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00:00:00Bonjour tout le monde et bienvenue sur OTC TV pour un entretien unique avec Alexis Cossette.
00:00:06Vous l'avez réclamé, et bien il a eu la gentillesse d'accepter notre invitation
00:00:11pour parler du climat politique et géopolitique global dans lequel on évolue actuellement
00:00:17à travers un fil d'Ariane qui sera l'élection ou non de Trump,
00:00:23en tout cas les élections américaines à l'échéance de novembre 2024.
00:00:26Alexis Cossette, bonjour et merci infiniment d'avoir accepté notre invitation.
00:00:30Merci monsieur Achachide d'avoir invité à votre émission.
00:00:33Avec grand plaisir.
00:00:34Alors il y a différents éléments qui se passent en même temps
00:00:37et qui en apparence n'ont aucun lien entre eux.
00:00:39Donc d'un côté on a les émeutes au Royaume-Uni,
00:00:42suite à un drame qui aurait pu passer inaperçu,
00:00:45mais le fait est qu'il y a eu des émeutes orientées contre les personnes d'origine étrangère,
00:00:50principalement musulmanes, mais pas que.
00:00:53Donc il y avait un fondement ethno-racial ou ethno-confessionnel.
00:00:57En même temps, on a eu la tentative ou non d'assassinat contre Trump
00:01:03que vous avez analysée en détail dans plusieurs de vos émissions
00:01:06et je renvoie les gens à ces émissions-là.
00:01:09De l'autre côté, on a l'attaque ukrainienne ou otano-ukrainienne ou ukronavie
00:01:13dans la région russe de Kours qui représente une escalade majeure dans le conflit,
00:01:17puisque c'est une ligne rouge qui a été franchie.
00:01:20Et on a la variole du singe,
00:01:22où on ne prépare à peu près le même narratif que pour le Covid.
00:01:26Et il est intéressant de voir que Trump, récemment, en a parlé
00:01:30en disant qu'on lui prépare le même coup que la dernière fois avec le Covid,
00:01:34pour lui voler l'élection.
00:01:36Alors Alexis Kossak, parmi vos talents, figure un talent particulier,
00:01:40c'est lui de mettre en relation des choses en apparence séparées et autonomes.
00:01:44Donc il y a une forme de trame derrière ces différents éléments.
00:01:48On n'est pas dans la logique de complot primaire,
00:01:50comme on nous accuse souvent de l'être.
00:01:52On est dans une logique où on essaie de déduire la stratégie de l'ennemi,
00:01:55qui est souvent une stratégie complexe à deux, trois, quatre tons,
00:01:58qu'il s'agit de décoder.
00:02:00Selon vous, le fil d'arrière n'est-il de bon?
00:02:02Est-ce qu'il s'agit des élections américaines de 2024
00:02:05et la victoire éventuelle de Trump?
00:02:07Pour les émeutes en Angleterre, je ne suis pas certain que ça ait un lien
00:02:11direct avec Trump, mais il y a un lien, évidemment,
00:02:14dans le conflit entre, on pourrait dire, ce qu'on pourrait appeler
00:02:18les patriotes qui veulent un retour de la nation
00:02:21et les élites mondialistes qui veulent, eux, justement,
00:02:23broyer la nation et nous amener, en fait, c'est ce que j'ai analysé
00:02:27dans le dernier webjournal, vers une unification globale,
00:02:31que ce soit une unification du monde sous l'égide des forces atlantiques
00:02:36ou à travers une guerre de domination entre les forces atlantiques
00:02:41et, par exemple, la Russie et la Chine.
00:02:44Et donc, ça, c'est une dynamique particulière,
00:02:47mais la trame de fond, c'est toujours le conflit entre
00:02:50les patriotes qui sont menés par Trump,
00:02:53qui annoncent le retour de la nation,
00:02:55et les forces mondialistes.
00:02:57Et c'est d'ailleurs le conseiller de Klaus Schwab
00:03:00au Forum économique mondial, Yuval Noah Harari,
00:03:03qui le disait, il disait dans une entrevue, je pense, cette année,
00:03:06il disait « si Trump est élu, eh bien, c'est la fin du mondialisme ».
00:03:09Et Trump a été annoncé la fin du mondialisme à l'ONU,
00:03:12il est allé, il s'est rendu à Davos,
00:03:14dire que le mondialisme était terminé,
00:03:16que c'était le retour de la nation, etc.
00:03:18Les forces transnationales globalisantes le savent
00:03:22et savent en fait que cette élection-là,
00:03:26c'est la dernière élection pour eux.
00:03:28Et Trump dit la même chose, c'est-à-dire que
00:03:30c'est l'élection où soit les forces nationalistes
00:03:33du retour de la nation triomphent du mondialisme
00:03:36ou le mondialisme qui triomphe des forces du retour de la nation.
00:03:39Et donc, c'est dans ce contexte-là,
00:03:41c'est toujours, la plupart des événements mondiaux
00:03:45se jouent sur cet axe-là, sur ce X et cet Y-là
00:03:49de la guerre contre le mondialisme,
00:03:54le conflit, le combat contre le mondialisme
00:03:56ou contre la nation.
00:03:58D'ailleurs, et même les Jeux olympiques vont dans ce sens-là.
00:04:01Si vous avez écouté l'entrevue de Jacques Attali,
00:04:03Jacques Attali a dit « ces Jeux olympiques-là,
00:04:06dans 15 ans, on regardera ces Jeux olympiques-là
00:04:09soit comme étant la porte d'entrée
00:04:12vers l'ouverture et l'acceptation globale
00:04:14d'un certain nombre de choses,
00:04:16ou une espèce de repli ».
00:04:18Et je pense que la réponse mondiale a été claire,
00:04:20c'est-à-dire qu'on n'accepte pas
00:04:22cette espèce d'ouverture à n'importe quoi,
00:04:25pratiquement au pédo-satanisme.
00:04:29Et le monde a réagi, donc il a obtenu sa réponse.
00:04:32Mais c'est la trame de fond de la plupart des conflits
00:04:34qu'on voit actuellement.
00:04:36D'accord, donc il s'agit d'une opposition
00:04:39avec un double tropisme.
00:04:41D'un côté, on a l'axe libéral-atlantiste,
00:04:44même pas libéral en réalité,
00:04:46oligarcho-atlantiste,
00:04:48incarné par le monde atlantique,
00:04:51par l'OTAN, par les élites européennes
00:04:53et les élites démocrates américaines,
00:04:55et l'État profond américain.
00:04:57Et de l'autre côté, on a un axe souverainiste
00:04:59incarné dans le monde occidental,
00:05:00principalement par Trump
00:05:01et par quelques mouvements secondaires en Europe.
00:05:03Et au niveau oriental,
00:05:05par la Russie et par la Chine.
00:05:07Alors, vous expliquez qu'au Royaume-Uni,
00:05:09on a la même dialectique.
00:05:10C'est en fait une forme de ligne de fracture
00:05:12qui traverse la plupart des pays
00:05:14et qui, au Royaume-Uni,
00:05:15s'est manifestée par un schéma de violence généralisée.
00:05:18Violence, je ne parle pas uniquement des émeutes,
00:05:21mais je parle également de la violence d'État,
00:05:23puisqu'on parle de mille arrestations au Royaume-Uni.
00:05:25Aujourd'hui, on envoie des gens en prison pour des mèmes,
00:05:27pour avoir partagé des mèmes sur Internet.
00:05:29Alors, ma question pour le Royaume-Uni.
00:05:31Pensez-vous que ce fut un mouvement spontané
00:05:33de colère, de ras-le-bol?
00:05:34Ou y a-t-il derrière également des gens?
00:05:36Parce que certains parlent d'une implication israélienne
00:05:38au Royaume-Uni, dans les émeutes,
00:05:40et qu'une partie de l'extrême droite,
00:05:42entre guillemets britannique,
00:05:44est dirigée par les Israéliens.
00:05:47Il y a des liens.
00:05:48Je pense qu'il y a des liens entre Tommy Robinson
00:05:51et les forces de défense israéliennes.
00:05:54J'ai vu des vidéos où il en faisait la promotion, etc.
00:05:57Mais selon moi, c'est possible.
00:06:02Ce que je veux dire finalement,
00:06:04c'est que moi, c'est des tendances plus lourdes.
00:06:06C'est-à-dire que ce que les élites occidentales
00:06:08sont en train de faire partout en Occident,
00:06:10c'est d'augmenter les contradictions dans la société.
00:06:15C'est-à-dire qu'on fait rentrer d'une part des millions,
00:06:19voire des dizaines de millions de migrants,
00:06:22beaucoup d'entre eux musulmans ou africains, etc.
00:06:26Et d'autre part,
00:06:28ou de sociétés traditionnelles, patriarcales.
00:06:30Et d'autre part, on fait la promotion du mouvement LGBTQ,
00:06:33des drag queens dans les écoles, etc.
00:06:35Il y a nécessairement un clash des valeurs.
00:06:40Et à chaque fois qu'on réagit contre ces choses-là,
00:06:42que ce soit contre l'un ou contre l'autre,
00:06:44l'État déploie sa répression,
00:06:46met de l'avant de nouvelles lois pour contrôler, censurer,
00:06:50envoie, comme vous dites, des milliers de personnes en prison
00:06:54et toutes ces contradictions-là, selon moi,
00:06:59ont pour objectif de liquifier la société civile.
00:07:07C'est-à-dire qu'à partir du moment où on n'a plus le droit,
00:07:10où les citoyens...
00:07:12C'est-à-dire que ce sont des expressions
00:07:14d'une volonté de liquéfaction de la société civile.
00:07:18On détruit les identités.
00:07:20On tente de détruire l'identité britannique
00:07:22en faisant entrer des millions de migrants.
00:07:24On tente de détruire l'identité homme-femme,
00:07:26la distinction homme-femme avec le mouvement LGBTQ, etc.
00:07:29Et donc, on détruit tous les facteurs identitaires
00:07:32qui ont pour fonction, généralement,
00:07:35de créer de la cohésion sociale.
00:07:38Les facteurs identitaires créent de la cohésion sociale.
00:07:42Quand notre identité est bien ancrée
00:07:44et les limites sont bien établies,
00:07:46il y a un facteur de cohésion sociale.
00:07:48Par exemple, j'en ai parlé récemment.
00:07:50La révolution islandaise a été rendue possible
00:07:54parce que c'est une société où il y a
00:07:56un très haut niveau de cohésion sociale,
00:07:58d'homogénéité, de cohésion sociale.
00:08:00Les identités sont bien ancrées.
00:08:03Or, dans une société où on détruit
00:08:06la distinction homme-femme,
00:08:08la distinction entre ce qui constitue
00:08:10un Anglais et un étranger,
00:08:12on mélange tout ça,
00:08:14il y a une liquéfaction,
00:08:16un broiement de la société civile
00:08:18qui en résulte,
00:08:20en une surdétermination de l'État,
00:08:23une croissance de la puissance étatique.
00:08:28Et la raison pour laquelle on veut broyer
00:08:30la société civile et augmenter la puissance étatique,
00:08:32c'est toujours, si vous comprenez
00:08:34l'état d'esprit des élites atlantistes,
00:08:39ils sont dans une logique de domination mondiale.
00:08:42C'est toujours ça le facteur primaire.
00:08:46C'est-à-dire que moi j'étudiais
00:08:48dans la fin des années 90, au début des années 2000,
00:08:50les documents de l'armée américaine
00:08:52sur la domination mondiale,
00:08:54sur le fait de mener des guerres
00:08:56sur deux théâtres d'opérations simultanées
00:08:58pour maintenir la suprématie américaine.
00:09:00C'est ça le mindset,
00:09:02c'est ça l'état d'esprit des élites,
00:09:04c'est-à-dire la domination mondiale.
00:09:06Et si on veut mener,
00:09:08si les élites atlantistes veulent mener
00:09:10une guerre de domination mondiale
00:09:12contre, maintenant on ne parle plus
00:09:14d'unification du monde, ce projet-là a été remisé.
00:09:16Maintenant, à cause de la montée
00:09:18des briques, etc., on s'en va nécessairement
00:09:20vers un conflit.
00:09:22Et donc, si on veut, si les élites atlantistes
00:09:24veulent pouvoir mener une guerre de domination mondiale
00:09:26contre simultanément la Russie
00:09:28et la Chine, parce que les deux seront alliés,
00:09:30il faut se débarrasser du facteur civil.
00:09:32C'est-à-dire que le principal
00:09:34ennemi des forces
00:09:36atlantistes, c'est la société civile
00:09:38occidentale, qui pourrait rechigner
00:09:40à l'idée d'avoir des pertes.
