The Midday Bilingual News of July 1,2024

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00:3050 ans d'existence, un demi-siècle de services publics dans la presse écrite, et le journal continue d'écrire les belles pages.
00:38Une célébration au siège de la SOPECAM, sous la haute lettre du ministre de la Communication, René-Emmanuel Sadiéco, dans le 12H.
00:461er juillet, jour de célébration dans les forces de défense et de sécurité.
00:51Les personnels promus au grade supérieur reçoivent leurs épaulettes.
00:58Cérémonie conduite à la brigade du quartier général à Yaoundé par le ministre de la Défense, Joseph Bétiche, à son nom.
01:05Et puis, la maladie à COVID-19 donne des signes d'un autre retour dans certains pays africains et occidentaux.
01:12La sonnette du ministre de la Santé publique invite à rester en alerte bien qu'il n'y ait aucun cas enregistré à date au Cameroun.
01:20Les assurances de Manahouda Amalachi sont à suivre dans le 12H. Il est l'invité de ce journal.
01:25Voilà pour les titres. La première partie avec vous, Yoti.
01:28Exactement, Sidouane. Encore une fois, vous êtes bienvenue.
01:31Sidouane a juste annoncé la nouvelle du Cameroun et a publié en coopération la SOPECAM S50,
01:37une jubilée d'or, marquant les efforts faits pour informer le public sur des sujets topiques,
01:43et d'attirer de nombreux publics avec des publications comme Cameroun Tribune,
01:48dont la version pionnière a été publiée en 1974, Nyanga et Cameroun Insider,
01:54à l'office supérieur de la SOPECAM à Yaoundé, où des activités de la semaine seront lancées.
01:59Des employés rétablis et actifs, comme des souhaits de bien-être et du public, ont commencé à entrer.
02:04La cérémonie sera officiellement ouverte par le ministre de la Communication, René Emmanuel Sadi.
02:10Vous aurez un compte détaillé dans nos prochaines nouvelles.
02:14En matière de santé, le virus de la COVID-19 s'accroche avec de nouveaux cas confirmés en Afrique,
02:21ou dans certains pays africains et européens.
02:23Pour clarifier le public sur la situation du coronavirus dans le pays,
02:27le ministre de la Santé, Manauda Malachi, a été invité aujourd'hui
02:31sur le programme de la station de radio nationale, le matiné de la CRTV.
02:36Le ministre Manauda Malachi a déclaré des rumeurs sur la résurgence de la COVID-19 en Cameroun,
02:42comme vous nous l'avez dit à Iwane-Epole.
02:48Le ministre de la Santé, Manauda Malachi, est arrivé à la station nationale de la CRTV à exactement 8h30,
02:55ce matin, prêt à adresser le public en tant que guest dans le programme de radio,
03:00le matiné de la CRTV, présenté par Cheta Billy, le communiqué de la station nationale,
03:06pour clarifier le public sur les rumeurs sur la résurgence de la COVID-19 en Cameroun.
03:30Le ministre de la Santé, Manauda Malachi, est arrivé à la station nationale de la CRTV à exactement 8h30,
03:35présenté par Cheta Billy, le communiqué de la station nationale,
03:39pour clarifier le public sur les rumeurs sur la résurgence de la COVID-19 en Cameroun.
04:00Le ministre de la Santé, Manauda Malachi, est arrivé à la station nationale de la CRTV à exactement 8h30,
04:05présenté par Cheta Billy, le communiqué de la station nationale,
04:09pour clarifier le public sur les rumeurs sur la résurgence de la COVID-19 en Cameroun.
04:15Le ministre de la Santé, Manauda Malachi, est arrivé à la station nationale de la CRTV à exactement 8h30,
04:21présenté par Cheta Billy, le communiqué de la station nationale,
04:26Le ministère des Affaires publiques a partagé avec une entreprise de construction de Togoli,
04:31chargée de construire un étage de 60 kilomètres lié à Bolova, Fulan et Mbango.
