20vraisemblables à se qualifier
01:18:22pour ce second tour. A la différence dans la
01:18:24première, on va commencer la première
01:18:26la gauche se présente divisée, ça c'est peut-être une
01:18:28différence par rapport à 2022 ?
01:18:30Certainement, c'est une différence qu'on a du mal
01:18:32d'ailleurs à s'expliquer
01:18:34tant l'incarnation
01:18:36de la gauche par Jean-Yves Lalanne
01:18:38paraissait tout à fait naturelle
01:18:40et on a effectivement du mal à
01:18:42comprendre pourquoi
01:18:44un jeune candidat
01:18:46provenant de LFI
01:18:48est ainsi retenu
01:18:50l'attention de l'appareil
01:18:52au détriment, il faut bien le dire, d'un vieux
01:18:54routier de la politique, d'un vieux routier de gauche
01:18:56Deux profils différents mais deux affiches
01:18:58qui se ressemblent beaucoup, d'ailleurs c'est assez flagrant
01:19:00on les voit sur les panneaux, un à côté
01:19:02de l'autre, nouveau front populaire
01:19:04front populaire.
01:19:06C'est bien ça
01:19:08l'inconnu
01:19:10non pas seulement du résultat
01:19:12le résultat est probablement
01:19:14beaucoup moins connu a priori
01:19:16que l'affiche, mais on a du mal
01:19:18à comprendre la raison de cette
01:19:20opposition entre deux hommes.
01:19:22Jean Margiot, il y a la deuxième circonscription
01:19:24là c'est le député sortant Modem, Jean-Paul
01:19:26Matéi, président du groupe Modem à l'Assemblée
01:19:28ce serait un gros coup dur pour François Bayrou
01:19:30notamment s'il n'était pas réélu.
01:19:32Oui, ce serait évidemment un très très fort
01:19:34bouleversement
01:19:36pour François Bayrou
01:19:38mais aussi pour l'équilibre
01:19:40centriste
01:19:42dans le Béarn
01:19:44la deuxième circonscription c'est
01:19:46la circonscription historique de François Bayrou
01:19:48certes il avait été battu, rappelons-le
01:19:50en 2014
01:19:52au cours d'une triangulaire
01:19:54par une députée de gauche
01:19:56absolument pas connue
01:19:58cette fois-ci, Jean-Paul Matéi
01:20:00qui est un homme de terrain
01:20:02qui est un élu enraciné
01:20:04ça fait depuis 1981
01:20:06qu'il est conseiller municipal, il a été maire
01:20:08de Gers pendant 20 ans, donc c'est un
01:20:10homme très enraciné
01:20:12et il a face à lui
01:20:14un candidat
01:20:16des écologistes qui
01:20:18n'est pas un homme de ce
01:20:20terrain-là, qui était en
01:20:222022 candidat
01:20:24dans la quatrième
01:20:26donc on peut, c'est un match
01:20:28qui n'est pas un match retour
01:20:30mais c'est un match qui est
01:20:32plus équilibré
01:20:34Julien Brunel pour le Nouveau Front Populaire
01:20:36on va parler aussi dans un instant
01:20:38des candidats du Rassemblement National
01:20:40qui se présentent sur toutes les circonscriptions
01:20:42mais on va peut-être continuer sur la troisième avec David Habib
01:20:44qui n'a pas voulu de l'union de la gauche
01:20:46est-ce que c'est étonnant ou non à vos yeux ?
