275 gendarmes ont été mobilisés pour sécuriser les épreuves de surf des JO à Teahupo'o, en Polynésie française. Un important dispositif de sécurité qui crée des mécontentements au sein de la population locale.
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00:00j'ai fait cinq barrages avant d'arriver ici donc après bon avec les problèmes qu'il ya
00:29eu en france ou quoi que ce soit je comprends qu'il y ait de la vigilance mais à ce point là
00:33c'est un peu désolant pour la population de Théti également pourquoi parce que d'habitude au fur et
00:42à mesure quand il y a le surf ici en Polynésie l'accès est ouvert à tout le monde et aujourd'hui
00:47on peut dire que la plupart de la population est vraiment mécontent. On se sent un peu bousculé
00:52ici c'est à dire qu'on a des règles françaises ici alors que bon voilà on n'a pas le droit d'aller
01:00sur le lago on n'a pas le droit d'aller à la pointe il faut un pass mais le pass c'est pour
01:04qui ou y faire quoi. Ici la menace n'a rien à voir avec ce qu'on peut rencontrer en métropole
01:27ici ce qu'on craint c'est soit l'engorgement du site olympique soit l'engorgement du plan d'eau
01:33qui pourrait générer des accidents et c'est pour ça qu'on régule la circulation. Bien évidemment
01:38sur un événement comme celui-ci on ne peut pas laisser rentrer n'importe qui sur le site donc
01:42on filtre les personnes qui sont accréditées et celles qui n'ont pas eu l'accréditation on les
01:47oriente vers une autre solution bien entendu on ne coupe pas la totalité du trafic il faut que
01:51les gens quand même continuent de vivre sur le fait noir ça c'est une évidence mais en revanche
01:55dès qu'on s'approche du site purement olympique là on rentre dans un moule qui est fermé.