• il y a 2 mois
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00:00:00qui sont sortis, qui montrent qu'on a des anomalies des enzymes,
00:00:02des anomalies des marqueurs cardiaques post-vaccin ARN dans 2% des cas.
00:00:07Ça ne veut pas dire que 2% des gens vont développer le myocardite,
00:00:11mais ça veut dire qu'il y aura une partie de ces gens, 2%,
00:00:15qui vont avec le temps devenir cliniques.
00:00:17Ils sont subcliniques, ils vont devenir cliniques, c'est une question de temps.
00:00:19Donc avoir 1 sur 3 000 ou 1 sur 5 000, c'est sous-calibré.
00:00:24Ça ne va pas être un 2%, ça je n'y crois pas trop,
00:00:28mais ça va être une fraction de pourcent.
00:00:30Donc 1 sur 1 000, c'est .1, 1 sur 3 000, c'est un tiers de ça.
00:00:35Moi, je crois qu'on pourrait être à 2 pour 1 000, on verra bien.
00:00:37Dans les 5-10 ans, on aura le recul.
00:00:39Parce que les maladies chroniques,
00:00:43le temps est un des facteurs d'aggravation ou de guérison.
00:00:47Mais pour le moment, quand on a une myocardite,
00:00:49ce n'est pas de guérison, c'est d'aggravation.
00:00:50Donc on sera dans 10 ans, une casse inutile
00:00:53chez des gens qui n'ont pas de problème s'ils n'ont pas été vaccinés.
00:00:57Ça, c'est le deuxième problème,
00:00:58pourquoi ces vaccins ne pouvaient pas marcher,
00:00:59ils n'avaient pas une donnée.
00:01:01On va au troisième ?
00:01:02Oui.
00:01:03OK, le troisième, c'est un manque total de contrôle pharmacocinétique.
00:01:09C'est un sale mot, c'est pour dire quel est le décours temporel
00:01:13de la présence de l'ARN dans le corps.
00:01:15Si je l'injecte, on nous a dit au début,
00:01:16après 2-3 jours, il doit disparaître.
00:01:18Ça, c'est la théorie.
00:01:19Pratiquement, il y a des gens qui, à 644 jours,
00:01:21ont toujours de l'ARN qui se balade dans leur corps.
00:01:24Pourquoi ? On n'a pas su calibrer ça.
00:01:26Et pourquoi on n'a pas su calibrer ?
00:01:27Parce que les outils pour calibrer, ça n'existe pas.
00:01:30Donc, non seulement on a une technologie qu'on ne maîtrise pas,
00:01:33qui est venue 20 ans trop tôt,
00:01:34mais en plus, on n'a pas les outils pour la mesurer.
00:01:37Ça ne pouvait pas vraiment être un produit, ça.
00:01:39Donc, pour la pharmacocinétique, on va faire court.
00:01:41En gros, c'est les gens qui ont des pathologies chroniques
00:01:44ou qui sont sécréteurs de Spike.
00:01:48Alors, on en retrouve dans les gonades,
00:01:50on en retrouve ailleurs, peut-être dans les sécrétions.
00:01:52On verra bien parce qu'on n'a pas encore assumé
00:01:55et bien étudié ce phénomène.
00:01:56Mais qui sont tout le temps malades ?
00:01:57On peut dire que des gens qui ont tout le temps des rhumes,
00:01:59qui ont tout le temps des grippes, qui ont tout le temps…
00:02:01Non, ça, c'est de l'auto-immune, ça, c'est de l'immunodéfléxion.
00:02:04C'est le problème numéro 5.
00:02:05Et ils ont quoi, alors, ceux-là ?
00:02:07Les gens qui ont une pharmacocinétique,
00:02:09c'est des gens qui ont des effets secondaires
00:02:12plutôt inflammatoires, de coagulation,
00:02:15des risques augmentés à répétition aussi.
00:02:18Des gens qui font…
00:02:19Il y a des gens qui ont fait plusieurs problèmes coagulatoires.
00:02:22Il y a des gens qui ont fait des embolies pulmonaires.
00:02:25Il y a des gens qui ont des problèmes de maux de tête.
00:02:27Il y a des gens qui ont…
00:02:27Ça peut donner n'importe quel symptôme en chronique,
00:02:30sauf des symptômes d'immunodépression et de cancer.
00:02:33Donc, il y a des gens qui ont des ratins, il y a des gens…
00:02:35Peut-être que les anomalies du cycle sont à classer là-dedans
00:02:38parce que si on a un phénomène continu qui ne se nettoie pas,
00:02:43on peut avoir des anomalies du cycle chronique.
00:02:46Il y a 17%, entre 14 et 17% des femmes,
00:02:50il ne convient pas de dire qu'il n'y a que quelques cas d'effets secondaires,
00:02:53entre 14 et 17% des femmes qui ont des anomalies du cycle.
00:02:56Mélodie, qui fait un travail énorme, où est mon cycle ?
00:02:59Elle est bien placée pour le savoir.
00:03:00Elle qui a récolté tous les témoignages de ces femmes
00:03:02qui souffrent et qui ont eu des hystérectomies, etc.
00:03:07Mais il faut se rendre compte, 14 à 17%, personne n'en parle.
00:03:12Moi, je me dis, mais waouh !
00:03:15Il y a vraiment des gens, ce n'est même plus du déni,
00:03:17ça devient des gens qui savent qu'ils sont coupables
00:03:19et qui ont intérêt à ne plus jamais en parler, à passer à autre chose.
00:03:21Donc, dire aux gens, c'est fini le Covid, passons à autre chose,
00:03:25ça fait partie d'une stratégie de communication,
00:03:27parce que, comme je dis, ils ont fait mieux que le petit moustachu.
00:03:30Parce qu'ils ont peu la pépette ? Ils ont peu peur ?
00:03:33Oui, je crois qu'ils ont peur.
00:03:35Ils ont peur de la violence urbaine.
00:03:37Ils ont peur des gens qui vont se retourner contre eux.
00:03:39Et donc, au niveau politique, il y a deux catégories.
00:03:42Il y a les gens qui veulent la violence,
00:03:43comme les idiots comme Macron, parce que là, ça justifie une répression.
00:03:46Ou il y a les gens qui ont peur de la violence,
00:03:48qui disent qu'il faut surtout passer à autre chose.
00:03:49Non, Zizi et les consorts, c'est des cons, ils racontent n'importe quoi,
00:03:52ce sont des complotistes, ce sont des idiots.
00:03:54Hasbin, le type, la vieille, c'est un naufrage,
00:03:57vous vous rendez compte, il a 60 ans.
00:03:59Il fut bon, mais maintenant, il est con.
00:04:01C'est ce qu'on dit sur moi dans les cercles gouvernementaux.
00:04:03Et je les salue tous ici parce que je vais leur dire un message.
00:04:06Je parle à mes anciens collègues et amis politiques.
00:04:09Vous avez foiré et je vous poursuivrai jusqu'à l'entrée de la porte de l'enfer.
00:04:12Et quand vous passerez la porte, je vous attendrai de l'autre côté.
00:04:16Que ce soit clair. Voilà.
00:04:19Donc maintenant, je l'ai dit, ça ne va pas les faire paniquer,
00:04:21ils vont juste dire, ils restent fidèles à l'humain.
00:04:22Non, mais je les invite, s'ils te traitent de cons,
00:04:25à venir débattre tout simplement et prouver à la fin du débat que tu es un con.
00:04:30Oui, c'est fait.
00:04:32Bon, maintenant, donc voilà pour la troisième catégorie des faits secondaires.
00:04:36Ça peut être n'importe quoi, mais on pourrait peut-être,
00:04:38ça c'est mon hypothèse, mettre les anomalies chroniques du cycle,
00:04:41tout ce qui est chronique, sans être immunodépression.
00:04:44Donc des atteintes chroniques d'un organe que ce soit
00:04:47qui ne soit pas lié à un déficit immunitaire sont classées là-dedans.
00:04:51Et on n'a pas encore fait l'inventaire.
00:04:53Le quatrième problème, c'est la quality control.
00:04:57Il y a deux niveaux de quality control déficient dans ces produits.
00:05:01Il y a un premier niveau, c'est la qualité de la préparation.
00:05:05On sait maintenant qu'il y a des stocks et des lots différents.
00:05:09Peut-être même que ça a été planifié, qu'il y a des lots,
00:05:11parce que comme ça, on fait une étude clinique.
00:05:12On sait qu'on a des lots à des doses différentes.
00:05:14On a des lots avec des produits fabriqués différemment.
00:05:18Il y a deux processus de manufacture.
00:05:20Il y a peut-être des produits où on a mis des concentrations différentes, sans le dire.
00:05:23Donc si on a les données de tout le monde,
00:05:25on peut faire une très belle étude clinique.
00:05:26C'est une expérience, c'est une étude clinique à grande échelle.
00:05:29Oui, mais on ne le dit pas.
00:05:31Mais on fait une étude clinique de phase 3, sans le dire,
00:05:34grâce au fait qu'on moniteur tout le monde.
00:05:36Mais on ne parle pas d'effets secondaires, mais il les catalogue.
00:05:39Pfizer a sa liste complète d'effets secondaires.
00:05:41Et ils peuvent faire une corrélation avec ce qu'ils ont dans leurs foutus produits.
00:05:44Même chose pour Moderna.
00:05:46Donc en gros, on a ce problème de qualité qui a été au début montré.
00:05:51Il y avait des contaminants.
00:05:53Dans les biologicals, il est difficile d'avoir zéro contaminant.
00:05:56Parce que si je fais une modification génétique,
00:05:58si je prends un insert et que je l'insère dans un véhicule,
00:06:00ou même que je mets un adrénaline-posome,
00:06:03j'ai toujours mes produits,
00:06:04mes produits qui servent à couper, à aller à la pêche aux jeunes, etc.
00:06:07Je peux les diluer, je peux les filtrer,
00:06:10mais je ne m'en débrasse jamais à 100%.
00:06:12Donc il faut savoir qu'en biologie, avec les biologicals,
00:06:15ce n'est pas une question de spectrométrie de masse,
00:06:17comme avec les chemicals où on peut être ultra pur.
00:06:20Avec la chimie normale, on peut être ultra, ultra pur.
00:06:22Les chimistes académiques le savent.
00:06:24On peut vraiment être très, très pur en isolant les...
00:06:27Et c'est une question de coût, quoi.
00:06:28On fait de la spectrométrie de masse pour la purité des réactifs chimiques,
00:06:33que ce soit en labo, que ce soit en médecine.
00:06:35On a vraiment des normes très strictes.
00:06:36Ça coûte des sous.
00:06:37Pour le biological, on ne sait pas atteindre le même niveau de pureté,
00:06:40mais on a des normes aussi de sécurité.
00:06:43Et en général, c'est bien.
00:06:44Donc on ne veut pas plus d'une particule par milliard.
00:06:47C'est ce qu'on appelle les PPM ou les PPB,
00:06:50part per billion or part per million.
00:06:52OK, donc on a ça, mais on voit qu'on est au-dessus des normes ici.
00:06:56Des gens ont testé les lots et ont vu un peu n'importe quoi.
00:06:58Au-dessus des normes, ça, ce n'est pas normal.
00:07:00Alors, ils vont vous dire,
00:07:01oui, mais on a dû aller vite parce qu'il y avait une crise mondiale.
00:07:04Les gens mouraient dans les rues.
00:07:06D'abord, ils ne mouraient pas dans les rues.
00:07:07Ensuite, c'est une crise auto-alimentée et il fallait aller vite.
00:07:12Ça n'empêche pas d'aller bien.
00:07:14J'ai des e-mails qui me sont venus de GSK et d'ailleurs,
00:07:17où ils disaient que, par exemple, AstraZeneca
00:07:21ne faisait même plus le quality control avant de vendre.
00:07:23J'ai un e-mail d'un des top scientifiques,
00:07:27je ne peux pas le nommer, je dois protéger son nom,
00:07:29qui a travaillé à GSK et qui dit,
00:07:31mes contacts à Astra me disent qu'on envoie tous les batchs dehors sans l'MBR.
00:07:35MBR, c'est Master Boot Batch Record.
00:07:36Ça veut dire que c'est un bouquin comme ça,
00:07:39où tout est noté dans la chaîne de production,
00:07:41depuis l'eau qu'on met pour les réactions chimiques
00:07:44jusqu'au type de filtre,
00:07:46aux dates de validation et de certification et qui a certifié le filtre.
00:07:50Donc, c'est vraiment une traçabilité intégrale.
00:07:52C'est normal parce qu'on joue avec des produits qui peuvent être dangereux.
00:07:56Donc, il faut une qualité énorme.
00:07:57Et Astra a vendu les lots sans faire ça.