01:20:48Non, c'est pas du tout étonnant
01:20:50David Habib
01:20:52il ne peut pas
01:20:54par ses convictions
01:20:56je dirais de libéralisme
01:20:58économique, même au sein du
01:21:00Parti Socialiste, également par ses convictions
01:21:02humanistes
01:21:04il ne peut pas rejoindre
01:21:06aujourd'hui dans les termes
01:21:08tels qu'ils ont
01:21:10défini, effectivement
01:21:12la France Insoumise, il ne peut pas
01:21:14s'allier à la France Insoumise, ni même
01:21:16d'ailleurs aux écologistes qui
01:21:18par sa lecture à lui de l'économie
01:21:20et notamment sur le bassin de lac
01:21:22s'opposent régulièrement aux écologistes
01:21:24Il continue à dire qu'il est socialiste
01:21:26c'est ce qu'il nous a encore dit hier
01:21:28Je pense qu'il reste un homme de gauche
01:21:30mais il veut être un homme de gauche libre
01:21:32et il ne veut pas s'affilier à un parti
01:21:34ça lui a pas trop mal réussi en 2022
01:21:36il a été élu
01:21:38plutôt confortablement
01:21:40Au deuxième tour, 66% des voix
01:21:42deux tiers des voix pour lui, on va finir dans le Béarn
01:21:44avec cette quatrième circonscription
01:21:46d'ailleurs, retour de Jean Lassalle
01:21:48face à lui, pas de candidat de la majorité présidentielle
01:21:50on va le préciser dans la troisième, il n'y en a pas non plus
01:21:52il n'y en a pas non plus dans la troisième
01:21:54comme en 2022, la seule fois
01:21:56où il y avait un candidat dans la troisième
01:21:58c'était en 2017 et il avait été
01:22:00lors d'une remontada
01:22:02battue, mais revenons à la quatrième
01:22:04là, c'est
01:22:06le retour de Jean Lassalle
01:22:08bon, c'est évidemment
01:22:10le personnage
01:22:12donne une couleur tout à fait particulière à ce scrutin
01:22:14la vraie question
01:22:16c'est que
01:22:18il a face à lui un jeune
01:22:20candidat
01:22:22socialiste, député sortant
01:22:24et qui de l'avis
01:22:26quand on se promène un peu dans la
01:22:28quatrième et notamment dans la région de
01:22:30Laurent, on dit de lui
01:22:32qu'il a plutôt pas mal fait son boulot
01:22:34et donc là, il vient
01:22:36face au
01:22:38je dirais la figure aspoise
01:22:40dans toute sa dimension
01:22:42aussi bien corporelle
01:22:44qu'intellectuelle
01:22:46et donc
01:22:48est-ce que Jean Lassalle peut
01:22:50remonter sur scène ?
01:22:52c'est là toute la question
01:22:54il s'est beaucoup abîmé dans
01:22:56certains scrutins nationaux
01:22:58il s'est aussi un peu abîmé dans des scrutins
01:23:00comme les européennes
01:23:02et a-t-il aujourd'hui
01:23:04la capacité à reprendre
01:23:06le manche qui a été le sien
01:23:08le bâton du berger aspois
01:23:10et redominer en quelque sorte
01:23:12la scène politique
01:23:14de la quatrième ?
01:23:16c'est un questionnement
01:23:18moi je n'ai pas la réponse
01:23:20il y en aura sans doute une partie de la réponse dimanche soir
01:23:22dimanche soir
01:23:24spécial élection législative
01:23:26sur France Bleu BR Bigorre
01:23:28il est 8h23
01:23:30c'est Jean Marzu notre consultant politique sur France Bleu
01:23:32BR Bigorre qui est notre invité
01:23:34vous souhaitez intervenir pour nous dire
01:23:36est-ce que cette campagne express vous a permis
01:23:38d'y voir plus clair ? Est-ce que vous allez aller voter
01:23:40dimanche ? Est-ce que votre choix est fait ?
01:23:42ferme, définitive ?
01:23:44vous intervenez cette année
01:23:46la vôtre 0559 98 0909
01:23:48Jean Marzu on va aller dans les Hauts-de-Pyrénées
01:23:50avec les deux circonscriptions
01:23:52le département qui est coupé en deux
01:23:54la première, la deuxième
01:23:56là c'est peut-être un peu plus classique le schéma
01:23:58en tout cas on voit vraiment bien ces trois blocs
01:24:00comme au niveau national dans ces deux circonscriptions
01:24:02oui, alors on voit bien
01:24:04ces trois blocs essentiellement dans la seconde
01:24:06mais pour reparler de la première
01:24:08circonscription
01:24:10des Hauts-de-Pyrénées
01:24:12la question c'est là aussi
01:24:14comme pour la première des Pyrénées Atlantiques
01:24:16va-t-on assister à un match retour ?
