• il y a 2 mois
Il fait plus de 30 degrés cet après-midi-là à Madrid, mais les clients de la station de ski couverte Snozone ignorent la torpeur de l'été... et les questions liées à l'environnement.

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Transcription
00:00C'est parti pour le tour de l'église, c'est parti pour le tour de l'église
00:30Je vais vous avouer que quand j'en parle à mes amis, il y en a certains qui me disent
00:42mais t'as pas honte d'aller skier à l'intérieur.
00:45Je me dis que si les générations passées avaient fait attention à l'écologie, on
00:51aurait skié tout simplement sur des glaciers.
00:54Là, on est obligé de venir skier en salle parce que sinon il y a un trop grand écart
00:59avec d'autres clubs, on sent la différence.
01:01Si nous on ne skie pas en été comme ça, en début de saison, on commence à mettre
01:06les skis en décembre, ça fait trop tard.
01:09C'est pour ça que nous avons investi dans les énergies sanitaires, comme les plaques
01:31solaires.
01:32Et nous allons continuer dans cette direction, qui nous a fait des économies incroyables.
01:40Pas seulement en termes d'économie, mais aussi en termes d'économie, ça nous a rendu
01:49très rentable.
01:50Parce qu'en plus, nous, quand nous avons besoin de plus d'électricité, c'est quand
01:53il y a plus de soleil.
01:54Plus il fait chaud, plus on a besoin de froid.
02:02– Sous-titrage Société Radio-Canada

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