00:08:02Pas de temps, on vend, on produit, on vend.
00:08:04C'est on the record.
00:08:07Problème de qualité.
00:08:08On s'attend à l'écrase chez les gens.
00:08:11Alors, il y a un autre problème dans la variation.
00:08:14C'est qu'on s'est rendu compte
00:08:17qu'il y avait des glissements de frames.
00:08:19Le code génétique est un code qui utilise quatre lettres.
00:08:24A, T, C, G ou A, U, C, G pour la RN.
00:08:29A, T, C, G c'est pour l'ADN.
00:08:31Et en fait, ces codes, ces quatre lettres forment des triplets de trois.
00:08:36Par exemple, A, A, A, T, A, U, G.
00:08:40Et ça a une signification pour la cellule.
00:08:43C'est comme un mot génétique qui dit, oh là, il faut mettre de l'acide aminé.
00:08:48Et puis, avec l'autre code qui suit, on met l'autre acide aminé.
00:08:51Et d'acide aminé, c'est comme des billes sur un collier de perles.
00:08:53On a des billes bleues, des billes rouges, des billes jaunes.
00:08:55On fait des billes et ça se plie et ça forme une protéine.
00:08:58Donc, la langue génétique est traduite en langue protéine
00:09:01et la protéine, c'est la machine outil cellulaire.
00:09:04Mais on sait que si j'ai un code génétique qui est bien fait,
00:09:08il est universel bien qu'adépatoire et il a un point de départ.
00:09:12Si le point de départ, c'est un A, par exemple, si le premier mot, c'est A, U, G,
00:09:17on commence au A, on a A, U, G, puis d'autres choses qui suivent trois fois, trois lettres à la fois.
00:09:22Mais si on commence au U, on décale tout d'une lettre.
00:09:26Donc, ça scramble, comme on dirait à Bruxelles, le code.
00:09:29Si on commence au G, on scramble plus deux.
00:09:32Donc, ça s'appelle des frameshifts.
00:09:33Ça veut dire des glissements de fenêtres de lecture.
00:09:36On peut avoir plus un, plus deux, moins un, moins deux.
00:09:39En gros, il y a une symétrie là-dedans.
00:09:41Mais en gros, les frameshifts sont connus.
00:09:43Les virus font beaucoup ça.
00:09:46Les gènes viraux font des frameshifts parce qu'ils encodent plus d'un message sur le même ADN
00:09:51ou même ARN, selon le type de virus qu'on a.
00:09:53Pourquoi ?
00:09:54Parce que le virus, c'est une capsule limitée.
00:09:57Donc, s'il y a beaucoup de gènes à faire, il faut les empacter dans un minimum de volume.
00:10:01Donc, on appelle ça des gènes polycystroniques.
00:10:05Salut les biologistes, vous savez ce que c'est.
00:10:07Polycystronique, ça veut dire que je peux encoder deux séquences dans la même séquence génétique.
00:10:11J'ai deux protéines différentes, juste par glissement.
00:10:15C'est génial.
00:10:16On a découvert ça il y a plus de 20 ans.
00:10:18On se dit, mais comment c'est possible ?
00:10:19Imagine un livre, Alex.
00:10:22Tu lis les frères Karamazov.
00:10:24Et si tu glisses la première lettre du premier mot
00:10:28et que tu réassocies les mots sur cette base-là,
00:10:31tu as un autre roman qui raconte une autre histoire.
00:10:33Ça change tout.
00:10:34C'est ça le frameshift.
00:10:36Vous vous rendez compte du miracle de la biologie virale ?
00:10:39Et ce n'est pas improvisé.
00:10:40C'est réglé par un système GAG-Pulse.
00:10:43Donc, les virus sont les champions de ça.
00:10:45Sauf que si je te suis, c'est assez effrayant parce que...
00:10:48Est-ce que tu voudrais dire que le vaccin a modifié ça ?
00:10:52Le vaccin n'a pas de stabilité dans la fenêtre de lecture.
00:10:57Ça veut dire qu'il donne des protéines aberrantes,
00:11:00fonctionnelles, qui n'existent pas, qui ne sont pas Spike.
00:11:03Donc, je ne suis même pas sûr que je produise à 100% du Spike.
00:11:06Je produise Spike, plus d'autres trucs.
00:11:08Ça a été un papier dans Nature.
00:11:10Récemment, il y a quelques semaines, un papier est sorti, peer review.
00:11:1430% des gens produisent des protéines alternes
00:11:17qui n'ont rien à voir avec la séquence de Spike.
00:11:211 sur 3.
00:11:23À votre service, messieurs, dames.
00:11:24Ceci n'est pas un produit.
00:11:27Non, non seulement il n'y a pas de dose de posologie,
00:11:30non seulement on ne sait pas où le produit va,
00:11:32non seulement on ne sait pas combien de temps il reste,
00:11:34mais en plus, on n'est pas sûr de la traduction du message en produit signé.
00:11:39Ça, ça doit tuer la plateforme.
00:11:41C'est un problème qui n'a plus rien à voir avec un vaccin.
00:11:43Je ne suis pas anti-vaccin.
00:11:44J'ai plus de vaccins dans mon corps que le belge moyen
00:11:46et je ne suis pas le type qui dit que le vaccin anti-polio a été inutile
00:11:50ou que le vaccin antiviral, c'est de la couille.
00:11:51Au contraire, les vaccins ont eu un impact en plus des mesures sanitaires.
00:11:55Mais j'ai fait assez d'immunologie et j'ai fait assez d'anticorps dans ma vie
00:11:58avec des lapins ou mesurés sur les gens
00:12:00pour savoir qu'il y a des réponses immunes qui existent.
00:12:03Donc, il faut arrêter de raconter n'importe quoi.
00:12:05Mais à côté de ça, il y a les vaccins qui sont mal foutus,
00:12:08il y a les vaccins qui sont inutiles,
00:12:09il y a les vaccins qui sont dangereux et il y a les vaccins qui sont utiles.
00:12:11C'est la réalité de la vie et de la médecine.
00:12:14Donc, ce produit vaccinal ARR ne peut pas rester sur le marché
00:12:18parce qu'on ne sait pas sa posologie,
00:12:22on ne sait pas où il va,
00:12:24on ne sait pas pour combien de temps il y va,
00:12:27mais on ne sait pas en plus ce qu'il traduit,
00:12:30on ne sait pas si le message est correctement lié
00:12:32et en plus, il y a des contaminants parce qu'ils ont fait ça comme des manches
00:12:35et on a des séquences de promoteurs de Simian virus 40, etc.
00:12:39Donc, vous voyez, quand on a des contaminants
00:12:42et qu'on n'est même pas sûr de la qualité du produit,
00:12:44on a de gros problèmes et ça peut donner n'importe quel effet.
00:12:47Imaginez que j'ai une kinase qui soit encodée.
00:12:50J'ai un copain qui a regardé et il m'a dit
00:12:52« mais j'ai oublié ce qu'il y avait d'autre dans la séquence possible ».
00:12:55Imaginez que ce soit une kinase qui puisse activer un gène,
00:12:57je ne sais pas moi, pour la cascade de coagulation pour le cancer.
00:13:00Ça donne ces effets-là.
00:13:02Imaginez qu'il y a un gène qui pourrait faire autre chose
00:13:05sur la protection des radicaux libres.
00:13:09Ça pourrait accélérer les phénomènes de vieillissement et de neurodégénération
00:13:12parce qu'on se défendrait moins contre les radicaux libres,
00:13:15donc on vieillit plus vite.
00:13:16Voilà, on n'en sait rien parce qu'on vient de voir maintenant
00:13:19qu'un tiers des personnes, ça a été un papier,
00:13:22moi je l'avais annoncé en 2021 parce que c'est dans les bouquins.
00:13:27J'ai joué avec des virus, je connais ce système polycystronique.
00:13:31Les gens de Covid Rationnel m'ont tapé dessus en disant
00:13:33« Martin, tu fermes ta gueule ».
00:13:34« Ah bon, mais vous savez, ça se passe ».
00:13:36« Oui, oui, tu fermes ta gueule ».
00:13:37Et puis voilà, trois ans après, on a des gens qui disent dans Nature
00:13:41« Oui, mais il y a des glissements de fenêtres ».
00:13:45À propos des glissements de fenêtres, c'est chez un tiers des gens.
00:13:49Et donc ça serait héréditaire aussi ?
00:13:51Non, ça n'a rien à voir avec l'hérédité, ça serait chez les gens.
00:13:54Parce que ça, on parle aussi que ce sont des modifications...
00:13:59Non, ce ne sont pas des modifications.
00:14:00Alexandre, on ne parle pas de modifications génétiques ici.
00:14:03On parle d'une lecture, on a un produit, un message.
00:14:06Le message, je vais en donner par exemple Spike.
00:14:08Comme le messager contient plusieurs messages.
00:14:12Rappelle-toi mon analogie avec le bouquin de Tolzowski,
00:14:15« Les frères Karamazov ».
00:14:16Tu changes un mot, tu as un autre roman
00:14:18qui est aussi bien que « Les frères Karamazov », si tu aimes le genre.
00:14:21C'est ça. Donc tu as un autre produit qui vient.
00:14:24Ce n'est pas une modification, c'est dans la structure même de l'ARN.
00:14:29Et il faut arrêter les ARN à cause de ça.
00:14:32On est enfoutu de dire que le produit qu'on encode est le bon produit.
00:14:36Ça, ça doit tuer la plateforme. Il faut arrêter tout de suite.
00:14:39Ça fait que deux ans que je le dis.
00:14:40Mais on a parlé de possibles modifications de l'ADN.
00:14:44Ça, c'est autre chose.
00:14:46Mais j'y viens aussi.
00:14:48Il y a tellement à dire, je crois qu'il faut être clair pour les gens,
00:14:51sinon on fait une soupe.
00:14:52Et donc, le cinquième problème,
00:14:55et on va y venir, les modifications, c'est quelque chose qu'Aurion Coda a dit.
00:14:58Ça se passe dans nos cellules.
00:15:00On voit que certains de ces produits remontent dans le noyau
00:15:03et peuvent s'intégrer parce que les séquences virales sont aussi collantes.
00:15:07Elles peuvent aller d'autres endroits.
00:15:08Pour moi, c'est peu fréquent.
00:15:10Pour moi, ça veut dire que c'est un risque.
00:15:12Il existe, il a été démontré dans des hépatocytes en culture humain
00:15:15exposés aux vaccins.
00:15:17C'est un risque qui est peut-être plus grand avec les virus double-stranded ADN
00:15:21des produits Johnson, parce qu'eux sont faits pour aller dans le noyau.
00:15:25Ils sont faits pour être retranscrits en ARN.
00:15:27Ils disent, nous ne faisons pas d'ARN. Non, ils font de l'ADN.
00:15:29C'est pire. Ils vont dans le noyau.
00:15:31Ils doivent retranscrire en ARN et puis ils doivent faire tous les problèmes.
00:15:34Donc, le produit Johnson et Johnson a tous les problèmes des ARN,
00:15:37plus un nouveau problème, c'est celui d'ADN qui peut s'intégrer.
00:15:40Mais ça, ça devient un cas à part.
00:15:42Ça peut se passer, mais ce n'est pas, je crois, le problème le plus fréquent.
00:15:47Mais ça peut se passer.
00:15:48C'est pour ça qu'Aurion Coda a raison de dire
00:15:50ils ont été apprentis sorciers parce que ça, c'est dangereux,
00:15:52parce que ça peut avoir des effets transgénérationnels.
00:15:55Et ça, c'est encore plus grave.
00:15:56La fréquence de ça, je voudrais dire, à mon avis,
00:15:58elle sera très basse parce que ça ne se passe pas tous les jours
00:16:01et ça se passe plus avec certains produits que d'autres.
00:16:03Maintenant, si on revient au cinquième problème,
00:16:06c'est les problèmes de dépression immunitaire.
00:16:09Les prix Nobel eux-mêmes,
00:16:11l'ARN messager ne marchait pas pendant 10, 20 ans.
00:16:15On avait plein de produits et ça marchait un peu pour les protéines de substitution
00:16:19et ça ne marchait jamais pour d'autres applications.
00:16:22Il y a eu quelques succès avec des cancers,
00:16:24par exemple, les mélanomes de la peau,
00:16:26certains astrogliomes à la base du cerveau des enfants.
00:16:28Mais en gros, on vasouillait.
00:16:30C'était du cas par cas.
00:16:32Il y avait du progrès parce que c'est une technologie fascinante
00:16:34qui peut nous donner un bienfait énorme pour l'humanité,
00:16:37ce qu'on va appeler la precision medicine.
00:16:39Mais on est à 20 ans de ça.
