Aujourd'hui dans "Punchline", Olivier de Keranflec’h et ses invités débattent des propos polémiques de Jean-Luc Mélenchon sur les assassinats de policiers.
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00:00Et de retour sur le plateau de Punchline sur CNews et Europe 1, bienvenue si vous nous
00:22rejoignez autour de ce plateau, Véronique Jacquier, Vincent Roy, Louis Dragnel, Nathan
00:27Devers. A deux jours du premier tour des élections législatives, et bien Jean-Luc
00:31Mélenchon a fait une nouvelle apparition remarquée. Interrogé chez nos confrères
00:35de M6 sur les slogans hostiles à la police lancés lors des manifestations contre le
00:39RN, il a invoqué le droit à l'humour écouté.
00:43Dans les cortèges qui vous soutiennent souvent en tant qu'un flic mort, c'est un vote pour
00:49le RN en moins. Ou que tout le monde déteste la police. Qu'est-ce que vous dites aux gens
00:53qui disent ça ? Je ne dis pas que vous dites ça, je dis qu'est-ce que vous dites à ceux
00:56qui disent ça. C'est absurde, mais on a le droit de rigoler aussi non ? Pas sur la
01:00mort des gens, mais quand des gamins disent... C'est pas drôle. Non mais bien sûr que c'est
01:04pas drôle.
01:05Voilà, on a le droit de rigoler, s'est-il exclamé, ce qui a choqué de nombreux français
01:09bien évidemment. Marine Le Pen, également sur le plateau de CNews et Europe 1, ce matin
01:13a réagi, écoutez.
01:14Qu'un responsable de ce niveau, qui envisage d'être premier ministre de la France, puisse
01:22ainsi presque inciter ou couvrir les agressions qui sont commises à l'égard de nos forces
01:31de l'ordre, m'apparaît quelque chose de terriblement inquiétant.
01:35Un petit rappel, peut-être, pour les auditeurs d'Europe 1 et les téléspectateurs de CNews.
01:39En janvier 2022, Jean-Luc Mélenchon avait réagi à des slogans lancés, des slogans
01:43qui disaient tout le monde déteste la police, en jugeant qu'il y a beaucoup de monde qui
01:47déteste la police, il est temps de s'en rendre compte. Ça c'était Jean-Luc Mélenchon,
01:50en janvier 2022.
01:51Juin 2022, il publiait un tweet, on s'en souvient tous, dans lequel il affirmait que la police
01:56tue.
01:57Et en 2023, Jean-Luc Mélenchon, qui avait accusé les forces de l'ordre de procéder
02:00à des interpellations arbitraires injustifiées lors des manifestations contre la réforme
02:04des retraites, il parlait de dérives inacceptables qui seraient, je le cite encore, dignes d'un
02:09pays autoritaire.
02:10Aujourd'hui, il persiste et signe, finalement, à quoi joue Jean-Luc Mélenchon ?
02:14À faire monter Le Pen, enfin Bardella, à le faire monter, à le faire accéder au pouvoir,
02:23à espérer, à prier que pendant trois ans il se cache la figure et de se présenter
02:29comme un recours possible après trois ans d'un gouvernement Bardella.
02:33Donc une stratégie, tout est réellement pensé, quand il invoque le droit à l'humour, derrière
02:38il a s'y met.
02:39Non mais Mélenchon est tout sauf un imbécile. C'est un calculateur, c'est un trotskiste,
02:42c'est un artiste.
02:43Il sait très bien quelle partition il joue et sur le piano, il sait parfaitement poser
02:50les doigts pour que ça résonne à un moment ou à un autre.
02:53Nathan Devers.
02:54À quoi joue Jean-Luc Mélenchon, demandez-vous ?
02:56Voilà, c'est la question !
02:57Je pense qu'il joue à un jeu qui est précisément lié à la décomposition de la démocratie
03:00dont je parlais tout à l'heure, qui est le jeu du deux poids et deux mesures.