00:09:42La société civile, qui exerce encore
00:09:44un contrôle sur le militaire,
00:09:46pourrait finalement, les électeurs pourraient dire
00:09:48« Non, on n'y va pas, je n'ai pas envie de perdre
00:09:50ma job, je ne veux pas perdre mon enfant
00:09:52sur le front, il y a trop de pertes
00:09:54économiques, etc. » Et donc, le
00:09:56principal facteur,
00:09:58le principal obstacle à la guerre de domination
00:10:00mondiale des élites mondialistes, c'est la société
00:10:02civile.
00:10:04On pourrait dire la démocratie
00:10:06en tant que telle.
00:10:08Et c'est pour ça que depuis 2015, si vous avez
00:10:10les entrevues de Mike Benz avec Tucker Carlson,
00:10:12on parle de tous ces programmes de l'OTAN
00:10:14dans le cadre desquels l'OTAN,
00:10:16au lieu de se concentrer
00:10:18sur des facteurs externes comme la Russie,
00:10:20la Chine, etc., s'est retourné contre
00:10:22la société civile.
00:10:24Il a commencé à opérer des
00:10:26programmes de censure
00:10:28et a perçu, l'OTAN a
00:10:30commencé à percevoir ses propres
00:10:32populations, les populations des pays de l'OTAN
00:10:34comme des menaces à l'OTAN, à la
00:10:36survie de l'OTAN.
00:10:38Et on commençait à s'ingérer
00:10:40dans les élections, à censurer,
00:10:42à pointer du doigt certains
00:10:44partis nationalistes comme étant des menaces
00:10:46à la démocratie. C'est de là que vient
00:10:48le discours menaces à la démocratie.
00:10:50Le problème, c'est qu'en s'ingérant comme ça
00:10:52dans la société civile, ils deviennent
00:10:54eux-mêmes une menace à la démocratie.
00:10:56C'est un truc complètement
00:10:58paranoïaque. Et donc, les élites
00:11:00atlantistes qui tournent autour de
00:11:02l'OTAN sont complètement déconnectés de la base
00:11:04de leur base
00:11:07civile et considèrent
00:11:09maintenant que la société civile
00:11:11est une menace à la
00:11:13survie de l'OTAN, un, mais deux,
00:11:15à la
00:11:17capacité des forces atlantistes
00:11:19de mener une guerre de domination
00:11:21mondiale. Vous comprenez ce que je veux dire?
00:11:23Et donc, étant donné
00:11:25que la population civile est devenue l'ennemi
00:11:27principal, tout
00:11:29est fait pour faire en sorte que
00:11:31tout ce qui
00:11:33revigore, tout ce qui
00:11:35renforce la société civile
00:11:37soit liquifié. Ils veulent
00:11:39une société civile sans
00:11:41aucune importance, sans aucune
00:11:43contrôlée,
00:11:45c'est-à-dire divisée à l'extrême
00:11:47parce que
00:11:49quand on augmente
00:11:51comment je pourrais dire
00:11:53la diversité
00:11:55à l'intérieur d'une société, que ce soit la diversité
00:11:57sexuelle, mais ici, ce n'est pas seulement
00:11:59l'augmentation de la diversité sexuelle, c'est un programme
00:12:01de propagande comme on n'en a jamais vu
00:12:03avec les drag queens, le truc LGBTQ, etc.
00:12:05Et donc, on augmente la diversité autant
00:12:07sexuelle que la diversité
00:12:09sexuelle, je parle
00:12:11entre guillemets, on fait la promotion
00:12:13de la diversité sexuelle comme jamais auparavant,
00:12:15la diversité aussi ethnique,
00:12:17la diversité religieuse, etc., de sorte que
00:12:19on arrive à une société, à une tour de
00:12:21babel totalement ingérable
00:12:23qui ne
00:12:25peut pas se dresser contre les forces
00:12:27mondialistes, qui est rongée par les
00:12:29contradictions et
00:12:31dont les contradictions finalement, le seul arbitre
00:12:33à la fin de tout ça
00:12:35demeure l'État et la société ne peut
00:12:37plus s'opposer, il n'y a plus de cohésion sociale.
00:12:39L'objectif des élites mondialistes,
00:12:41c'est la destruction de la cohésion sociale
00:12:43dans les sociétés de l'OTAN.
00:12:45On ne voit pas ça nulle part ailleurs,
00:12:47on ne voit pas ça dans les pays de l'Est
00:12:49par exemple, par Pologne, Hongrie,
00:12:51Slovaquie,
00:12:53Latvie, etc.
00:12:55Il n'y a absolument pas ça,
00:12:57c'est cet objectif
00:12:59d'augmenter les contradictions, la diversité
00:13:01à l'intérieur de la société, on ne voit pas ça en Asie
00:13:03non plus, Japon, Corée, Vietnam,
00:13:05ça n'existe que dans la zone
00:13:07atlantiste et la raison pour laquelle
00:13:09la zone atlantiste fait ça,
00:13:11c'est une doctrine
00:13:13officielle de l'OTAN. Si vous avez
00:13:15écouté en 1999, le général de
00:13:17l'OTAN, le général Wesley Clark
00:13:19a dit en entrevue à CNN
00:13:21lors des bombardements sur Belgrade
00:13:23de la Yougoslavie, il a dit
00:13:25on n'accepte plus les États homogènes,
00:13:27on se dirige vers des États
00:13:29multi-ethniques et c'est l'avenir
00:13:31pour le XXe siècle. Donc c'est une doctrine
00:13:33officielle de l'OTAN de
00:13:35balkaniser les États
00:13:37etc.
00:13:39Encore une fois, je reviens
00:13:41là-dessus, tout ça c'est parce que
00:13:43la société civile est l'obstacle
00:13:45principal au visé
00:13:47global,
00:13:49au visé militaire de l'OTAN,
00:13:51les civils ont encore
00:13:53le contrôle sur le militaire
00:13:55et que pour mener une guerre
00:13:57de domination mondiale, il faut effacer le
00:13:59facteur humain, comme je l'ai montré d'ailleurs dans le
00:14:01film War Games, je ne sais pas si vous vous rappelez le film War Games
00:14:03avec Matthew Broderick,
00:14:05c'est l'ordinateur qui prend le contrôle parce que
00:14:07le facteur humain,
00:14:09le film commence avec un tir
00:14:11de missile, un test de tir de missile
00:14:13et le commandant du
00:14:15silo refuse de tirer
00:14:17le missile pour tuer 20 millions de personnes.
00:14:19Et donc si on veut mener une guerre de domination
00:14:21mondiale, il faut détruire le facteur humain,
00:14:23il faut éviter que
00:14:25l'ensemble du processus
00:14:27soit géré par, par exemple,
00:14:29une intelligence artificielle, comme on a vu
00:14:31d'ailleurs en Israël, à Gaza,
00:14:33ils utilisent une intelligence artificielle, le programme
00:14:35Lavender, pour identifier les
00:14:37cibles et détruire les dirigeants du Hamas
00:14:39et le programme Lavender, l'intelligence
00:14:41artificielle,
00:14:43détermine le nombre de pertes acceptables,
00:14:45c'est-à-dire que pour un petit commandant du Hamas,
00:14:47c'est 20 pour 1,
00:14:49on peut tuer 20 personnes pour sortir
00:14:51d'un petit chef du Hamas, mais pour un commandant
00:14:53supérieur, le
00:14:55niveau de perte humaine acceptable, c'est 100 pour 1.
00:14:57Et donc,
00:14:59avec ça, on commence à
00:15:01entrevoir l'aube d'une ère
00:15:03militaire qui est entièrement
00:15:05contrôlée par l'intelligence artificielle,
00:15:07les drones, l'automatisation,
00:15:09etc., et que pour
00:15:11en arriver à une victoire contre
00:15:13la Russie et la Chine, il faut avoir un niveau de
00:15:15perte, être capable qu'une société accepte
00:15:17un niveau de perte très, très, très élevé, ce qui est
00:15:19impossible avec une société civile forte,
00:15:21donc il faut réduire la société civile
00:15:23et donner le contrôle de ça à l'intelligence
00:15:25artificielle.
00:15:27C'est un long segment.
00:15:29Je vais vous relancer parce que j'ai différents questionnements
00:15:31par rapport à ce que vous venez de dire. Premièrement, par rapport
00:15:33à la question de l'IA et de la technologie,
00:15:35puisque l'humain n'est pas fiable,
00:15:37en dernière instance, il peut refuser d'obéir aux ordres,
00:15:39on a vu quand même que l'un des enseignements
00:15:41de la guerre en Ukraine, c'est que le facteur
00:15:43humain est encore central, même dans la guerre la plus
00:15:45intense et la plus moderne.
00:15:47Il faut qu'il y ait des humains,
00:15:49il faut qu'il y ait des soldats sur le front
00:15:51et au niveau des tranchées. Mais mon
00:15:53questionnement, il est ailleurs. Je comprends
00:15:55ce que vous dites. Il y a quelques décennies,
00:15:57on était dans un schéma
00:15:59où pour
00:16:01vaincre l'ennemi ou mener la guerre à l'ennemi,
00:16:03on utilisait la société
00:16:05civile comme un tremplin à travers
00:16:07de l'ingénierie sociale, à travers de la
00:16:09propagande, pour mobiliser
00:16:11les moyens et les forces contre l'ennemi.
00:16:13On l'a fait contre l'Irak, on l'a fait contre différents pays.
00:16:15Aujourd'hui, l'oligarchie
00:16:17nous a fait entrer dans une autre phase,
00:16:19où désormais, la société civile
00:16:21ne doit plus être un tremplin, mais doit
00:16:23tout simplement disparaître.
00:16:25Il faut la liquider en exacerbant
00:16:27les tensions, en horizontalisant les
00:16:29violences pour qu'elles ne prennent pas une forme
00:16:31verticale. Mais il y a toujours
00:16:33un revers de la médaille, parce que peut-être
00:16:35qu'ils sont en train de jouer avec le feu.
00:16:37Ce qu'on a constaté ces derniers mois,
00:16:39en tout cas depuis l'enclenchement de l'agression
00:16:41contre la bande de Gaza,
00:16:43c'est qu'il y a une convergence,
00:16:45de fait,
00:16:47entre le produit du
00:16:49multiculturalisme promu par
00:16:51l'Occident depuis des décennies,
00:16:53d'un côté, et de l'autre côté, le lgbtisme
00:16:55et les drag queens, puisqu'on a vu
00:16:57une forme de convergence entre
00:16:59les LGBT et les musulmans d'Europe
00:17:01et d'Amérique, contre Israël.
00:17:03Un phénomène
00:17:05assez paradoxal, où on a les gays et les
00:17:07musulmans qui sont opposés à Israël, même s'ils
00:17:09ne font pas alliance factuellement.
00:17:11De ce point de vue, Israël n'entend pas rester les bras
00:17:13creusés, puisqu'elle est en train de mobiliser
00:17:15tous les moyens dont elle dispose et tous les relais
00:17:17pour jouer sa carte
00:17:19dans ce clivage au sein du
00:17:21monde occidental, en optant pour le
00:17:23clivage militariste et conservateur.
00:17:25On a vu Elon Musk en partie récupéré
00:17:27par Benjamin Netanyahou,
00:17:29Elon Musk qui déclare désormais
00:17:31la guerre au mouvement woke, etc.
00:17:33On voit également
00:17:35différents relais médiatiques, comme
00:17:37Shapiro et d'autres, etc., jouer
00:17:39la carte de la militarisation et
00:17:41de l'extrême droite américaine et européenne.
00:17:43Et de l'autre côté, on a George Soros
00:17:45et les élites démocrates qui veulent plutôt miser
00:17:47sur la dimension de la liquefaction totale
00:17:49par les LGBT et par la dimension
00:17:51woke. Quelque part, ce que je veux
00:17:53dire, c'est qu'au lieu
00:17:55d'aboutir à l'extinction de la société
00:17:57civile, ne risque-t-il pas
00:17:59en réalité de rassembler les ingrédients
00:18:01de l'émergence d'une nouvelle société civile
00:18:03qui pourrait
00:18:05causer leur propre perte à cette oligarchie ?
00:18:07D'une nouvelle société civile
00:18:09organisée autour de valeurs, organisée autour
00:18:11d'une dimension conservatrice, etc.
00:18:15Il faudrait regarder chacun des éléments
00:18:17que vous avez mentionnés.
00:18:19C'est vrai qu'il y a peut-être certains
00:18:21éléments du mouvement
00:18:23LGBTQ qui semblent appuyer
00:18:25par exemple
00:18:27certaines des choses
00:18:29qui se passent à Gaza, mais encore une fois,
00:18:31ce sont des éléments
00:18:33je ne pense pas
00:18:35que soient majoritaires.