00:16:40Donc, depuis 20 ans, on travaille dessus.
00:16:42Il y avait des progrès, mais ce n'était pas fait pour un usage de masse.
00:16:46Et donc, qu'est-ce qu'on a ?
00:16:47On a ces produits et ils n'étaient pas stables.
00:16:51Alors, Curico et Weissman, les deux prix Nobel,
00:16:53travaillaient là-dedans pendant plus de 20 ans
00:16:54et ils ont essayé un peu beaucoup de choses.
00:16:56Et ils ont trouvé un moment qu'une base modifiée appelée la 1-méthylpseudohédine.
00:17:01Ce n'est pas un produit chimique.
00:17:03Ce sont des bases qui existent naturellement dans notre corps.
00:17:06On en connaît déjà six ou sept et qui ont plein d'effets.
00:17:09Ce sont des effets sur la régulation de ce qu'on appelle la traduction
00:17:12des ARN en protéines ou la transcription entre ADN et ARN.
00:17:17Donc, ce sont des régulateurs.
00:17:18Quand on met ça à certains endroits dans une séquence,
00:17:21ça a un effet sur le ribosome de la petite machine qui traduit.
00:17:24La 1-méthylpseudohédine a deux ou trois effets.
00:17:27Elle n'en a pas qu'un.
00:17:28Un des effets connus et documentés, c'est qu'elle met...
00:17:33Donc, on a une séquence.
00:17:34On va dire A, B, C, D, E, F, G.
00:17:36Et puis, on a la 1-méthylpseudohédine.
00:17:39La base qui est devant cette 1-méthylpseudohédine va être randomisée.
00:17:45Ça veut dire que ça crée des codons stop.
00:17:47Ça veut dire que ça crée des protéines plus courtes.
00:17:49Ça, c'est pas grave.
00:17:50Elles vont être détruites par le corps.
00:17:51Mais ça veut dire aussi qu'on peut remplacer parfois un acide aminé
00:17:55par un autre dans une séquence génétique et ça crée une nouvelle protéine.
00:17:58Donc, c'est encore une source de variabilité
00:18:01qui ne donne pas la conformité parfaite du produit.
00:18:03Donc, la 1-méthylpseudohédine, elle donne des frameshifts,
00:18:07mais elle donne aussi des positions randomisées.
00:18:09Les gens savent ça.
00:18:10Ils vont dire, oui, mais c'est pas fréquent, Martin.
00:18:13C'est entre 1 pour 1 000 et 2 pour 1 000.
00:18:16Ah oui ?
00:18:17Combien de 1 MPa il y a dans la séquence de Spike ?
00:18:20Il y en a 200.
00:18:22Donc, 0.2% x 200.
00:18:31Il me laisse devant...
00:18:37De nouveau une coupure.
00:18:39Alors, Martin Zy est un formidable pédagogue.
00:18:45Voilà, il y a une coupure.
00:18:47C'est incroyable comment il explique ça bien.
00:18:50Et je redis, si vous pensez qu'il a tort,
00:18:54si quelqu'un pense qu'il a tort, qu'il vienne tout simplement.
00:18:57La langue génétique est universelle, mais il y a des patois différents.
00:19:05Ça veut dire qu'on emploie des bases différentes pour la même protéine,
00:19:08pour le même codon.
00:19:09Le patois des plantes n'est pas celui du patois des virus,
00:19:12n'est pas le patois des bactéries, n'est pas le patois des hommes,
00:19:15n'est pas le patois des cellules cancéreuses.
00:19:16Et il y a des variations comme ça.
00:19:18C'est comme les accents de la langue génétique.
00:19:21Et donc, notre système immunitaire a trois parties.
00:19:24Il y a une partie innée, qui est génétique.
00:19:26Il y a une partie des anticorps, qu'on appelle l'immunité immorale,
00:19:29et une partie des cellules, qu'on appelle l'immunité cellulaire.
00:19:31Mais immorale et cellulaire, c'est ce qu'on voit dans le sang.
00:19:34La génétique, c'est ce qui se passe dans les cellules immunitaires.
00:19:36C'est le fonctionnement, c'est le moteur du système.
00:19:39Si ça tourne vite, si ça ne tourne pas vite,
00:19:42si ça va fort, si ça ne va pas fort, c'est là que ça se passe.
00:19:45Et le système immunitaire inné,
00:19:47quand il voit une séquence virale ou une séquence bactérienne
00:19:52qui est différente dans son usage de codons des nôtres,
00:19:55non seulement il la détruit,
00:19:57mais il prévient le système immunitaire pour dire
00:19:59« alerte, alerte à l'intrus, il faut attaquer,
00:20:01il y a des interférons qui viennent, etc. »
00:20:03Donc, en gros, le système immunitaire inné
00:20:06reconnaît le patois génétique qui ne nous appartient pas.
00:20:11Qu'est-ce qu'ils ont fait, Kirikou et Weissmann ?
00:20:13Ils le disent dans leur conclusion.
00:20:15Grâce à la 1-méthylpseudorydine,
00:20:17on inhibe la réaction de l'immunité innée
00:20:20contre les ARN de synthèse.
00:20:22Mais ils oublient de dire une chose,
00:20:25comme quoi j'ai eu la chance d'un jour devenir Nobel,
00:20:26parce que moi, je n'oublie pas comme eux.
00:20:28Ils oublient que l'immunité innée, ce n'est pas spécifique.
00:20:32L'immunité normale, elle reconnaît quelque chose.
00:20:34On reconnaît un tel germe parce qu'il a sur sa surface
00:20:38des formes que le système immunitaire reconnaît.
00:20:40C'est comme une clé et une serrure.
00:20:42Il y a des phénomènes de reconnaissance moléculaire.
00:20:45Le système immunitaire inné, c'est du paterne.
00:20:48Ça n'a rien à voir avec la forme.
00:20:50Ça veut dire que si on ouvre la porte
00:20:53pour des ARN de synthèse,
00:20:55tous les ARN de synthèse vont passer.
00:20:57Tous les ARN viraux vont passer.
00:21:00Tous les ARN bactériens vont passer.
00:21:02Tous les ARN des parasites vont passer.
00:21:05Et plein d'ARN des cellules cancéreuses
00:21:06ne vont pas être connus comme ennemis.
00:21:08On ouvre en grand la porte d'une dépression immunitaire.
00:21:12Donc, on est dans les turbocancers, là ?
00:21:16On est dans tout.
00:21:17On est dans les malades chroniques.
00:21:18On est dans les gens qui ont des rimes sans arrêt.
00:21:20On est dans les gens qui ont des augmentations
00:21:22et des infections cutanées, qui ont du mal à partir
00:21:24parce qu'elles sont chroniques.
00:21:25Ils ont des boutons sans arrêt tous les trois mois
00:21:27malgré les antibiotiques.
00:21:28On est dans le fait qu'on a des parasites
00:21:30dans le poumon, des pneumocystices,
00:21:33des aspergilloses, dans le cerveau.
00:21:36On a des parasites dans les matériaux postérieurs de l'œil,
00:21:38notamment des toxoplasmoses.
00:21:40On voit aussi qu'on a des cellules fongiques
00:21:42un peu partout, parfois chez certaines personnes.
00:21:44Et on a les turbocancers.
00:21:46Parce que le système immunitaire inné,
00:21:49c'est le gardien du temple.
00:21:51Si on ouvre les portes du temple en grand
00:21:54de manière non spécifique,
00:21:56on peut avoir des maladies chroniques.
00:21:57C'est exactement ce qui se passe,
00:21:59pour une autre raison, dans la maladie du sida.
00:22:01Le sida, le virus HIV, il s'attaque aux lymphocytes.
00:22:05Il reste aussi dans le cellule cérébrale pendant des années.
00:22:07Mais en gros, en tuant l'immunité,
00:22:09il donne des infections opportunistes
00:22:11et il donne des cancers.
00:22:12HIV peut donner, quand on développe un sida,
00:22:16ces infections opportunistes et ces cancers.
00:22:19Mais le sida, c'est constant.
00:22:21Maintenant, le sida est devenu une maladie chronique
00:22:24grâce au progrès de la médecine.
00:22:25Parce que je ne crache pas dans la soupe.
00:22:27Il y a eu beaucoup de progrès énorme
00:22:28qui ont fait que des malades de l'HIV des années 80,
00:22:32au moment où je suis en formation,
00:22:33ont des survies maintenant normales
00:22:35parce que c'est devenu une maladie chronique.
00:22:36Il faut savoir, dans les années 80,
00:22:38on voulait presque les mettre au bord de la société.
00:22:40C'est des gens comme moi,
00:22:41et il faut le dire à tous ces jeunes cons,
00:22:44parce qu'ils sont jeunes et cons,
00:22:45qui disent, les non-vaccinés, on ne peut pas leur parler.
00:22:48Quand j'avais des patients au sida,
00:22:49on les touchait, parce que c'est humain.
00:22:52Je ne risquais pas d'attraper le sida
00:22:53parce que je ne leur faisais pas de gros poutous
00:22:54et je n'avais pas de relation sexuelle avec eux
00:22:56et je ne manipulais pas leur sang.
00:22:57On mettait des gants pour le sang.
00:22:59Mais examiner un sida,
00:23:01je n'ai jamais mis des gants quand je mettais un stéthoscope,
00:23:03parce que c'était inhumain.
00:23:05Ce n'est pas correct comme médecin.
00:23:07Donc, il faut connaître l'écologie du virus.
00:23:09Et ça, je me souviens, Clémentine Sellerier,
00:23:11qui était une artiste avec des gens d'Act Up à l'époque,
00:23:14avait fait des émissions où elle embrassait un sida en public
00:23:17pour dire, je ne suis pas malade si je l'embrasse.
00:23:20Vous voyez, il y a eu une sorte d'ingénierie sociale positive
00:23:23dans les années 80, où on dit, mais c'est malade.
00:23:25Ce sont des malades comme tout le monde.
00:23:26Ils ont une maladie grave,
00:23:28mais ce ne sont pas des gens qui vont vous tuer.
00:23:30Parce qu'à l'époque,
00:23:31même chose qui s'est passé avec les non-vaccinés,
00:23:34on labellisait les gens en disant,
00:23:35vous êtes des mauvais citoyens, vous nous mettez en danger.
00:23:37Dans les années 80,
00:23:39beaucoup d'establishments et des politiques disaient,
00:23:42on ne veut pas qu'ils viennent en vacances chez nous,
00:23:44dans notre pays.
00:23:44Les gens qui sont HIV positifs ne peuvent pas entrer dans ce pays-ci.
00:23:47Ils mettent les autres en danger.
00:23:48C'était de la couille.
00:23:49C'est toujours de la couille maintenant,
00:23:50mais à 40 ans d'intervalle,
00:23:52les jeunes ont oublié parce qu'ils n'ont pas vécu les années sida.
00:23:55C'est une parenthèse.
00:23:56Je reviens maintenant sur le problème de l'immunosuppression acquise.
00:24:00Heureusement qu'elle est temporaire.
00:24:02Donc ce cinquième problème,
00:24:03il dure 3 à 4 mois.
00:24:04Ça se passe dans le mois ou dans les 2 ou 3 mois après le vaccin.
00:24:07On le voit grâce aux zonas.
00:24:08Les zonas, c'est une preuve clinique
00:24:10de diminuté temporaire de l'immunité.
00:24:12Tous les patients qui font un zona,
00:24:13il faut qu'ils se fassent surveiller.
00:24:15Il faut qu'ils aient les antibodies.
00:24:16Il faut qu'ils fassent leur biologie pour les auto-immunités.
00:24:20Il faut qu'ils fassent leur biologie
00:24:22pour les démarqueurs cancéreux de base,
00:24:24à spécifique, donc on va large.
00:24:26Et il faut qu'ils fassent leur haplotype HLA.
00:24:29Et il faut surtout dire le type laphocytaire.
00:24:31Pourquoi ?
00:24:31C'est comme dans le sida.
00:24:33C'est un sida temporaire.
00:24:34Ne me faites pas dire que le vaccin est dans le sida.
00:24:36Il y a une immunosuppression induite par le produit vaccinal
00:24:40qui dure un certain temps,
00:24:422, 3 mois, qui est temporaire.
00:24:44Mais suffisant pour choper une crasse.
00:24:47Voilà, on peut choper n'importe quoi,
00:24:49y compris un cancer pendant ce temps-là.
00:24:51Et donc, il est temps d'arrêter de zoaler la face.
00:24:54Et qu'est-ce qu'on peut faire ?
00:24:55À l'époque des patients HIV,
00:24:57on faisait les rapports T3, T4, T4 sur T8, etc.
00:25:00Le typage laphocytaire, je ne l'ai pas inventé,
00:25:02il date d'il y a 40 ans.