03:03Jean-Luc Mélenchon, c'est l'homme qui veut sortir de la Ve République pour la déprésidentialiser,
03:08perspective que je trouve assez intéressante en soi, et qui est l'homme politique le plus
03:12autoritaire du mouvement, qui est le sien, tant et si bien qu'il a récemment organisé
03:17une purge pour écarter les personnes qui s'étaient un peu trop manifestées dans la
03:23critique en interne.
03:24Jean-Luc Mélenchon est celui, dans les rappels que vous avez faits, il y en a peut-être
03:27un qu'on pourrait aussi ajouter, quand il y a quelques temps, il avait été visé
03:31par de l'humour qui n'était pas drôle, qui était de l'humour qui s'en prenait
03:34à sa personne, de papacito.
03:36Vous vous souvenez, qui frappait ou qui tirait sur une sorte de mannequin qui était habillé
03:41en militant à l'FI.
03:42Là, Jean-Luc Mélenchon ne trouvait pas ça drôle du tout, il disait on s'en prend
03:47à ma personne, c'est extrêmement dangereux, on nous met en danger, vous voyez bien que
03:50c'est un humour, que l'humour est dangereux, que l'humour peut tuer.
03:52Et alors, Jean-Luc Mélenchon, quand c'est ça, il le dit, et il avait sans doute raison
03:56de le dire sur papacito, mais quand lui, il se permet de cautionner des phrases disant
04:01un policier mort, c'est pas de dire un policier agressé, c'est un appel à la mort, c'est
04:06très différent.
04:07Et là, il trouve ça drôle, vous avez un exemple flagrant de deux poids et deux mesures.
04:11Alors la question est, comme vous l'avez dit, un homme politique intelligent, qui
04:15est loin d'être amnésique, qui est sans doute l'homme politique le plus cultivé
04:17aujourd'hui, qui fait du deux poids deux mesures en toute connaissance de cause, à
04:21quoi joue-t-il, sinon à discréditer, en permanence, quotidiennement, jour après jour,
04:26heure après heure, sa parole ?
04:28Et on pourrait ajouter qu'il a porté plainte contre le cinéaste, l'acteur Olivier Marchal,
04:32qui comparaissait d'ailleurs aujourd'hui devant le tribunal, pour un injure publique
04:36et manifeste, c'est-à-dire qu'il ne supporte pas non plus quand, eh bien, la contradiction
04:40sa personne est sacrée.
04:41Déjà, le postulat de départ, c'est que sa personne est sacrée, on n'a pas le droit
04:44même de lui reprocher quoi que ce soit, Jean-Luc Mélenchon, c'est très spécial dans la
04:48vie politique.
04:49Moi, ce qui me frappe, c'est qu'il y a deux possibilités, soit son discours, son propos
04:52est sincère, soit il est uniquement électoraliste.
04:54Les deux possibilités sont cumulatives.
04:57Dans les deux cas, il y a une chose qui est nouvelle, c'est que ce discours passe et les
05:04plus grandes responsables politiques peuvent épouser ces théories-là, comme peuvent
05:08maintenant épouser des théories et défendre des théories antisémites.
05:11Et l'interprétation que moi, je trouve particulièrement inquiétante, c'est que ça paye, ce discours
05:17électoralement paye, puisque la France insoumise a des scores qui ont été en progression
05:22lors des dernières élections européennes.
05:24Et je termine simplement d'un mot là-dessus et promis, Véronique, je vous cède respectueusement
05:28la parole.
05:29On écoutera Éric Lecrel aussi.
05:30Ce qui me frappe le plus, c'est que Jean-Luc Mélenchon est bien content d'avoir des policiers
05:35pour assurer sa sécurité et sa protection.
05:38Vous savez que quand tous les candidats à l'élection présidentielle qui sont assez
05:41bien placés dans les intentions de vote sont placés sous protection policière, c'est-à-dire
05:47qu'il y a une équipe de policiers qui, systématiquement, il y a une équipe de précurseurs qui vient
05:52avant ces déplacements vérifier que tout est en ordre.
05:55Il y a des gens qui l'accompagnent, qui le suivent, il a un chauffeur, une voiture avec
05:58gyrophare et tout ça.
05:59Et donc, des gens qui sont à son service.
