Qui a le plus à craindre de la libération de Julian Assange ? 

  • il y a 3 mois

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Transcription
00:00Hillary Clinton a fait un très bon travail stratégiquement pour tenter de créer une connexion entre Trump et la Russie
00:08parce qu'elle a tellement de connexions de sa propre façon.
00:12Mon analyse de Trump et de la Russie, c'est qu'il n'y a pas de connexion substantielle.
00:19Pourquoi je dis ça ?
00:21Parce que Trump a essayé d'investir dans la Russie avant Poutine, dans les années 1990, après Poutine,
00:27en fait jusqu'à présent, et il n'a eu aucun succès.
00:33Il n'a pas réussi à construire des hôtels et ainsi de suite en Russie.
00:36Cela montre comment insubstantiels sont ses contacts.
00:43Il y a un modèle extrêmement bien documenté de l'époque où Hillary Clinton était secrétaire de l'État.
00:49Ces gens, les entreprises, les gouvernements, qui voulaient une décision de la secrétaire de l'État en leur faveur,
00:56faisaient de grandes donations à la Fondation Clinton ou, dans d'autres cas,
01:01à des accords commerciaux avec les gens autour de Hillary Clinton.
01:04Un exemple particulier est l'approuvant de la secrétaire Clinton
01:10de vendre 20% des droits de reprocessage de l'uranium américain à une entreprise russe,
01:20pour être exportée en Russie.
01:22À ce moment-là, une grande donation a été faite par ces intérêts russes à la Fondation Clinton.
01:29En plus, la secrétaire de l'État de Clinton, Podesta,
01:33était à la table d'une entreprise appelée Joule Unlimited.
01:36Joule Unlimited a gardé certains des droits et a reçu un investissement de 35 millions de dollars en Russie.

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