04:36Le ministre des Affaires publiques, Emmanuel Ngannou Njumeisi, a aujourd'hui instauré les partenaires techniques
04:41pour faire disponible les termes de financement, ainsi que la table de temps avec les détails sur la date de départ prospective,
04:48afin qu'ils puissent aussi procéder à la mobilisation des ressources.
04:52Le document sera aussi présenté au ministre de l'Économie, des Plans et du Développement Régional.
04:58Nous vous apporterons ensuite de nombreuses informations.
05:02Cidoine, ce PECAM est à 50 étoiles.
05:05Effectivement, Madame, Messieurs, 50 étoiles pour le quotidien national bilingue Cameroun Tribune,
05:11un demi-siècle de service public dans la presse écrite et le journal continue d'écrire ses belles pages.
05:18En juillet 1974, Cameroun Tribune célèbre son jubilé d'or au service de l'information.
05:24La cérémonie a lieu en ce moment au siège de la SOPECAM à Yaoundé,
05:28sous la présidence du ministre de la Communication, René-Emmanuel Sadi.
05:33En présence des premiers dirigeants de la SOPECAM, notamment le ministre d'État, Jacques-Fameux Ndongo,
05:40du PCA de la SOPECAM, le ministre Joseph Lé, du directeur général, Marie-Claire Nana,
05:46et plusieurs autres pionniers de cette structure.
05:49Entre autres activités prévues, la visite guidée du sécu de fabrication du journal Cameroun Tribune,
05:56des ateliers et expositions photos, comme vous avez en image.
06:01Et nous reviendrons naturellement plus en détail sur cette actualité dans nos prochaines éditions d'informations.
06:07Le temps pour nous de parler santé.
06:10Aucun cas de coronavirus enregistré à date au Cameroun.
06:14Assurance du ministre de la Santé publique, Mme Wouda Malachi,
06:18appelle à la vigilance après l'annonce de quelques cas détectés en Europe, au Moyen-Orient et même en Afrique.
06:25Mme Wouda Malachi s'exprimait ce matin dans le cadre des matinées de la CA TV sur le Poste National
06:30en posture d'invité du dernier quart d'heure.
06:33Ce qu'il faut en retenir avec Laetitia Onana.
06:37Alerte rouge. La menace à COVID-19 plane.
06:42Préoccupé par la résurgence de la pathologie dans les pays voisins,
06:46le ministre de la Santé publique a pris son inscription au sein du collectif des lefto
06:52des matinées de la CA TV.
06:54Ce lundi, Mme Wouda Malachi se veut rassurante.
06:59Jusqu'à présent, nous n'avons pas encore de cas sur le territoire national.
07:03Zéro cas de COVID-19 dans nos murs. Il faut cependant rester vigilant.
07:09Dr Manaouda Malachi active alors la sonnette d'alarme.
07:14Nous continuons simplement à poursuivre et à renforcer la surveillance,
07:19que ce soit dans nos frontières avec l'installation des caméras thermiques,
07:22comme vous avez certainement vu, que ce soit dans nos formations sanitaires
07:25avec le testing de ce qui arrive aux urgences, soit avec un syndrome grippant,
07:30soit avec une détresse respiratoire.
07:34Et puis dire simplement qu'il est toujours important que ces mesures de santé publique,
07:40que ce soit l'hygiène de main, que ce soit le port du masque,
07:43c'est toujours important de de temps en temps dépenser
07:46parce que ça nous évite d'autres pathologies en dehors même de la COVID.
07:50Au cours de l'échange avec la présentatrice Chet Abilé,
07:54le membre du gouvernement rassure encore et encore.
07:58La prise en charge optimale des cas éventuels est gratuite sur l'ensemble du territoire national.
08:05Le Cameroun dispose par ailleurs d'une quarantaine de laboratoires aptes à la détection du virus tueur.
08:15Et on l'a dit, la maladie à COVID-19 donne les signes d'un retour dans certains pays africains et occidentaux.
