Depuis l'apparition des mobiles, des scientifiques issus du monde entier, creusent ce sujet. Loin d'être anti-télépho | dG1fTEV6UjJXYUY0X2c
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00:00La capitale autrichienne a soudainement un rôle particulier à jouer dans le déroulement
00:05de divers procès contre la téléphonie mobile dans le monde.
00:08Dans l'ombre de cette jolie ville, plusieurs bombes sont prêtes à exploser.
00:13D'abord, il y eut ce « scandale viennois ». En 2008, le journal allemand Der Spiegel
00:20consacrait deux articles à un scandale monté de toutes pièces.
00:23Le nom du docteur Rüdiger et de l'étude Reflex furent traînés dans la boue.
00:29Il était accusé d'avoir eu une liaison avec son assistante de labo qui aurait ensuite
00:34accepté de falsifier les résultats par amour pour le professeur.
00:38Une fiction que seule Tina Goebel, une journaliste de l'hebdomadaire Profil basée à Vienne,
00:44décrypta comme une tentative de faire taire un personnage.
00:48Elle révéla au lecteur que cette campagne de diffamation n'avait rien à voir avec
00:54la recherche scientifique.
00:59Il n'y a pas de discussion sur le thème de la télécommunication mobile,
01:06il n'y a pas de discussion sur le thème de la recherche scientifique,
01:12c'est très rapidement transformé en personnage,
01:16des armes sont déchirées rapidement,
01:20et on essaie rapidement de détruire la vie privée des scientifiques.
01:30Son article intitulé « Quand la saleté rayonne » dévoilait ce scandale
01:35au grand étonnement de nombre de ses confrères.
01:51A Vienne, le journalisme d'enquête existe encore.
01:55Tina Goebel a surmonté les difficultés du dossier et mené une véritable enquête de fond.
02:25On essaie ici d'installer une recherche dans le système.