Revivez la déclaration de Ousmane Sonko au Rassemblement de soutien au peuple Palestinien

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Revivez la déclaration de Ousmane Sonko au Rassemblement de soutien au peuple Palestinien
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00:30Je vais démarrer mon édition en français pour permettre à son Excellence Monsieur l'Ambassadeur
00:52de Palestine d'en saisir leur sens, mais également délivrer le message de son Excellence Monsieur
01:00le Président de la République Bassi Roudion Maïdia Kharfeï à l'ensemble de la communauté
01:06internationale.
01:07Je voudrais dire que nous n'avons pas été conviés à cette manifestation.
01:14La dernière fois, M. l'Ambassadeur de Palestine est passé à mon bureau, nous avons échangé
01:22et je le taquinais en disant qu'une manifestation avait été organisée l'avant-veille et nous
01:31l'avons appris bien après la manifestation.
01:34Il s'en était désolé et m'avait promis de me mettre en rapport avec le comité d'organisation.
01:42C'est hier soir seulement que j'ai vu les annonces de la tenue de cette manifestation.
01:48Ce matin, j'ai appelé son Excellence M. le Président de la République pour lui annoncer
01:55mon intention, même si je n'ai pas reçu d'invitation officielle, mais ce n'est pas une critique,
02:01rassurez-vous.
02:02En tout cas, mon intention d'être présent à cette manifestation.
02:08Le Président de la République m'a répondu dans ces termes.
02:12Il m'a dit qu'il faut impérativement que vous nous y représentiez et que notre statut
02:22de Président du comité pour la défense des droits inaliénables du peuple palestinien
02:30ne doit pas se limiter seulement à des déclarations, mais doit se manifester également par des
02:36actions et une présence sur le terrain.
02:41Donc je suis ici sous instruction de M. le Président de la République.
02:48Je veux dire qu'on a suffisamment rappelé la position du Sénégal sur cette injustice
02:55que subit le peuple palestinien depuis les années 40.
03:05Le Sénégal a apporté énormément d'initiatives.
03:08Je rappelle qu'en 1971, le Président Léopold Sédar Senghor était à la tête d'une délégation
03:17composée du Président Mugutu Dizaïr, du Président Aïdjo du Cameroun et du Président
03:25Goen du Nigéria.
03:29Quatre mois après la guerre des Six Jours, où toutes les initiatives de négociation
03:35avaient échoué, le Président Senghor avait conduit une délégation qui s'est rendue
03:40en Israël au Palestine, avait discuté avec feu le Président Yasser Arafat et la première
03:50ministre de l'époque, Golda Meir, laquelle initiative avait abouti presque à un accord
03:57sur le Golan, sur le Sinaï et sur la Cisjordanie.
04:01Il a été convenu que l'ambassadeur d'Israël allait, lors d'une allocution sur la tribune
04:08des Nations Unies, présenter cette solution africaine à l'initiative du Sénégal qui
04:15devait consacrer la paix définitive.
04:18Malheureusement, c'est 30 minutes avant cette allocution que l'ambassadeur d'Israël
04:24avait reçu un coup de fil de Golda Meir, lui intimant l'ordre de renoncer à annoncer
04:31cette solution.
04:33C'est dire que la fourberie dont Israël a toujours fait preuve dans la gestion de
04:41ce dossier ne date pas d'aujourd'hui.
04:46Le Sénégal a continué et c'est ce qui a justifié en 1975
04:54lors de la création de ce comité, que toutes les initiatives aient concouru à désigner
05:04le Sénégal comme président de ce comité, laquelle présidence est assurée par nos
05:09pays jusqu'au mois où je parle sous la direction du président Basirou Dioumaï Diakhadfeï.
05:17Beaucoup d'initiatives ont été prises par le Sénégal et par tous les régimes successifs
05:23jusqu'à la dernière qui avait abouti au vote d'une résolution en 2016, un des intervenants
05:32à la racontée, qui avait condamné Israël par rapport à l'extension de ses colonies
05:39sur les terres palestiniennes.
05:42Donc si aujourd'hui le régime nouveau sous la direction du président Dioumaï Diakhadfeï
05:50décide de continuer cette œuvre, il ne fait que respecter une tradition.