00:18:43Il y a effectivement une prise de conscience
00:18:45de ce qui est en train de se passer au niveau mondial
00:18:47et ce n'est pas joué
00:18:49pour l'OTAN, vous comprenez. Ce n'est pas joué
00:18:51pour les forces atlantistes, etc.
00:18:53Ce sont des tendances lourdes.
00:18:55Mais la société civile
00:18:57commence à prendre conscience
00:18:59de tout ça, notamment par Internet
00:19:01et on voit que les médias
00:19:05se montrent à perdre en crédibilité. Les gens
00:19:07commencent à s'informer de plus en plus sur Internet
00:19:09où l'information circule librement, etc.
00:19:11et où on peut critiquer les politiques
00:19:13des États et tout.
00:19:17Oui, c'est-à-dire que ce n'est pas encore
00:19:19joué. C'est sûr que la société
00:19:21civile se défend et
00:19:23à partir du moment où on comprend un certain nombre de choses,
00:19:25on peut s'opposer. Mais il y a encore
00:19:27aussi des tendances contradictoires dans la société
00:19:29civile, c'est-à-dire que ce n'est pas encore joué.
00:19:31Cependant, la politique
00:19:33étatique, la politique étatique officielle,
00:19:35c'est de financer
00:19:37à coups de centaines de millions
00:19:39le mouvement LGBTQ,
00:19:41notamment dans les écoles maintenant. C'est-à-dire
00:19:43que la nouvelle donne, c'est qu'on
00:19:45rentre maintenant, au Canada
00:19:47en tout cas, depuis l'arrivée de Trudeau
00:19:49au Parlement, ils vont maintenant dans
00:19:51les écoles détruire l'identité
00:19:53de genre des enfants, en leur disant
00:19:55« Ah, c'est sur un spectre, vous pouvez choisir
00:19:57et puis les infirmières à l'école
00:19:59peuvent t'aider à commencer une
00:20:01transition sans que les parents soient
00:20:03informés, etc. » Donc, il y a cet avillissement
00:20:05de l'enfant
00:20:07dès le plus bas âge
00:20:09et en même temps aussi, il y a une tendance
00:20:11démographique, comme un rouleau
00:20:13compresseur démographique avec
00:20:15l'immigration et la natalité de certains
00:20:17groupes d'immigrés qui font en sorte
00:20:19qu'on va
00:20:21se retrouver dans
00:20:23une dizaine, une quinzaine d'années
00:20:25si ce n'est pas déjà fait avec une société
00:20:27complètement, je veux dire…
00:20:29Hybrides.
00:20:31Sans aucune cohésion.
00:20:33Ça va être littéralement
00:20:35le chaos.
00:20:37Toutes les identités auront été détruites
00:20:39et l'État
00:20:41sera le seul arbitre de tout ce qui se passe dans la société.
00:20:43Il y aura eu plein de lois qui auront été
00:20:45mises de l'avant pour censurer, empêcher.
00:20:47Au Canada, maintenant, il y a des lois où est-ce que
00:20:49tu peux
00:20:51être arrêté. Elle n'est pas encore passée, mais
00:20:53elle est sur le plancher du Parlement.
00:20:55C'est-à-dire que tu peux être arrêté à titre
00:20:57préventif. Moi, je suis dans la mire des autorités
00:20:59canadiennes, c'est-à-dire que
00:21:01quelqu'un pourrait porter une plainte
00:21:03contre Radio-Québec
00:21:05parce que je dis, notamment
00:21:07à votre émission,
00:21:09à titre préventif, je pourrais être
00:21:11arrêté et mis en prison à titre préventif
00:21:13parce que je pourrais dire quelque chose qui déplait à quelqu'un.
00:21:15Donc, le crime d'arrière-pensée.
00:21:17C'est comme dans le film
00:21:19Minority Report, le pre-crime,
00:21:21c'est avant même d'avoir dit quelque chose,
00:21:23on porte plainte et je me fais arrêter ou j'ai une amende,
00:21:25etc., je passe devant un tribunal.
00:21:27Et donc, ça, ça fait en sorte, évidemment,
00:21:29qu'on n'est plus capable de rien dire,
00:21:31on n'ose même plus penser. C'est la même chose avec
00:21:33l'immigration à l'Angleterre, vous l'avez dit, mais l'arrestation,
00:21:35etc. Donc, il y a un
00:21:37programme législatif visant la
00:21:39destruction de toute opposition à ce
00:21:41programme de broyage
00:21:43de la société civile qui fait en sorte
00:21:45qu'éventuellement, les gens se taisent,
00:21:47les gens n'osent plus rien dire et
00:21:49veulent juste vivre leur vie, regardent
00:21:51Netflix et
00:21:53ne peuvent
00:21:55plus, ne sentent plus qu'ils peuvent s'opposer
00:21:57à l'État.
00:21:59Et puis, il y a même désormais au Canada,
00:22:01d'après ce que j'ai lu, des camps de rééducation.
00:22:03D'ailleurs, Jordan Peterson a été
00:22:05condamné à ça.
00:22:07Ce n'est pas un camp, mais c'est un
00:22:09programme, c'est-à-dire, oui, c'est ça.
00:22:11De manière imagée, on appellera ça un camp.
00:22:13C'est ça, c'est ça.
00:22:15Et donc, vous voyez un peu
00:22:17où tout ça s'en va, mais comme vous le dites,
00:22:19il y a effectivement
00:22:21un espèce de ressac aussi
00:22:23qui vient de la société civile, c'est-à-dire que c'est comme
00:22:25le COVID. Ils tentent
00:22:27de nous museler, ils tentent
00:22:29de nous confiner, de nous faire accepter le
00:22:31pass vaccinal, mais la société civile,
00:22:33surtout grâce à Internet, si c'était
00:22:35juste les médias, ce serait terminé. Les gens
00:22:37auraient juste une information de type
00:22:39pyramidal et
00:22:41ce serait le règne de la pensée unique. Mais à cause
00:22:43d'Internet et
00:22:45l'Internet, en fait, ce que l'Internet fait,
00:22:47c'est qu'il redonne un souffle et une voix
00:22:49à la société civile contre
00:22:51la structure pyramidale de contrôle
00:22:53gouvernement médiatique.
00:22:55D'accord, mais après, moi, ce que je ne comprends
00:22:57pas, c'est que dans cette dynamique
00:22:59de liquéfaction de la société qui n'a
00:23:01pas commencé aujourd'hui, qui a commencé depuis des
00:23:03décennies et qui se fonde sur un ensemble
00:23:05d'écoles philosophiques, l'École de Francfort,
00:23:07la French Theory, etc.,
00:23:09au fait, elle aboutit à
00:23:11pas une société, mais à
00:23:13une population
00:23:15qui, anthropologiquement,
00:23:17est incapable de faire la guerre. Je veux dire,
00:23:19aujourd'hui, on est quand même confronté à ce que Emmanuel Todd
00:23:21appelle une défaite anthropologique. Je veux dire, vous prenez
00:23:23l'individu lambda dans le monde occidental,
00:23:25alors, mise à part la Pologne, la Roumanie,
00:23:27l'Hongrie, ça, c'est un autre monde. Mais dans l'Europe
00:23:29occidentale-atlantique, vous le mettez
00:23:31en Ukraine, il est incapable de tenir 24
00:23:33heures dans un tranché ou
00:23:35dans une tranchée ou sur le
00:23:37champ de bataille. Donc, en même temps,
00:23:39liquéfier la société pour qu'elle
00:23:41cesse d'être un contre-pouvoir
00:23:43et pour qu'elle puisse accepter des
00:23:45menaces importantes, mais en même temps,
00:23:47anthropologiquement, elle devient incapable
00:23:49de supporter la moindre violence.
00:23:51Oui, c'est exactement.
00:23:53Elle est incapable de supporter la violence. C'est pour ça que
00:23:55c'est une menace. C'est précisément
00:23:57parce que la société...
00:23:59Il y a deux tendances.
00:24:01C'est-à-dire, c'est ça, c'est qu'on exacerbe cette
00:24:03tendance à vouloir faire
00:24:05en sorte que la société soit
00:24:07incapable d'accepter la violence, mais d'autre part,
00:24:09le fait que la société soit incapable d'accepter
00:24:11la violence, les pertes, etc., devient
00:24:13une menace à la suprématie militaire
00:24:15des élites. Vous comprenez?
00:24:17Oui, mais donc le but, c'est quoi?
00:24:19Le truc, en fait,
00:24:21c'est qu'on se dirige vers l'automation.
00:24:23Et tout ça, c'était une tendance
00:24:25qui était très bien expliquée au début
00:24:27des années 90 par le groupe,
00:24:29notamment Heidi et Alvin Toffler.
00:24:31Ils parlaient notamment de la guerre des drones,
00:24:33etc., et puis,
00:24:35l'intelligence artificielle
00:24:37et la robotisation du militaire.
00:24:39On a de moins en moins besoin
00:24:41de réels soldats.
00:24:43En fait, vous avez dit tout à l'heure,
00:24:45vous parliez de l'Ukraine tout à l'heure,
00:24:47on voit qu'on a besoin de soldats sur le terrain, etc.
00:24:49En fait, je ne pense pas que ce qu'on voit
00:24:51en Ukraine soit réellement le sommet
00:24:53de la guerre. Je pense que ce sont des armes
00:24:55qui datent de la dernière guerre,
00:24:57qui sont des armes des générations
00:24:59précédentes et que ce qui
00:25:01existe, en fait,
00:25:03les armes avec lesquelles
00:25:05le groupe,
00:25:07la zone atlantiste entend mener une
00:25:09guerre de domination ne sont pas les armes qu'on voit
00:25:11sur le terrain.
00:25:13Existe-t-elle réellement ?
00:25:15Admettons qu'elles existent.
00:25:17On ne montre pas
00:25:19les armes de dernière génération.
00:25:21Peut-être parce qu'elles n'existent pas
00:25:23encore. Parce qu'il ne faut pas
00:25:25oublier que les États-Unis, autant
00:25:27que l'Europe, ont connu, après la fin de l'Union soviétique,
00:25:29une dynamique de désindustrialisation.
00:25:31Il y a des budgets qui ont été réduits, il y a une forme de
00:25:33GAPJ qui s'est installée dans le
00:25:35complexe militaire industriel. Donc, je pense que
00:25:37c'est légitime quand même de douter du fait
00:25:39que les Américains possèdent de manière secrète
00:25:41des armes ultra-modernes qui ne sont pas encore
00:25:43révélées. Peut-être que, tout simplement, il n'y en a pas.
00:25:45D'où la volonté, peut-être,
00:25:47des États-Unis et de l'État profond américain de sortir
00:25:49le plus rapidement possible de ces guérons d'Ukraine.
00:25:51Parce que, si vous permettez rapidement,
00:25:53admettons qu'on entre dans un schéma futuriste
00:25:55où il y ait des micro-drones de quelques millimètres, etc.
00:25:57L'homme, le génie humain,
00:25:59est quand même assez particulier. Même du
00:26:01côté russe, on est capable de développer des systèmes
00:26:03de brouillage ou de guerres électromagnétiques
00:26:05capables de neutraliser immédiatement tous ces armements-là.
00:26:07Il faudra revenir à l'homme,
00:26:09aux soldats, sur le champ de bataille.
00:26:11Dans une guerre de domination comme ça,
00:26:13on va sortir des armes, notamment bactériologiques,
00:26:15des armes...
00:26:17Par exemple, si vous regardez les documents
00:26:19qui étaient produits en Chine en 2015,
00:26:21des documents
00:26:23de l'armée chinoise montraient que
00:26:25la Chine se préparait à une troisième
00:26:27guerre mondiale et que le facteur principal dans la
00:26:29troisième guerre mondiale, c'était des armes bactériologiques.
00:26:31C'est-à-dire que ça va être des armes...
00:26:33Ce qui était développé en Ukraine,
00:26:35dans les laboratoires biologiques en Ukraine, c'est des armes
00:26:37génétiques.
00:26:39Une ethnie particulièrement.
00:26:41On n'est pas
00:26:43dans les canons.
00:26:45On est dans
00:26:47ces armes génétiques-là qui déciment
00:26:49des populations. C'est pour ça que je dis de guerre de domination.
00:26:51Guerre finale, une guerre de domination.
00:26:53Tous les camps se préparent
00:26:55à ce genre de guerre-là. Il n'y a pas seulement
00:26:57que les armes biologiques ou les armes génétiques
00:26:59qui déciment des populations. Il y a des armes
00:27:01météorologiques et ça, on sait qu'ils en ont.
