Touche à tout, Gabrielle Guinier, installée depuis 20 ans à Chaource, explore les arts, de la peinture au collage en passant par la sculpture avec, toujours, en filigrane, l’écriture qui l’accompagne.
Images : Anne-Claire Gross / Réalisation : Glenn Essoly
Images : Anne-Claire Gross / Réalisation : Glenn Essoly
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00:00Oui sur l'exposition
00:30Et donc là, ça va être la sculpture en...
00:33Voilà, ça reste en dessous, en dessous.
00:35Voilà.
00:39Je vais vous passer ma petite...
00:41Ma petite...
00:42Petit livret.
00:55Mais donc la première étape, si on peut juste la redécrire,
00:57c'est vraiment d'abord travailler le fer.
01:00Voilà, mettre des tiges ici.
01:02Comme ils sont là, ça c'est une sculpture que j'ai détruite dans le jardin.
01:06Voilà, donc il y avait ça qui était...
01:08En fait c'était le féminin, le masculin.
01:10A l'époque, donc il y avait une part de masculin
01:14et la part féminin, et c'était ensemble, c'était un seul être.
01:17D'accord.
01:18Mais il n'a pas tenu le jardin.
01:20Alors ça c'est des tiges d'arbres, il y en a qui sont parties,
01:23m'aident à donner cette forme du truc.
01:28Avec des papiers journaux.
01:29Avec des papiers journaux, oui.
01:31Les outils ?
01:32Oui.
01:33Eh ben bon, la colle, le fil de fer, ma passe,
01:36les petites boules pour la tête et le papier.