01:24:18c'est-à-dire que entre
01:24:20la députée sortante
01:24:22Sylvie Ferrer
01:24:24et son candidat
01:24:26et son opposant battu la dernière fois
01:24:28Jean-Bernard Sampastou
01:24:30est-ce que ils vont
01:24:32rejouer un match ? Avec une inconnue
01:24:34cette fois-ci c'est évidemment la présence
01:24:36d'une
01:24:38candidate
01:24:40c'est une candidate
01:24:42Marie-Christine Sorin du Rassemblement National
01:24:44du Front National qui
01:24:46a fait un peu parler d'elle cet an dernier
01:24:48a-t-elle là aussi
01:24:50la possibilité
01:24:52de récupérer les voix
01:24:54portées sur les figures nationale
01:24:56du Front National
01:24:58du Rassemblement National
01:25:00a-t-elle la capacité
01:25:02à attirer vers elle toutes ces voix
01:25:04pour apparaître comme une troisième
01:25:06voix dans cette circonscription
01:25:08ça reste difficile
01:25:10à prédire aujourd'hui
01:25:12dans la deuxième circonscription
01:25:14c'est Benoît Mournet qui est le député sortant
01:25:16donc de la majorité présidentielle
01:25:18face aussi à un candidat
01:25:20de gauche
01:25:22le candidat de la majorité
01:25:24sortante
01:25:26c'est un jeune député, il a fait que deux ans
01:25:28a-t-il eu le temps de s'installer
01:25:30dans sa fonction
01:25:32même s'il est soutenu par un certain
01:25:34nombre de personnalités
01:25:36a-t-il véritablement marqué son territoire
01:25:38il a en face de lui un candidat
01:25:40du Front Populaire
01:25:42qui est vice-président
01:25:44de l'agglomération
01:25:46qui est un élu
01:25:48connu, qui a un certain nombre de relais
01:25:50et puis il a aussi
01:25:52face à lui
01:25:54un responsable
01:25:56Rassemblement National
01:25:58Olivier Monteil
01:26:00qui sont relativement présents
01:26:02et qui a en tous les cas
01:26:04beaucoup d'ambition dans ce scrutin
01:26:06Le candidat à un nouveau Front Populaire
01:26:08c'est Denis Feynier qui était notre invité aussi hier
01:26:10sur France Bleu Berne Vigore
01:26:12deux thèmes qu'on va aborder ensemble encore
01:26:14Jean Marzio, il nous reste quelques minutes
01:26:16le thème de la participation
01:26:18parce qu'on l'annonce élevé
01:26:20participation en hausse, est-ce que ça veut dire
01:26:22qu'il y aura peut-être
01:26:24des triangulaires chez nous
01:26:26on rappelle qu'en 2022 il n'y a qu'eu des duels au deuxième tour
01:26:28Oui
01:26:30c'est sans doute un des
01:26:32vrais enjeux de cette élection
01:26:34on sait que de toute façon
01:26:36les Pyrénées Atlantiques comme la Bigore sont plutôt
01:26:38des bons élèves en matière de participation
01:26:40en général
01:26:42ici par exemple
01:26:44sauf les dernières mais traditionnellement
01:26:46on vote à plus de 60%
01:26:48même, rappelons-nous
01:26:50pour les plus anciens, en 97
01:26:52lors de la précédente dissolution, on a voté
01:26:54à 69%
01:26:56si on atteint ce stade
01:26:58de participation
01:27:00ça permettra
01:27:02à beaucoup de candidats
01:27:04de pouvoir être également
01:27:06sélectionnés pour le deuxième tour
01:27:08et donc du coup la création triangulaire
01:27:10avec la question du maintien, du désistement
01:27:12ou du troisième
01:27:14et cette question là
01:27:16elle est fondamentale, parce que si
01:27:18vous êtes trois abrigués
01:27:20évidemment vous allez
01:27:22les parts du gâteau si je puis dire
01:27:24vont être partagées
01:27:26avec beaucoup plus de difficultés
01:27:28s'il y a des reports
01:27:30alors là il va falloir que l'on
01:27:32mesure d'abord
01:27:34où iront ces reports
01:27:36et ensuite s'ils seront respectés
01:27:38ou pas, donc ça crée des inconnus
01:27:40bien supérieurs
01:27:42à un duel classique
01:27:44et un dernier mot, il nous reste quelques secondes sur
01:27:46les chances d'avoir un député
01:27:48Rassemblement National
01:27:50en Berne et en Bigore, justement en quête triangulaire
01:27:52ce sera peut-être l'un des enjeux
01:27:54est-ce que ce serait historique d'ailleurs, inédit chez nous ?
01:27:56Alors, c'est le seul
01:27:58moyen effectivement pour le Front National
01:28:00il me semble, de pouvoir
01:28:02briguer un siège
01:28:04dans les Pyrénées Atlantiques
01:28:06il y a eu une fois un député
01:28:08d'extrême droite qui a été élu
01:28:10à deux reprises d'ailleurs, avant
01:28:121940 et entre
01:28:141950 et 1958
01:28:16c'est Jean-Louis Tixier-Vignancourt
01:28:18qui était
01:28:20qui a créé en partie
01:28:22le Front National et qui a été
01:28:24qui a eu comme directeur de campagne
01:28:26aux présidentielles de 1965, je crois
01:28:28Jean-Marie Le Pen, voyez-vous
01:28:30c'est quelqu'un qui a
01:28:32a hortaise, a été élu
01:28:34et c'est un cas unique
01:28:36mais les Pyrénées Atlantiques ne sont pas habitués à cela
01:28:38parce que par singularité
01:28:40c'est un département de modération
01:28:42politique depuis un siècle et demi
01:28:44et donc cette modération politique
01:28:46il faudrait vraiment qu'il y ait un séisme
01:28:48pour qu'elle soit en quelque sorte
01:28:50bousculée.