06:00Et ces gens-là qui sont à son service, je me dis, c'est quand même, c'est complètement
06:04lunaire et c'est complètement amoral de pouvoir à la fois se satisfaire de la protection
06:11de la police quand lui-même est menacé et quand il est en pleine élection, en pleine
06:16campagne, être capable de dire, de tenir de tels propos aussi insultants sur des policiers
06:22dont il a tant besoin.
06:23Et sachant, sachant, Véronique Jacquier, que l'hypothèse de voir Jean-Luc Mélenchon
06:28à Matignon, elle est toujours dans l'étui, ou en tout cas, elle est évoquée.
06:31Je vous donne la parole tout de suite, mais on va écouter Éric Coquerel, justement,
06:34qui s'exprimait ce matin sur cette perspective de voir le leader des Insoumis à Matignon.
06:40Écoutez.
06:41Cette semaine, Jean-Luc Mélenchon a dit qu'il ne revendiquait rien, qu'il irait là où
06:44c'est utile, qu'il y avait y compris au sein de France Insoumise plusieurs problèmes
06:48pour le personnel de première ministre.
06:49Il l'a dit sur France 2 notamment.
06:50Moi d'ailleurs.
06:51Donc, il a clairement mis les choses sur la table.
06:54Maintenant, pourquoi ?
06:55Mais il ne s'exprime pas de ce poste non plus.
06:57Pourquoi ?
06:58D'un point de vue, pourrions-nous entendre le fait que, par exemple, Fabien Roussel s'imagine
07:04premier ministrable, avec les scores qui sont ceux du Parti communiste, et que Jean-Luc
07:09Mélenchon, 22% il y a deux ans à la présidentielle, qui n'est pas pour rien dans le fait que
07:13le nouveau Front populaire existe, que la gauche soit à nouveau au rendez-vous dans
07:16le pays ?
07:17Non.
07:18Mais d'accord.
07:19Mais pourquoi voudriez-vous qu'il estime que sa candidature ne serait même pas admissible ?
07:25On l'entend, Véronique Jacquy, le cas Mélenchon divise bien évidemment au sein du nouveau
07:30Front populaire.
07:31Mais après avoir dit qu'il était prêt à gouverner, il a assuré être candidat
07:34à rien.
07:35Peut-on véritablement le croire ?
07:36Non.
07:37On le sent que ça circule encore, cette hypothèse.
07:39Non, mais comment croire en Jean-Luc Mélenchon ?
07:41Souvenez-vous, après la présidentielle, la dernière présidentielle, il avait déjà
07:45fait un espèce de coup de jarnac en sortant du chapeau qu'il allait être premier ministre
07:51oui, pour cristalliser déjà les votes sur sa personne au législatif.
07:55Ce n'est pas la première fois qu'il nous fait le coup.
07:57Moi, je trouve qu'il devient extrêmement dangereux.
08:00Et quand on met en avant le fait qu'il est cultivé, je rappelle que les Khmers rouges
08:04étaient des gens extrêmement cultivés, qui avaient tous fait leurs études en France.
08:08C'était des universitaires, ça ne les a pas empêchés de faire deux millions de morts
08:11parmi leurs compatriotes.
08:12Donc franchement, moi, quand j'entends Jean-Luc Mélenchon et quand vous en parlez, comme
08:15vous en parlez d'ailleurs, en disant qu'il est capable de purge dans son parti, c'est
08:19dire ce qui attend le pays.
08:20Si on avait Jean-Luc Mélenchon, premier ministre tout de même.
08:23Ça témoigne d'une chose, ce que dit Éric Coquerel, c'est que ultra division au sein
08:29de cette gauche, ultra division.
08:31Et on sait que leur nouveau candidat...
08:33Et malgré tout, union, parce qu'ils réussissent à présenter un candidat unique dans chaque circonscription.
08:37Ce n'est que du cynisme et de l'électoralisme et qu'ils ne sont même pas capables, d'ailleurs,
08:42de faire consensus sur la personne de Mélenchon.
08:46Union, jusqu'à quand ?
08:47Qu'est-ce que nous observons dans ce Fonds populaire ?