00:25:04Il serait peut-être temps, quand on a le zona,
00:25:05que le médecin de première ligne spécialiste dise,
00:25:07Madame, Monsieur, je vais vous faire un typage laphocytaire
00:25:09parce que j'ai envie de comprendre
00:25:10ce qui se passe dans votre corps.
00:25:11Mais personne n'a envie de comprendre.
00:25:13Parce que si on comprend tôt
00:25:15qu'il y a un changement du rapport T4, T8,
00:25:18mais ces gens, on va les surveiller,
00:25:19on va regarder les marqueurs tumoraux.
00:25:20Et si on voit très tôt,
00:25:22avant même qu'ils développent le cancer,
00:25:23le turbo-cancer, c'est un phénomène de vitesse.
00:25:26Ça veut dire qu'entre le diagnostic,
00:25:27le premier symptôme et la mort,
00:25:28il se passe huit à dix mois.
00:25:29On n'a jamais vu ça avant.
00:25:30Ça existait avant, mais c'était extrêmement rare.
00:25:32Maintenant, ça devient fréquent.
00:25:33Pas normal.
00:25:34Donc, si on a une course contre la mort
00:25:36en termes de vitesse,
00:25:38ou plutôt on agit en comprenant ce qui se passe.
00:25:40Après, le patient est là, quoi.
00:25:42Et il peut jouer avec ses petits-enfants.
00:25:44Mais comme on ne fait pas ça,
00:25:45le patient n'est plus là,
00:25:46quel que soit l'âge.
00:25:47On a des cancers rapides chez les gens jeunes
00:25:49qui ne veulent pas mourir.
00:25:50Principalement les cancers du pancréas.
00:25:52Ça, c'est un mystère.
00:25:53Pourquoi le pancréas et pas d'autres ?
00:25:56C'est une tendance il y a 25 ou 30 ans.
00:25:58Mais si on regarde les statistiques,
00:25:59on voit que la courbe, c'est en train de s'aplatir.
00:26:01Et comme on n'a plus les statiques par année de 2019,
00:26:04c'est bien pratique.
00:26:05On monte 2024.
00:26:06Mais on peut voir,
00:26:08si on avait les données intermédiaires,
00:26:10on verrait que la courbe casse
00:26:11autour de 2021-2022.
00:26:14Comme on l'a sur certains cancers
00:26:15dans des données anglaises.
00:26:16Donc, il y a un problème.
00:26:18Et les gens se débrouillent au niveau du top
00:26:20pour cacher ce problème.
00:26:21Donc, voilà.
00:26:22Ces cinq problèmes sur la plateforme ARN
00:26:25devraient la faire bannir.
00:26:27Quand je fais une vidéo d'une heure
00:26:29sur bon sens, or,
00:26:30et que j'explique tout ça,
00:26:31et que je dis,
00:26:32tout ce que je dis,
00:26:33je n'ai pas à le prouver par des peer reviews.
00:26:35C'est dans les bouquins de médecine.
00:26:37C'est de la compétence consolidée
00:26:39par 40 ans de recherche.
00:26:41Donc, je veux dire,
00:26:42on ne va pas démontrer que le soleil s'élève à l'est.
00:26:44C'est dans les syllabes.
00:26:45Donc, voilà pourquoi je crois qu'il est temps
00:26:48que la communauté scientifique,
00:26:50principalement biologiques moléculaires,
00:26:52commence à sortir du bois
00:26:54parce que son silence assourdissant
00:26:56non seulement me casse les couilles,
00:26:57mais détruit des gens.
00:26:58Oui, j'ai parlé l'autre fois des faits secondaires.
00:27:01Encore une même voisine,
00:27:03elle m'a insinué que j'étais platiste.
00:27:06Moi, c'est bien.
00:27:08Platiste, ce n'est plus une insulte.
00:27:11C'est les gens qui voient les choses différemment.
00:27:13Ce n'est pas que la terre est plate,
00:27:14c'est qu'on regarde et on pense.
00:27:16Oui, on est platiste.
00:27:18Je dois être le platiste en chef alors.
00:27:20C'est bien.
00:27:21Mais vous savez,
00:27:22je connais plus de maths que tous ces cons.
00:27:27Est-ce de la censure ?
00:27:28Est-ce de la censure ?
00:27:30J'espère qu'il sait qu'il a été coupé
00:27:32parce que sinon, Martin continue.
00:27:37Je vais...
00:27:40Alors, soutenez-nous.
00:27:44Évidemment qu'on devrait avoir de l'argent public,
00:27:46votre argent public de vos impôts.
00:27:48Mais évidemment,
00:27:49vu l'émission qu'on fait là,
00:27:52vous vous rendez compte,
00:27:53vous vous doutez bien qu'ils nous ont tout sucré.
00:27:57Donc, c'est de vous qu'on dépend.
00:27:59Donc, n'hésitez pas.
00:28:00Voilà, je suis venu.
00:28:01Martin, tu es là.
00:28:03J'étais en train de faire la promo
00:28:04et de demander du soutien.
00:28:07Continue.
00:28:08Donc, quand on insulte,
00:28:11et il y a beaucoup d'insultes sur les réseaux sociaux
00:28:12et même dans la littérature scientifique.
00:28:15Moi, chaque fois qu'on m'insulte,
00:28:16maintenant, depuis deux ans, je dis OK,
00:28:18dites ce que vous voulez de moi.
00:28:18Mais sur le fond, vous avez quelque chose à dire,
00:28:20alors les gens n'ont rien à dire.
00:28:22Et ça marche parce qu'il y a beaucoup de gens...
00:28:24Je commence à convaincre beaucoup d'ingénieurs,
00:28:25beaucoup d'architectes, de médecins, de non-médecins,
00:28:28des gens qui pensent, même des garagistes.
00:28:29J'ai des gens simples qui me font parfois des mails en me disant
00:28:32merci d'expliquer parce que je commence à comprendre.
00:28:34Il faut vulgariser les choses
00:28:35parce que la médecine, ce n'est pas compliqué
00:28:37si on l'explique bien.
00:28:38Les gens, c'est leur santé.
00:28:39Ils peuvent comprendre tout s'ils sont curieux.
00:28:41Donc, beaucoup de gens à qui on explique comprennent.
00:28:44Et les gens mauvais qui sont en déni
00:28:46ou qui sont méchants ou qui ont un plan
00:28:48n'expliquent jamais sur le fond.
00:28:49C'est cinq problèmes de la plateforme ARN.
00:28:52Personne ne vient me contredire à part un type,
00:28:54Pascolo.
00:28:54Et il se trompe en plus parce qu'il vient dire
00:28:56oui, mais vous avez tort
00:28:57parce que c'est comme les vaccins vivants atténués.
00:28:59Non, un vaccin vivant atténué,
00:29:01il se reproduit, il reproduit le virus,
00:29:02ce n'est pas une seule protéine.
00:29:03Et il raconte n'importe quoi.
00:29:05Mais lui, au moins, je respecte ce monsieur
00:29:07parce qu'il a osé me confronter.
00:29:08Même s'il me fait passer pour un con,
00:29:10il m'a engueulé pendant une heure
00:29:11et puis il a dit que je ne connais rien.
00:29:13C'est lui qui ne connaît pas grand chose,
00:29:14mais c'est un de nos débats.
00:29:15Mais en gros, ces gens qui nous insultent
00:29:19ne savent rien dire sur le fond.
00:29:20Donc, il ferait bien d'arrêter l'insulte.
00:29:22D'un point de vue statistique,
00:29:24en plus de la mortalité,
00:29:25ce qui semble encore plus parlant,
00:29:27et c'est Pierre Chahut qui l'a montré,
00:29:28c'est une baisse drastique de la natalité.
00:29:32Ça, tu mets sous quelle cause dans les cinq points ?
00:29:39J'ai du mal à le mettre dans les cinq points
00:29:41parce que je n'ai pas envie d'en faire un sixième,
00:29:42donc ça doit tomber dans les cinq,
00:29:44parce que je suis mécanicien de base.
00:29:46Moi, je vais au phénomène de base par ma formation.
00:29:49Ce qui se passe, c'est que cette baisse de la natalité
00:29:52peut avoir plus d'une cause.
00:29:53Par exemple, on sait, on a les données,
00:29:56aussi bien le virus que les ARN vaccinaux
00:30:00vont dans les cellules de l'AIDIC,
00:30:02vont dans les cellules lignées germinales mâles.
00:30:04Alors, le vaccin,
00:30:06s'il y a l'absence de pharmacocinétique,
00:30:07ça veut dire que si ça reste en chronique,
00:30:09parce que les cellules spermiques de l'homme
00:30:13sont fabriquées en continu.
00:30:15Donc, disons qu'on contamine quelque chose maintenant.
00:30:18Bon, pendant quelques semaines, ça ne va pas bien se passer,
00:30:21mais tous les jours, il y a de nouvelles.
00:30:23Donc, dans un mois ou deux, ça pourrait fonctionner normalement.
00:30:26Donc, je veux dire qu'il faut avoir une production chronique
00:30:30ou bien aller sur les cellules nourricières,
00:30:31les cellules souches qui seraient modifiées en permanence.
00:30:35Et alors là, on peut avoir une diminution de la fertilité mâle
00:30:39avec des formes apparentes de spermatozoïdes.
00:30:42On parle d'asténose au permis,
00:30:44on voit des spermatozoïdes qui manquent de queue,
00:30:45des spermatozoïdes qui ne lâchent pas.
00:30:46Ça commence à être documenté, ça.
00:30:48Ça, ce serait une première cause.
00:30:50Ça serait peut-être lié soit à une présence,
00:30:53une production permanente de spike dans lignées germinales mâles,
00:30:56soit une modification des cellules souches
00:30:59de lignées germinales mâles.
00:31:01Ce serait l'hypothèse d'Henrion Cote.
00:31:03Du côté des femmes,
00:31:06il y a plusieurs phénomènes qui se passent en même temps.
00:31:08Les anomalies du cycle, ça peut être inflammatoire.
00:31:11Le virus est un muscle.
00:31:13Ça peut être aussi hormonal.
00:31:14On peut disrompter des phénomènes endocriniens
00:31:17et donc créer des hémorragies permanentes
00:31:19ou des absences d'hémorragie tout aussi permanentes
00:31:22qu'on ait 13 ans ou 65 ans.
00:31:24Ce qui est surprenant,
00:31:26c'est que le symptôme est âge indépendant.
00:31:28On a vu, donc ça prouve que c'est le vaccin, ça.
00:31:31Parce que si on n'est pas réglé
00:31:35et qu'après le vaccin, on attrape des règles,
00:31:37ou si on n'était plus réglé depuis 15 ans
00:31:39et qu'après le vaccin, on reprend ses règles,
00:31:41il y a des mamies de 70 ans qui se sont mis à régler
00:31:44alors qu'elles n'avaient plus de règles depuis 14-15 ans.
00:31:46Donc, ça prouve qu'il y a quelque chose de non physiologique
00:31:48qui a été fait.
00:31:49Ça, c'est une preuve.
00:31:50C'est vraiment une preuve biologique
00:31:52qu'il serait peut-être temps de s'en occuper au lieu de nier.
00:31:54Mais donc, chez les femmes,
00:31:56il y a ce problème de matrice utérine,
00:31:58la qualité du muscle qui ferait des fausses couches.
00:32:00Ça veut dire que quand un œuf qui serait normal,
00:32:04qui serait fécondé par du sperme normal,
00:32:06doit aller dans l'utérus,
00:32:07il doit se nicher.
00:32:08On appelle ça la nidation.
00:32:09Si l'utérus est un phénomène inflammatoire chronique
00:32:12ou des règles,
00:32:14s'il y a quelque chose au niveau de la mécanique
00:32:16d'une nid qui ne se passe pas,
00:32:18on peut avoir ce qu'on appelle des avortements spontanés,
00:32:21mais au jour 1, au jour 2.
00:32:22Donc, on a des absences de fécondation, de nidation.
00:32:26On peut avoir chez les femmes autre chose.
00:32:27On peut avoir dans les ovaires eux-mêmes,
00:32:30les œufs, les cellules, les ovules qui seraient atteints
00:32:34d'attaquer de manière inflammatoire
00:32:36parce qu'il y a du sperme qui a été dans l'ovaire
00:32:39et l'ovaire est donc attaqué sous forme auto-immune.
00:32:42Il y a des maladies qui existent hors vaccin,
00:32:46des atteintes auto-immunes de l'ovaire,
00:32:47ça existe, c'est des causes de stérilité.
00:32:50On pourrait avoir un problème fonctionnel sur ces ovules
00:32:53ou, alors on prend les idées d'Orion-Côte,
00:32:55on pourrait avoir modifié les cellules stromales
00:32:57qui forment le tapis nourricier des ovules
00:32:59ou l'ovule humain.