05:56Mais ce qui sera nouveau, c'est que nous avons décidé d'aller au-delà des déclarations,
06:02des initiatives au niveau des Nations Unies, mais d'être très présents à côté de
06:08nos frères palestiniens pour mener ensemble ce combat.
06:15Monsieur l'ambassadeur, je vous disais dans mon bureau que je ne regarde plus les télévisions
06:23internationales parce que les images qui sont diffusées sur la Palestine me sont insupportables.
06:31Tout le peuple sénégalais, j'allais dire toute l'Afrique, parce qu'il faut reconnaître
06:37que l'Afrique a toujours été au premier plan de ce combat.
06:40Aujourd'hui à ma connaissance, il n'y a que deux États africains, le Cameroun je crois
06:44et l'Érythrée, qui n'ont pas reconnu officiellement l'État de Palestine.
06:50Tous les autres États ont reconnu l'État de Palestine, ont été parmi les premiers
06:54à l'avoir reconnu.
06:59Nous sommes ici dans le cadre d'une manifestation de soutien au peuple palestinien
07:06et ce qui semble le plus visible, c'est que c'est l'aspect religieux,
07:11cette religion que nous partageons avec la majorité du peuple palestinien.
07:19Je dis simplement que pour combattre une injustice, de tous ceux qui participent à un combat
07:26contre l'injustice, les motivations peuvent être plurielles.
07:32La motivation religieuse en est une, et ce qui semble être prégnant ici,
07:36dans cette assemblée.
07:38Mais on peut participer à un combat contre l'injustice pour d'autres raisons.
07:45Simplement, on ne supporte pas l'injustice, indépendamment de ses croyances
07:48et de ses convictions.
07:50On peut y participer pour des raisons ethniques, des raisons familiales.
07:58On peut y participer pour des raisons géographiques.
08:01On peut y participer simplement par humanisme.
08:07L'aspect religieux ne peut pas être enlevé, en tout cas, ne peut pas être dénié.
08:13On ne peut pas dénier l'aspect religieux dans cette problématique qui se pose
08:19et qui se pose depuis très longtemps.
08:21Certains historiens voudraient l'enlever totalement.
08:24Mais le problème n'est pas seulement religieux.
08:28Il est éminemment également politique.
08:30Il est humain, simplement.
08:32Et c'est pourquoi aujourd'hui, dans la stratégie,
08:35il nous faut passer à être le plus large possible.
08:41Le président Senghor, qui a pris toutes les initiatives que nous savions,
08:45il n'était pas musulman.
08:47Il n'était pas tenu de le faire.
08:49Pourtant, il l'a fait.
08:51Et depuis que cette nouvelle crise a démarré,
08:56les actions les plus visibles,
08:58je parle des plus visibles, je ne sais pas ce que font les pays arabes,
09:01mais les actions les plus visibles ont été initiées par l'Afrique du Sud,
09:07qui compte 2% de musulmans.
09:11Les actions les plus visibles ont été initiées par les pays d'Amérique latine,
09:16allant jusqu'à rompre radicalement les relations diplomatiques
09:21et à considérer qu'il s'agissait de génocide et de crime contre l'humanité.
09:26Là où beaucoup de pays considérés comme musulmans sont restés à fond.
09:33Et c'est pourquoi la dimension politique dans le combat que nous menons est extrêmement importante.
09:41J'irai même beaucoup plus loin,
09:45puisqu'il y a matière à relativiser la dimension religieuse.
09:52Des milliers de personnes de confession juive
09:56ont violemment manifesté contre l'extermination qui se passe actuellement en Palestine.
10:02Nous l'avons vu aux Etats-Unis, nous l'avons vu en France,
10:05et quelques fois même de temps en temps en Israël.
10:09Et donc il faut réunir tous ceux qui se disent non à cette injustice.
10:14La motivation des autorités israéliennes n'est pas forcément religieuse.
10:19Nous avons un premier ministre dont le pouvoir aujourd'hui dépend de cette guerre.
10:25La survie politique dépend de cette guerre.
10:28Et qui est prêt à marcher sur des milliers de cadavres pour rester premier ministre
10:32et pour ne pas faire face à la justice de son pays.