08:22Le ministre de la Santé publique l'a fait savoir à l'opinion publique le 26 juin dernier.
08:28La sonnette de Manaouda Malachi invite à rester en alerte bien qu'il n'y ait aucun cas enregistré à date au Cameroun.
08:37Le ministre de la Santé publique revient sur les mesures prises pour faire blocus à la maladie au Cameroun
08:42dans cet entretien accordé à Martine Noël Ndengue.
08:48Madame, Monsieur, bonsoir et bienvenue à cet entretien avec le ministre de la Santé publique Manaouda Malachi.
08:55Monsieur le ministre, bonsoir.
08:56Bonsoir Madame.
08:57À la date du 26 juin, vous avez dans un communiqué radio-presse porté à l'attention de l'opinion publique
09:03la résurgence des cas de COVID-19 dans certains pays occidentaux et même africains.
09:09Ada, quelle est la situation au Cameroun et est-ce qu'on devrait s'en inquiéter ?
09:14Il n'y a pas pour le moment des raisons de s'alarmer, de s'inquiéter.
09:21Mais ce que nous avons fait, notre sortie visait simplement à dire faisons attention parce qu'à côté de nous, il y a des résurgences.
09:30Monsieur le ministre, à date au Cameroun, il n'y a aucun cas ?
09:33À l'heure actuelle, nous n'avons pas de cas. Nous n'avons aucun cas.
09:37Mais nous disons encore une fois de plus à tous ceux qui rentrent par exemple de la Mecque ou qui rentrent de l'Europe, qui rentrent de l'Occident,
09:46s'ils ont des signes en termes de syndrome grippal, en termes de difficultés respiratoires,
09:56qu'ils aillent simplement dans nos centres de santé pour que nous puissions les tester gratuitement et au cas où.
10:04Il s'avère que c'est cela, que nous puissions les prendre en charge gratuitement comme cela a été.
10:08Justement, en dehors du testing qui est la mesure urgente prise,
10:14quelles sont les autres dispositions pour ne pas se retrouver dans la même situation qu'en 2020
10:20où le Cameroun avait rapporté 1 974 cas de décès liés au Covid pour 125 510 cas confirmés ?
10:28Vous savez qu'en matière d'épidémie, ce qui est le plus important, c'est comment vous préparer pour ne pas,
10:37non seulement peut-être l'importer, mais pour qu'il n'y ait pas une propagation. C'est ça qui est le plus important.
10:44Et dans cette préparation, le Cameroun aujourd'hui a des ressources humaines susceptibles de faire face à n'importe quelle épidémie.
10:54Et c'est sur l'ensemble du territoire. Dans les dix régions, nous avons des personnels déjà formés en ce moment.
11:01Nous renforçons sur l'ensemble du territoire des mesures de surveillance.
11:06Monsieur le ministre, nous vous savons très actifs sur les médias sociaux.
11:10Vous avez certainement lu des réactions après la publication de ce communiqué Radiopresse.
11:16Il y a une partie de l'opinion publique qui pense que c'est une autre façon de rechercher d'autres fonds Covid. Que répondez-vous à cela ?
11:29Vous savez que si on s'en tient aux intellectuels des réseaux sociaux, aux experts des réseaux sociaux, on ne fera rien dans ce pays.
11:41Nous, nous avons une ligne de conduite. Devant nous, j'allais dire focalisée, en face de nous, nous avons les instructions, les très hautes instructions que le président de la République nous transmet.
11:57Nous avons les missions qui nous sont confiées par Monsieur le président de la République.
12:03Nous avons aussi cette ligne-là, les besoins des populations. Quels sont les besoins des populations en relation avec cette mission ?
12:10Comment faire en sorte que les populations soient sécurisées sur le plan sanitaire, vivent mieux sur le plan sanitaire ? C'est ça qui nous intéresse.
12:19Mes collaborateurs, les soldats de la santé et moi-même sommes focalisés sur notre mission.