01:28:52Merci beaucoup Jean-Marzio d'être venu
01:28:54nous apporter votre analyse ce matin
01:28:56sur France Bleu, Berne, Bigorne, on vous retrouvera
01:28:58dès 19h30 soirée électorale
01:29:00pour suivre évidemment
01:29:02ce premier tour des dimanche soir
01:29:04avec vous, avec toute l'équipe
01:29:06évidemment de France Bleu, Berne, Bigorne, nous serons sur le terrain
01:29:08pour vous faire vivre cette
01:29:10campagne assez inédite et peut-être
01:29:12ce tournant politique en Berne et en Bigorne
01:29:14Merci Jean-Marzio.
01:29:16Spécial élection législative
01:29:18à retrouver en podcast
01:29:20sur francebleu.fr
01:29:22et sur l'appli ici.
01:29:24Dans quelques instants sur France Bleu, Berne, Bigorne
01:29:26le journal de 8h30 avec vous
01:29:28Sophie Péridieu et nous allons parler
01:29:30d'un trafic de chats.
01:29:32Il y a eu un trafic de chats pendant un an
01:29:34et demi, c'était hier
01:29:36au tribunal de Pau, ils vendaient
01:29:38des chats soi-disant de race mais qui n'en étaient pas
01:29:40et qui étaient même parfois malades.
01:29:42On reviendra sur le débat d'hier soir
01:29:44sur la télévision à trois jours du premier tour
01:29:46de ces élections législatives. La campagne officielle
01:29:48se termine ce soir et puis on verra
01:29:50pourquoi les enseignants du collège
01:29:52d'Oloron, le collège Christian Dorem
01:29:54restent mobilisés
01:29:56et dénoncent leur situation
01:29:58avec un préavis de grève pour la rentrée.
01:30:00Ici Matin,
01:30:02revient dans un instant.
01:30:06Tous les matins sur France 3
01:30:08accompagnez-moi dans Outre-mer-le-Mag
01:30:10en compagnie de mes nouveaux
01:30:12complices Sanji et Max.
01:30:14Nous passerons des moments chaleureux pour une approche
01:30:16authentique des identités ultramarines
01:30:18qui ont tant à partager.
01:30:20Aujourd'hui, je t'emmène au bord de l'eau. J'adhère tout de suite.
01:30:22Des reportages de l'évasion,
01:30:24de la gourmandise et un portrait qui vous
01:30:26plongeront dans le quotidien des populations
01:30:28des Outre-mer. On est en parfaite
01:30:30harmonie avec la nature. C'est un voyage
01:30:32au cœur des Outre-mer qui vous attend.
01:30:34Présenté par Brice-Laurent Dubois,
01:30:36Outre-mer-le-Mag, du lundi au vendredi
01:30:38à 11h15, suivi de Outre-mer
01:30:40pour plus d'infos sur France 3 et sur la plateforme
01:30:42France.tv
01:31:06France Bleu Berne Bigorre, ici
01:31:08on parle d'ici.
01:31:10Il est 8h30, vous écoutez France Bleu Berne Bigorre,
01:31:12nous sommes vendredi le 28 juin,
01:31:14de très belles températures, pas mal de nuages,
01:31:16quelques gouttes de pluie possibles
01:31:18et cet après-midi, des éclaircies. On fait un point complet
01:31:20sur la météo du jour en Berne et en Bigorre, juste après votre
01:31:22journal, Sophie Péridieu.
01:31:24Le tribunal
01:31:26de Pau s'est penché hier sur une affaire de trafic
01:31:28de chats pendant un an
01:31:30et demi entre 2019 et
01:31:322021 dans le département des Pyrénées-Atlantiques.
01:31:34Ce sont trois hommes et deux femmes
01:31:36qui ont arnaqué des dizaines
01:31:38de personnes à qui ils ont revendu
01:31:40très cher des petits chats.
01:31:42Des petits chats qui n'étaient pas de race mais présentés comme
01:31:44tels. Et pour vendre ces chats,
01:31:46ils ont usurpé des numéros cirètes d'animalerie
01:31:48et d'élevage. Les chats étaient
01:31:50croisés en fait et certains pas vaccinés.