10:35C'est ça les motivations.
10:38Nous sommes accompagnés maintenant par des ultra-orthodoxes
10:43qui malheureusement ont conduit le monde,
10:47et particulièrement la Palestine, dans ce chaos que nous vivons.
10:52Mais ça interpelle également notre conscience à tous.
10:57Nous sommes dans un monde particulièrement hypocrite.
11:01Un monde de poids, de mesures.
11:04Un monde où tous ceux qui nous chantent la démocratie et les droits de l'homme
11:07sont ceux aujourd'hui qui appuient Israël, qui l'arment,
11:11qui lui donnent les moyens d'envoyer des bombes sur des populations innocentes.
11:18Nous sommes dans un monde où les principes qu'on nous voit
11:22qui sont décrétés à gauche et à droite n'engagent que ceux qui y croient.
11:28Mais tout cela interpelle également la conscience
11:32des musulmans que nous sommes,
11:34des africains que nous sommes,
11:36des croyants que nous sommes,
11:38de comprendre que personne ne nous fera à notre place.
11:42Si on en est là, c'est lié à nos multiples divisions.
11:46Nous sommes incapables de parler d'une seule voix.
11:49Même si on nous laisse entre nous, nous sommes là à nous tirer dessus,
11:52à nous chamailler, partant de détails insignifiants.
11:57Je suis plus croyant que d'autres,
11:59j'ai la vérité infuse,
12:01les autres sont dans l'ignorance totale.
12:05Nous devons distinguer les aspects cultuels des aspects politiques
12:09de la démarche qui doit être la nôtre
12:13pour créer des blocs qui nous permettent de nous défendre.
12:17Et je parle au double sens de croyant que nous sommes,
12:20quelle que soit notre croyance, et d'africain que nous sommes.
12:24Regardez ce qui se passe aujourd'hui en Afrique.
12:26Les africains sont sur les réseaux sociaux en train de se tirer dessus,
12:30sur des détails insignifiants,
12:32alors que nous sommes à tous les niveaux les derniers de ce monde.
12:44Et pour les croyants, c'est la même chose.
12:47Et pourtant, pour les musulmans que nous sommes,
12:50le Coran nous avait déjà avertis
12:53des conséquences de la division.
12:55Chacun peut avoir sa façon de voir,
12:57qu'on soit sunnite, chia,
12:59ou je ne sais pas,
13:01à l'intérieur des sunnis,
13:03qu'on soit orthodoxe,
13:05soufie, ou tout ce qu'on veut dire.
13:07Mais, politiquement,
13:11nous devons transcender ces questions-là
13:13si nous voulons compter dans le monde,
13:15si nous voulons faire face,
13:17si nous voulons exister.
13:19En tant que croyant, mais en tant qu'africain également.
13:21Je parle dans les deux directions.
13:23Et ce qui arrive aujourd'hui à la Palestine,
13:25qui arrive ailleurs,
13:27parce qu'ailleurs aussi,
13:29il y a des musulmans qui sont martyrisés.
13:33Comme il y a,
13:35dans d'autres zones du monde,
13:37des personnes qui sont martyrisées
13:39parce que simplement elles sont chrétiennes.
13:41Qui sont attaquées par des bonnes armées
13:43qui se disent musulmans,
13:45qui ne le sont absolument pas
13:47parce que les musulmans ne se comportent pas comme ça.
13:50Mais si l'on veut faire face
13:52à toutes ces situations-là,
13:54il nous faut transcender
13:56nos petites différences.
13:58Le monde aujourd'hui fonctionne
14:00sur la base de la puissance et des blocs.
14:02Pourquoi le monde entier,
14:04le monde occidental entier,
14:06ne peut aujourd'hui,
14:10ne peut pas faire grand-chose face
14:12à Vladimir Poutine? Pourquoi?
14:14Parce qu'il y a la puissance.
14:17Pourquoi ne le ferait-il pas
14:19vis-à-vis de la Chine?
14:21Parce qu'il y a la puissance.
14:23Nous ne pouvons pas être ce que nous sommes.