08:50C'est François Hollande, mais François Hollande, il est aussi à côté.
08:53Ils ont déjà gagné, ils ont déjà gagné parce qu'ils ont réussi à s'unir, à s'entendre.
08:58C'est pas à s'unir, c'est à s'entendre.
09:00Vous m'avez coupé la parole.
09:01Oui, absolument pas grave, mais là où je voulais en venir, c'est effectivement aujourd'hui
09:07au Fonds populaire, on a un François Hollande qui a été chef de l'État.
09:10Et puis, il y a aussi des candidats dont les profils interpellent.
09:14Alors, le cas Reda Belkati, il a été réglé auteur de messages violents postés sur les
09:19réseaux sociaux il y a plusieurs années, insultes misogynes également, messages antisémites.
09:24La France Insoumise, lui, a retiré son investiture.
09:26Qu'est-ce que nous apprend Europe 1 aujourd'hui ?
09:29Et bien, Raphaël Arnault, dont il a été révélé que le candidat a trois fichesses
09:34de sûreté et mises contre lui par trois services de renseignement différents.
09:37Je le disais, Information Europe 1, le militant antifas qui a bien été condamné le 18 février
09:422022 par le tribunal correctionnel de Lyon à quatre mois d'emprisonnement avec sursis
09:46pour des violences en Réunion.
09:48Il a fait appel, précisons-le, il est donc présumé innocent, Louis Daragnel.
09:53Oui, mais alors, ce qui est précisé dans l'article de William Molinier, qui a révélé
09:56cette information, c'est que Raphaël, d'ailleurs, il ne s'appelle pas Arnault, c'est un pseudonyme,
10:01il s'appelle Raphaël Archenault, Raphaël Archenault a expliqué à ses détracteurs
10:07« si vous trouvez une condamnation dont j'ai fait l'objet, allez-y, dites-le, prouvez-le.
10:12» Et bien, la preuve est là, il a été condamné.
10:15Voilà, donc effectivement, puisqu'il demandait, oui, mais on va vous répondre, il a fait
10:18appel, il est présumé innocent.
10:20Bien sûr, il n'y a pas aucune condamnation, il n'y a pas aucune, si vous voulez, la justice
10:26s'est intéressée au cas, Raphaël Archenault a fait une enquête, il y a eu un procès,
10:31il a été jugé en première instance, mais il a été jugé et condamné en première
10:34instance.
10:35Donc, au vu du contexte, il semblerait que le bon sens guide l'exclure, finalement,
10:38au vernis de Jacquier.
10:39Non, mais Mathilde Panot avait dit elle-même qu'ils assumaient ce type de profil.
10:44Alors, peut-être pas la condamnation avérée, mais en tout cas, qu'ils assumaient ce type
10:48de profil, fiché S, complètement disruptif et puis surtout, prônant une violence, là
10:54encore, assumée.
10:55Pourquoi ? Parce que c'est le fonds de commerce de la France Insoumise que de vouloir théoriser
11:00sur la violence politique.
11:01Donc, j'ai presque envie de dire rien de nouveau sous le soleil et ce qui est intéressant,
11:05c'est de voir qu'il a été parachuté dans la circonscription, première circonscription
11:09d'Avignon.
11:10Et il a été parachuté, il a en face de lui un candidat de la gauche, soutenu d'ailleurs
11:16par l'EPS, par les communistes et puis par les écologistes.
11:21Et il y a aussi un candidat du Rassemblement National.
11:25Ça va sans doute profiter au Rassemblement National, finalement, toute cette histoire.
11:30Donc, affaire à suivre.
11:31On n'a pas encore totalement touché le fonds, si vous voulez, on a encore un peu de marge.
11:35On va y aller, on y va tout droit.
11:36C'est toujours votre petite touche d'espérance, Vincent, que j'aime beaucoup.
11:40On est déjà très bas, mais on peut aller encore plus bas.
11:42On n'est pas au fond du tronc, on peut encore creuser.
11:45Quand on voit le niveau général actuellement, sauf à être totalement idiot, on ne peut
11:54pas générer pour soi-même une forme d'espoir.
11:57Alors, notre ami Nathan Devers, lève le doigt.