12:25Monsieur le ministre, pour sortir, qu'est-ce que vous pouvez dire aux Camerounais pour les rassurer, pour éviter la panique générale en quelque sorte des conseils pratiques ?
12:35Tout ce que nous avons à dire aujourd'hui, c'est qu'il n'y a pas de raison de paniquer. Nous avons fait un communiqué.
12:44Nous voulions simplement attirer l'attention pour que cette veille, sur l'ensemble d'ailleurs des pathologies qu'on peut avoir dans le secteur de la santé, soit réactivée.
12:55Et donc la seule chose que nous voulons que nos compatriotes, les Camerounais sachent, c'est qu'il faut continuer avec l'hygiène de main, par exemple,
13:03qui n'est pas que pour la COVID, mais qui nous empêche, qui nous évite un certain nombre de maladies dues à la saleté et autres choses.
13:14Nous avons également, de temps en temps, lorsque vous vous sentez en mesure de le faire, le masque.
13:21Parce que depuis qu'on a fait la COVID, la lutte contre la COVID, depuis qu'on a commencé à porter les masques, il y a certaines maladies qu'on n'a plus.
13:30Globalement, ce que je voudrais dire ici, c'est qu'il n'y a pas lieu de s'alarmer. Le communiqué avait juste un objectif, c'est la précaution, un système de précaution.
13:42Maintenant, si jamais il arrive que nous ayons des cas, notre dispositif actuel est fin prêt.
13:51Il n'y a pas de raison de paniquer. Nous sommes en mesure de continuer, comme nous l'avons déjà fait, sous les instructions du Président de la République,
14:00sous la coordination du Premier ministre du gouvernement, de continuer à capter tous les cas, à les soigner gratuitement,
14:07et à pouvoir permettre aux Camerounais de continuer à vaquer à leurs activités sans grande peine.
14:15Merci à vous, M. le ministre Manaouda Malachi.
14:19C'est moi qui vous le remercie, madame.
14:49Ces femmes, comme des centaines d'autres, souffrent des difficultés de santé sur cette île de Kofia.
14:55Dans la division Blangua Sub, la division Logan & Shari, au nord de la Camerouna, elles sont reconnaissantes du secteur 1 du MNJTF.
15:04Après avoir reçu des consultations gratuites et des messages de soutien,
15:09Le secteur 1 du MNJTF, qui a initié cette campagne de santé,
15:13sous l'opération Sanity 2, veut renforcer la relation entre les divisions Blangua Sub et les divisions Logan & Shari.
15:20Le secteur 1 du MNJTF, qui a initié cette campagne de santé,
15:24veut renforcer la relation entre les divisions Blangua Sub et les divisions Logan & Shari.
15:31Le secteur 1 du MNJTF, qui a initié cette campagne de santé,
15:33sous l'opération Sanity 2,
15:35veut renforcer la relation entre les divisions Blangua Sub et les divisions Logan & Shari.
15:40Cette campagne, en fait, est pour assurer que la vision du chef d'État,
15:46le commandant-chef de l'armée,
15:48lorsqu'il parle des forces armées et de la population,
15:51pour assurer que les forces armées et la nation soient ensemble.
15:55C'est aussi pour nous montrer à la population que nous, le système militaire,
15:59nous ne sommes pas là juste pour leur offrir de la sécurité,
16:01mais nous pouvons aussi leur offrir des services différents.
16:04Cette campagne de santé libre durant la semaine,
16:06va continuer à Darak, Hile Alifa et Sweram, dans la division Logan & Shari.
16:14D'une côté, la santé des Sikhs au Nord est en train de se rétablir,
16:18et de l'autre côté, la création d'un conseil pour les enfants est un prérogatif.
16:23Ici, dans la région centrale,
16:25le Fonds d'urgence des enfants internationaux de l'Union Nationale, UNICEF,
16:29et le Fonds de soutien spatial pour l'assistance mutuelle, FECOM,
16:33ont visité des endroits où des projets sont en cours à l'Assemblée Bicoc,
16:38ainsi que certaines écoles.