00:27:03On a juste à évoquer
00:27:05HARP pour avoir une petite idée de ce
00:27:07qu'ils sont capables de faire.
00:27:09Ils sont probablement capables de faire
00:27:11mille fois plus que ça. Dans une
00:27:13guerre de domination, ce n'est pas...
00:27:15Ce ne sont pas des
00:27:17tanks et des canons et des soldats dans les tranchées
00:27:19qu'on va voir. C'est une guerre apocalyptique
00:27:21avec des armes génétiques, des armes... Oui,
00:27:23peut-être des drones, etc., mais des armes météorologiques,
00:27:25etc. C'est ça, une vraie guerre de domination.
00:27:27En fait, ça va
00:27:29de la guerre de domination. Là, on parle
00:27:31de guerre d'extermination. Oui, c'est ça.
00:27:33Guerre de domination, guerre d'extermination, tout à fait.
00:27:35D'accord. Et de ce point de vue,
00:27:37le camp autour de Trump
00:27:39est premièrement conscient
00:27:41de ce risque-là, ne veut pas y aller.
00:27:43Exact. Mais
00:27:45est-il capable de mettre fin à cette folie?
00:27:47En tout cas, au niveau de l'État franco-américain.
00:27:49S'il est réélu, il va
00:27:51radicalement changer toute la structure
00:27:53des agences de sécurité aux États-Unis.
00:27:55Il a bien pris soin, au cours des
00:27:578 dernières années, de montrer que le
00:27:59problème principal des États-Unis,
00:28:01c'était les agences de sécurité,
00:28:03les agences de renseignement, la CIA,
00:28:05le FBI,
00:28:07etc., et le département
00:28:09de la justice, la corruption des institutions
00:28:11américaines,
00:28:13notamment des agences de renseignement.
00:28:15Il a montré ça. Il ne prenait pas
00:28:17ses intelligence briefings de la
00:28:19CIA, a pointé du doigt à plusieurs reprises
00:28:21les éléments corrompus de la CIA, du FBI,
00:28:23les directeurs de ces agences-là,
00:28:25qui ont tenté de le destituer avec cette histoire
00:28:27de collusion avec la Russie. Donc, c'est les agences de renseignement,
00:28:29l'État profond américain, qui ont tenté
00:28:31de destituer Donald Trump. Et donc, il a eu
00:28:33une intention, il l'a annoncé avec son général
00:28:35Mike Flynn, d'aller au fond et d'opérer
00:28:37une refonte en profondeur
00:28:39de ces agences-là, de montrer
00:28:41la trahison de ces agences-là,
00:28:43leur prise de contrôle, finalement,
00:28:45sur l'exécutif américain, sur le législatif,
00:28:47avec la corruption,
00:28:49les histoires de meurtre, peau de vin, etc.,
00:28:51surveillance, on est capable de contrôler
00:28:53le processus législatif-exécutif
00:28:55politique aux États-Unis.
00:28:57Et donc, afin de remettre
00:28:59la démocratie américaine sur des bases
00:29:01saines, il faut détruire ces agences-là
00:29:03et reconstruire
00:29:05un nouvel appareil
00:29:07de sécurité. Et ça, ça va
00:29:09s'articuler aussi, en même temps,
00:29:11qu'une refonte de l'architectonique
00:29:13sécuritaire internationale. C'est-à-dire
00:29:15qu'il l'a annoncé à plusieurs reprises que l'OTAN,
00:29:17il va mettre un terme à l'OTAN.
00:29:19Vous voyez, il y a cette espèce
00:29:21d'alliance Trump-Poutine. Les deux
00:29:23s'entendent très bien. Les médias crient
00:29:25à la trahison à cause de cette
00:29:27entente. Ils ont tout fait pour les éloigner l'un
00:29:29de l'autre, notamment en 2018, au sommet
00:29:31de Helsinki, etc.
00:29:33Les médias criaient à la trahison. Trump avait annoncé,
00:29:35avait dit qu'il faisait plus confiance à
00:29:37Poutine qu'aux agences de renseignement
00:29:39américains. Il a dit ça à la télé
00:29:41média, vous comprenez, ça a fait un électrochoc.
00:29:43Et donc, on se dirige
00:29:45vers une reconfiguration complète
00:29:47des structures sécuritaires
00:29:49internationales avec la fin de l'OTAN.
00:29:51Mais pour obtenir la fin
00:29:53de l'OTAN, l'OTAN doit
00:29:55perdre la face sur le terrain, doit montrer son
00:29:57inutilité, doit perdre la guerre en Ukraine.
00:29:59Et donc, ça, c'est le travail de Vladimir
00:30:01Poutine, c'est-à-dire
00:30:03de défaire
00:30:05de facto l'OTAN sur le terrain,
00:30:07de sorte que Trump puisse arriver par la suite en disant
00:30:09« c'est une organisation qui est inutile,
00:30:11de toute façon, ils ont envoyé
00:30:13tout l'équipement, il n'y a plus rien, il ne reste plus rien des
00:30:15structures, ils se sont discrédités, on va créer quelque chose
00:30:17de
00:30:19nouveau.
00:30:21On est en train de...
00:30:23La période actuelle, c'est un peu comme
00:30:25on est comme dans la Deuxième
00:30:27Guerre mondiale, on est comme dans la Troisième Guerre mondiale
00:30:29et à la fin de la Deuxième Guerre mondiale,
00:30:31il y a eu une nouvelle architectonique sécuritaire
00:30:33internationale, il y a eu des nouvelles institutions,
00:30:35il y a eu l'ONU, il y a eu
00:30:37l'OTAN, etc.
00:30:39Et là, on est
00:30:41sur le bord de ça, c'est-à-dire avec l'élection de
00:30:43Trump, la guerre en Ukraine, tous les éléments qu'on voit,
00:30:45le vide et tout ça, on est dans cette espèce de
00:30:47période charnière. Quand on va
00:30:49sortir de tout ça, je pense avec l'élection
00:30:51de Donald Trump, on va
00:30:53se diriger vers la création de nouvelles
00:30:55institutions internationales. Et si vous remarquez
00:30:57d'ailleurs, Trump a de très mauvais rapports
00:30:59avec la plupart des dirigeants des
00:31:01pays du G7,
00:31:03alors qu'il entretient d'excellents
00:31:05rapports avec les dirigeants des
00:31:07pays des BRICS. Et donc,
00:31:09Trump ayant pointé du doigt
00:31:11le problème avec les agences
00:31:13à l'intérieur des États-Unis, CIA,
00:31:15FBI, etc., et ayant
00:31:17aussi pointé du doigt le problème avec
00:31:19les agences de sécurité internationales comme
00:31:21l'OTAN,
00:31:23après, tout ce qu'on a
00:31:25vécu, c'est-à-dire qu'on est un
00:31:27peu dans la Deuxième Guerre mondiale,
00:31:29sauf qu'avec la COVID,
00:31:31avec ce qui se passe un peu partout, l'élection de Trump,
00:31:33et donc, au sortir de cette
00:31:35période charnière-là, il va y avoir une
00:31:37reconfiguration complète des rapports
00:31:39des institutions
00:31:41internationales, comme lorsqu'on est sorti
00:31:43de la Deuxième Guerre mondiale, il y a eu la création
00:31:45de l'ONU, il y a eu la création de l'OTAN, etc.,
00:31:47et là, ce qu'on va voir émerger, ce sont des nouvelles
00:31:49institutions internationales
00:31:51qui vont refléter la fin
00:31:53du mondialisme et des rapports plus sains
00:31:55entre les nations. Trump
00:31:57l'a répété à plusieurs reprises, il l'a répété à l'ONU,
00:31:59il a été le dire
00:32:01à Davos, comme j'ai dit en début de webjournal,
00:32:03et donc,
00:32:07c'est ça. Et on remarque,
00:32:09Trump, là, je répète ce que je disais,
00:32:11on remarque que Trump
00:32:13entretient de très mauvais rapports avec les dirigeants du G7,
00:32:15tous les dirigeants du G7,
00:32:17et c'est très tendu, etc., alors
00:32:19qu'il a d'excellents rapports avec
00:32:21les dirigeants des BRICS, vous voyez.
00:32:23Et donc, il y a cette espèce de réalignement-là
00:32:25des États-Unis, ce déplacement
00:32:27de la zone atlantique
00:32:29vers l'Eurasie
00:32:31et qui va
00:32:33mener à de nouvelles
00:32:35institutions internationales après
00:32:37l'élection de Donald Trump, après
00:32:39l'apaisement
00:32:41des divers conflits, que ce soit
00:32:43en Palestine-Israël
00:32:45ou en Ukraine, ces conflits-là vont
00:32:47s'éteindre avec le retour de Donald Trump et
00:32:49on va assister à la construction
00:32:51de nouvelles institutions internationales qui vont mener à une ère de paix.
00:32:53Le problème, c'est que
00:32:55la nouvelle architecture
00:32:57mondiale qu'on a eue après 1945,
00:32:59pour qu'elle advienne, il a fallu quand même
00:33:01qu'il y ait une deuxième guerre mondiale et un traité de Yalta.
00:33:03Même avant,
00:33:05la plupart des grandes ruptures au niveau
00:33:07diplomatique mondial, même le traité de Westphalie,
00:33:09il a fallu quand même qu'il y ait une guerre de 30 ans
00:33:11qui a ravagé l'Europe centrale, le monde
00:33:13germanique, etc. Donc, si aujourd'hui,
00:33:15on arrive à obtenir une nouvelle architecture sans
00:33:17qu'il y ait un bain de sang, ça serait quand même une première
00:33:19dans l'histoire.
00:33:21Peut-être que la victoire de Trump ne suffira pas,
00:33:23il faudra quand même qu'il y ait une guerre.
00:33:25Non, je ne pense pas que
00:33:27la victoire de Trump signifie la fin du mondialisme
00:33:29et l'arrivée de la paix.
00:33:31C'est-à-dire, c'est la défaite
00:33:33de l'État profond qui alimente
00:33:35les guerres un peu partout dans le monde, qui crée
00:33:37des foyers de tension, qui donne
00:33:39la technologie nucléaire
00:33:41à la Corée, qui donne la technologie
00:33:43nucléaire à l'Iran, etc. C'est l'État profond.
00:33:45Qui crée des zones
00:33:47de tension? Qui crée l'État islamique
00:33:49en Syrie pour créer la déstabilisation?
00:33:51Qui crée des laboratoires biologiques
00:33:53en Ukraine pour mener une guerre génétique
00:33:55contre la Russie? Il y a un dénominateur
00:33:57commun, c'est l'État profond. Et à partir du moment
00:33:59où on détruit l'État profond, parce que
00:34:01évidemment, vous dites que c'est une première.
00:34:03Oui, c'est une première, parce que c'est la première fois
00:34:05dans l'histoire qu'on a quelqu'un de patriote,
00:34:07bien conscient de tous les problèmes
00:34:09du mondialisme, qui arrive à prendre le contrôle
00:34:11de la branche exécutive aux États-Unis.
00:34:13Auparavant, ça a tout été des marionnettes.
00:34:15Vous comprenez, c'était des marionnettes,
00:34:17et ceux qui ont essayé de s'y opposer se sont fait tirer.
00:34:19En pensons à JFK, qui a commencé
00:34:21à avoir
00:34:23des hésitations et tout, et on
00:34:25a retiré JFK de l'équation.
00:34:27Quand Trump est arrivé, on lui a promis
00:34:29une protection sans précédent.
00:34:31Et donc, c'est la première
00:34:33fois qu'un patriote
00:34:35comme Trump, avec les militaires,
00:34:37il s'est entouré de militaires quand il est arrivé là.
00:34:39C'était les plus, les généraux
00:34:41les plus durs à cuire de l'armée américaine.
00:34:43Les généraux de Marines, j'en ai parlé dans les webjournaux,
00:34:45j'ai fait les CV, c'était les plus durs à cuire
00:34:47quand ils sont arrivés là. Ils ont pris le contrôle
00:34:49de la branche exécutive. Ils ont eu accès
00:34:51à tous les ordinateurs de la Maison-Blanche,
00:34:53c'est-à-dire les ordinateurs de la branche exécutive,
00:34:55où on ne peut pas rien effacer.
00:34:57Ce qui est particulier des ordinateurs
00:34:59de la Maison-Blanche, c'est que tous les mémos,
00:35:01toutes les conversations, toutes les réunions,
00:35:03etc., ne sont pas effaçables.
00:35:05Ils restent de façon permanente.
