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Dans son édito du 12/09/2024 dans Punchline, Laurence Ferrari revient sur les vives critiques de François Ruffin vis à vis de Jean-Luc Mélenchon.

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Transcription
00:00Bonsoir à tous et bonsoir à toutes, bienvenue dans Punchline ce soir sur CNews et sur Europe 1.
00:04Avec des amis comme cela, pas besoin d'ennemis.
00:06François Ruffin cogne sur son ancien patron Jean-Luc Mélenchon et ça peut dire qu'il y a du sang sur les murs.
00:12Pendant la campagne de 2022, on a mené une campagne au faciès.
00:17Quand je tombais sur un noir ou un arabe, je sortais la tête de Mélenchon en bien gros sur les tracts.
00:21C'était le succès presque assuré, son nom servait de passe-partout.
00:24Quand on tombait sur un blanc, c'était un verreau.
00:27Ainsi parle celui qui s'est fait élire dans la Somme au mois de juillet avec les voix de la France Insoumise,
00:33après toutefois avoir pris le soin d'en claquer la porte.
00:36Sans surprise, il se fait agonir d'injures par ses ex-acolyches qui font un saut d'élégance,
00:41vous allez découvrir cela, mais les masques sont bien tombés.
00:44Nous savons à qui nous avons affaire, à ceux qui insultent, qui essentialisent,
00:48qui cautionnent l'antisémitisme déguisé en antisionisme
00:52et qui crachent sur une république qu'ils n'ont de cesse de vouloir faire tomber.
00:55Une Marianne qu'il va falloir plus que jamais défendre contre les assauts de ces ingénieurs du chaos.
01:00On va en débattre ce soir dans PUNCHLINE.

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