01:31:52C'est la SPA qui avait signalé
01:31:54ce trafic. Chantal est éleveuse
01:31:56en région parisienne, elle a été victime de ce
01:31:58trafic et elle a témoigné hier devant la justice
01:32:00pour faire passer un message.
01:32:02Comme je l'ai dit au tribunal, j'ai été très très
01:32:04en colère parce que moi je suis
01:32:06responsable d'une association
01:32:08qui est reconnue
01:32:10de race. De plus, à cette époque-là
01:32:12j'avais moi-même
01:32:14des orientaux et des siamois à vendre
01:32:16et eux faisaient
01:32:18passer une annonce avec
01:32:20un birman et ils marquaient
01:32:22que le birman était croisé
01:32:24avec un siamois.
01:32:26Ça veut rien dire du tout donc la morale
01:32:28attirée de tout ça je crois c'est de
01:32:30voir un éleveur, de s'arranger
01:32:32avec lui pour payer en plusieurs fois
01:32:34moi c'est ce que je fais, le chat
01:32:36plutôt que d'acheter comme ça a été
01:32:38dit sur un coin de parking
01:32:40un chat qu'on sait pas d'où il sort
01:32:42s'il est malade
01:32:44et ça évitera des problèmes.
01:32:46Alors les acheteurs avaient payé en effet entre
01:32:48200 et 500 euros ces chatons alors que
01:32:50des chats de race peuvent valoir jusqu'à 1500 euros.
01:32:52La décision du tribunal
01:32:54sera rendue sur cette affaire le 5 septembre.
01:32:56Le parquet requit des peines
01:32:58à l'ordonnant de prison ferme à 105
01:33:00heures de travaux d'intérêt
01:33:02général.
01:33:04Le corps du randonneur anglais de 71 ans
01:33:06porté disparu depuis lundi
01:33:08en Vallée d'Asse a été retrouvé hier.
01:33:10Ce sont les secours espagnols de la
01:33:12guardia civil qui l'ont localisé hier après-midi
01:33:14côté Navaret. Le peloton de gendarmerie
01:33:16de Haute-Montagne de Laurent avait lancé un
01:33:18appel à témoins et les recherches
01:33:20avaient été organisées sur le secteur
01:33:22d'Urdos donc en vain la découverte
01:33:24de ce corps côté espagnol. Et puis la gendarmerie
01:33:26a lancé un nouvel appel à témoins cette fois
01:33:28hors thèse pour une disparition d'un homme de 78 ans.
01:33:30Il n'a plus donné signe de vie depuis
01:33:32mardi à sa famille. Il a des problèmes cardiaques.
01:33:34Vous retrouvez les infos sur francebleu.fr
01:33:36A trois jours du premier
01:33:38tour des législatives
01:33:40et alors que la campagne officielle se termine
01:33:42ce soir, c'était le dernier débat
01:33:44télé hier. Plus de deux heures
01:33:46d'échange entre Jordan Bardella
01:33:48du Rassemblement National, Olivier Faure
01:33:50pour le Parti Socialiste
01:33:52qui représentait le Nouveau Front Populaire et Gabriel Attal
01:33:54le toujours Premier ministre
01:33:56pour la majorité présidentielle. Et de nombreuses questions
01:33:58évidemment ont été abordées entre les trois
01:34:00dans la fameuse hausse du SMIC
01:34:02puisque le Nouveau Front Populaire
01:34:04propose son augmentation.
01:34:06On écoute Olivier Faure et Jordan Bardella.
01:34:08Moi ce que je vous dis c'est qu'aujourd'hui
01:34:10vivre avec le SMIC c'est impossible.
01:34:12Est-ce que vous avez déjà, vous, vécu
01:34:14avec le SMIC 1400 euros
01:34:16240 euros à peine
01:34:18au-dessus du seuil de pauvreté.
01:34:20Est-ce que c'est digne ça ?
01:34:22Est-ce que vous qui parlez en permanence de la valeur du travail
01:34:24pourquoi ne voulez-vous pas lui donner
01:34:26une valeur ?
01:34:28Je continue jusqu'au bout.
01:34:30Ça représente
01:34:322% de la masse salariale.
01:34:34Ce sont 60%
01:34:36des femmes qui sont au
01:34:38SMIC aujourd'hui. Souvent des
01:34:40femmes qui élèvent seules leurs enfants.
01:34:42Alors est-ce que vraiment
01:34:44nous ne pouvons pas dans la
01:34:466ème, 7ème puissance économique mondiale
01:34:48nous ne pouvons pas aujourd'hui
01:34:50arriver à augmenter le
01:34:52SMIC de 200 euros ? La réponse
01:34:54est évidemment oui.
