• il y a 4 mois
Retrouvez le corrigé de l’épreuve de français du bac général 2024 proposé par Antoine Marteil, professeur de français.
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Transcription
00:00Bonjour à tous, bienvenue sur la chaîne YouTube de l'étudiant, je suis Clément Rocher,
00:16journaliste à l'étudiant et aujourd'hui je suis accompagné d'Antoine Martel, professeur
00:21de français et nous allons corriger ensemble l'épreuve de français du brevet.
00:26D'abord monsieur Martel, pouvez-vous nous dire quelques mots sur le sujet ?
00:29Alors tout d'abord bonjour à toi Clément, bonjour à toutes et tous.
00:34Alors sur le sujet, il nous a semblé relativement classique, notamment parce qu'il aborde
00:40un point de programme qui est agir sur le monde et qui est un point de programme de
00:44troisième, ce qui fait qu'en lien avec le programme d'histoire et géographie, on
00:49est amené dans l'année à travailler sur une œuvre qui porte un regard sur le monde
00:54du XXe siècle et en particulier ses bouleversements majeurs comme la première ou la seconde guerre
01:01mondiale et ici l'extrait qui est un extrait de roman de Marc Duguin intitulé « La chambre
01:09des officiers » aborde justement la première guerre mondiale.
01:13Très bien, je vous propose qu'on commence d'abord par corriger les questions liées
01:19au texte et à l'image, donc la première question était la suivante, qui sont les
01:24différents personnages de ce texte ?
01:26Alors c'est une question pour laquelle on pouvait s'appuyer largement sur le paratexte,
01:31on a ici affaire à quatre personnages, trois hommes qui sont les trois officiers blessés
01:36dont le paratexte nous donne le prénom, donc il s'agit du narrateur qui s'appelle Adrien
01:42Fournier, nous avons Veil, nous avons Pénanster et puis nous avons également une femme qui
01:48va arriver au cours du texte qui s'appelle Marguerite, voilà pour les quatre personnages.
01:53Très bien, et la deuxième question qui valait également deux points, qu'ont-ils en commun
01:57et là il fallait donner deux éléments de réponse.
01:59Alors le premier point commun qu'on pouvait percevoir ce sont tous les quatre des victimes
02:06de la guerre, c'est ce qu'on appelle des gueules cassées, sur quoi on reviendra lors
02:11de l'analyse de l'image, qui se ressemblent physiquement, c'est indiqué dès la première
02:17ligne du texte, nos blessures ne pouvaient qu'effrayer cette femme qui se réfléchissait
02:21en nous, miroir de son infortune.
02:23Deuxième point commun qu'on pouvait trouver de façon assez simple, ils se retrouvent donc
02:28tous les quatre en tant que victimes de guerre dans cet hôpital du Val-de-Grâce, ce qui
02:34est spécifique ici c'est qu'ils sont un peu à l'écart du monde, ce qu'on reverra
02:39à propos de Marguerite, mais ce sont ceux qui vivent dans un monde à part, comme nous
02:45l'indique la ligne 11.
02:47Très bien, ensuite la troisième question portée sur un passage précis du texte, peut-on
02:53dire dans ce passage que tous les personnages arrivent à communiquer facilement ensemble
02:57et il fallait justifier sa réponse ?
02:59Alors la communication ici est un petit peu compliquée, justement par les séquelles
03:04physiques des personnages.
03:05Tout d'abord on a affaire à la surdité de Marguerite que les trois hommes vont progressivement
03:11découvrir lorsque elle sourit aux questions qu'on lui pose sans parvenir à y répondre,
03:20et justement il est indiqué vers la moitié du texte que Pénanster comprit alors qu'elle
03:25était sourde et ne pouvait que lire sur les lèvres.
03:28L'autre facteur qui complique la communication entre ces personnages, c'est lié justement
03:36aux physiques de deux d'entre eux, dont la bouche est complètement abîmée.
