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Dans les années 70, Radio Monte Carlo (RMC) était une station de radio très populaire, connue pour son style décontracté et son contenu divertissant. Voici quelques points clés sur RMC durant cette période :

Ambiance décontractée : Jean-Pierre Foucault, une figure emblématique de la radio, a déclaré que "sans la déconne, Radio Monte Carlo n'aurait jamais existé"

. Cela souligne l'atmosphère légère et divertissante qui caractérisait la station à cette époque.
Contenu varié : La programmation de RMC dans les années 70 comprenait probablement un mélange de musique, d'informations et d'émissions de divertissement, reflétant les goûts et les intérêts du public de l'époque.
Personnalités marquantes : Des animateurs comme Yves Mourousi ont contribué à façonner l'identité de la station

. Ces voix familières ont joué un rôle important dans la popularité de RMC.
Évolution technique : Les années 70 ont probablement vu des avancées technologiques dans la diffusion radio, permettant à RMC d'améliorer la qualité de son signal et d'élargir sa zone de couverture.
Concurrence et positionnement : RMC devait se démarquer des autres stations de l'époque, ce qui a probablement influencé son style et sa programmation.
Influence culturelle : En tant que station populaire, RMC a sans doute joué un rôle dans la diffusion de la musique et des tendances culturelles des années 70.

Il est important de noter que RMC a continué à évoluer au fil des décennies. Aujourd'hui, la station est dirigée par Karim Nedjari, qui en est le PDG depuis le 1er mars 2021.

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Transcription
00:00Adieu Monte-Carlo !
00:04La déconne, c'était notre carburant.
00:08Sans déconne, on ne pouvait pas avancer.
00:15Quand la liberté souffle, elle enrichit tout le monde.
00:18Écoutez, c'est pas mieux que la buvette de l'Assemblée Nationale
00:21ou de la Russie au fur et à mesure, ce qu'on a derrière nous, là ?
00:23Arrivez à un croisement...
00:25Ah non ! Oh putain ! Directeur !
00:28Les patrons qui te disent, allez-y, foncez, lâchez-vous,
00:32faites ce que vous avez envie de faire.
00:34On a passé 20 ans ensemble.
00:36Vous vous rendez compte ? 20 ans, toute une vie.
00:38Dès l'instant que ça n'avait pas été fait,
00:41abordé à la radio, on disait,
00:43si ça n'a pas été fait, c'est peut-être pour nous.
00:46Monaco ! Viens, Monaco !
00:52Je me souviens que la première fois que je suis sorti dans une voiture à matrice,
00:55c'était une caisse en bois sur laquelle on avait posé un émetteur.
00:58On avait mis un point haut à Notre-Dame-de-la-Garde
01:01et puis on faisait une émission dans Marseille en direct.
01:03Pour nous, c'était extraordinaire.
01:05C'était fait de briquet de broc,
01:07c'était fait de bouts de fil qu'on attachait.
01:10Et puis petit à petit, nos équipes techniques ont inventé ces studios.
01:15Le mercredi et le samedi, deux fois par semaine,
01:17on installait un point haut pour émettre et recevoir.
01:21Et nous nous baladions dans la ville en direct.
01:25Aujourd'hui, il se passe quelque chose à Pékin.
01:29Deux minutes après, l'envoyé spécial est en direct de Pékin.
01:32Mais à l'époque, pour Alanis, ce n'était pas aussi simple que cela.
01:37On a inventé ça, on a bricolé ça.
01:39Et pour nous, ça a été extrêmement important
01:42que la radio sorte du carcan du studio.
01:48Non, on était...
01:50C'est une époque exceptionnelle.
01:53Vous savez, la machine à laver que vous m'avez fait gagner,
01:56elle marche toujours.
02:01Il ne fallait pas que la tête de Léon soit connue.
02:03Vous avez compris pourquoi.
02:06Tu trouves qu'il a changé ?
02:08Non, il n'a pas changé, il a toujours 20 ans.
02:12Tout finit par mourir un jour.
02:14Le plus important étant la mémoire qu'on laisse.
02:44Sous-titrage ST' 501

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