14:25Et quand on a les moyens
14:27d'aller vers la puissance,
14:29quelqu'un a parlé tout à l'heure
14:31de la dichotomie
14:33entre les palais
14:35des pays musulmans
14:37et la rue.
14:39C'est peut-être vrai,
14:41mais il faut relativiser beaucoup de choses.
14:43La question qu'on se pose,
14:46est-ce qu'on ne les a pas trop
14:48habitués au luxe maintenant?
14:50De sorte que personne ne veut plus
14:52perdre ses avantages
14:54et personne ne veut plus prendre des risques.
14:56La vraie problématique se pose
14:58à ce niveau-là.
15:00Et c'est pourquoi
15:02je réitère
15:04toute notre douleur et notre peine
15:06face
15:08à cette situation
15:10que vivent
15:12nos frères palestiniens.
15:15Nous le dénonçons en tant que croyants,
15:17mais nous considérons qu'il faut
15:19avoir une approche très politique.
15:21Le pape François
15:23a dénoncé, a condamné
15:25et a réclamé
15:27deux états
15:29viables.
15:31D'autres convictions religieuses
15:33l'ont fait. Il faut aujourd'hui rassembler
15:35tout ce qui dénonce cette injustice,
15:37travailler à une solution
15:39politique,
15:41qui est une solution de
15:43l'isolement
15:45de l'état
15:47d'Israël.
15:49L'isolement politique.
15:51Si
15:53l'ACPI a pu
15:55condamner
15:57pour crime contre l'humanité
15:59le premier ministre israélien actuel,
16:01c'est parce que l'Afrique du Sud
16:03a fait ce que nous aurions dû faire
16:05tous les musulmans pour
16:07obtenir ce résultat-là.
16:09Donc, soyez inclusifs dans le combat.
16:11Rattissons le plus large possible
16:13et je pense
16:15que nous pourrions atteindre
16:17le résultat tant souhaité
16:19qui est d'arrêter
16:21cette barbarie humaine
16:23validée,
16:25cautionnée par
16:27certains pays occidentaux, pas tous.
16:29Nous avons reçu, le président
16:31de l'Afrique et moi-même, le premier
16:33ministre espagnol avant-hier,
16:35le premier ministre espagnol et son
16:37gouvernement ont fermement condamné
16:39l'Israël et beaucoup d'autres
16:41gouvernements.
16:43Donc, je pense que
16:45dans ce qu'il a dit,
16:47je veux remercier son excellence
16:49le président de la République.
16:51Aujourd'hui, je l'ai vu
16:53organiser
16:55une manifestation
16:59pour soutenir
17:01notre pays, la Palestine.
17:03Donc,
17:05s'il n'y a pas
17:09une manifestation,
17:11j'aimerais y aller aujourd'hui.
17:15Je suis heureux
17:17que vous l'ayez organisée.
17:19Je suis heureux que vous l'ayez organisée.
17:21Parce que
17:23ce que vous savez,
17:25c'est
17:27le plus important pour nous.
17:29C'est ce que vous savez
17:31que les Nations Unies l'ont fait.
17:33En ce qui concerne
17:35tout le monde sait
17:37que la guerre
17:39entre la Palestine et l'Israël
17:41est une guerre
17:43très sérieuse.
17:45Nous avons un accord
17:47avec le Sénégal.
17:49C'est un accord
17:51qui ne peut pas être
17:53un accord de paroles.
17:55Je l'ai dit à son excellence
17:57la dernière fois que j'étais là.
17:59Je l'ai dit à son excellence
18:01la dernière fois qu'il était ministre espagnol.
18:03Mais il ne peut pas être un accord de paroles.
18:05Donc il faut poser des actes.
18:07Et c'est ce qu'il faut faire.
18:09C'est pourquoi
18:11nous sommes ici
18:13pour dire au gouvernement
18:15que
18:17le Sénégal
18:19n'a pas le droit
18:21d'être le pays du Sénégal.
18:23C'est ce que j'ai dit
18:25à l'excellence
18:27de l'État.
18:29Mais il ne faut pas oublier
18:31que c'est à l'excellence de l'État
18:33que le Sénégal
18:35doit avoir
18:37beaucoup d'argent
18:39car il y a 3 millions
18:41et je sais qu'il y a des centaines de millions
18:43qui ont été investis dans la Palestine
18:45mais ce n'est pas le cas.