00:33:01Et on pourrait avoir modifié les choses
00:33:02et ça serait intégré dans le génome alors.
00:33:06Je ne peux pas l'exclure, jamais personne ne l'a démontré,
00:33:08mais on sait que l'ARN vaccinal va dans les ovules
00:33:11comme ils vont dans le lait maternel.
00:33:14L'ARN vaccinal a été retrouvé dans le lait maternel
00:33:17et sécrétion de sperme.
00:33:19Mais ça, ça vient encore pire.
00:33:20Ça veut dire qu'à un moment, il faudra faire un screening,
00:33:23pas si c'est vacciné ou non vacciné,
00:33:25parce que ça serait du racisme.
00:33:26Savoir qu'il y a le lait vacciné qui continue à produire du spike,
00:33:30c'est d'une sous-population et ça c'est traçable.
00:33:33Si vous êtes secrétaire ou pas de spike.
00:33:36Si vous êtes secrétaire de spike,
00:33:38pour ne pas donner de sang, il vaut mieux ne pas faire de gosses.
00:33:41Il vaut mieux mettre des préservatifs
00:33:43si vous avez un non-secrétaire avec vous.
00:33:46Mais on n'en est pas là.
00:33:47Mais ça, c'est des questions qu'on va se poser les années qui viennent.
00:33:55On a fini pourquoi il ne faut pas ces vaccins
00:33:57qui ne sont pas des vaccins.
00:33:58Ça a été long, mais je crois que ça a été clair.
00:34:00C'est essentiel, pour utiliser un mot covidiste de l'époque,
00:34:05ou non-essentiel.
00:34:07Ah oui.
00:34:08J'ai encore quelques points à soulever,
00:34:11mais il faut voir, on est à une heure et demie là.
00:34:13Je voulais parler en tout petit peu d'Umpox.
00:34:17Je voulais aussi parler de ce qui se passe ici.
00:34:21Mais ça, peut-être, ça pourrait faire l'objet d'une autre émission
00:34:23d'une demi-heure par rapport à ce qui se passe avec l'armée
00:34:25qui oblige pour les militaires qui partent en mission de se vacciner
00:34:31et qui mettent une pression énorme sur ceux qui refusent.
00:34:34Avec la lettre d'un commandant qu'on a reçue de quelqu'un anonyme
00:34:39qui nous a été envoyé.
00:34:43Donc, ce commandant répond à quelqu'un qui soulève
00:34:46le problème de la vaccination obligatoire.
00:34:48Et sa réponse est édifiante.
00:34:49Je ne sais pas si tu veux maintenant vite soulever ça.
00:34:51On peut vite en parler,
00:34:54mais on fera une émission spéciale avec tous nos intervenants.
00:34:57Il faudrait peut-être inviter les gens de l'armée.
00:35:00J'ai été au pouvoir à la Défense.
00:35:03Donc, les gens qui ont répondu à cette note, c'était moi en 2008.
00:35:09Entre 1998 et 2008.
00:35:11Pourquoi?
00:35:12J'ai été chef de la division INB à la Cause Wellbeing,
00:35:15qui était le département bien-être qu'on avait créé sous la législature FLAO.
00:35:20Et ce département bien-être était directement sous le CHOD,
00:35:24qui était directement sous le ministre.
00:35:25Donc, il y avait le ministre, il y avait le CHOD, le vice-CHOD,
00:35:28un général et moi.
00:35:29C'est pour un peu couper l'air sous pied des cons.
00:35:32J'avais de l'importance.
00:35:34J'étais au quatrième niveau de décision
00:35:36dans ce qui concerne la santé.
00:35:38Pas au niveau opérationnel,
00:35:40au niveau prévention, au niveau bien-être, au niveau scientifique.
00:35:43J'ai été directeur scientifique à ce moment-là.
00:35:45Donc, ce genre de question tombait sur mon bureau.
00:35:49Et pour moi, on avait des vaccins.
00:35:50On utilise plein de vaccins à la Défense
00:35:52et on doit être en ordre pour 21 injections
00:35:55quand on est déployé.
00:35:57Je ne suis pas contre les vaccins.
00:35:58Je n'ai jamais dit il faut arrêter de vacciner.
00:36:01Donc, je dois préciser ça.
00:36:03Par contre, il fallait combiner certains vaccins en sang
00:36:05pour éviter une toxicité à l'aluminium.
00:36:07Ça, c'était quelque chose...
00:36:08Donc, on a des vaccins qui sont combinés à Défense et même dans le civil.
00:36:13Et donc, on a ces vaccins et on les met.
00:36:16Il y en a certains qui sont très efficaces,
00:36:18d'autres qui sont plus de la thérapie occupationnelle
00:36:20parce que c'est des maladies rares,
00:36:22mais on ne veut pas avoir de problème.
00:36:23Mais un vaccin qui ne protège pas contre les transmissions,
00:36:29un vaccin qui ne protège pas contre la maladie et sa gravité
00:36:33et un vaccin qui donne des effets secondaires
00:36:35qu'on n'aurait pas sachant qu'on est jeune, en forme militaire
00:36:38et qu'on est entre le 1 sur 300 000 et le 1 sur 1 million sans risque,
00:36:43ça devient un problème éthique.
00:36:46Et donc, les médecins militaires qui ont approuvé ça
00:36:50pour le Chief of Defense sont à côté de la plaque.
00:36:53On peut accepter qu'en début, entre janvier et avril 2021,
00:37:00ils aient hésité et disent oui, il faut vacciner la Défense,
00:37:03mais après un an et en sachant tout ce qu'on sait, il faut arrêter.
00:37:06Et il y a des conséquences pour ça.
00:37:08Parce que si on met que le vaccin est indispensable,
00:37:11sinon on ne peut pas le déployer, ça casse la carrière des gens
00:37:14parce que l'avancement est lié aux déployabilités.
00:37:16Quelqu'un qui va jamais en opération
00:37:18ne remontera moins vite que quelqu'un qui va en opération.
00:37:21Ça joue sur leur porte-monnaie.
00:37:22Parce que quand on est en opération et c'est inscrit pour personne,
00:37:26on est payé un peu plus.
00:37:27Ça veut dire qu'on fait, sur le salaire de base,
00:37:29on augmente peut-être de 50 % après les taxes.
00:37:31Ce n'est pas rien pour des gens qui ne sont pas les mieux payés du pays.
00:37:34Parce qu'à la Défense, il y a beaucoup de gens
00:37:36qui font des boulots difficiles et ingrats pour pas grand-chose.
00:37:39Ces gens, quand ils vont en mission pendant quatre mois,
00:37:41une fois tous les deux ou trois ans,
00:37:43ça leur permet de changer de voiture,
00:37:45ça leur permet d'avoir un mieux dans leur vie.
00:37:47Si on dit, si tu n'es pas vacciné,
00:37:49donc si tu ne te suicides pas,
00:37:50tu n'as pas le droit d'aller en mission,
00:37:51c'est un peu horrible.
00:37:52Donc il y a une discrimination,
00:37:54il y a une faute médicale
00:37:56et il y a des impacts sur la carrière des gens.
00:37:58Et je crois que c'est tellement complexe
00:38:00qu'il faut en parler à part.
00:38:01Mais j'ai déjà annoncé la couleur.
00:38:03Et je voudrais que des gens de la Défense viennent dans cette émission
00:38:06parce que je n'ai aucune honte.
00:38:07J'ai été à leur place,
00:38:09j'ai eu beaucoup de pouvoir,
00:38:09je n'en ai plus parce que j'ai quitté la Défense.
00:38:11Et si j'étais maintenant au pouvoir sous le Tchot,
00:38:14je lui dirais, mon général,
00:38:16vous ne forcez pas le vaccin
00:38:18parce que c'est la porte ouverte
00:38:20à des problèmes juridiques
00:38:24et des problèmes de compensation
00:38:25qui vont être exigés via les syndicats.
00:38:26Appel est lancé,
00:38:28je propose parce que le sujet est plus large que ça.
00:38:34Il y a aussi une corruption endémique au sein de l'armée.
00:38:37Et donc je pense qu'il faudra en refaire une autre émission.
00:38:40Donc ceux qui nous ont donné ces informations,
00:38:44on ne censure pas,
00:38:46mais je propose, Martin,
00:38:48que tu fasses tes invitations
00:38:49et que ceux qui acceptent de venir parler...
00:38:53Il faudra au moins voir des gens de chez Comosmed,
00:38:56un médecin.
00:38:57Il faudra au moins voir l'équivalent de ma fonction,
00:38:59c'est-à-dire quel est le directeur scientifique actuel
00:39:02pour avoir une conversation en bateau en pu,
00:39:03parce que la biologie et la médecine sont au-delà de la politique.
00:39:06Alors ils pourront dire,
00:39:07oui, mais nous, on n'a pas le choix.
00:39:09À partir du moment où la politique décide,
00:39:10on doit l'implémenter.
00:39:11Mais il faut le dire à la population, alors.
00:39:14Parce que moi, j'ai toujours refusé de couvrir les fesses.
00:39:17Ça a d'ailleurs été un combat parfois respecté au sein de la défense.
00:39:22J'ai parfois lutté contre la défense.
00:39:23Quand on me dit, mais Zizi, tu me signes cette note ?
00:39:25Non, parce qu'elle n'est pas bonne.
00:39:26Je refuse, en tant que médecin militaire,
00:39:29d'assumer la responsabilité d'un mensonge.
00:39:32J'ai eu ça.
00:39:33C'est pour ça que j'étais à la fois...
00:39:35Quand j'étais à la défense,
00:39:36il y a des gens hors service médical qui m'adoraient.
00:39:39Ils m'appelaient l'enfant terrible du service médical.
00:39:41Pour une raison, parce qu'ils se rendaient compte
00:39:44qu'il y avait une honnêteté intellectuelle
00:39:45et que mon souci était l'opérationnalité des gens.
00:39:49Ça veut dire que c'était leur bien-être.
00:39:50Parce que des gens qui doivent aller en mission de peace enforcing,
00:39:52peace keeping, ou parfois vraiment au casse-pipe
00:39:54pour les forces spéciales, doivent être en bonne forme.
00:39:57Donc, pour moi, être un bon militaire,
00:40:00c'est être en pleine santé.
00:40:02Et donc, en tant que médecin militaire et programmeur militaire,
00:40:05je me devais de préserver l'opérationnalité.
00:40:07Et tant que je faisais ça,
00:40:09j'avais l'appui des gens qui étaient opérationnels
00:40:11et j'avais parfois les états d'âme des gens
00:40:13qui étaient plus politiques au sein de la défense.
00:40:15Mais ils se souviennent encore de moi, certains.
00:40:17Parce qu'il y a des syndicats qui m'adoraient pour cette raison-là.
00:40:19C'est mal parti en termes de bonne santé pour les militaires
00:40:21parce qu'ils sont quasiment tous vaccinés.
00:40:23À moins qu'une partie ait fait des faux vaccins.
00:40:28Est-ce qu'avant de clôturer...
00:40:30Donc, on reviendra sur ce sujet.
00:40:33Oui, avec plaisir.
00:40:34Tu pourras peut-être lancer...
00:40:36Tu connais mieux des invitations à des gens.
00:40:39Moi, j'essaierai de trouver un médecin.
00:40:40Est-ce que tu veux dire un mot sur l'homme pox
00:40:43avec lequel ils ont un peu cassé les oreilles et la tête,
00:40:47où on en est ?
00:40:48Et aussi, donc avant dernière question,
00:40:50et puis dernière question,
00:40:52est-ce qu'ils vont venir, tu penses, avec du H1N1,
00:40:54avec la grippe aviaire ?
00:40:56Est-ce qu'ils vont essayer de remettre le couvert
00:40:58de manière covidiste, si je peux dire ?
00:41:01Ben, la dernière question est très facile à répondre.
00:41:04De manière évidente,
00:41:05ils ont déjà essayé avec un monkeypox,
00:41:07pas un pox, c'est monkeypox.
00:41:09Ils ont changé le nom parce que ça faisait trop exotique
00:41:11et trop africain.
00:41:12C'est monkeypox.
00:41:13Et monkeypox, ils l'avaient déjà essayé en 2022.
00:41:15Pour dire très vite, monkeypox,
00:41:17c'est un virus qui n'est pas très dangereux.
00:41:20Il y a deux clades.
00:41:21Le clade d'Afrique de l'Ouest, donc c'est équatorial.
00:41:23Ça se trouve en Afrique équatoriale.
00:41:25On l'attrape par morsure de simies ou bien des rats.
00:41:28Donc, on l'attrape en bordure de forêt tropicale.