01:34:56Alors Olivier Faure pour le Nouveau Front Populaire.
01:34:58Jordan Bardella pour le Rassemblement National.
01:35:00Le Premier Ministre Gabriel Attal
01:35:02a lui reproché notamment à son rival
01:35:04d'extrême droite de présenter une centaine de
01:35:06candidats ayant tenu des propos racistes, antisémites
01:35:08ou homophobes.
01:35:10Pour retrouver évidemment le résumé
01:35:12de ce débat sur francebleu.fr
01:35:14Il y a eu aussi des nouvelles manifestations
01:35:16contre l'extrême droite hier soir dans toute la France.
01:35:18Apparaît plusieurs milliers de personnes.
01:35:20Il y a eu des rassemblements aussi dans d'autres villes
01:35:22dont Tarbepo où ils étaient une centaine
01:35:24à chaque fois rassemblés en fin de journée, un petit peu moins
01:35:26évidemment que samedi dernier.
01:35:28Quant à Emmanuel Macron, il avait pourtant promis
01:35:30de se mettre en rentrée de la campagne mais depuis Bruxelles
01:35:32il a dénoncé cette nuit l'arrogance du Rassemblement
01:35:34National qui selon lui se partage
01:35:36déjà les postes du gouvernement.
01:35:38Et puis aux Etats-Unis c'était le premier débat
01:35:40entre Joe Biden et Donald Trump, tous deux candidats
01:35:42à la présidentielle. Le président actuel
01:35:44a déclaré s'être bien sorti du débat
01:35:46alors que les réactions à sa prestation
01:35:48sont plus mitigées jusque dans son camp.
01:35:50Le républicain lui est apparu
01:35:52très à l'aise, assurant que son rival faisait
01:35:54du mauvais travail. De son côté
01:35:56Joe Biden a accusé Donald Trump de
01:35:58mentir.
01:36:008h36 on poursuit ce journal sur France Bleu
01:36:02Berne Bigor avec les enseignants du collège
01:36:04Doloron-Sainte-Marie qui restent mobilisés.
01:36:06Déjà en mars ils avaient organisé une opération
01:36:08collège mort pour dénoncer la situation
01:36:10dans leur établissement et bien cette fois
01:36:12ils ont déposé un préavis de grève pour la
01:36:14rentrée de septembre. Ils demandent l'ouverture
01:36:16d'une classe supplémentaire de quatrième au collège
01:36:18Tristan de Rheim. Il y en a déjà trois
01:36:20mais selon eux les effectifs sont beaucoup
01:36:22trop importants et risquent de l'être encore plus
01:36:24l'année prochaine et donc les classes seront
01:36:26surchargées. Ils ont donc écrit
01:36:28une lettre mardi à l'inspecteur d'académie
01:36:30pour lui demander l'ouverture de cette classe.
01:36:32Ils expliquent qu'il y a pour l'heure 87
01:36:34inscriptions réelles pour trois classes, qui fait
01:36:3629 enfants par classe, mais
01:36:38que des élèves peuvent s'ajouter.
01:36:40Il y a eu notamment des arrivées
01:36:42cette année, des arrivées assez conséquentes.
01:36:44Virginie Lopez est professeure
01:36:46d'espagnol et représentante des personnels
01:36:48enseignants et d'éducation.
01:36:50On a très peur d'avoir des effectifs
01:36:52très chargés. On a même peur
01:36:54de dépasser les 30 élèves par classe
01:36:56sachant qu'on avait déjà signalé que
01:36:58nos classes ne sont pas dimensionnées pour
01:37:00accueillir autant d'élèves. Par exemple
01:37:02dans les salles de sciences, les élèves
01:37:04sont assis face à des paillasses et
01:37:06à côté on est obligé de rajouter
01:37:08des tables au milieu du couloir
01:37:10qui gênent la circulation.
01:37:12Les élèves sont tout à fait conscients de la situation.
01:37:14D'ailleurs les élèves eux-mêmes le disent régulièrement
01:37:16le temps remonté chez eux.
01:37:18C'est trop, on est trop dans la classe.
01:37:20Les élèves qui sont aussi
01:37:22en difficulté, certaines vous avez
01:37:24même parlé de partir dans le
01:37:26privé parce que
01:37:28les effectifs sont moins chargés.
01:37:30Donc oui, on arrive à des
01:37:32situations quand même vraiment très délicates.