18:47Et c'est pourquoi
18:49nous avons entendu
18:51des déclarations
18:53pour aller en Palestine.
18:55Mais le Sénégal n'a pas le droit
18:57d'avoir
18:59toute l'indépendance.
19:01C'est pourquoi
19:03le Sénégal a eu l'indépendance
19:05à l'âge de 11 ans.
19:07C'est pourquoi le Sénégal a commencé
19:09à faire de l'argent.
19:11Si le Sénégal n'avait pas
19:13le droit d'avoir
19:15toute l'indépendance,
19:17il n'aurait pas été
19:19le pays du Sénégal.
19:21Le président de la République
19:23m'a dit
19:25que
19:27le Sénégal
19:29aurait pu être
19:31refusé.
19:33Aujourd'hui, il le fait
19:35car il a le droit de le faire.
19:37Son Excellence,
19:39Monsieur l'ambassadeur,
19:41il a le droit de faire
19:43des choses
19:45selon les conditions
19:47des états du Sénégal.
19:49Il a le droit de faire
19:51toutes les choses
19:53de manière
19:55internationale.
19:57C'est-à-dire qu'il y a de l'initiative.
20:01Tout ce qu'on sait, c'est qu'on doit aller à l'enclos avec les portes fermées.
20:07On ne peut pas entrer au Sénégal.
20:09Il y a de l'initiative.
20:13J'ai parlé à mon conseil diplomatique.
20:16Est-ce qu'il est possible de faire un siège
20:22et qu'on mette le bâtiment et qu'on mette le personnel là-bas pour travailler?
20:29On ne peut pas le faire au Sénégal car ce n'est pas la Nation Unie.
20:35Donc on va le faire à la Nation Unie.
20:37On a déjà parlé de la Nation Unie mais on va le faire au Sénégal.
20:43La Nation Unie sait bien ce qui se passe là-bas.
20:47Il y a deux problèmes entre l'Assemblée générale et le Conseil de sécurité.
20:53Le Conseil de sécurité et la Nation Unie sont les deux problèmes.
20:57Car on ne peut pas s'occuper du bureau de l'Assemblée générale.
21:05L'Assemblée générale peut prendre une résolution
21:08mais si elle s'occupe du Conseil de sécurité, les Etats-Unis ne sont pas d'accord.
21:12C'est pour ça qu'on a bloqué l'Assemblée générale.
21:15Mais si l'Assemblée générale s'occupe du bureau de l'Assemblée générale
21:21et qu'on l'applique aujourd'hui, on ne peut pas le faire.
21:23La Nation Unie n'a pas d'accord avec l'Assemblée générale.
21:26Elle peut prendre une résolution mais les Etats-Unis ne sont pas d'accord.
21:32Si l'Assemblée générale s'occupe du bureau de l'Assemblée générale,
21:36on ne peut pas l'appliquer.
21:39Quelles sont les états qui sont dans ce cas-là?
21:43Ce sont les états de l'Israël.
21:46Parce qu'il faut que l'Assemblée générale s'occupe du bureau de l'Assemblée générale.
21:51Pourtant, il y en a qui sont d'accord.
21:54Si l'Assemblée générale s'occupe du bureau de l'Assemblée générale,
21:59on peut organiser des clubs et des hôtels dans lesquels les banques
22:06et les gens peuvent s'occuper d'eux-mêmes.
22:08Mais on ne l'a pas fait.
22:10Donc, on doit s'occuper d'eux-mêmes.
22:14C'est ce que j'ai pensé depuis longtemps.
22:18J'en ai parlé à quelqu'un dans l'Afrique.
22:23Ces gens-là ont des problèmes d'amitié.
22:27Ils sont en train de faire des guerres mondiales.
22:30Ils ne veulent plus s'occuper d'eux-mêmes.
22:35Des centaines de millions de gens sont en train de faire des guerres mondiales.
22:40Il faut qu'ils s'occupent d'eux-mêmes.
22:44Qu'ils arrêtent leurs divergences et leurs hôtels.