00:41:31On ne l'attrape pas dans une ville.
00:41:33Maintenant, monkeypox,
00:41:36l'Afrique de l'Ouest, c'est 0% de mortalité.
00:41:39C'était ce qu'on a eu en 2022.
00:41:41Ils nous ont déjà excité.
00:41:42Comme dirait Brassens,
00:41:45excité le peuple et les folliculaires.
00:41:47Selon la chanson, Garou Gorille,
00:41:49ils ont excité le peuple et les folliculaires
00:41:51avec, en fait, un virus qui n'était pas létal
00:41:54et ils le savaient, il n'y a rien eu.
00:41:56Bon, peut-être qu'il y a des gens qui sont morts
00:41:59dans un accident de voiture avec une PCR positive,
00:42:02mais ça, c'est autre chose.
00:42:03À côté de ça, le clave de l'Afrique orientale,
00:42:06donc plus vers les grands lacs
00:42:08ou plus vers les montagnes et donc les hauts plateaux.
00:42:12Là, on a entre 7 et 10% de morbidité
00:42:16et de mortalité si on n'est pas traité.
00:42:18Ça veut dire, c'est une chose d'être en Afrique,
00:42:21d'attraper le virus et d'être dans un village
00:42:24et de mourir d'une complication du virus.
00:42:27C'est autre chose d'être évacué dans une grande ville,
00:42:29d'être mis en soins intensifs et d'être sauvé.
00:42:31Il faut relativiser les choses.
00:42:33Il y a des prises en charge.
00:42:34Il y a beaucoup d'antiviraux qui marchent, en fait,
00:42:37et je vais choquer des gens.
00:42:39L'hydroxychloroquine, l'ivermectine, la menthadine,
00:42:41ce sont des antiviraux génériques
00:42:42qui diminuent les charges virales de tous les virus.
00:42:44Donc, on peut les utiliser contre tout virus.
00:42:47C'est presque magique.
00:42:49Pourquoi ? Parce qu'ils inhibent la synthèse des protéines,
00:42:51quelque part, ils empêchent le virus de rentrer.
00:42:53Donc, on diminue les charges virales,
00:42:54moins de maladies, moins de transmissions.
00:42:56Première chose, les complications,
00:42:58le virus Mpox ou Monkeypox,
00:43:00c'est des vésicules cutanées,
00:43:01un peu comme la variole normale.
00:43:03Ce n'est pas le même virus que la variole,
00:43:04ce n'est pas la variole humaine,
00:43:05et ce n'est pas le virus de la varicelle.
00:43:07On appelle la varicelle Chickenpox en anglais,
00:43:08c'est un mauvais nom.
00:43:10Chickenpox, c'est le HVZ,
00:43:11c'est le virus de la varicelle Zona,
00:43:12c'est autre chose.
00:43:13C'est tout à fait différent.
00:43:14Mais les virus de la variole humaine,
00:43:17du cheval,
00:43:18la vaccina, Copox,
00:43:20le virus de la variole,
00:43:21le truc qui en a fait le vaccin humain,
00:43:22c'est au départ le virus de la vache.
00:43:24C'est pour ça, vacca, vaccina, vaccin,
00:43:27c'est de là que ça vient.
00:43:28Donc en gros, ces virus de la variole
00:43:29sont les champions de la recombinaison moléculaire.
00:43:32Ils peuvent s'échanger,
00:43:33les cartes, les gènes,
00:43:34comme le jeu de cette famille.
00:43:35Ça, il faut le savoir.
00:43:36Il se fait que Monkeypox est un virus qu'on peut gérer.
00:43:41Si on voit maintenant comment il se présente,
00:43:43ce serait principalement des patients africains.
00:43:45On voit d'après les statistiques
00:43:46que 42% des gens sont HIV positifs
00:43:50et que la majeure partie sont homosexuels.
00:43:53Aucune discrimination.
00:43:55Il ne faut pas en faire.
00:43:57Mais ça veut dire que c'est un problème ciblé.
00:43:59Et pourquoi les homosexuels ?
00:44:01Parce qu'imaginez que j'ai quelqu'un qui a l'ébola.
00:44:05Si j'ai une relation sexuelle avec un ébola,
00:44:07bon, l'ébola est plus affreux que le Monkeypox,
00:44:10plus mortel, surtout après neuf jours.
00:44:12On meurt.
00:44:13Je vais attraper l'ébola.
00:44:15Mais ce n'est pas une MST, l'ébola.
00:44:16Par contre, Monkeypox, c'est un peu la même chose.
00:44:19Si des gens ne sont pas prudents
00:44:21et dans les travailleurs du sexe, il y a peu de prudence,
00:44:23on peut s'infecter par les pustules.
00:44:26C'est des contacts rapprochés.
00:44:27Et donc, c'est normal que ça puisse faire un foyer
00:44:30dans ces communautés, travailleurs du sexe ou gays.
00:44:33Il y a autre chose qui n'est pas dit,
00:44:34et ça mérite beaucoup,
00:44:36c'est que la source principale de contamination
00:44:38par ce virus, qui est un virus sanguin et non aériogène,
00:44:41c'est les couvertures, les vêtements.
00:44:44Je répète, on attrape ce virus, c'est par la peau.
00:44:47Donc, on dort ensemble, on peut l'attraper
00:44:49parce que les pustules dans le lit ou les vêtements.
00:44:53Si j'échange ma petite culotte avec quelqu'un
00:44:55ou si je prends le vêtement à la chemise de quelqu'un d'autre
00:44:57qui était malade, je risque.
00:44:58OK, parce que j'ai sur moi, je fais ça et je le prends.
00:45:00Donc, en gros, la contamination qui est importante
00:45:04sous le radar et qui n'est pas aérogène,
00:45:07ce n'est pas en parlant avec les gens.
00:45:09Ce n'est pas un virus qu'on attrape
00:45:10en une conversation au coin d'une rue
00:45:11avec quelqu'un qui a Monkeypox.
00:45:12Faut arrêter.
00:45:13Ça, c'est des conneries à Van Ranst.
00:45:14OK, je répète, c'est des conneries à Van Ranst.
00:45:17Faut arrêter.
00:45:17Par contre, la litterie, les vêtements, c'est important.
00:45:21Et ça, on n'en parle pas.
00:45:22C'est bizarre.
00:45:23Par contre, maintenant, ils disent
00:45:25il y a plein de cas, il y a plein de cas.
00:45:26Et là, j'ai deux remarques à faire et elles sont importantes
00:45:28parce qu'il y en a une qui est politique
00:45:29et il y en a une qui est biologique.
00:45:31La remarque biologique, c'est un virus qui est non aérogène.
00:45:35On ne transforme pas un virus sanguin
00:45:38qui se transmet par le sang, les sécrétions,
00:45:41les pustules si on les lèche,
00:45:44en un virus aérogène
00:45:46parce que c'est son cycle de vie qu'on change.
00:45:48Alors, les gens qui parlent de gain de fonction,
00:45:50ah, on a changé le virus.
00:45:51Oui, écoutez, j'ai travaillé comme médecin militaire,
00:45:54chercheur militaire dans ce domaine des armements biologiques.
00:45:57Changer le cycle de vie d'un virus,
00:45:59ce n'est pas changer un récepteur.
00:46:00Ce n'est pas faire un petit gain de fonction.
00:46:02C'est changer un cycle de vie.
00:46:04Peut-être que je dois changer 20 gènes
00:46:05et que ça me prend 10 ans et des millions d'euros.
00:46:08Donc, ce n'est pas quelque chose que je fais
00:46:09en quelques mois dans un petit labo
00:46:11en croyant qu'en faisant une mutation,
00:46:13je vais changer les choses.
00:46:14Changer le cycle de vie d'un virus,
00:46:15transformer un virus sanguin en virus aérogène,
00:46:18je peux le faire, moi, et je ne suis pas con.
00:46:20Donnez-moi 10 ans et des millions d'euros
00:46:22parce que ça ne va pas se faire en une semaine.
00:46:24Donc, voilà.
00:46:25Ça, c'est l'aspect biologique.
00:46:27L'aspect politique,
00:46:28comme ce virus est difficile à transmettre,
00:46:31soit on a des faux cas,
00:46:33encore une fois, les PCR mal réglés,
00:46:35ça pourrait se faire et alors on fait la panique
00:46:37et on veut pousser un vaccin chez les enfants en plus.
00:46:40C'est marrant.
00:46:41C'est un problème chez les gays,
00:46:42travers du sexe en Afrique centrale
00:46:44et on veut vacciner tous les enfants en Europe.
00:46:46Cherchez l'erreur.
00:46:47Il y a un problème, là.
00:46:49Donc, là, j'ai un gros problème.
00:46:50Et là, ils reculent parce qu'ils ne se rendent pas compte,
00:46:52ils se rendent peut-être compte
00:46:53qu'un type combattra de cet mauvais conseil
00:46:55et on arrête de le suivre
00:46:56parce qu'il nous rend ridicule, ce type.
00:46:58À côté de ça, le problème politique,
00:47:00et là, je vais mettre les pieds dans le plat,
00:47:02ça va déplaire à beaucoup de gens.
00:47:04Si j'ai des foyers épidémiques
00:47:08d'un virus qui ne se transmet pas,
00:47:10ça veut dire qu'on l'aide à se transmettre.
00:47:14Ça veut dire qu'il y a des gens qui viennent
00:47:16avec des couvertures de vêtements
00:47:18ou avec des aérosols
00:47:19pour infecter plein de gens partout sur Terre.
00:47:22C'est la seule explication.
00:47:23Donc, si jamais on devait avoir une pandémie de monkeypox,
00:47:28on me retrouverait dans les news en train d'accuser le WHO,
00:47:30d'accuser nos gouvernements,
00:47:32d'attaques bioterroristes contre leur propre population.
00:47:35Et je sais ce que je dis,
00:47:36et il faudra aller au fond des choses
00:47:38parce que ce sera la guerre
00:47:39entre certains scientifiques militaires et eux.
00:47:41Ce que je dis est très grave.
00:47:43Ce virus n'est pas transmissible facilement.
00:47:45Si on devait avoir une pandémie de monkeypox,
00:47:48ça ne pourrait être que la main de l'homme
00:47:50qui met le pied pour aider quelque chose
00:47:52qui ne se passe pas naturellement
00:47:53et qu'on ne vienne pas me casser les couilles.
00:47:55Avec ce gain de fonction,
00:47:56je viens d'expliquer que ce n'est pas possible
00:47:58de changer la nature profonde d'un cycle viral.
00:48:02Et j'étais clair.
00:48:04Comme ça, c'est dit, donc tu penses évidemment que c'est...
00:48:07Et j'étais clair.
00:48:09Tu penses que c'est possible qu'ils pourraient faire ça ?
00:48:13Après, il y a 33.000 morts de Covid en Belgique.
00:48:1630.000 ont été inutiles
00:48:18parce qu'un virus tue 2 pour 1.000,
00:48:20on a eu 2% de pertes.
00:48:22Ils peuvent tout faire.
00:48:24La preuve, c'est le pass de la honte.
00:48:25Quand on voit le pass vaccinal ou le CovidSafe Ticket,
00:48:28quand on regarde les interdictions,
00:48:30j'ai trouvé les notes de Vichy,
00:48:32ce qu'on a interdits à faire aux Juifs,
00:48:35sur les 12 ou 14 interdictions,
00:48:37il y en a 80% qui sont communes.
00:48:39J'ai mis ça en ligne, je me suis fait traiter d'antisémite.
00:48:42Manque de respect.
00:48:43Je dis, hé ho, ma famille d'origine juive,
00:48:44arrêtez vos conneries.
00:48:45Mais vous voyez que la directive de Vichy
00:48:48et le CovidSafe Ticket,
00:48:5090% du texte est le même.
00:48:52Ça vous choque pas, vous ?
00:48:54Évidemment.
00:48:55Tu voulais dire un mot sur le lockdown tout à l'heure,
00:48:57le lockdown qui était inutile
00:48:59et même, pire que ça, qui a eu des effets ?
00:49:02Les lockdowns ont gardé les gens dans l'ignorance.
00:49:06On fait de la casse sociale et économique énorme.
00:49:09Quand on a arrêté les commerces de proximité,
00:49:13alors qu'il suffisait de mettre des filtres HEPA
00:49:14si on avait vraiment peur d'un virus,
00:49:16au lieu de faire des parois et d'arrêter tout.
00:49:18Les filtres HEPA, c'est les filtres qu'on a dans les maisons.
00:49:20C'est des filtres biologiques qui filtrent toi.
00:49:24On a 97% par passage.
00:49:26Ça veut dire qu'après trois passages,
00:49:27on a 99,7%.
00:49:29L'air est propre.