01:37:34Les représentants du personnel aimeraient
01:37:36une réponse au plus vite bien sûr pour pouvoir
01:37:38organiser au mieux la rentrée de
01:37:40septembre. A Oleron-Toujours
01:37:42ce sont une trentaine de personnes qui se sont rassemblées
01:37:44pour protester contre la fermeture de l'abattoir
01:37:46de la ville.
01:37:48Une manifestation qui s'est déroulée dans le calme
01:37:50indique la gendarmerie.
01:37:52Il y a du top 14 ce soir
01:37:54la finale du top 14
01:37:56et c'est une première en rugby. C'est au stade
01:37:58Vélodrome de Marseille et en plus c'est
01:38:00le tenant du titre, le stade Toulousain qui affronte
01:38:02l'UBB, l'Union Bordeaux-Bègle qui
01:38:04dispute sa première finale. C'est à
01:38:0621h05 et puis
01:38:08en athlétisme, la retraite de Christophe
01:38:10Lemaitre, 34 ans, médaille olympique
01:38:122016 sur 200 mètres. Il met un terme
01:38:14à sa carrière et ne participera pas au
01:38:16JO. Le corps n'arrivait pas
01:38:18à suivre, a-t-il expliqué après
01:38:20une blessure au mollet. Il aurait
01:38:22été le premier sprinter blanc sous les 10 secondes
01:38:24au 100 mètres.
01:38:28Il y a un moment où le corps n'arrive plus à suivre.
01:38:30Non mais il faut écouter son corps.
01:38:32Là notre corps nous dit que c'est l'heure de prendre
01:38:34le petit déjeuner je crois.
01:38:36A 8h38.
01:38:38Pour les auditeurs et les téléspectateurs
01:38:40de France 3 Postes.
01:38:42Nous on va attendre que l'émission se termine à 9h.
01:38:44L'occasion pour nous d'aller voir un petit peu
01:38:46ce qu'il se passe dans le ciel.
01:38:48On ne peut pas voir grand-chose puisqu'il
01:38:50fait très nuageux, temps couvert.
01:38:52Aujourd'hui, toute la journée
01:38:54peut-être quelques
01:38:56éclaircies cet après-midi.
01:38:58Mais il faut le dire vite. De la bruine
01:39:00ce matin, des pluies résiduelles.
01:39:02Est-ce que le tenant reste sec la journée ?
01:39:04C'est ce que Météo France
01:39:06nous dit. Mais des averses ne sont pas
01:39:08à exclure en fin de journée, la nuit prochaine,
01:39:10voire demain samedi.
01:39:12Côté température par contre, et c'est ça qui est très gênant
01:39:14et on ne sait pas comment s'habiller, c'est qu'il fait
01:39:16gris, il fait pluvieux, il fait humide
01:39:18et il fait chaud.
01:39:20Il fait très chaud. Peau, 27°C
01:39:22cet après-midi. Lembey 25°C
01:39:24Bagnères de Bigorre 24°C. Mourinx
01:39:2627°C. Hortès 28°C.
01:39:28Maille 26°C. Ce matin
01:39:30à peau chez Raphaël, 19°C.
01:39:32Danson chez Jocelyne, 17°C
01:39:34et à l'Estel Bétarame chez Philippe,
01:39:3620°C.
01:39:40Il est 8h39.
01:39:48C'est la dernière matinale
01:39:50semaine filmée
01:39:52de la saison.
01:39:54On fonctionne un petit peu comme les périodes scolaires
01:39:56à la radio. Nous allons
01:39:58pouvoir nous retrouver
01:40:00à la télé sur France 3
01:40:02au Sud-Aquitaine au mois de septembre.
01:40:04Oui, les caméras aussi ont besoin
01:40:06de faire une petite pause. Par contre,
01:40:08zéro pause pour l'équipe de France Bleu
01:40:10Berne-Bigorre. Si effectivement
01:40:12on passe en format été
01:40:14à partir de lundi, l'équipe est là.
01:40:16Elle vous accompagnera tous les matins.
01:40:18Rassurez-vous,
01:40:20on ne va pas changer vos habitudes ni les nôtres.
01:40:22Il y aura quelqu'un pour vous réveiller
01:40:24à partir de 6h.
01:40:26Lundi prochain, dont vous Sophie d'ailleurs
01:40:28vous serez là.
01:40:30Avec évidemment une émission spéciale sur France Bleu Berne-Bigorre
01:40:32à la suite des élections.
01:40:34Vous vous en doutez sûr.
01:40:36On est bien d'accord.
01:40:38Mais que sur France Bleu Berne-Bigorre,
01:40:40la télé fait
01:40:42une petite pause. Mais on reviendra
01:40:44au mois de septembre en pleine forme.