22:47Parce qu'ils savent qu'ils doivent s'occuper d'eux-mêmes.
22:52Mais où sont les Africains?
22:56C'est ce qu'il faut savoir pour s'occuper d'eux-mêmes.
22:59Il faut s'occuper d'eux-mêmes pour s'occuper de leurs divergences et leurs hôtels.
23:05Ce n'est pas un problème.
23:09Ils sont en train de faire des guerres mondiales.
23:12Ils vont se réunir pour faire des guerres mondiales.
23:20Ils vont se réunir pour faire des guerres mondiales.
23:25Je vais vous donner les résultats de ces guerres mondiales.
23:29Nous sommes en train de faire des guerres mondiales au Sénégal.
23:34Avec le président Basirou Dioumaï Diakhar.
23:38Nous allons faire des guerres mondiales en Israël et en Palestine.
23:46Nous allons faire des guerres mondiales.
23:49Nous allons faire des guerres mondiales.
23:52Nous allons faire des guerres mondiales.
24:00Et pendant ce temps nous verrons les choix des membres.
24:04Nous le savons tous, nous savons que ce qui est à la main de nous
24:08est l'excellence de M. l'ambassadeur.
24:11Nous savons que nous allons utiliser nos forces.
24:44C'est pour ça qu'on est là.
24:48Qu'on n'y m'a pas ouah.
24:50Qu'on n'y m'a pas ouah.
24:50Qu'on n'y m'a pas ouah.
24:52Qu'on n'y m'a pas ouah.
24:52Qu'on n'y m'a pas ouah. Qu'on n'y m'a pas ouah. Qu'on n'y m'a pas ouah.
24:53Qu'on n'y m'a pas ouah. Qu'on n'y m'a pas ouah. Qu'on n'y m'a pas ouah.
24:53Qu'on n'y m'a pas ouah. Qu'on n'y m'a pas ouah. Qu'on n'y m'a pas ouah.
24:53Qu'on n'y m'a pas ouah. Qu'on n'y m'a pas ouah. Qu'on n'y m'a pas ouah.
24:53Qu'on n'y m'a pas ouah. Qu'on n'y m'a pas ouah. Qu'on n'y m'a pas ouah.
24:55Qu'on n'y m'a pas ouah. Qu'on n'y m'a pas ouah. Qu'on n'y m'a pas ouah. Qu'on n'y m'a pas ouah.
24:55Qu'on n'y m'a pas ouah. Qu'on n'y m'a pas ouah. Qu'on n'y m'a pas ouah. Qu'on n'y m'a pas ouah.
24:56Qu'on n'y m'a pas ouah. Qu'on n'y m'a pas ouah. Qu'on n'y m'a pas ouah. Qu'on n'y m'a pas ouah.
24:56Qu'on n'y m'a pas ouah. Qu'on n'y m'a pas ouah. Qu'on n'y m'a pas ouah. Qu'on n'y m'a pas ouah.
24:58Qu'on n'y m'a pas ouah. Qu'on n'y m'a pas ouah. Qu'on n'y m'a pas ouah. Qu'on n'y m'a pas ouah.
25:00Qu'on n'y m'a pas ouah. Qu'on n'y m'a pas ouah. Qu'on n'y m'a pas ouah.
25:02Qu'on n'y m'a pas ouah. Qu'on n'y m'a pas ouah.
25:04Qu'on n'y m'a pas ouah. Qu'on n'y m'a pas ouah.
25:06Qu'on n'y m'a pas ouah. Qu'on n'y m'a pas ouah. Qu'on n'y m'a pas ouah.
25:08Qu'on n'y m'a pas ouah. Qu'on n'y m'a pas ouah.
25:10Qu'on n'y m'a pas ouah. Qu'on n'y m'a pas ouah.
25:12Qu'on n'y m'a pas ouah.
25:14Qu'on n'y m'a pas ouah.
25:16Qu'on n'y m'a pas ouah.
25:18Qu'on n'y m'a pas ouah.
25:20Qu'on n'y m'a pas ouah.
25:22Qu'on n'y m'a pas ouah.
25:24Qu'on n'y m'a pas ouah.
25:26Qu'on n'y m'a pas ouah.

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