00:35:07À partir du moment où on arrive à la Maison-Blanche,
00:35:09on a accès à tous leurs secrets,
00:35:11toutes leurs saloperies, tous leurs coups bas.
00:35:13Le fait qu'Osama bin Laden
00:35:15n'ait jamais été assassiné,
00:35:17comme ils l'ont expliqué. Ils ont tout.
00:35:19Et Trump l'a dit,
00:35:21« We have everything ». On a tout.
00:35:23On a toute la merde sur eux. Et il garde
00:35:25toutes les cartes, tout ce qui s'est passé sur l'île
00:35:27de Jeffrey Epstein,
00:35:29toute la fraude électorale de l'élection 2020,
00:35:31le coup d'État du 6 janvier,
00:35:33qui est un coup d'État de l'État profond. Ça n'a rien à voir avec Trump.
00:35:35Il a gardé toutes ses cartes.
00:35:37Il a gardé toutes ses cartes et éventuellement,
00:35:39ça va être abattu et ça va être...
00:35:41ça va signer l'arrêt de mort
00:35:43de l'État profond.
00:35:45Mais c'est ça. C'est-à-dire que...
00:35:47Et vous dites qu'on n'a pas eu de
00:35:49Troisième Guerre mondiale.
00:35:51Rappelez-vous ce que c'était, finalement, la COVID.
00:35:53Il faut se rappeler comment
00:35:55on a vécu ça. C'est-à-dire que ça a été...
00:35:57Ils ont tenté de déclencher...
00:35:59Ils ont tenté de répandre
00:36:01un virus mortel sur la planète.
00:36:03Il y a eu
00:36:05une guerre bactériologique
00:36:07sur la planète. Là, il y a eu...
00:36:09J'ai expliqué ça encore une fois. Je vais expliquer
00:36:11quelque chose qui est difficile à comprendre
00:36:13si on n'a pas
00:36:15passé une heure à écouter un webjournal
00:36:17avec toutes les preuves, les vidéos, etc. Mais
00:36:19en Chine,
00:36:21les mondialistes s'attendaient
00:36:23à ce qu'un vrai virus
00:36:25mortel sorte
00:36:27de la Chine. Et Xi avait
00:36:29donné des garanties
00:36:31aux mondialistes. Il avait envoyé
00:36:33les vidéos de personnes qui tombaient sur la rue.
00:36:35Et donc, l'État profond
00:36:37en Occident, les forces
00:36:39atlantistes en Occident,
00:36:41pensaient recevoir un virus
00:36:43avec un taux de mortalité de 3,5 %.
00:36:45C'était ça au début. C'est resté
00:36:47pendant un an, 3,5 % de taux de mortalité.
00:36:49C'est-à-dire
00:36:51un virus extrêmement mortel. C'est une vraie
00:36:53guerre bactériologique qui justifie
00:36:55la suspension de toutes les institutions,
00:36:57la fermeture de tous les pays, la destruction
00:36:59de l'économie, la prise de contrôle complète
00:37:01de l'État, comme dans les films catastrophistes.
00:37:03Est-ce que l'État... C'est un
00:37:05programme de continuité de gouvernement.
00:37:07Il n'y reste plus de société civile, etc.
00:37:09C'est ce qu'ils pensaient qu'ils allaient recevoir.
00:37:11Et au moment où la Chine
00:37:13montrait les vidéos de personnes qui
00:37:15tombaient sur la rue, etc.,
00:37:17les pays occidentaux
00:37:19gardaient leurs frontières ouvertes.
00:37:21Ils disaient
00:37:23« Non, non, c'est raciste de fermer les frontières. »
00:37:25Ils faisaient rentrer le virus.
00:37:27Quand le virus est rentré dans le pays,
00:37:29après que le virus
00:37:31était bien implanté dans le pays,
00:37:33ils ont déclaré les confinements.
00:37:35Et que font les confinements? Ce sont des incubateurs
00:37:37de virus. En virologie, c'est ça
00:37:39des confinements. Quand les gens
00:37:41rentrent à l'intérieur, il se passe le virus.
00:37:43Ils ont tout fait pour maximiser
00:37:45le problème
00:37:47avec tout ça, évidemment. C'est ce que j'ai appelé dans un
00:37:49webjournal qui s'appelle « L'entente Trump-Xi ».
00:37:51C'est que finalement, c'est une
00:37:53grippe qui est sortie. Ce n'est pas le virus
00:37:55à 3,5 % de taux de mortalité
00:37:57qu'ils croyaient recevoir. C'est finalement
00:37:59juste une grippe qui est sortie, avec un
00:38:01taux de mortalité similaire à la grippe,
00:38:03etc.,
00:38:05qu'on peut guérir en se lavant
00:38:07les mains en prenant de la vitamine C,
00:38:09D, etc. Rien de...
00:38:11Et donc, à partir de ce moment-là,
00:38:13ils ont dû falsifier les chiffres,
00:38:15rentrer des chiffres dans la catégorie COVID,
00:38:17des personnes qui décédaient de cancer,
00:38:19d'AVC, etc. Ils ont dû tricher
00:38:21et là, ça a été le travail des réseaux sociaux
00:38:23de sortir la triche. Et c'est ce qu'on a fait. On a montré
00:38:25la triche, les incohérences, et finalement,
00:38:27ça s'était...
00:38:29Je ne veux pas faire une longue histoire sur la COVID, mais
00:38:31c'est-à-dire qu'ils ont... Il y a eu une entente
00:38:33Trump-Xi. Par exemple,
00:38:35quand on remarque que Trump, après ça, retire
00:38:37ses forces de l'Afghanistan, pourquoi Trump
00:38:39retire... C'est Trump qui a signé le retrait
00:38:41de l'Afghanistan? Eh bien, c'est un transfert
00:38:43à Xi, ça. L'Afghanistan,
00:38:45c'est une forteresse au centre de
00:38:47l'Asie centrale
00:38:49qui contrôle la route de la soie.
00:38:51La Chine a un gigantesque projet de route
00:38:53de la soie qui va
00:38:55décupler sa puissance économique.
00:38:57Les Américains sont au milieu de l'Asie centrale
00:38:59avec des bases de
00:39:01missiles, des forces en Afghanistan qui
00:39:03contrôlent la région. Et ce que Trump a fait, c'est
00:39:05qu'il a retiré... Il a laissé l'Afghanistan...
00:39:07C'est littéralement un cadeau
00:39:09qu'est-ce qu'on a vu? Il y a une par la suite,
00:39:11où est-ce qu'on voit immédiatement, dès que les Américains
00:39:13sortent de la Chine, c'est Biden qui a pris le blâme,
00:39:15dès que les Américains sortent
00:39:17de l'Afghanistan, les Chinois
00:39:19rentrent et commencent à faire des ententes avec les talibans.
00:39:21C'est une cession. Et c'est
00:39:23probablement ce qui a été négocié quand
00:39:25Trump est allé à la Cité Interdite,
00:39:27rencontrer Xi. Ça a été le seul
00:39:29dirigeant étranger
00:39:31à être invité à dîner à la
00:39:33Cité Interdite,
00:39:35un traitement totalement hors du commun.
00:39:37Et donc, c'est ça.
00:39:39Donc, on voit cette
00:39:41entente-là. Quand Trump va à l'ONU
00:39:43et dit que le mondialisme
00:39:45est terminé, l'avenir appartient aux nations,
00:39:47c'est que... Quand Trump fait ce
00:39:49genre d'affirmation-là,
00:39:51Trump, ce n'est pas quelqu'un qui joue des coups de poker.
00:39:53Trump, c'est quelqu'un qui organise les choses en amont.
00:39:55Et quand il fait des déclarations, c'est que les choses sont déjà ficelées.
00:39:57Et donc, quand il dit que le mondialisme
00:39:59est terminé, etc., c'est qu'il y a déjà des ententes
00:40:01avec Xi, déjà des ententes avec Poutine pour
00:40:03les zones d'influence
00:40:05respectives, etc.
00:40:07Tout ça est probablement déjà signé.
00:40:09Je veux juste terminer là-dessus en disant que
00:40:11ils ont essayé... Tu parles
00:40:13de la Troisième Guerre mondiale, mais
00:40:15la COVID, c'était censé
00:40:17être une guerre bactériologique
00:40:19qui détruit complètement la société
00:40:21civile et qui, comme je l'ai dit en début d'émission,
00:40:23permet la surstructuration
00:40:25de l'État et la prise de contrôle
00:40:27fatale de l'État sur la société
00:40:29civile. La destruction de l'économie,
00:40:31la destruction de toutes les petites et moyennes entreprises,
00:40:33c'était seulement les gros
00:40:35conglomérats qui étaient habilités à opérer.
00:40:37Les Costco, Walmart,
00:40:39Amazon, etc.
00:40:41Et toutes les petites entreprises étaient fermées.
00:40:43Et après ça, il y avait tout le
00:40:45système de passe vaccinale,
00:40:47accès ou non-accès à certaines
00:40:49zones. Et donc, c'est tout le
00:40:51projet du grand reset qu'ils ont tenté
00:40:53de mettre en branle et ils ont
00:40:55finalement échoué.
00:40:57Donc, en fait, ce que Xi Jinping a fait,
00:40:59c'est-à-dire en lâchant un virus similaire
00:41:01à la grippe, au moment même où
00:41:03l'oligarchie occidentale attendait un vrai virus
00:41:05qui tue, en fait, quelque part,
00:41:07il nous a tous vaccinés
00:41:09collectivement contre la future tentative
00:41:11qui sera similaire. Parce qu'aujourd'hui,
00:41:13plus personne ne fait confiance à l'État.
00:41:15J'ai dit ça pratiquement
00:41:17textuellement en 2021,
00:41:19c'est exactement ça. C'est-à-dire
00:41:21que c'est comme un vaccin,
00:41:23c'est-à-dire qu'on en reçoit une petite dose
00:41:25et après ça, on est immunisé. J'ai dit
00:41:27exactement ces mots-là. C'est-à-dire que
00:41:29on a été capable de le voir.
00:41:31Les masques tombés,
00:41:33la tyrannie, le contrôle
00:41:35complet des institutions, on a été capable de tout
00:41:37voir ça. La corruption des ordres professionnels,
00:41:39les ordres des médecins, infirmières.
00:41:41Au Québec, ça a été partout. Ça a été
00:41:43les ordres des ingénieurs, les avocats.
00:41:45Pas qu'au Québec, croyez-moi.
00:41:47On a vu l'ensemble
00:41:49du contrôle, l'ensemble
00:41:51de la prise de contrôle
00:41:53des forces mondialistes
00:41:55sur la société civile, sur les
00:41:57résistances, les institutions de la société,
00:41:59médias, hôpitaux, etc. Ils sont tous passés.
00:42:01Ils étaient tous à l'unisson
00:42:03pour le contrôle
00:42:05social, pour
00:42:07toutes les mesures les plus radicales, etc. Si on osait dire
00:42:09quelque chose. Et donc, la société
00:42:11civile a vu ça. Et tu parlais tout à l'heure de
00:42:13société civile qui est capable de se réorganiser
00:42:15et qui est capable de se battre contre ça.
00:42:17Ça, c'est un élément de ça, justement.
00:42:19Et ça a été permis. On a été
00:42:21capable de faire ça grâce à Internet.
00:42:23Et c'est pour ça aussi
00:42:25que, par exemple, l'OTAN
00:42:27a toutes sortes de programmes pour censurer
00:42:29sur Internet.
00:42:31On l'a vu avec les Twitter Files.
00:42:33Les gouvernements
00:42:35ont des programmes qui font en sorte qu'on censure
00:42:37les voix sur Internet. On les fait disparaître.
00:42:39Les médias sont là pour créer
00:42:41des assassinats sociaux.
00:42:43Il y a eu un reportage de Radio-Canada sur le fait
00:42:45qu'on disait que j'étais violent et que
00:42:47j'appelais à l'insurrection alors que j'avais passé l'été
00:42:49au complet 2020 à dire qu'il fallait être
00:42:51pacifique et exemplaire, que c'était une guerre de
00:42:53réception et tout ça.
00:42:55Donc, les médias opèrent
00:42:57des assassinats sociaux. Dès qu'on lève la tête,
00:42:59dès que quelqu'un résiste, il devient une cible.
00:43:01Et ça, on le sait maintenant,
00:43:03ce sont des programmes de l'OTAN.
00:43:05Quand je disais tout à l'heure que l'OTAN s'est
00:43:07retourné contre la société civile, c'est ça.
00:43:09Mais pour terminer,
00:43:11la Troisième Guerre mondiale
00:43:13dont tu parlais, c'était ça.