01:40:46Dans quelques instants, l'affaire classée.
01:40:48Cinquième et dernier épisode
01:40:50du dossier de la semaine.
01:40:52Dati Marie avec Thierry Sagardoïto.
01:40:54En attendant, c'est la musique.
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01:54:58On l'a dit tout à l'heure, je le redis, je ne peux pas, mais c'est pas grave, ce n'est pas un bruit
01:55:04animal. Ok ? Le numéro à compter pour nous rejoindre, 0559 98 0909. France Bleu Bern, Bigorne,
01:55:15à votre service, avec Anna Luciani. Bien le bonjour Anna. Bonjour Émilie. Est-ce que c'est un
01:55:21bruit végétal ? Non, parce qu'on nous l'a proposé ce week-end avec Yannick Damont, vous savez le
01:55:28bruit de la feuille qu'on cale dans les doigts et on souffle, c'est ce que j'ai jamais réussi à
01:55:32faire d'ailleurs, alors ça n'est pas ça non plus. Donc ça n'est pas végétal non plus. Ça fait un
01:55:36peu un bruit de trompette ce que vous expliquez là avec les plantes, c'est plutôt grain sement,
01:55:41je ne sais pas, bon bref. Les auditeurs vont venir nous rejoindre. Oui, ils vont nous dire,
01:55:45ils ont plein d'imagination, on l'a vu, c'est de plus en plus précis aussi les réponses à
01:55:49cette question. Il y en a qui reviennent souvent des propositions, je ne vais pas en dire une,
01:55:52mais il y en a une qui revient régulièrement. Le volet, on a entendu le volet. On a dit volet,
01:56:01mais on a dit tiède aussi quand on dit violet. Quand on porte la porte aux fenêtres, on a dit
01:56:06froid. En même temps, quand on la ferme, on n'a pas le droit de le dire. On ne connaît pas la
01:56:15réponse. De toute façon, on aura de nouveau une proposition de volet. C'est le dernier jour,
01:56:19on se lâche, non ? On va en dire un peu plus que d'habitude. Dernier jour avant les vacances. Les
01:56:25vacances, on va en parler d'ailleurs tout à l'heure dans la boîte service. C'est ça,
01:56:28tout à fait, à partir de 9h et jusqu'à 10h. On parlera des bonnes pratiques pour sécuriser son
01:56:32compte bancaire avec un banquier. C'est Laurent Delaunay, il est à la fois aussi président de
01:56:37la fédération des banques ici. Il va vous donner ses conseils pour éviter les arnaques sur votre
01:56:41compte. Le piratage de votre carte bancaire sur internet, ça arrive de plus en plus souvent.
01:56:45Comment éviter ça ? Et puis, comment protéger tout ça surtout ? Et puis, on vous pose la
01:56:49question sur Facebook. Pour les vacances, quel moyen de paiement utilisez-vous ? C'est vrai que
01:56:55c'est un mot, Facebook. Quand vous vous déplacez, vous êtes plutôt espèce ou carte bleue ? Et pour
01:57:02les réservations en ligne, avez-vous peur du piratage ? Vous nous répondez. Il y a quelques
01:57:06commentaires, on va vous les dire tout à l'heure à partir de 9h. Oui, on dit face de bouc aussi,
01:57:11j'entendais. On va manger de la viande. Un plateau de charcuterie que va nous apporter Thomas
01:57:22Crémer. C'est un boucher charcutier. Il est installé à Gant. Ça fait trois ans qu'il est
01:57:26là. En fait, il a repris une institution. C'était la boucherie Motard qui était là depuis 30 ans,
01:57:31que tout le monde connaissait. Si vous êtes gantois, vous connaissez forcément cette adresse.
01:57:35Et lui s'est installé là. Il vient de Moselle. Alors, il fait du pâté lorrain. Il va nous faire
01:57:40déguster ça, si vous le connaissez. Vous aimez bien ses feuilletés, d'après ce qu'il m'a dit.
01:57:44Ça, je ne connais pas trop. On va découvrir. Mais il a toutes les spécialités du coin aussi.
01:57:49On va en parler dans l'émission. A partir de 10h. Dans quelques instants,
01:57:53on vous accueille pour le bruit qui court. L'occasion pour nous de saluer les téléspectateurs
01:57:57de France 3. On vous souhaite de passer de bonnes vacances. On se retrouve le 9 septembre. Mais on
01:58:01reste évidemment avec toute l'équipe sur France Bleu, Bernie Gorges. Sophie Perridi, bonne vacances.

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