03:41Ce qui fait que quand ils s'expriment, quand ils réussissent à s'exprimer, Marguerite
03:46est incapable de lire sur ce qui leur reste de lèvres également.
03:51C'est pour cela que Pénanster joue un rôle un petit peu particulier d'entremetteur
03:55dans cette communication, une sorte de traducteur, ce qui fait que la communication est compliquée
04:01initialement, mais elle parvient à s'instaurer grâce au rôle de Pénanster, et c'est pourquoi
04:07vers la fin du texte, le narrateur nous dit, elle nous raconte son histoire, nous l'écoutions,
04:14autrement dit la communication est complexe, mais ils y parviennent.
04:18Ensuite, il fallait relier encore la suite de l'extrait et dire pour quelles raisons
04:25Marguerite souhaitait-elle s'engager comme infirmière de guerre.
04:28Et là, on le sent encore, il fallait rectifier sa réponse.
04:32Justement, je trouve que les questions 3 et 4 s'enchaînent de façon assez logique,
04:37puisque ces raisons sont exposées au moment où Marguerite va commencer à raconter son
04:43histoire vers la fin du texte, et donc histoire retranscrite par le narrateur.
04:48Alors, je pense qu'on peut y percevoir trois raisons, la première qui est très contextuelle,
04:52on nous dit explicitement que vers la fin de 1915, on manquait d'infirmières.
04:57Une seconde raison serait un besoin, un besoin personnel de Marguerite, on nous dit qu'elle
05:04était à cette époque aussi belle qu'inutile, autrement dit, cela répond chez elle à un
05:10besoin d'utilité sociale en temps de guerre, et quelque part de donner un sens à sa vie.
05:17Enfin, troisième raison qu'on pouvait évoquer, qui serait plus cette fois de l'ordre du
05:21désir, on nous dit qu'elle rêvait de s'éprendre d'un homme courageux, contrairement à ceux qui
05:29la courtisent, qui sont qualifiés de réformer ou d'embusquer.
05:33Ici, dans l'image de Marguerite, c'est l'idée d'un homme courageux qui possède quelque chose
05:41d'héroïque, qui va se battre au front, d'où sa volonté finale d'aller jouer son rôle
05:48d'infirmière au plus près des zones de combat.
05:51Très bien, alors la question suivante, portée sur une phrase spécifique, elle était comme
05:56un parterre de roses saccagé par le milieu, quelle figure de style pouvez-vous identifier
06:01dans cette phrase ? Pourquoi est-elle particulièrement adaptée pour décrire le visage de Marguerite ?
06:05Alors, ici, cette figure de style devrait être assez facilement identifiée par les
06:10élèves dans la mesure où il s'agit d'une comparaison, articulée à l'aide de l'outil
06:15de comparaison, qui va créer une analogie entre Marguerite et plus spécifiquement son
06:21visage, et un parterre de roses saccagé par le milieu.
06:25Alors, pour comprendre cette image, dont le rôle est d'aider à visualiser justement
06:31le visage de Marguerite, il faut aller chercher un peu dans le contexte et regarder autour
06:36de cette comparaison.
06:38On nous dit précédemment qu'elle possède une bouche totalement épargnée, comme ses
06:42yeux et son front, autrement dit, la partie supérieure du visage n'est pas abîmée.
06:48Elle possède une bouche avec un sourire immaculé, donc le bas du visage n'est pas non plus
06:56abîmé.
06:57Mais on a comme une barre centrale où elle avait été touchée au nez et aux pommettes,
07:04ce qui fait qu'on a bien l'idée de cette beauté symbolisée par ces roses, mais cette
07:14idée de beauté saccagée, abîmée, déchirée, comme rayée, comme ce parterre saccagé par
07:21la partie centrale qui vient défigurer son visage initial.
07:26Très bien, et la question suivante, compléter ce portrait physique de Marguerite par son
07:31portrait moral en identifiant deux traits de caractère du personnage.
07:34Alors on en entendait deux, je vais peut-être en proposer trois.
