Les champions d'Afrique Kessié Franck et Seri Jean Michael s'expriment sur le rôle du cadre en sélection nationale
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00:00Je fais partie des cadres, bien évidemment, parce que ça fait 10 ans quand même que je suis là, depuis 2014 jusqu'au jour d'aujourd'hui.
00:12Capitaine par circonstance, je dirais, parce qu'à l'absence du séjournier qui est le capitaine, ce qui est logique quand il n'est pas présent,
00:27automatiquement c'est un ancien qui porte le brassard, qui joue le rôle du capitaine.
00:37Je dirais que c'est un privilège, parce qu'on ne devient pas cadre par hasard, on devient cadre par l'exemplarité de ce qu'on peut faire dans un groupe.
00:53On commence au tout début et après avec la consistance de venir en sélection, on devient cadre.
01:08On ne devient pas cadre parce qu'on est venu en équipe nationale en 2013, on revient en équipe nationale en 2018 et on se prétend cadre.
01:21Être cadre, il y a aussi dans ce mot-là la continuité, la consistance des performances et la régularité qu'on a à venir en équipe nationale.
01:38Les trois points, six points, clean sheet, bravo.
01:43Les gars, il y a une chose qu'il faut qu'on retienne. Contre ces équipes-là, les détails sont très importants.
01:50On ne peut pas se dire que je cours à Bidjan, je cours à Boaké, je cours à Yamsoukro, je cours à San Pedro et quand on va à l'extérieur, il n'y a pas de force défensive, il n'y a pas de réplique défensive.
02:00C'est inacceptable les gars, c'est inacceptable ça là.
02:05Quel que soit le pays où on joue, exigence. On se prie pour revenir, on se prie pour attaquer.
02:11C'est ça qu'on veut voir. On va jouer contre la Séranie, ça sera pareil.