00:43:15Ça a été un début de guerre bactériologique.
00:43:19D'accord. Alors, j'ai une autre question parce qu'elle revient souvent
00:43:21à la dernière fois que j'évoque Trump
00:43:23dans mes entretiens, la dernière fois avec Huss Findy.
00:43:25J'ai dans les commentaires des gens
00:43:27très particuliers qui me disent « mais au fait,
00:43:29tu n'as rien compris.
00:43:31Cette polarisation de la société que tu expliquais
00:43:33tout à l'heure, au fait, fait que
00:43:35l'État profond doit avoir un homme à lui
00:43:37dans chacun des deux pôles. »
00:43:39Donc, il a Biden et le clan démocrate
00:43:41au niveau des LGBT Walk
00:43:43et Trump est en fait un agent de l'État
00:43:45profond pour contrôler l'autre
00:43:47aile radicale, conservatrice,
00:43:49etc. Et pareil, on m'explique
00:43:51dans les commentaires que Poutine
00:43:53n'est pas opposé au monde occidental,
00:43:55que c'est un agent de l'oligarchie. En fait, tout le monde est agent
00:43:57de tout le monde. Il y a une hégémonie totale
00:43:59de l'État profond et ce n'est plus la peine de résister.
00:44:01C'est un peu le message qu'il a envoyé.
00:44:03C'est des fétistes.
00:44:05Mais que dire de cette idée que Trump...
00:44:11Que dire de cette idée que Trump serait un agent
00:44:13de l'État profond qui simule une opposition
00:44:15à l'État profond ? Pour rapidement casser ce mythe-là.
00:44:17J'ai fait
00:44:19des vidéos là-dessus. Il y a à peu près
00:44:21deux mois, j'ai fait une série de vidéos là-dessus.
00:44:23Il faut regarder
00:44:25exactement ce qu'a fait Trump. Trump est arrivé
00:44:27là, a remis de la frontière.
00:44:29Premièrement, alors que les peuples
00:44:31étaient partout démoralisés,
00:44:33Trump est arrivé et a réinsufflé
00:44:35de la fierté nationale
00:44:37et de la volonté de se battre.
00:44:39Il a remis de la frontière.
00:44:41Il est arrivé et il a appelé
00:44:43les médias « fake news ». Il a détruit
00:44:45les forces vives
00:44:47de l'État profond de contrôle
00:44:49social.
00:44:51Les médias sont des organismes,
00:44:53des organisations de contrôle
00:44:55mental, de contrôle social.
00:44:57Il a complètement détruit les médias
00:44:59aux États-Unis. Ailleurs dans le monde,
00:45:01on n'est pas encore à ce niveau-là, mais aux États-Unis,
00:45:03il n'y a pratiquement plus personne qui fait confiance aux médias.
00:45:05C'est pour ça qu'ils perdent. C'est pour ça que Trump est
00:45:07donné vainqueur.
00:45:09Parce que les Américains se sont
00:45:11émancipés du contrôle
00:45:13social des médias.
00:45:15Ajoute à ça tout ce
00:45:17qu'il a fait, c'est-à-dire
00:45:19la destruction des traités de
00:45:21libre-échange.
00:45:23Un ensemble de facteurs. Quand on regarde le dossier
00:45:25Trump, si c'est un agent
00:45:27de l'État profond,
00:45:29c'est une victoire à la pireuse.
00:45:31Tu comprends ce que je veux dire?
00:45:33Il fait tellement mal
00:45:35aux instits. Il a dit, par exemple,
00:45:37qu'il voulait notamment détruire l'OTAN,
00:45:39mettre un terme à l'OTAN.
00:45:41Il a coupé le financement
00:45:43à l'OMS. Il a coupé le financement
00:45:45à l'UNESCO.
00:45:47Regardez la totalité
00:45:49des choses. Est-ce que quelqu'un de contrôlé
00:45:51ferait ça? Il cause des dommages
00:45:53irréparables à l'État
00:45:55profond, en plus de réveiller le peuple américain.
00:45:57En plus de réveiller le peuple américain.
00:45:59Pourquoi croyez-vous
00:46:01que les médias sont unanimes
00:46:03qu'ils mettent la totalité...
00:46:05Ils utilisent ce qu'on appelle en anglais « lawfare ».
00:46:07Ils font des procès sur des trucs
00:46:09ridicules. Ils essaient tout
00:46:11pour l'empêcher
00:46:13d'accéder au...
00:46:15Pourquoi Trump aurait démantelé les réseaux
00:46:17Epstein?
00:46:19Epstein, c'est le contrôle du Mossad,
00:46:21de la CIA, sur la
00:46:23politique américaine.
00:46:25Il y a la vidéo sur Internet.
00:46:27Il en avait parlé avant d'être élu président.
00:46:29Il lui a posé la question par rapport à Bill Clinton.
00:46:31Il a dit que c'est un gars sympa
00:46:35avec Epstein.
00:46:37Il y a des alliés de Trump
00:46:39qui en ont parlé, des voyages de Bill Clinton
00:46:41sur l'île d'Epstein, etc.
00:46:43Pas juste ça.
00:46:45On sait que Trump...
00:46:47C'est un autre sujet.
00:46:49Trump s'est associé et
00:46:51directement lié au mouvement QAnon.
00:46:53Le mouvement QAnon
00:46:55n'a cessé de parler
00:46:57de ces réseaux pédophiles mondiaux.
00:46:59Trump a signé des ordres exécutifs
00:47:01sur la traite des personnes.
00:47:03Il faut regarder
00:47:05la quantité de choses qu'il a faites
00:47:07de démantèlement de l'État.
00:47:09Maintenant, il y a une grosse proportion
00:47:11de la population aux États-Unis
00:47:13qui pensent que
00:47:15les élites américaines
00:47:17sont engagées dans des rituels
00:47:19pédosataniques,
00:47:21comme avec le Pizzagate, notamment.
00:47:23Les courriels de Hillary Clinton révélés par Julian Assange.
00:47:25Pourquoi Julian Assange a dit...
00:47:27Julian Assange a dit qu'il n'y avait rien,
00:47:29qu'il n'y avait aucune merde sur Trump.
00:47:31S'il y avait eu de la merde, il l'aurait sorti.
00:47:33Julian Assange a reçu les courriels
00:47:35de Seth Rich, des serveurs du Parti démocrate,
00:47:37les courriels de John Podesta,
00:47:39et les a rendus publics sur Wikileaks
00:47:41en pleine campagne électorale en 2016,
00:47:43qui montraient que les élites démocrates
00:47:45étaient engagées dans des rituels
00:47:47pédosataniques, comme les Spirit Cooking Dinner
00:47:49avec Maria Abramovitch,
00:47:51qui avait des questions sérieuses
00:47:53sur la traite d'enfants, etc.
00:47:55Après ça, on a fait le lien avec Epstein.
00:47:57Tous ces réseaux-là, c'est le fruit
00:47:59de l'action du président Trump.
00:48:01Je veux dire...
00:48:03Si Trump est un agent de l'État profond,
00:48:05c'est un suicide de l'État profond.
00:48:07Pourquoi on voudrait que le public
00:48:09soit mis au courant de toutes ces choses-là?
00:48:11On l'aurait laissé faire un deuxième mandat
00:48:13si c'était un agent de l'État profond.
00:48:15Oui, entre autres.
00:48:17Mais ça, c'est une autre question,
00:48:19la question de la fraude électorale.
00:48:21Je pense qu'il y a effectivement
00:48:23un programme de continuité de gouvernement
00:48:25qui a été mis en branle.
00:48:27Ça, c'est un autre sujet.
00:48:29Si vous permettez, rapidement,
00:48:31une question au passage.
00:48:33Vous avez évoqué Julien Assange,
00:48:35sa récente libération.
00:48:37Certains parlent du fait qu'Assange
00:48:39a été récupéré, en fait,
00:48:41dans les logiques de deal.
00:48:43On te libère, mais en échange...
00:48:45Désormais, tu bosses pour nous.
00:48:47Qu'en penses-tu?
00:48:49Ça repose sur quoi?
00:48:51Sur le feeling de certaines personnes
00:48:53dans les commentaires.
00:48:55Je vous pose des questions
00:48:57et je fais juste pour casser les limites.
00:48:59Oui.
00:49:03C'est-à-dire qu'il aurait été compromis.
00:49:05Finalement,
00:49:07ce n'est pas très important.
00:49:09C'est-à-dire que l'information...
00:49:11Julien Assange a joué son rôle.
00:49:13Il a sorti l'information
00:49:15au moment de la campagne présidentielle
00:49:17de 2016. Il a sorti l'information,
00:49:19ce qui est devenu le pizzagate,
00:49:21où des millions
00:49:23d'Américains se sont rendus compte
00:49:25que les élites du Parti démocrate
00:49:27étaient impliqués
00:49:29dans des pratiques complètement sordides,
00:49:31pour ne dire que ça.
00:49:33Finalement,
00:49:35l'élection était truquée.
00:49:37Il a sorti
00:49:39une liste d'une cinquantaine ou une centaine
00:49:41de journalistes américains qui collaboraient
00:49:43étroitement avec la campagne d'Hillary Clinton,
00:49:45qui leur envoyaient les textes pour être corrigés par la campagne d'Hillary Clinton.
00:49:47Aussi, le fait que les questions
00:49:49pour les débats avaient été coulées
00:49:51au Parti démocrate. Il a joué son rôle.
00:49:53Maintenant, après ça,
00:49:55quelle est la fonction de Julian Assange maintenant?
00:49:57C'est probablement
00:49:59celle de devoir
00:50:01venir témoigner dans les procès
00:50:03qui auront lieu éventuellement, parce qu'il va y avoir
00:50:05des procès,
00:50:07notamment pour la fraude électorale
00:50:09et la question de la trahison.
00:50:11Il faut connaître
00:50:13Trump. Quand Trump dit des choses comme ça,
00:50:15il va au fond de sa pensée.
00:50:17Il mène les actions jusqu'au bout.
00:50:19Il a dit qu'ils sont coupables de trahison.
00:50:21La trahison aux États-Unis implique
00:50:23la peine de mort. C'est high treason.
00:50:25Les journalistes lui ont dit « Vous comprenez, M. Trump,
00:50:27que ce que vous dites implique la peine de mort. »
00:50:29La haute
00:50:31administration Obama est coupable
00:50:33de haute trahison, notamment
00:50:35avec cette histoire de collusion avec la Russie.
00:50:37Si on veut aller jusqu'au bout,
00:50:39Trump a dit « We caught them », on les a attrapés.
00:50:41« And we have everything », on a toutes
00:50:43les informations du serveur.
00:50:45On a toutes les informations,
00:50:47toutes les preuves, etc. Maintenant,
00:50:49la seule fonction de Julian Assange,
00:50:51présentement, serait
00:50:53de venir témoigner à ses procès
00:50:55en disant « Non, ce ne sont pas
00:50:57les Russes qui ont volé les informations
00:50:59sur les serveurs du Parti démocrate
00:51:01et qui les ont données à Wikileaks. Nous les avons reçues
00:51:03d'une personne à l'intérieur du Parti démocrate,
00:51:05entre autres nommée Seth Rich.
00:51:07C'est un gestionnaire
00:51:09des technologies de l'information
00:51:11qui était dégoûté de voir
00:51:13comment Hillary Clinton menait sa campagne
00:51:15avec de la triche, etc., et qui a coulé
00:51:17l'information à Julian Assange. Julian Assange
00:51:19l'a pratiquement mentionné dans des interviews
00:51:21avec la télévision néerlandaise
00:51:23que c'était Seth Rich qui avait coulé ça.
00:51:25À partir du moment où ce ne sont pas
00:51:27les Russes, etc., qui ont
00:51:29coulé l'information
00:51:31à Julian Assange pour favoriser l'élection
00:51:33de Donald Trump,
00:51:35ça montre le fait que
00:51:37cette histoire de collusion avec la Russie
00:51:39était une fausse
00:51:41histoire pour tenter de torpiller
00:51:43un candidat et, par la suite,
00:51:45un président en fonction.
00:51:47L'essentiel de ça, c'est que les agences
00:51:49de renseignement aux États-Unis ont tenté
00:51:51de destituer un président
00:51:53dûment élu en fonction.
00:51:55Ça, c'est de la sédition
00:51:57et même de la haute trahison.
00:51:59La dernière fois qu'il y a eu de la haute trahison,
00:52:01c'était dans les années 50
00:52:03avec le couple Rosenberg, ce couple
00:52:05israélo-américain,
00:52:07qui a vendu
00:52:09les secrets nucléaires
00:52:11à la Russie.