07:37Le premier trait de caractère qu'on peut percevoir chez ce personnage, c'est sa douceur
07:43et sa délicatesse, qu'on lit à la fois avec l'insistance sur ce sourire chaleureux
07:49qui est le sien, et puis il est question de sa voix, d'une voix à la douceur tiède
07:55qui faisait paraître encore plus injuste sa blessure.
07:58Donc douceur et délicatesse pour le premier caractère, quant au second, on pourrait parler
08:02de son courage et de sa détermination, courage de s'engager comme infirmière et courage
08:09de demander expressément à aller travailler, non pas à l'arrière, mais comme on le dit
08:17dans le texte, à l'avant, autrement dit au plus près, des zones de combat.
08:21Le dernier trait de caractère qu'on pourrait identifier, c'est quelque chose qui relève
08:27de son aisance, de son charisme, qui en fait quelqu'un de remarquable.
08:33La première chose, c'est que dès le début du texte, on sent bien qu'elle possède quelque
08:37chose de mystérieux, d'énigmatique, lorsque les personnages, donc les trois hommes, tentent
08:46de la voir après des jours d'attente et de guet.
08:50L'autre élément qu'on pourrait convoquer pour l'idée de cette personne remarquable,
08:56ce serait le fait qu'elle ait créé un grand trouble dans l'hôpital à l'arrière où
09:03elle a initialement travaillé.
09:05Et puis on pourrait enfin évoquer une expression, puisque lorsqu'elle commence à raconter
09:11son histoire aux trois personnages masculins, le narrateur les définit comme intimidés
09:17par cette grande femme au charisme inaltéré.
09:20Donc voilà trois traits de caractère qui me semblaient envisageables.
09:23Très bien, on passe désormais à la question 6 qui valait 6 points.
09:28Quelle réflexion sur la Grande Guerre peut inspirer l'expérience des personnages ?
09:32Alors ici, c'est une question assez générale et à mon sens, elle tourne autour de la violence
09:38de la guerre et de son horreur qui va avoir des conséquences physiques dans la chair
09:45même des soldats, dans leur visage.
09:48Donc des soldats d'une part, mais au-delà, à l'image de Marguerite qui va faire des
09:53victimes collatérales.
09:55On va évidemment aussi mettre l'accent sur les conséquences morales.
09:59On avait affaire à quatre personnages jeunes dont le destin semblait plutôt radieux et
10:07qui se trouve finalement brisé, enfermé dans cet hôpital du Val-de-Grâce avec une
10:14gueule cassée.
10:15Et puis, on pourrait peut-être aussi évoquer l'idée d'une redistribution des rôles
10:25dans la société, notamment à travers l'image de Marguerite qui est fille d'orfèvres,
10:30donc une fille de bonne famille, plutôt bourgeoise, dont la beauté s'illustre par le nombre
10:38de prétendants qu'elle refuse.
10:40Et on peut voir ici que cette femme qui aurait pu être une épouse de bonne famille finalement,
10:45décide de s'engager à l'image de toutes ces femmes qui ont joué un rôle social primordial
10:52durant cette première guerre mondiale.
10:54Très bien, il reste encore une question et celle-ci portée sur l'image.
11:00Cette affiche vous paraît-elle être une bonne illustration du texte ?
11:04Là, on pouvait répondre à la fois oui ou non, peu importe, ce qu'il suffisait de faire
11:08c'était d'essayer d'argumenter et de trouver des points communs, des différences entre
11:12le texte et l'image.
11:13Alors l'image, il s'agit avant tout d'une lithographie de Georges Conrad qui s'intitule
11:18justement « Les gueules cassées ».
11:19Visiblement, il s'agit d'une affiche d'une association intitulée « Union des blessés
11:26de la face », autrement dit du visage, qui a probablement été réalisée dans un but
11:32d'aide et de soutien à la fois psychologique mais aussi financier à ces gueules cassées
11:37puisque l'ambition c'est quand même un appel aux dons.