16:40Delphine Quantra complète la histoire.
16:44Un rêve devient réalité pour ces enfants,
16:47qui poursuivent leur étude dans un environnement sain et adapté
16:51afin d'améliorer leur développement.
16:53Le Fonds d'urgence des enfants internationaux de l'Union Nationale, UNICEF,
16:57et le Fonds de soutien spatial pour l'assistance mutuelle, FECOM,
17:01se joignent à l'effort pour promouvoir l'éducation et les droits des enfants dans l'Assemblée Bicoc.
17:07Nous avons pris les vues des enfants et participé à tout ce que nous avons fait ici,
17:12très sérieusement.
17:14La plupart du design, l'école, etc., a été fait avec les enfants.
17:21Un autre aspect, c'est l'aspect vert,
17:24le fait que nous avons intégré tout ce que nous faisons en termes de protection de l'environnement dans toutes les activités.
17:31De l'École des Mérèves au Centre multimédia à l'École de Badengol,
17:35à la radio communautaire et au Bootcamp à l'Assemblée Bicoc,
17:39aux groupes 1 et 2 de l'école primaire,
17:41cela offrirait aux jeunes un accès égal à l'éducation de qualité,
17:45ainsi que un environnement sécuritaire, sûr et propre avec des espaces verts.
17:52Comme ils disent, nos enfants font face à notre communauté.
17:55Cependant, ce projet aura nécessairement l'impact sur nos communautés
17:59et améliorera le développement de l'École des Mérèves.
18:04Une initiative qui s'appuie sur le chemin pour l'inclusion,
18:06donnant à ces enfants l'école de leurs rêves.
18:10Au nord-ouest, les femmes enceintes en Bénakouma,
18:13une zone enclavée dans la division Menchum,
18:16peuvent maintenant utiliser des machines d'ultrasondes pour monitorer le développement de leurs foetus.
18:21La machine d'ultrasondes est juste un des nombreux cadeaux
18:24que l'État a offert au Centre de la Santé intégrée urbaine de Bénakouma,
18:28avec l'objectif de réduire la mortalité dans cette partie du pays.
18:32Kilo Valirinsala rapporte.
18:34Ces équipements sont destinés au Centre de la Santé intégrée urbaine de Bénakouma.
18:41Ils sont expérimentés pour limiter la mortalité.
18:44Le climat aussi signifie que sans ces équipements,
18:47certaines maladies peuvent être prévalentes.
18:50Quand on regarde une zone comme celle-ci, pleine d'eau,
18:53la maladie est toujours la clé.
18:56Et nous avons également des femmes qui n'ont pas accès à la santé médicale.
19:01S'ils sont critiques en s'assurant qu'il y a de la santé universelle
19:04pour une zone enclivée comme Bénakouma,
19:07plus d'eau est toujours nécessaire.
19:09Nous avons vraiment besoin d'un bâtiment pédiatrique,
19:12qui n'est pas seulement construit, mais bien équipé.
19:15Et bien sûr, un département d'X-ray,
19:20qui est très fonctionnel.
19:23Et bien sûr, un nombre de médecins,
19:27qui ont les compétences nécessaires,
19:30que ce soit des médecins ou des médecins,
19:33qui ont les compétences nécessaires pour gérer ces machines.
19:36Parce que vous pouvez avoir l'équipement sans le personnel,
19:39ces équipements sont inutiles.
19:41Bénakouma est situé à environ 89 kilomètres de Bermuda
19:45et a de très mauvaises routes,
19:48ce qui signifie que l'accès à la santé dans d'autres endroits est un défi.
19:54Vous regardez le 12h sur la CRTV.
19:56Mesdames et Messieurs, merci d'être avec nous.
19:58Projet de financement et de construction de la route Ebolova et Fulano-Bango
20:02dans la région du Sud.
