L'Argentine de 39 ans qui accuse deux rugbymen français de viol en juillet, a déclaré, dans une interview à l'AFP, se sentir "abandonnée par la justice", qui a autorisé les joueurs à rentrer en France.
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00:00Nous sommes en train de sortir de l'hôtel des armes de l'opposition en ligne.
00:04Nous sommes trop loin de la seine de la gare.
00:07Nous avons besoin de nos aides.
00:11Nous avons besoin de nos amis.
00:14Nous avons besoin de nos collègues.
00:18Nous avons besoin de nos soins.
00:21Nous avons besoin de nos équipes.
00:24Nous avons besoin de nos soins.
00:27Ils me traitent de délinquant, je suis la victime quand j'ai peur de ma vie, parce que je n'ai pas de gens qui me soutiennent ni qui me gardent sous aucun point de vue.
00:43Sur eux, qui sont deux poissons rots de radio française, qui doivent être emprisonnés et non libres, ils ne sont pas des héros, ils sont des violateurs.
00:57Je suis là pour que ça ne se passe pas à d'autres femmes, parce que je n'ai pas de bande. Je ne suis ni ménocine, ni argentine, ni française, ni espagnole, ni rien. Je suis une femme violée par deux joueurs de la sélection française.
01:27Attention, attention, attention.
01:31La France a mis de l'argent dans les montagnes, et la France a mis beaucoup d'argent pour essayer de les sortir du pays comme ils l'ont réussi.
01:54Mais celui d'en haut va le juger, celui d'en haut sait les faits qu'ils ont commis, et je n'ai aucun doute qu'ils sont encore en qualité d'imputés et qu'il va se faire la justice.
02:10La justice va être la justice sociale. Ils vont être condamnés socialement, parce que mon témoignage est vrai et honnête. Je ne ment pas, je n'occupe rien.