11:40Pour mettre en écho à la fois le texte et l'image, on pouvait évoquer des choses très
11:48nettes dès le premier plan.
11:49Donc ce soldat qui s'avère être blessé, on voit son visage bandé et on peut se dire
11:56qu'il deviendra une de ces gueules cassées.
11:59Premier lien avec le texte, évidemment il y a le contexte, ce contexte de guerre qui
12:07apparaît explicitement dans le texte avec la mention de la date 1915 mais ici on peut
12:12distinguer aussi à l'arrière-plan, dans le ciel, ces nuages de fumée, d'explosions,
12:21on comprend qu'on a affaire à une série d'étonnations, peut-être d'éclats d'obus,
12:26en tout cas que cet arrière-plan est menaçant.
12:28Puis ce qui évoque la guerre c'est bien évidemment aussi les costumes des deux personnages.
12:32Et puis on en vient à cette femme, toujours au premier plan, qui fait office d'infirmière
12:38comme on arrive, pas très facilement mais on y parvient, on distingue sa croix rouge,
12:44donc c'est bien une infirmière de la croix rouge qui rappelle évidemment la vocation
12:47de Marguerite.
12:48Et puis pour aller peut-être un petit peu plus loin, on a cette image d'une femme assez
12:53grande comme Marguerite et assez forte en tout cas pour venir soutenir ce soldat blessé.
13:02Ici par contre, la différence principale ce serait le lieu, on est à l'extérieur
13:09sur une zone de combat, tandis que dans le texte on est après justement et à l'hôpital.
13:14Très bien, alors maintenant je vous propose qu'on passe aux questions liées à la grammaire
13:20et aux compétences linguistiques.
13:22La première question était liée à une phrase.
13:26Nous formons l'UIS Picatinny, un club d'officiers qui compte à ce jour trois membres actifs
13:30et volontiers bienfaiteurs.
13:33Relevez les expansions du nom club et indiquez la classe grammaticale de chacune d'elles.
13:37Alors la question était sur deux points, il y avait deux expansions à relever pour
13:42le nom club.
13:43La première c'est d'officier, donc un groupe nominal introduit par la préposition d', voilà
13:51pour la classe grammaticale.
13:53La seconde expansion, il s'agit d'une proposition subordonnée relative et donc il convenait
13:57de relever, qui compte à ce jour trois membres actifs et volontiers bienfaiteurs.
14:02Voilà pour cette question.
14:04Très bien, ensuite la question 9, je compris aussitôt que ni Veil, Neill, ni moi ne pourrions
14:10jamais nous entretenir avec elle, recopiez cette phrase puis mettez la proposition subordonnée
14:16entrecrochée et entourez le mot subordonné.
14:18Bien donc effectivement il s'agissait d'une phrase complexe articulée avec une principale
14:22et la subordonnée qui est que ni Veil, ni moi ne pourrions jamais nous entretenir avec
14:28elle.
14:29Et le mot subordonnant qui convenait d'entourer c'était ce que, qui est une conjonction de
14:33subordination.
14:34Et ensuite précisez la fonction grammaticale de cette proposition subordonnée et mentionnez
14:39au moins une manipulation que vous avez utilisée pour trouver la réponse.
14:43Alors ici il s'agit d'une proposition subordonnée complétive COD du verbe comprendre.
14:50En termes de manipulation il y a quelques petits tests qu'il fallait parvenir à effectuer.
14:55En l'occurrence ici cette proposition subordonnée n'est pas supprimable, contrairement à certaines
15:02circonstancielles.
15:03Elle n'est pas déplaçable et puis le test que l'on pouvait effectuer c'était de pronominaliser
15:12cette proposition par le F, donc ce qui nous donnait je le compris aussitôt.
15:21Ensuite la situation devint insupportable, donc ça c'était la phrase à la ligne 28,
15:26identifier et nommer les trois éléments qui composent le mot souligné.