20:04Le ministère des Travaux publics mobilise les financements
20:07pour la réalisation de ce tronçon long de 60 kilomètres.
20:12Le ministre Emmanuel Ghanou Ndioumessi a procédé il y a quelques jours
20:16à ce projet.
20:18Le tronçon long de 60 kilomètres.
20:20Le ministre Emmanuel Ghanou Ndioumessi a procédé il y a quelques instants
20:24à la signature du contrat commercial avec l'entreprise adjudicatrice
20:29d'un document assorti d'un chronogramme indiquant la date prévisionnelle
20:34de démarrage des travaux, durée des opérations sur le terrain, 24 mois.
20:39Nous reviendrons plus en détail sur cette actualité.
20:44Le temps de parler de la foire transfrontalière de l'Afrique centrale
20:48qui se dessine déjà dans la région du Sud.
20:51L'événement s'ouvre dans quelques jours seulement à Ambam,
20:55dans la vallée d'Untem.
20:57L'heure est au préparatif.
20:59Commerçants, attisants et organisateurs se disent prêts
21:02pour cette 15e édition qui fera encore la participation
21:07des pays de la sous-région.
21:09Le temps de Anissier Siester-Essiane, de Ciativisud.
21:15Voici Papa Lévi dans son atelier de vannerie.
21:18Avec ses mains agiles et habiles, cet homme de 75 ans
21:22tresse les bruns de rotonde et arrange chaque pièce avec soin
21:27pour être prêt le jour-dit.
21:29J'ai d'abord un salon qui est là-bas dans la maison.
21:32Maintenant j'ai 10 fauteuils dont 7 sont déjà montés.
21:38Vous avez 5 montés, 3 coupés et 3 autres qui attendent.
21:43Non loin de l'âme, c'est une spécialiste de la pharmacopénie
21:47qui annonce elle aussi sa présence à la 15e édition de la FAUTRAC.
21:52Je prépare beaucoup de produits.
21:55Vous voyez l'exemple ici.
21:58Il y en a d'autres que je ne peux même pas exposer.
22:02Donc j'irai à la FAUTRAC étant pleine de produits.
22:06La munici au coeur de la préparation.
22:09Chacun travaille avec soin pour mieux satisfaire la demande.
22:13Durant la foire, au niveau de la coordination locale,
22:17on s'affaire déjà à mettre les petits plats dans les grands.
22:22Nous sommes en train d'organiser des coopératives,
22:25notamment les coopératives des femmes.
22:27Comme on peut le constater ici à Ambam, ville transfrontalière,
22:30l'état d'esprit des opérateurs économiques varie entre
22:34excitation et préparation intense.
22:37D'où s'active pour faire de cet événement une véritable fête
22:42de l'économie et de la culture de la sous-région Afrique centrale.
22:48Et dans le carnet triste, l'agence des normes et de la qualité
22:52porte le deuil.
22:54Le directeur général Charles Boto-Angone n'est plus.
22:57Il est décédé samedi des suites de maladies à l'âge de 67 ans,
23:01laissant derrière lui plus de 60 000 normes nécessaires à l'économie,
23:06autant dans l'institution qu'il a dirigée depuis 2009
23:09que dans la sous-région.
23:11Son action aura révolutionné le secteur productif.
23:14Évocation avec Cyril Kignet-Mbeppe.
23:18L'un de ses derniers combats, il aura passé sur la scène continentale.
23:22L'imminence de la zone de libre-échange continentale africaine Zlekav
23:26imposait aux pays engagés de se doter de normes
23:29incapables de porter son industrie.
23:31De comités de lecture, ambitions explicatives,
23:34Charles Boto-Angone, aux côtés d'autres responsables africains,
23:38n'avait de cesse d'œuvrer à la qualité des biens
23:41à mettre dans ce marché de plus de 1,5 milliard de consommateurs.