00:52:13À cette époque-là,
00:52:17le directeur du FBI,
00:52:19J. Edgar Hoover, avait dit à l'époque
00:52:21« It's the crime of the century ».
00:52:23Et Trump ne cesse d'utiliser cette phrase
00:52:25pour référer à cette histoire de collusion
00:52:27avec la Russie. Il dit « crime of the century »,
00:52:29« crime of the century »,
00:52:31en disant
00:52:33essentiellement que c'est de la haute
00:52:35trahison et qu'ils sont passibles de peine de mort.
00:52:37Donc,
00:52:39quand on comprend
00:52:41jusqu'où ils sont allés
00:52:43pour tenter de destituer Donald Trump
00:52:45et comment les médias ont joué
00:52:47la partie, les gouvernements ailleurs dans le
00:52:49monde ont joué la partie, comment ils ont déclenché
00:52:51une pandémie pour pouvoir permettre
00:52:53la fraude électorale aux États-Unis, pour l'empêcher
00:52:55d'accéder à la fonction exécutive, de
00:52:57reconduire un deuxième mandat,
00:52:59et tout ce qu'il a fait sur le pizzagate
00:53:01Jeffrey Epstein,
00:53:03le fait de déchirer les
00:53:05traités internationaux, de sortir des institutions
00:53:07internationales, de vouloir démanteler l'OTAN.
00:53:09Après ça, tu écoutes les gens qui disent
00:53:11« c'est un agent de l'État profond »
00:53:13et tu te dis « ouais, ça colle pas
00:53:15à la réalité ». C'est quoi vos arguments ?
00:53:19J'ai deux dernières questions, si vous permettez.
00:53:21Alors, tout à l'heure vous avez dit que
00:53:23Trump est donné gagnant.
00:53:25Alors, imaginons ou admettons
00:53:27que l'État profond décide à nouveau de voler l'élection.
00:53:29Que se passerait-il ?
00:53:31Une guerre civile aux États-Unis
00:53:33ou peut-être une fuite en avant de l'État profond
00:53:35en Ukraine pour enclencher une troisième guerre mondiale
00:53:37et un peu exporter ces contradictions
00:53:39et les diluer à l'échelle mondiale
00:53:41pour qu'elles ne restent pas aux États-Unis ?
00:53:43S'il y avait eu une possibilité,
00:53:45je l'ai montré à plusieurs reprises encore une fois,
00:53:47je ne peux pas expliquer ça en deux minutes,
00:53:49mais s'il y avait eu une possibilité de pouvoir déclencher
00:53:51une troisième guerre mondiale en Ukraine,
00:53:53elle aurait déjà eu lieu.
00:53:55L'État profond aurait déjà joué la carte
00:53:57de la troisième guerre mondiale. Or, ce n'est pas possible
00:53:59parce que les personnes qui,
00:54:01notamment,
00:54:03c'est tellement compliqué à expliquer,
00:54:05si je ne vais pas dans les détails, j'ai l'air ridicule
00:54:07à la caméra, je le sais.
00:54:11Il faut comprendre que
00:54:13Trump n'a pas perdu l'élection
00:54:15de 2020. Trump a signé
00:54:17en 2018 et en 2020,
00:54:19sous le prétexte de la COVID,
00:54:21le programme de continuité de gouvernement
00:54:23le plus extensif de l'histoire des États-Unis,
00:54:25surpassant le programme de continuité de gouvernement
00:54:27du 11 septembre. C'est-à-dire qu'un programme
00:54:29de continuité de gouvernement, c'est un programme
00:54:31dans lequel, si le gouvernement
00:54:33civil est incapacité et rendu
00:54:35hors service à cause d'une frappe
00:54:37biologique ou ce genre de choses-là, les militaires
00:54:39prennent le relais. Or, c'est exactement ce qui
00:54:41est prétexté par
00:54:43Trump, c'est-à-dire qu'il a dit qu'on a été frappé par
00:54:45une guerre bactériologique, il l'a dit en 2020, etc.
00:54:47Et
00:54:49donc,
00:54:51il a signé ce programme de continuité de gouvernement-là
00:54:53en même temps
00:54:55qu'il disait, qu'il affirmait que la COVID
00:54:57n'était qu'une grippe, vous comprenez. Et donc,
00:54:59pourquoi a-t-il fait ça? Il a aussi, en
00:55:012018, signé un ordre exécutif, l'ordre exécutif
00:55:0313 848, qui établit,
00:55:05qui donne des pouvoirs extraordinaires
00:55:07à l'armée en cas d'ingérence
00:55:09étrangère lors des élections.
00:55:11Or, c'est exactement ce qui est encore une fois
00:55:13allégué par Donald Trump, qu'il y a eu intervention de la
00:55:15Chine, de l'Iran, etc. lors de l'élection.
00:55:17C'est pas nécessairement vrai,
00:55:19mais de toute façon, c'est ce qui est prétexté.
00:55:21Et donc, on sait que ces deux programmes-là sont
00:55:23actifs. Et par la suite, notamment
00:55:25l'ordre exécutif 13 848,
00:55:27je vais arriver à mon point, l'ordre exécutif 13 848
00:55:29a été ressigné à deux reprises
00:55:31par Joe Biden.
00:55:33C'est-à-dire qu'un ordre exécutif
00:55:35qui invalide sa propre présidence,
00:55:37parce qu'il
00:55:39met en branle des structures spéciales
00:55:41en cas de fraude électorale et de vol
00:55:43de l'élection par des puissances étrangères.
00:55:45Pourquoi Biden l'aurait fait? Exactement.
00:55:47Pourquoi Biden l'aurait fait s'il n'est pas sous tutelle du militaire?
00:55:49C'est exactement la question.
00:55:51Et quand on regarde un ensemble de trucs que Joe Biden a fait,
00:55:53il n'aurait jamais fait ces choses-là
00:55:55s'il n'avait pas été sous contrôle militaire.
00:55:57Et Trump l'a dit de toute façon.
00:55:59Récemment,
00:56:01lors des
00:56:03audiences sur la tentative d'assassinat,
00:56:05ils ont interrogé, le
00:56:07congressiste Fallon a interrogé
00:56:09la cheffe des services secrets,
00:56:11Kimberly Cheadle, et lui a demandé
00:56:13est-ce qu'il y a une différence entre la sécurité
00:56:15d'un président en fonction, Joe Biden,
00:56:17et la sécurité du président Trump.
00:56:19Et elle répond directement comme ça.
00:56:23Elle lui demande est-ce que Trump a la même
00:56:25sécurité que Biden? Et là, elle répond,
00:56:27elle dit, j'ai montré les vidéos partout,
00:56:29elle dit il y a une différence entre la sécurité
00:56:31d'un président en fonction
00:56:33et la continuité
00:56:35de gouvernement. Elle a
00:56:37validé la continuité de gouvernement
00:56:39et des responsabilités que nous avons.
00:56:41Et ça allait exactement dans le sens de ce que j'ai dit,
00:56:43c'est-à-dire que les services secrets ne sont pas
00:56:45en charge de la sécurité de Donald Trump.
00:56:47Les gens qui sont en charge de la sécurité de Donald
00:56:49Trump, c'est les gens du JSOC, le Joint Special
00:56:51Operations Command, les spécialistes
00:56:53de la protection rapprochée, ce ne sont pas ceux que vous avez
00:56:55vus à Butler,
00:56:57Pennsylvania. Et donc, elle a validé
00:56:59ça, Joe Biden a ressigné les ordres exécutifs,
00:57:01il y a un ensemble de choses comme ça
00:57:03qui montrent que
00:57:05Joe Biden opère effectivement sous
00:57:07un mandat de continuité de gouvernement, c'est-à-dire
00:57:09que c'est les militaires de Trump,
00:57:11la présidence de Joe Biden est sous le contrôle
00:57:13des militaires de Trump. Et il y a quand même
00:57:15une marge de malheur, je veux dire, le fait même d'avoir
00:57:17réussi à enclencher la guerre en Ukraine, de fournir
00:57:19de l'armement à l'armée ukrainienne.
00:57:21La guerre en Ukraine est nécessaire.
00:57:23Elle est nécessaire pour décrédibiliser
00:57:25l'OTAN.
00:57:27Elle est nécessaire pour aller
00:57:29détruire les laboratoires militaires,
00:57:31les laboratoires biologiques.
00:57:33La destruction
00:57:35du potentiel militaire de l'Ukraine
00:57:37pour une génération était probablement
00:57:39essentielle
00:57:41à la Russie. C'est-à-dire que la Russie savait très bien
00:57:43qu'on ne pouvait pas signer un traité avec l'Ukraine,
00:57:45parce que les Occidentaux renient
00:57:47tous les traités qu'ils signent.
00:57:49Ce sont des menteurs. Ils ne
00:57:51respectent jamais les traités, notamment
00:57:53le traité de Minsk.
00:57:55Ils ne l'ont pas répété.
00:57:57Donc, Poutine savait très bien qu'il ne pouvait pas
00:57:59signer des traités avec les Occidentaux et que la seule
00:58:01façon d'avoir une garantie de sécurité
00:58:03pour au moins 25 ans, si c'est pas plus,
00:58:05c'est de détruire complètement
00:58:07le potentiel militaire de l'Ukraine.
00:58:09C'est reflété d'ailleurs dans
00:58:11la stratégie militaire des Russes sur le terrain.
00:58:13C'est-à-dire que les Russes
00:58:15utilisent une stratégie où ils ne
00:58:17n'essaient pas de gagner
00:58:19rapidement du terrain. L'objectif
00:58:21des Russes, c'est d'utiliser beaucoup d'artillerie
00:58:23et de détruire le matériel humain.
00:58:25Et donc,
00:58:27la guerre en Ukraine était nécessaire.
00:58:29Il fallait détruire le potentiel
00:58:31militaire de l'Ukraine,
00:58:33décrédibiliser complètement
00:58:35l'OTAN, se débarrasser des laboratoires militaires.
00:58:37Mais tu ne peux pas avoir
00:58:39Donald Trump
00:58:41dans le bureau Oval,
00:58:43alors que Vladimir Poutine entre en Ukraine.
00:58:45On s'entend parce que Trump a une image
00:58:47de force et de négociateur, etc.
00:58:49Donc, tu dois te retirer,
00:58:51mettre un pantin qui va prendre
00:58:53tout le blâme, laisser Poutine opérer
00:58:55en Ukraine, quitte à
00:58:57transmettre des informations au niveau stratégique
00:58:59entre les militaires.
00:59:01Ce genre de connexion-là entre les militaires
00:59:03américains et russes existe déjà.
00:59:05Il y a un texte de Cy Hirsch que vous allez
00:59:07trouver sur Internet qui s'appelle... Cy Hirsch, c'est celui
00:59:09qui a révélé le scandale de Milaïn.
00:59:11Nord Stream, oui.
00:59:13Il s'appelle « Military to Military »,
00:59:15qui explique les contacts entre
00:59:17l'intelligence militaire américaine
00:59:19et l'intelligence militaire russe,
00:59:21notamment à travers la personne du général
00:59:23Mike Flynn. Mike Flynn est allé en 2015
00:59:25ou en 2014 à Moscou.
00:59:27Il a été reçu, il était assis à côté
00:59:29de Vladimir Poutine à la table et ça a été
00:59:31le premier général, le plus haut
00:59:33gradé américain à visiter les bureaux du
00:59:35GRU à Moscou, etc.
00:59:37Il y a cette espèce d'entente entre
00:59:39l'intelligence militaire américaine
00:59:41qui est autour notamment du truc QAnon
00:59:43et les services
00:59:45de renseignements russes.
00:59:47Tu laisses la guerre en Ukraine se produire,
00:59:49la Russie obtient tous ses objectifs stratégiques,
00:59:51Trump se garde en retrait.
00:59:53C'est le pantin Biden qui prend
00:59:55le blâme. En même temps,
00:59:57pour être certain qu'il n'y ait pas de troisième
00:59:59guerre mondiale, ce sont les
01:00:01militaires nommés par Trump qui opéraient
01:00:03l'OTAN, qui géraient
01:00:05l'OTAN. Je pense que c'est le général Walton qui s'appelait.