15:29Alors si on le décompose ce mot il est composé d'un préfixe, du préfixe négatif 1, de
15:35son radical support et puis du suffixe qui exprime la capacité à, donc able.
15:41Il s'agissait également de trouver un synonyme, on pouvait par exemple, à titre d'exemple
15:48donner intenable ou insoutenable.
15:51Très bien et ensuite il fallait réécrire un passage, est-ce que vous pouvez nous dire
15:56les principaux points de vigilance qu'il fallait faire ?
15:59Oui, alors la question était sur dix points et globalement il y avait dix transformations
16:05à faire, dont une où il s'agissait bien de remplacer Marguerite et tous les L qui
16:11pouvaient suivre, reprenant Marguerite, par L au pluriel.
16:16Donc déjà là c'était un point.
16:18Ensuite si je reprends dans l'ordre, Marguerite, donc L au pluriel, c'était A I U N T, porté
16:26et E S, volontaire, E S.
16:29Elle, au pluriel, était A I U N T, à cette époque aussi belle, E S, qu'inutile, E S.
16:36Son père, on va le transformer en leur père, leur au singulier, L E U R, ce qui fait qu'on
16:42laisse père au singulier aussi.
16:45L était un orfèvre fortuné et L au pluriel ne manquait A I U N T, pas de prétendant,
16:52tous réformés ou embusqués.
16:54L, de nouveau au pluriel, rêvait A I U N T de s'éprendre d'un homme courageux.
17:00Et on arrivait à dix modifications évaluées.
17:04Très bien.
17:05Monsieur Martel, est-ce que vous pouvez nous dire maintenant peut-être les principaux
17:11points de vigilance également pour la dictée ?
17:13Alors, la dictée, c'est également un extrait de Marc Duguin, du même roman qui figure
17:19à la suite de l'extrait, autrement dit, on va retrouver les mêmes personnages.
17:24La principale difficulté, me semble-t-il, de cette dictée, c'est sa longueur.
17:29Elle est un petit peu plus longue que les années précédentes, autrement dit, on peut
17:34multiplier les erreurs.
17:36Quelques petits points de vigilance, premièrement, comme dans le texte initial, ici, on a à
17:42en faire à des temps du récit, autrement dit, essentiellement du passé simple, de
17:47l'imparfait.
17:48Donc, devint, par exemple, au passé simple, s'intégra, finir, refusa, on a ces verbes
17:55au passé simple, et puis la plupart des autres, malgré un plus-que-parfait, on va trouver
18:02de l'imparfait.
18:03Autre petit point de vigilance que vous pourrez aller regarder en visionnant cette dictée,
18:12c'est le nombre d'accords, au pluriel, auxquels il fallait penser.
18:17Donc, nos préoccupations, nos rencontres quotidiennes, nos granulements, les membres,
18:25nos propos, etc., un petit accord un peu plus compliqué chez ceux qui se sont atteints.
18:33Donc, il fallait penser à la fois au T, mais aussi au S, puisqu'on était au pluriel.
18:37Et puis, on revient, comme pour la réécriture, à un mot qui peut parfois poser problème,
18:42c'est le leurre.
18:43Elle ne leurre écrivait pas, pour leurre signifier, ici, dans les deux cas, leurre
18:49est un pronom et donc s'écrit sans S.
18:52Voilà.
18:53Sinon, pour le reste, il faudrait regarder mot par mot, et je pense qu'on n'a pas le
18:57temps.
18:58Très bien.
18:59Eh bien, écoutez, merci, M.
19:00Martel, pour ce corrigé.
19:01Merci à vous également d'avoir regardé ce corrigé en vidéo.
19:06Vous pourrez retrouver très prochainement le corrigé de mathématiques, et sinon,
19:11on se retrouve demain pour le corrigé, toujours en vidéo, de l'épreuve d'Histoire-Géo
19:16et celle des sciences.
19:18Merci à vous.
19:19Au revoir.

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