00:49:30Et si on les garde dans un cycle de quelques heures par jour,
00:49:33on change la cartouche une fois tous les 15 jours,
00:49:34on a un air plus propre qu'on a dans la rue.
00:49:37Donc, il n'y a pas de problème.
00:49:38On a mis les gens sur la paille.
00:49:40On a fait des cadeaux à l'industrie.
00:49:43On a cassé la santé.
00:49:44Les lockdowns, on a aussi une casse énorme psychologique.
00:49:48Les gens se détestent l'un à l'autre.
00:49:50Les gens en arrivent à se traiter de platistes,
00:49:53espèces de connards,
00:49:54ils hésitent à un pot, un Torah.
00:49:57Tout ça, ce n'est pas bien.
00:49:59Et donc, on en arrive à avoir une casse sociale et sociétale
00:50:03et on a une casse d'apprentissage des enfants.
00:50:05Le nom, il faut parler à Frédéric Goiré-Guerre.
00:50:07Il y a des enfants qui se sont suicidés,
00:50:09jetés par la tête quand ils ont 9 ans, ce n'est pas normal.
00:50:11Il y a des enfants qui ont eu peur d'aller à l'école.
00:50:13Il y a des enfants qui ont eu peur d'aller en famille
00:50:15parce qu'on leur a fait croire que c'est eux qui étaient la cause
00:50:17de la mort des grands-parents,
00:50:18alors que les enfants n'avaient pas le virus pour commencer.
00:50:20Donc, il y a des enfants qui ont perdu l'école.
00:50:23Alors, en Belgique, on va attraper,
00:50:24on perd un an et demi d'école et on va récupérer.
00:50:27Il y a une génération qui va être un peu moins bien formée.
00:50:30Et puis, on va rebondir, ce n'est pas grave.
00:50:32Et ces mêmes gens vont apprendre peut-être par eux-mêmes.
00:50:34Mais si on arrête l'éducation en Afrique,
00:50:35si on arrête l'éducation en latine ou en Inde pendant deux ans,
00:50:38ces gens ne retourneront jamais à l'école.
00:50:41C'est ce que Jéba Tcherchera explique dans ses publications.
00:50:44Il y a une génération à un tiers de petits Indiens,
00:50:48de Sud-Américains, de Malaisiens, d'Africains.
00:50:51Afrique s'en est sortie bien parce qu'ils n'ont pas suivi nos conneries,
00:50:54qui ne retourneront jamais à l'école.
00:50:56Donc, on a une casse mentale pour l'humanité énorme,
00:51:00en plus du fait que ça a gravé pour un truc bien simple.
00:51:05Je suis malade.
00:51:09Je suis à la maison avec des non-malades,
00:51:1224-7 pendant deux mois de lockdown.
00:51:14Je les infecte parce que je ne me balade pas, je ne sors pas.
00:51:18Ma maladie traînaille et eux s'infectent.
00:51:20Je suis avec le chat, le chien, pas les oiseaux,
00:51:24mais tous les félidés, tous les canidés,
00:51:26tous les cervidés, tous les rongeurs,
00:51:28même les lions du zoo d'Anvers et les hippopotames
00:51:31sont des hôtes intermédiaires de ce virus.
00:51:34Donc, le lockdown était inutile parce que
00:51:37si on reste à la maison avec Poussi,
00:51:39ce n'est pas très malin parce qu'on fait ping-pong avec le chat.
00:51:43C'était su.
00:51:45Sarcin est une zoonose, Sarzeu est une zoonose,
00:51:47tous les sars sont des zoonoses.
00:51:49Et qu'on ne nous embête pas avec le pangolin ou avec
00:51:53la chauve-souris, ça, c'est les réservoirs.
00:51:56Une zoonose a aussi des hôtes intermédiaires et il se fait que les sars,
00:52:00c'est le virus qui se répand le plus vite,
00:52:01donc il n'est pas dangereux parce que se répand vite ou tuer,
00:52:04il faut choisir d'un point de vue darwinien.
00:52:06C'est le virus qui se répand très vite
00:52:08parce qu'il a beaucoup d'hôtes intermédiaires non humains
00:52:11et ces hôtes non humains, certains sont malades,
00:52:13certains ne sont pas malades.
00:52:15Certains peuvent nous donner beaucoup, certains le gardent pour eux.
00:52:18Mais il y a 700 espèces de mammifères qui partagent les sars avec nous.
00:52:22Donc quand on a ce zoo, voilà, c'était inutile le lockdown.
00:52:26Et la meilleure histoire qui va faire rire le spectateur,
00:52:29c'est qu'il y a eu un lion dans un zoo indianapolis qui est mort.
00:52:33Mais l'histoire, elle est géniale parce qu'elle a fait les news scientifiques.
00:52:37Ce lion ne savait pas manger par lui-même.
00:52:40Problème dédanté chez les félins, c'est dur, donc il faut le nourrir.
00:52:43Donc ce lion était vacciné parce qu'on a protégé avec le produit Pfizer
00:52:50les animaux et les zoos, il faut protéger.
00:52:53Le gardien était vacciné, le type qui venait le nourrir.
00:52:56Le type qui venait le nourrir est tombé malade de SARS-CoV-2.
00:53:01Il est toujours là, mais il a transmis la maladie au lion.
00:53:05Personne n'a rien vu, mais le lion est tombé malade.
00:53:07Le lion l'a transmis à deux autres gardiens et vétérinaires qui étaient aussi vaccinés.
00:53:14Donc en fait, on n'a que des vaccinés.
00:53:17Le gardien initial, le nourricier, le lion lui-même,
00:53:20qui était le lion vieux du zoo, la fierté du zoo peut-être, sans les dents,
00:53:24et puis les vétérinaires vaccinés qui sont venus le soigner.
00:53:27Bref, on a euthanasié le lion.
00:53:30Le seul dindron de la farce était ce pauvre animal.
00:53:33Et il y a quatre humains qui sont tous vaccinés, qui ont tous été malades.
00:53:36Quand je vois ça, pour moi, le canard enchaîné ou pan devrait faire un article là-dessus,
00:53:43c'est la démonstration absurde qu'on a eu une pantalonnade magistrale
00:53:49durant toute la crise Covid.
00:53:51Ce pauvre lion du zoo d'Indianapolis, il y a des papiers scientifiques,
00:53:54parce qu'il y a des scientifiques qui sont intéressés,
00:53:56qui ont présenté au lion, qui ont présenté chez les gens,
00:53:58qu'on fait de l'analyse génétique et qu'on démontre que c'est bien la souche de la personne
00:54:02qui nourrissait le lion, qui a infecté le lion.
00:54:04Donc on a deux ou trois papiers scientifiques pour prouver l'histoire que je viens de dire.
00:54:08Je crois que c'était de la science amusante.
00:54:10Je crois que les collègues qui ont fait ça, ils pensent comme moi,
00:54:12ils disent, ça suffit le cirque, il faut le démontrer.
00:54:14Et voilà, la démonstration a fait, c'était une pantalonnade.
00:54:18Une pantalonnade, Martin, mais qui a quand même eu, on peut le dire,
00:54:21un effet presque sur l'humanité, non ?
00:54:24C'est quand même énorme, là.
00:54:25Oui, oui, tout à fait.
00:54:27Je crois que quand on voit le monde quatre ans après,
00:54:30c'est le titre de ton émission, Décrypte,
00:54:33on a encore, au moment où on parle, une grande partie des gens,
00:54:39peut-être plus de 50% de la population,
00:54:41qui n'ont pas la capacité cognitive, pas parce qu'ils sont cons,
00:54:45ils n'ont pas la capacité cognitive, émotionnelle de reconnaître qu'on les aura mentis.
00:54:48Ils ne peuvent pas imaginer ça parce que ça remettra en cause leur propre self-estime.
00:54:52Parce que si j'ai gobé ça, soit je suis soumis,
00:54:55et alors je ne veux pas reconnaître que je suis un lâche,
00:54:57soit je suis con et je ne veux pas reconnaître que je suis bête.
00:55:00Il n'y a pas de troisième alternative.
00:55:01Ces gens-là ne sont pas dans l'état mental.
00:55:03Alors maintenant, je veux dire un message d'espoir parce que je ne suis pas un négativiste,
00:55:07je suis peut-être un platiste, mais je suis un platiste positif.
00:55:11Qu'est-ce qui se passe ?
00:55:12Comment faire pour que la société puisse fonctionner ?
00:55:15Eh bien, pour moi, il n'y a qu'une solution.
00:55:18Il faut faire un inventaire complet.
00:55:19Mais il y a deux manières de faire un inventaire.
00:55:20Un inventaire pour mettre tout le monde en taule.
00:55:22On ne va pas mettre 50% de la population en taule, il ne faut pas rêver.
00:55:25Il faut créer du lien, il faut parler.
00:55:27Donc le seul format que je vois, et je le pense vraiment,
00:55:31et des gens commencent à réagir, mais beaucoup de gens me critiquent pour ça,
00:55:33il faut un système comme ce qu'avaient inventés Mandela et Desmond Tutu en Afrique.
00:55:38Des commissions citoyennes pour la vérité et la réconciliation.
00:55:41Le principe est très simple.
00:55:43Je suis con, je suis médecin, j'ai foiré.
00:55:45Je viens, si je viens spontanément expliquer, on note,
00:55:48on dit merci monsieur d'être honnête et on oublie tout.
00:55:51Parce que je ne peux pas en vouloir à des collègues d'avoir eu peur
00:55:54et d'avoir menti à des patients.
00:55:58Oui, si on veut aller au fond des choses,
00:56:01il n'y a que toi et moi qui restons libres en Belgique,
00:56:04si on met tout le monde en taule.
00:56:05Donc on ne peut pas.
00:56:06Donc il faut beaucoup pardonner,
00:56:08mais il faut que les gens, ils ne doivent pas demander pardon,
00:56:10ils ont juste à s'expliquer.
00:56:12Il y en a un deuxième avantage.
00:56:13En faisant ça, ils expliquent pourquoi ils ont fait.
00:56:15Parce que j'ai reçu une note dans l'ordre des médecins, signée d'un tel.
00:56:18Et donc petit à petit, on remonte.
00:56:20Et en faisant ça, les gens viennent.
00:56:21Les gens qui ne viennent pas, pas de pardon.
00:56:23Les gens qui viennent, pardon.
00:56:25Mais on a la collection de l'évidence
00:56:28pour que les salauds au top,
00:56:30on a un dossier en or.
00:56:31Parce que le problème, si on veut la justice contre les gens
00:56:34qui ont vraiment fait cet engineering social majeur,
00:56:36c'était d'avoir l'évidence incontournable
00:56:40pour un tribunal international ou un tribunal local.
00:56:43Et donc pour avoir l'évidence incontournable,
00:56:45il faut un maximum de témoignages.
00:56:47Donc avoir un format de commission pour la vérité et la réconciliation,
00:56:51ça recrée du lien social.
00:56:52On peut refaire confiance l'un à l'autre.
00:56:54On arrête les insultes, s'il vous plaît.
00:56:56Je suis platiste, mais je ne suis pas con.
00:56:58Platiste, il n'y a pas de problème avec ça, je m'en fous.
00:57:01Mais il faut arrêter ce jeu de dupes.
00:57:04Il faut arrêter de diviser la société.
00:57:06Il faut arrêter la discrimination essentielle, non essentielle.
00:57:08Vaccinés, non vaccinés, jeunes versus vieux.
00:57:11Il faut que les gens se remettent comme après un ouragan.
00:57:14Oh putain, que de casse.
00:57:15Il faut balayer, il faut nettoyer, il faut construire.
00:57:17Mais pour ça, il faut qu'il y ait une prise de conscience générale.
00:57:21Et elle peut venir avec un format
00:57:25qui n'est pas dangereux pour la personne qui se sent coupable.
00:57:29Donc, si on parle de mettre les gens tous en taule,
00:57:31où on va les pendre aux écours,
00:57:33oui, ça fait plaisir pendant cinq minutes,
00:57:35une pendaison comme ça, comme un Nuremberg,
00:57:37mais ça ne va rien résoudre.
00:57:39Tu vois, ce que je veux dire, c'est que,
00:57:41bien sûr qu'il y a des salauds que j'ai envie de leur donner le coup de pied
00:57:45ou j'ai envie de leur foutre mon poing dans la gueule,
00:57:46mais je ne le fais pas. Pourquoi ?
00:57:47Parce que la violence va entraîner la répression.
00:57:50Et comme disait Gandhi, si on fait œil pour œil, dent pour dent,
00:57:54il y aura des édentés borgnes et personne ne verra où pourra manger.
00:57:57Donc, il y a un problème.
00:57:58Donc, il faut trouver un format socialement acceptable
00:58:02pour faire remonter à la surface toutes ces conneries
00:58:04et pour dire plus jamais.