01:00:07Au début de la guerre en Ukraine,
01:00:09c'est le général Walton,
01:00:11nommé par Trump, qui gérait,
01:00:13qui supervisait l'OTAN. Et donc, à partir du moment où
01:00:15c'est quelqu'un qui est nommé par Trump
01:00:17qui supervise l'OTAN en Europe,
01:00:19lors du conflit, on est certain qu'il n'y aura pas de
01:00:21troisième guerre mondiale, puisqu'il y a une entente entre
01:00:23Trump et Poutine, et Trump a mis son
01:00:25homme à l'OTAN, il n'y aura pas de lancement
01:00:27de missiles, etc. Ça ne dégénèrera
01:00:29pas. Et là, vous avez eu
01:00:31la valse de « on n'envoie pas tel
01:00:33équipement, on n'envoie pas tel équipement, etc. »
01:00:35Non, on refuse de… Et quand on envoie des
01:00:37missiles, c'est déjà trop tard, les Russes ont à peu près…
01:00:39Il ne reste plus rien à l'Ukraine, l'Ukraine ne peut plus gagner.
01:00:41Donc, les paramètres du conflit ont été
01:00:43déterminés à l'avance,
01:00:45ont été déterminés à l'avance entre Trump et Poutine.
01:00:47Et je suis certain qu'il y a eu
01:00:49du transfert d'informations
01:00:51stratégiques de l'armée américaine jusqu'à
01:00:53l'armée russe, notamment, sur l'endroit où
01:00:55sont entreposées les armes, etc. Parce que
01:00:57au début de la guerre, les Russes frappaient
01:00:59tous les dépôts de munitions, pratiquement
01:01:01les dépôts d'armes,
01:01:03d'équipements occidentaux,
01:01:05d'armes occidentales arrivaient en Ukraine,
01:01:07et pratiquement, dans une semaine, ils étaient détruits,
01:01:09donc ils savaient exactement où est-ce que ça arrivait.
01:01:11Et donc, les paramètres sont…
01:01:13La Russie va atteindre ses objectifs en Ukraine
01:01:15complètement, et la Troisième Guerre mondiale
01:01:17était complètement…
01:01:19était totalement impossible, parce que
01:01:23notamment, c'est ça,
01:01:27le chef de l'OTAN était nommé par Trump,
01:01:29et il y avait cette entente entre Trump et Poutine
01:01:31sur les résultats du conflit,
01:01:33et les deux s'entendent
01:01:35notamment sur le fait qu'il faut
01:01:37se débarrasser de l'OTAN.
01:01:39L'OTAN est une menace, les deux.
01:01:41Et ça rejoint ce que je dis quand je dis que l'OTAN est une menace
01:01:43à la paix mondiale,
01:01:45et qu'ils entendent détruire
01:01:47la société civile pour…
01:01:49L'OTAN, c'est braqué contre Trump.
01:01:51Il faut écouter l'entrevue de Mike Benz avec Tucker Carlson,
01:01:53il explique tout ça,
01:01:55en s'appuyant sur les documents,
01:01:57c'est-à-dire que
01:01:59l'OTAN, présentement, est comme une bête
01:02:01blessée qui se bat pour sa survie.
01:02:03Il sait qu'il va être remplacé,
01:02:05et il essaie de justifier
01:02:07son existence.
01:02:11Il se retourne contre toutes les menaces possibles à l'OTAN,
01:02:13à l'intérieur même des pays.
01:02:15L'objectif, encore une fois, c'est une
01:02:17guerre de domination, mais ça a été
01:02:19en plaçant un homme à Trump à la tête
01:02:21du commandement européen.
01:02:23La Troisième Guerre mondiale, avec les missiles,
01:02:25etc., n'était pas possible, ou la guerre
01:02:27bactériologique n'était pas possible. Les paramètres de la guerre
01:02:29étaient déterminés, ce qui a
01:02:31permis à Poutine, avec une stratégie d'attrition
01:02:33du camp adverse,
01:02:35de réduire le potentiel humain de l'Ukraine, tout en gardant
01:02:37les forces russes, sans se soucier nécessairement du
01:02:39territoire, de gagner
01:02:41le conflit.
01:02:43Trump s'est mis en retrait,
01:02:45en partie, pour permettre à Poutine de faire le ménage
01:02:47en Ukraine et d'accélérer la dynamique
01:02:49de démantèlement futur de l'OTAN,
01:02:51en détruisant en grande partie
01:02:53son offensive à l'OTAN.
01:02:55Trump arrive à la fin avec le beau jeu
01:02:57en disant, regardez, l'OTAN s'est
01:02:59discrédité en Ukraine et maintenant,
01:03:01on va trouver une nouvelle structure.
01:03:03Et ça va être le faiseur de paix qui va signer
01:03:05le traité de fin de la guerre, etc.
01:03:07Et ça fera beaucoup de cocus au niveau
01:03:09des élites européennes, tout ça, notamment
01:03:11les Scholes et Macron, etc.
01:03:13Alors, j'ai une dernière question.
01:03:15Tout à l'heure, vous parliez de restructuration
01:03:17et de résistance de la société civile
01:03:19par Internet. Mais n'y a-t-il
01:03:21pas, comment dire,
01:03:23n'y a-t-il pas un risque de trop
01:03:25dépendre d'Internet dans notre
01:03:27capacité à nous opposer à l'État
01:03:29profond et à cette ingénierie sociale
01:03:31mise en place par l'OTAN et par les services
01:03:33d'enseignement? Vous savez très bien qu'aujourd'hui,
01:03:35il y a trois, quatre câbles qui peuvent être
01:03:37coupés de manière sous-marine.
01:03:39Il n'y a plus Internet.
01:03:41Et on se retrouve totalement livrés
01:03:43à nous-mêmes. Donc, avez-vous déjà
01:03:45pensé à cette question-là, de trouver des schémas
01:03:47alternatifs de mobilisation,
01:03:49de coordination Internet?
01:03:51Oui, je me suis acheté Starlink de Elon Musk.
01:03:53D'accord.
01:03:55Non, c'est important parce que,
01:03:57attendez un instant, il y a deux choses. C'est-à-dire que
01:03:59ce coup-là
01:04:01a déjà été prévu par
01:04:03les Patriotes qui, en
01:04:052019 ou 2018, le département
01:04:07de la Défense américain a acheté genre
01:04:09des millions, des centaines
01:04:11de millions, peut-être même
01:04:13au moins des centaines
01:04:15de millions d'adresses IP.
01:04:17C'est-à-dire qu'on achète des blocs d'adresses
01:04:19IP et aussi
01:04:21toute la dynamique, notamment avec
01:04:23Elon Musk, qui est capable, regardez par exemple
01:04:25ce qui se passe en Ukraine.
01:04:27Les forces en Ukraine utilisent Starlink
01:04:29beaucoup pour communiquer. C'est-à-dire qu'à partir
01:04:31du moment, ce que
01:04:33j'essaie d'expliquer ici, c'est que
01:04:35en utilisant, même si
01:04:37l'Internet traditionnel tombe, on est capable
01:04:39de, je suis certain que les Patriotes
01:04:41ont pensé à ce
01:04:43problème-là. Une façon
01:04:45facile de régler ça, c'est en donnant de l'Internet
01:04:47gratuit via Starlink.
01:04:49C'est-à-dire qu'on n'a pas
01:04:51besoin de passer par les câbles, etc.
01:04:53Ce que j'essaie d'expliquer, c'est que comme
01:04:55sur le champ de bataille en Ukraine,
01:04:57on est capable de recevoir un signal
01:04:59de Starlink et de rester connecté
01:05:01en passant par des réseaux
01:05:03complètement différents.
01:05:07C'est certain que
01:05:09cette éventualité-là
01:05:11a été prévue
01:05:13puisque les États-Unis,
01:05:15Trump a élevé ce qu'on appelle le
01:05:17Central Command au niveau d'un commandement
01:05:19unifié. Il y a plusieurs
01:05:21commandements unifiés aux États-Unis,
01:05:23notamment, c'est comme ça fonctionne
01:05:25généralement par région, tu as South Com,
01:05:27ça c'est l'Amérique du Sud, Central Command,
01:05:29ça c'est tout le Proche-Orient,
01:05:31Moyen-Orient, etc.
01:05:33Tu as North Com, ça c'est l'Amérique du Nord,
01:05:35etc.
01:05:37Pour chacun
01:05:39de ces commandements unifiés-là, il y a un commandeur.
01:05:41Ce qu'ils ont fait, c'est qu'ils ont pris l'ensemble
01:05:43des ressources cybernétiques
01:05:45américaines et ils ont créé un commandement
01:05:47unifié qui s'appelle Cyber Command, qui vise
01:05:49justement à
01:05:51faire échouer tout ce genre
01:05:53d'opérations-là, de coupage d'Internet,
01:05:55parce que
01:05:57Internet est élevé au niveau
01:05:59d'infrastructures critiques aux États-Unis
01:06:01pour la sécurité nationale. Donc, il y a un ensemble
01:06:03de mesures qui ont été prises, notamment le rachat
01:06:05de ces adresses IP,
01:06:07Elon Musk est capable de donner de l'Internet gratuit
01:06:09à pratiquement l'ensemble de la planète avec ses réseaux
01:06:11Starlink. Donc, si jamais il y a une coupure
01:06:13d'Internet comme ça, ça ne va durer probablement
01:06:15que quelques heures, quelques jours au mieux.
01:06:17Et après ça, puisque c'est une infrastructure
01:06:19critique, on est capable d'avoir un
01:06:21réseau, de reprendre le relais.
01:06:23Et puis les gens, c'est un plan
01:06:25plus trivial, ne devraient pas attendre la
01:06:27coupure d'Internet pour réinvestir le réel,
01:06:29c'est-à-dire d'établir des rencontres physiques, concrètes,
01:06:31de créer des communautés,
01:06:33de créer des liens également. C'est-à-dire que c'est complémentaire
01:06:35avec Starlink. Starlink
01:06:37et les rencontres dans le réel.
01:06:39Moi, je ne vais pas vraiment
01:06:41parler de ça puisque je suis une personnalité pratiquement
01:06:43entièrement virtuelle. Je ne vais
01:06:45vraiment pas beaucoup sur le terrain.
01:06:47Non, mais vous, vous n'avez pas le choix. Vous évoluez dans une société
01:06:49qui est hostile à votre travail, à ce que vous faites.
01:06:51Le Canada, qui est devenu une forme de
01:06:53poste avancé ou d'avant-garde
01:06:55de ce mondialisme-là, vous n'avez pas le choix.
01:06:57Mais dans les pays où on a encore un peu de possibilités
01:06:59de nous rencontrer, de créer des clubs de réflexion,
01:07:01d'échanger, de renouer avec le livre
01:07:03papier également, c'est très bien
01:07:05de garder le contact.
01:07:07Alors, on aurait pu développer pendant des heures
01:07:09chacun des aspects qu'on a évoqués. Alors, je vous renvoie.
01:07:11Où est-ce que les gens peuvent voir vos vidéos comme ça?
01:07:13En fait,
01:07:15sur Twitter.
01:07:17C'est là que c'est l'endroit où mes
01:07:19vidéos sont sur X.
01:07:21C'est l'endroit où mes vidéos sont le plus
01:07:23vues. C'est l'endroit le plus facile où me trouver.
01:07:25C'est
01:07:27alexis-cossette
01:07:29arrobas alexis-cossette.
01:07:31J'aurais dû d'ailleurs peut-être avoir ça à la place de Radio-Québec.tv.
01:07:33Je vais le mettre en passeport.
01:07:35Mais sur le site ici,
01:07:37Radio-Québec.tv, vous avez
01:07:39tous les endroits où me suivre. C'est-à-dire
01:07:41que c'est un site et là, vous allez trouver le Twitter
01:07:43là-dessus. Donc, Radio-Québec.tv, vous avez les endroits
01:07:45où me suivre là-dessus. D'accord. Donc, j'invite
01:07:47tous les gens à vous suivre et à vous soutenir,
01:07:49même financièrement. J'imagine qu'il y a également des
01:07:51plateformes. Oui, oui.
01:07:53Parce que c'est extrêmement important. L'autonomie financière
01:07:55est ce qui permet la radicalité.
01:07:57Il n'y a pas de radicalité dans la pensée s'il n'y a pas d'autonomie.
01:07:59Là, vous m'entendez? Exactement.
01:08:01Il n'y a pas d'autonomie financière.
01:08:03En 2020, c'est ce qu'ils ont fait. Ils ont coupé mon Patreon
01:08:05puis ils ont coupé mon PayPal
01:08:07et c'est comme ça
01:08:09qu'on s'est restructuré autrement.
01:08:11Tout à fait. Bravo et bon courage
01:08:13pour ce que vous faites et j'espère vous revoir
01:08:15très prochainement. Merci M. Achaché.
01:08:17Certainement. Et je remercie également toutes les personnes
01:08:19qui m'ont suivi et vous donne rendez-vous très prochainement
01:08:21pour un nouvel entretien.