• il y a 4 mois
Chaque édition des Jeux olympiques a droit à son lot de pin’s exclusifs créés spécialement pour l’occasion. Parmi ceux imaginés pour Paris 2024, un en particulier fait mouche, et on comprend pourquoi !
Transcription
00:00Qui a dit que les pins étaient ringards ? Depuis le début des JO de Paris, la chasse
00:04aux pins est carrément devenue un nouveau sport olympique.
00:07Au début de la compétition, les athlètes se voient remettre des petits pins qui représentent
00:10leur pays.
00:11L'objectif c'est qu'ils se les échangent entre eux pour avoir un maximum de pays différents
00:15dans leur collection.
00:16Et tout ça, ça se transforme vite en compétition.
00:19Il faut récupérer les plus beaux et les plus rares, généralement issus des délégations
00:22qui comptent le moins de personnes.
00:24Certains pins sont particulièrement recherchés, comme ce ramené par Simone Biles avec son
00:28nom dessus, mais un des plus populaires, celui que tout le monde s'arrache, n'est
00:32autre qu'un pins pigeon.
00:33Si on en parle beaucoup cette année, l'échange de pins est une tradition olympique qui n'est
00:38pas nouvelle.
00:39Ils sont apparus dès les premiers jeux modernes en 1896 sur certains athlètes grecs pour
00:43les distinguer des juges.
00:44Aujourd'hui, c'est surtout un moyen de nouer des liens entre les sportifs du monde
00:48entier.
00:49Mais la folie touche aussi les spectateurs, et certains sont devenus de véritables collectionneurs.

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