23:45Au Cameroun, la suppression du whisky présenté en sachet
23:49est un de ses combats permanents dans la suite du ministre Desmines
23:52de l'industrie du développement technologique.
23:55L'usage de la bromure dans la préparation du pain
23:58ne lui donnait pas non plus de repos.
24:00Charles Boto-Angone laisse un vide et ses proches portent le deuil.
24:05Face à la mort, on fait silence. Nous sommes sans voix.
24:09Ingénieur de formation, il aura roulé sa bosse
24:12dans l'administration centrale une vingtaine d'années
24:15avant d'être porté en 2009 à la tête de la Nord.
24:19Il y a trouvé 500 normes actives
24:22et en laisse à ce jour 10 fois plus, soit 6 000 normes.
24:26Le pécaillé et conformité avant embarquement des marchandises
24:29a permis, grâce à son action, de voir moins de marchandises
24:32partir du Cameroun être bloquées aux portes de l'Occident
24:35et vice-versa.
24:37Un travailleur acharné, il était connu pour sa discipline
24:40dans la dispensation de ses responsabilités.
24:43A 67 ans, cet originaire d'Umbam et Inoubu, dans la région du centre,
24:47continuera malgré son départ physique
24:50de marquer le développement de l'industrie au Cameroun
24:53et dans la sous-région.
24:56Que Dieu réconforte la famille.
24:58La famille Allioukoll est aussi dépassée par la grippe.
25:02Ils mourent le départ de Jean-Marie Allioukoll,
25:05la formelle secrétaire de la Défense
25:08en charge de la Nationale Gendarmerie,
25:11qui a perdu son dernier oeil à cause d'une maladie
25:14jusqu'à son départ, Jean-Marie Allioukoll
25:17était secrétaire de l'agence régulière du secteur de l'électricité.
25:22Jean-Marie Allioukoll est né en 1947 à Lomiers,
25:26dans la région de l'Est du Cameroun.
25:29Un administrateur civil qui a gradué
25:32de l'École nationale de l'administration
25:35et de la magistratrice en 1978.
25:38L'administrateur civil s'est ensuite réuni
25:41au service civique le 10 novembre 1978
25:44et a été ensuite apporté en charge de la gestion
25:47de l'agence régulière du secteur de l'électricité.
25:50Un mois plus tard, Jean-Marie Allioukoll
25:53a été réunie en charge de la gestion
25:56de l'éducation au ministère des Services Publics.
25:59Un mois plus tard, Jean-Marie Allioukoll
26:02a été réunie en charge de la gestion
26:05du ministère du Livestock, de la Pêche et de l'Animal.
26:08En 1983, il a également été réuni en charge
26:11de la gestion de l'électricité avec la compagnie
26:14Sonel Induala.
26:17De 1989 au 8 décembre 2004,
26:20il a gardé la position de secrétaire général
26:23au ministère de la Défense.
26:26Et ensuite, du 8 décembre 2004 au 7 septembre 2007,
26:29il a servi en tant que secrétaire de l'État
26:32au ministère de la Défense en charge
26:35de la Gendarmerie nationale.
26:38Notre père était un grand homme.
26:41Avec lui, nous partageons les valeurs de l'amour,
26:44le travail, le travail dur,
26:47l'honnêteté et la sincérité.
26:50Le célèbre Jean-Marie Allioukoll
26:53est aussi un graduat de l'Institut
26:56des études de défense avancées à Paris.
26:59Jusqu'à sa mort, ce samedi 29 juin 2024,
27:02Jean-Marie Allioukoll a été réunie
27:05en charge de la gestion de l'électricité
27:08avec la compagnie Arcel.
27:12Que la paix et la paix restent dans votre âme.
27:15On continue avec quelque chose d'amoureux.
27:18Promouvoir la marque Cameroon,
27:21c'est aussi la fabrication de jouets.
27:24Et notre histoire sur les nouvelles nous emmène
27:27à un magasin local.
27:30Anissé Abbi, Abbi est son nom.