11:59Allez-y, mon Jonathan.
12:00Moi, je suis très sage, je respecte l'autorité du plateau, je l'aime la main comme un petit
12:05enfant.
12:07En quelques mots, puisque Jacques Serais nous attend.
12:09De toutes les choses qui ne vont pas à la France insoumise depuis des mois, il y a un
12:12événement qui, pour moi, est le plus dangereux pour la démocratie.
12:16Je reviens sur cette décomposition de la démocratie.
12:18C'est quand Jean-Luc Mélenchon et d'autres ont commencé à insinuer, puis carrément
12:23à dire que les élections en France n'étaient pas régulières, qu'ils ont fait sur des
12:27tweets qui sont extrêmement vus.
12:29Ils ont des comptes Twitter qui sont très suivis et ils sont très forts en communication
12:32sur les réseaux sociaux, qu'ils ont insinué cela, qu'il y a eu des services de fact-checking
12:35de journaux, de libération de mémoire qui leur ont dit ce que vous dites est faux et
12:38qu'ils ont continué à le faire.
12:40Est-ce qu'au lendemain du vote, certainement, il y aura le cas de contestation et c'est
12:45ça le danger.
12:46Nous sommes en 2024.
12:47Nous savons, on parlait des Etats-Unis tout à l'heure, nous savons quand dans une grande
12:51démocratie, quelqu'un qui est intelligent, qui est éloquent, qui commence à appuyer
12:55sur ce bouton-là sans aucune preuve, nous savons aujourd'hui quels effets ça donne,
12:59c'est-à-dire la prise du capital à Washington.
13:01Qu'un responsable politique français fasse cela et qu'il n'y ait pas immédiatement
13:05des gens qui disent à l'unanimité, ça, c'est extrêmement grave.
13:09C'est la ligne rouge de toutes les lignes rouges.
13:10Ça veut dire ça, on ne peut plus vivre en démocratie si on commence à faire ça sans
13:13preuve.
13:14Encore une fois, s'il y avait des irrégularités dans les élections en France, je serais le
13:16premier à le dire.
13:17Et l'actualité nous sera peut-être sauvé par une chose, c'est que Jean-Luc Mélenchon
13:20ne joue pas au golf.
13:21C'est une chose qui pourra nous sauver.
13:23On ne sait pas.
13:24En réalité, vous pourrez en parler.
13:25Est-ce que Jacques Serey va en parler dans Europe un soir ? Je m'en doute.
13:27Pourquoi pas peut-être.
13:28Mon cher Jacques, Europe un soir, qu'est-ce que vous proposez au programme ?
13:32Comme chaque vendredi soir, deux heures d'info, deux heures de débat et deux invités au
13:37programme d'Europe un soir.
13:39Patrick Vignal, député Renaissance sortant à 19h15 et Nadia Hay, députée Renaissance
13:44sortant également à 20h10.
13:46Rendez-vous à ne pas manquer.
13:48Donc Europe un soir, c'est tout de suite avec vous mon cher Jacques Serey.
13:51L'actualité sur ces news, c'est votre rendez-vous du vendredi soir face à Philippe
13:56Villiers.
13:57Il est là dans un instant avec Geoffroy Lejeune, le tout orchestré par Eliott Deval.
14:01Un joyeux anniversaire à l'armée de l'air qui fête ses 90 ans à Versailles.
14:05Au-dessus de Versailles, oui.
14:06Et vous savez pourquoi au-dessus de Versailles ?
14:08Parce que le siège historique de l'armée de l'air était en face du château de Versailles.
14:12On a toujours besoin de Louis Ragnet pour la précision.
14:16Et on a toujours besoin d'un Vincent Roy, d'une Véronique Jacquier et d'un Balthand
14:20Lemaire.
14:21Un grand merci à tous.
14:23Merci de votre fidélité.
14:24Merci à tous les quatre.
14:25Tout de suite face à Philippe de Villiers.
14:27Europe 1 soir sur Europe 1.
14:30Philippe de Villiers sur ces news.
14:31Très belle soirée sur nos deux antennes.
14:33A très vite.