00:58:06Et je le crois vraiment.
00:58:08Alors, on peut me traiter aussi d'idiot là-dessus,
00:58:10mais je crois que cette idée,
00:58:12c'est une idée qui va devoir faire son chemin pendant encore deux, trois ans,
00:58:15parce que je crois que c'est la seule sortie.
00:58:17Si on ne fait pas ça, on va avoir des cycles de violence.
00:58:21Il y a un avocat,
00:58:24je ne peux pas dire son nom,
00:58:25mais c'est un avocat qui travaille pour une firme pharmaceutique,
00:58:28qui a essayé de me contacter
00:58:30parce qu'il voulait que je les aide à faire atterrir l'enfant.
00:58:32Je lui ai dit, mais vous aidez pourquoi ? Vous avez tué.
00:58:35Ah, mais il ne faut pas que le peuple apprenne ça.
00:58:37Il ne faut pas que le peuple apprenne ça.
00:58:40Tout est là.
00:58:41Ça veut dire qu'il y a des gens qui ont compris.
00:58:43Et il ne faut surtout pas que le bon peuple apprenne ça
00:58:45parce qu'ils ont peur de la violence.
00:58:47Ils ont toujours peur de ça.
00:58:47Alors, il y a deux solutions.
00:58:49Il y a la solution
00:58:52à la Macron,
00:58:53l'extrême centre, comme j'appelle,
00:58:56qui est prêt à taper, à éborgner les gens
00:58:57parce qu'il ne faut surtout rien avouer,
00:59:00surtout passer en force.
00:59:01Et eux veulent de la violence
00:59:02parce que plus ils ont de violence,
00:59:04plus les gens peuvent se présenter
00:59:05comme maintien et garant de l'ordre.
00:59:07Ça a été le Bourguemais's clause
00:59:08quand il a fait charger les étudiants à Bruxelles,
00:59:10les jeunes là.
00:59:11Ah, oui, j'ai plein de testostérone
00:59:14et je lançais des autopompes à les flics.
00:59:16Il y avait des gens de famille,
00:59:17j'avais des collègues profs
00:59:18que j'ai même aidé de leur vie.
00:59:19Il y en a un qui m'a fait un texto pour dire,
00:59:21c'est la première fois que j'ai pris
00:59:21un coup de matraque de ma vie, dis donc.
00:59:24Bon, c'était au bois de la campe,
00:59:25c'était il n'y a pas si longtemps que ça.
00:59:26Ça, il faut éviter.
00:59:28Et pour éviter ça,
00:59:29je crois qu'il faut que les gens,
00:59:30toi, moi, tout le monde de bonne entente,
00:59:32dise écoutez, vous savez que ce n'est pas comme ça
00:59:34que ça s'est passé.
00:59:35Si on allait au fond des choses
00:59:36et si on s'en mettait à parler.
00:59:37Et si on ne fait pas ça,
00:59:39je ne sais pas ce qui va se passer.
00:59:42Merci, Martin Aziz.
00:59:43Et c'est aussi l'occasion de dire
00:59:44qu'il y a mille personnes
00:59:46quasiment qui nous suivent.
00:59:48Il y a quasiment mille personnes
00:59:49qui nous suivent en direct.
00:59:49Vous devriez être dix mille, cent mille.
00:59:51Imaginez si une émission comme ça
00:59:53et les propos de Martin Aziz
00:59:55passaient à l'RTBF,
00:59:56en heure de grande écoute.
00:59:57Imaginez l'impact
00:59:59que ça aurait sur les gens en deux heures.
01:00:02Ça pourrait modifier
01:00:03énormément de consciences,
01:00:03mais vous n'êtes que mille.
01:00:05C'est déjà pas mal.
01:00:06Mais il faut les remercier.
01:00:09Évidemment, si vous partagez
01:00:11chacun à vingt personnes,
01:00:13si vous partagez toutes ces idées
01:00:15dans l'idée de créer du débat,
01:00:16comme a dit Martin.
01:00:17Voilà, si quelqu'un peut prouver
01:00:19que je raconte des conneries,
01:00:20qu'ils viennent très bizarrement.
01:00:21Et pour moi, c'est une preuve.
01:00:22Ils ne viennent pas.
01:00:24Ils ne viennent pas,
01:00:25mais ils font autre chose.
01:00:26Ils disent il est fou.
01:00:27On ne veut pas parler avec lui
01:00:29parce qu'il est fou.
01:00:29Alors ça, c'est marrant.
01:00:31On ne veut pas parler avec lui
01:00:32parce qu'il est fou.
01:00:33Qu'est-ce qu'il y a de fou à dire
01:00:34que la quantité d'une protéine
01:00:36produite par un ARN
01:00:37dépend du métabolisme ?
01:00:39Dites-moi ce qu'il y a de fou.
01:00:40Qu'est-ce qu'il y a de fou à dire ?
01:00:41Si l'ARN ne va pas dans la bonne cellule,
01:00:44ça crée de l'auto-immunité.
01:00:45Dites-moi ce qu'il y a de fou.
01:00:47Donc je suis fou
01:00:49et je suis fier d'être fou
01:00:50parce que dans un monde
01:00:52où on a inversé tout,
01:00:54vous savez, le sens des mots
01:00:55devient tout à fait différent.
01:00:57Je crois que c'était encore une fois
01:00:58le type qui a écrit Orwell,
01:01:00qui a écrit une centaine d'années plus tard,
01:01:01qui dans un monde où le mensonge
01:01:03est général,
01:01:04dire la vérité est un acte révolutionnaire.
01:01:06Donc non seulement je suis fou,
01:01:07mais je suis apathiste,
01:01:09je suis guévariste.
01:01:11J'étais de gauche,
01:01:12maintenant on me traite d'extrême droite.
01:01:14C'est marrant.
01:01:15Ça aussi, moi aussi.
01:01:16Ils devraient se mettre d'accord entre eux.
01:01:18Oui, la définition.
01:01:20Qu'est-ce que tu préfères,
01:01:21être platiste ou extrémiste ?
01:01:23Platiste, extrémiste, c'est le mieux.
01:01:27Moi j'aime bien platiste.
01:01:29J'adore le mot platiste,
01:01:30je suis honnête,
01:01:31parce que ça sonne bien, platiste.
01:01:32Moi je pense qu'il faut discuter
01:01:36de tout, même avec des platistes,
01:01:40puisque quand on peut répondre,
01:01:42la chose est réglée.
01:01:44Mais évidemment,
01:01:45on ne peut pas,
01:01:45donc pas de débat public,
01:01:48plus d'argent public pour nous non plus.
01:01:50C'est-à-dire,
01:01:51comme ils ne veulent pas qu'on débatte,
01:01:52ils nous enlèvent les subsides
01:01:53pour nous tuer.
01:01:54Donc tout repose uniquement
01:01:55sur vous qui nous suivez.
01:01:57Donc il faut vraiment supporter.
01:01:59J'ai été parrain de Zeb,
01:02:01je suis prêt à être parrain de Kéros,
01:02:03parrain de tous les médias
01:02:05dits alternatifs,
01:02:06mais qui vont peut-être monter en puissance.
01:02:08Je suis très actif sur X
01:02:10et je suis en connexion avec Elon Musk.
01:02:13Et en fait, le problème est là.
01:02:15Il faut casser le monopole
01:02:18du marché de l'opinion
01:02:20au départ du ministère de la vérité.
01:02:22C'est comme la Pravda.
01:02:24Donc il y a la Pravda Vespéran en Belgique,
01:02:27on l'appelle le soir.
01:02:28Il y a la Pravda du matin,
01:02:29on l'appelle la libre Belgique.
01:02:31C'est des Pravdas au pluriel.
01:02:33Et le problème est là.
01:02:35Et je crois qu'il faut apprendre à payer.
01:02:38Donnez 5 euros, donnez 10 euros.
01:02:42Je crois que si vous faites une campagne,
01:02:45vous pouvez m'utiliser.
01:02:47Peut-être que ça va amener des gens,
01:02:48peut-être que ça va en chasser d'autres,
01:02:49je n'en sais rien.
01:02:50Mais je suis prêt à être parrain
01:02:52parce que je crois et je ne veux pas
01:02:54uniquement un média aussi.
01:02:56Je te le dis par exemple.
01:02:58Moi, je veux soutenir tous les médias.
01:03:00Il y a un type qui fait du bon boulot
01:03:02en Belgique aussi,
01:03:02mais qui passe sur le radar.
01:03:04Je ne sais pas si vous connaissez Lawson.
01:03:08Le type qui a fait éclater l'affaire Nexus
01:03:10ou l'affaire en Wallonie.
01:03:13C'est un journaliste,
01:03:14c'est un black, il est belge.
01:03:16Je crois qu'il y a du rendez-vous.
01:03:17C'est un journaliste,
01:03:18il fait du très bon boulot,
01:03:19mais c'est sous subscription.
01:03:20On n'est pas les seuls à faire du bon boulot,
01:03:22heureusement.
01:03:23Je sais, mais je veux dire,
01:03:24c'est sous subscription.
01:03:25Il faut qu'on impose,
01:03:27c'est mon message,
01:03:27il faut qu'on impose le modèle sous subscription.
01:03:30Tout à fait.
01:03:32Mille merci,
01:03:33je pense que c'est une émission
01:03:36inédite, essentielle.
01:03:37C'est le mon chien,
01:03:38c'est le direct qui fait du bruit.
01:03:39Allez hop, hop, hop, hop, hop.
01:03:41C'est une émission inédite,
01:03:44essentielle et je pense
01:03:45qu'énormément de choses ont été dites
01:03:47et que tu as vraiment respecté
01:03:48le titre qu'on a donné,
01:03:50c'est-à-dire Quit,
01:03:51quatre ans après de ces crises à répétition.
01:03:54On continuera par rapport
01:03:55à ce qui s'est passé au sein de l'armée.
01:03:58On reste en contact,
01:03:59on tiendra au courant ceux qui nous suivent.
01:04:01Mille merci à ceux qui nous suivent
01:04:03et soutenez-nous,
01:04:04on en a vraiment besoin.
01:04:07Ce n'est pas pour enrichir nos actionnaires,
01:04:09c'est pour continuer à faire vivre
01:04:11la presse libre et le journal.
01:04:12C'est surtout pour payer
01:04:14les factures d'électricité aussi.
01:04:15Et soutenez la presse libre
01:04:17de manière générale,
01:04:19que ce soit nous ou d'autres qui vous plaisent.
01:04:22Merci Martin,
01:04:23merci Martin Zim,
01:04:23mille merci,
01:04:24qui est en Californie.
01:04:27Il était très tôt,
01:04:28on a commencé à 8h30 du matin
01:04:29pour toi, je crois.
01:04:30Ça, ça va, ça va.
01:04:32Mais tu as encore beaucoup de boulot.
01:04:35Dans mon autre vie,
01:04:35parfois je me lève à 5h
01:04:37pour avoir des conversations
01:04:39avec des gens en Finlande ou en Turquie.
01:04:42Je commence à avoir l'habitude
01:04:44de vivre 24h7.
01:04:45Mais tu es aussi un métier alimentaire,
01:04:48donc tu as beaucoup de choses à faire.
01:04:49Merci de nous avoir consacrés,
01:04:50c'est presque deux heures.
01:04:53Mille merci,
01:04:53et mille merci aux mille personnes,
01:04:55plus de mille personnes qui nous suivent.
01:04:58Tout réseau confondu,
01:05:00parce que parfois les gens disent
01:05:01« Mais non, sur Facebook, il y en a 200. »
01:05:02Non, non, c'est tout réseau confondu.
01:05:03Nous, on voit les chiffres.
01:05:05Martin Zim, à très bientôt.
01:05:08Merci aussi pour ta pédagogie
01:05:10et ta manière d'expliquer les choses.
01:05:13Et je le répète qu'il devrait passer
01:05:14sur un média public comme l'RTBF,
01:05:17mais on n'y est pas du tout encore.
01:05:18Mais j'ai toujours cet espoir que...
01:05:21Si on y arrive,
01:05:22si à force de subsides privés,
01:05:24on arrive, peut-être qu'un jour,
01:05:25on pourra acheter le boulevard Reyers.
01:05:28La seule chose que je demande,
01:05:30c'est la possibilité pour moi
01:05:31de virer personnellement Jean de Montaigne.
01:05:33Et moi, Philippe Eau.
01:05:34C'est la seule chose que je demande.
01:05:36Et moi, Philippe Eau.
01:05:37Très bien.
01:05:38OK.
01:05:39À très bientôt, Martin.
01:05:41Bonne journée.
01:05:42Merci. Bonne soirée.
01:05:44Merci.