27:33Il utilise la peau d'un chien et de la peau d'un chien
27:36pour faire des watches, des oreilles et des ornements
27:40Le jour de sa mort, Muriel Kimaka nous emmène
27:43rencontrer l'homme qui dit que sa compétence est un cadeau.
27:49Bide par bide, Anissé transforme
27:52l'espèce de bois, les beignets,
27:55la peau d'un chien et les coquelettes de coco
27:58en ornements précieux.
28:01Quand j'avais 4 ans, j'ai regardé un film
28:04où une auction de jouets et de crafts s'est déroulée.
28:07J'ai dit à moi-même que je ferais ça.
28:10J'ai commencé à travailler avec mes amis en sculpturant et en porcelaine.
28:13C'est ainsi que j'ai développé mes potentiels.
28:16Je fais des watches, des bracelets, des coquelettes.
28:19Le joueur bien éduqué
28:22assure scrupuleusement l'originalité de ses jambes.
28:25J'essaie autant que possible d'être original
28:28en utilisant des beignets.
28:31Par exemple, pour produire des produits réfinis,
28:35le résultat de son travail de main
28:38vende en fonction de la demande, mais il n'est pas toujours
28:41package-friendly.
28:44Les produits locaux sont coûteux et inaccessibles.
28:47Les prix ne sont pas fixés, mais le prix le plus élevé est de 2000 francs.
28:50Parfois, les visiteurs nous diront que c'est joli et intéressant,
28:53mais c'est cher.
28:56Mais comme nous le disons, l'art n'a pas de prix.
28:59Cependant, les connaisseurs et enthousiastes locaux
29:02ont un intérêt et sont prêts à investir
29:05dans ces pièces exceptionnelles.
29:12Pour l'instant, Anissé préserve ses jambes
29:15comme trésors de futures expositions,
29:18y compris la fête internationale de l'art de Cameroon
29:21prévue entre le 22 juillet et le 31 juillet 2024.
29:24Cet événement représente une opportunité
29:27de montrer son savoir-faire
29:30et de donner un touch de beauté aux amoureux de Cameroon.
30:00C'est inédit en France,
30:03l'extrême-droite caracole en tête
30:06à l'issue du premier tour des législatives françaises
30:09qui se sont déroulées hier dimanche.
30:12Le Rassemblement national de Marine Le Pen et Jordan Bardella
30:15obtient 33,5% des suffrages,
30:18selon les estimations des instituts Ipsos et IFOP.
30:21Le Rassemblement national de Marine Le Pen et Jordan Bardella
30:24obtient 33,5% des suffrages,
30:27selon les estimations des instituts Ipsos et IFOP.
30:30Ils devancent le nouveau Front populaire de Jean-Luc Mélenchon,
30:33réunissant la gauche qui obtient 28,5% des suffrages.
30:36Les républicains d'Emmanuel Macron
30:39obtiennent 22,1% des suffrages lors de ce vote,
30:42marqué par une participation en forte hausse.
30:45En Afrique du Sud,
30:48le président Cyril Ramaphosa dévoile un gouvernement
30:51d'union nationale au format inédit.
30:54En Afrique du Sud,
30:57le président Cyril Ramaphosa dévoile un gouvernement
31:00d'union nationale au format inédit.
31:24En Afrique du Sud,
31:27le président Cyril Ramaphosa dévoile un gouvernement
31:30d'union nationale au format inédit.
31:33En Afrique du Sud,
31:36le président Cyril Ramaphosa dévoile un gouvernement
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31:42En Afrique du Sud,
31:45le président Cyril Ramaphosa dévoile un gouvernement
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32:00En Afrique du Sud,
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32:06d'union nationale au format inédit.
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32:36En Afrique du Sud,
32:39le président Cyril Ramaphosa dévoile un gouvernement
32:42d'union nationale au format inédit.
32:45À demain.
32:48Merci d'avoir regardé cette émission.
32:51À demain.
32:54À demain.