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Regardez Le journal RTL avec Agnès Bonfillon du 19 septembre 2024.

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00:0018h, 20h, RTL Soir avec Yves Calvi et Agnès Bonfillon.
00:10Bonsoir et bienvenue dans RTL Soir, nous sommes ensemble jusqu'à 20h et ça bouge du côté du gouvernement.
00:15C'est parti pour deux heures d'actualité. Bonsoir Agnès Bonfillon.
00:18Bonsoir et bonsoir à tous.
00:20Tout de suite votre journal.
00:2138 ministres dont 16 de plein exercice, pas encore d'annonce officielle.
00:25Mais la formation du gouvernement avance.
00:28Ce midi Michel Barnier a reçu les différents partis qui y participeront.
00:32Plusieurs éléments démontrent l'implication de Samuel Gonin dans l'enlèvement de l'INA il y a un an en Alsace.
00:37Le principal suspect ne pourra jamais répondre de ses actes, il s'est suicidé l'été dernier.
00:42Et à 18h15 nous recevons d'ailleurs le général Dominique Lambert qui dirige la police judiciaire de la gendarmerie.
00:48Il nous racontera les détails de l'enquête.
00:51Le chef du Hezbollah promet un terrible châtiment à Israël après les vagues d'explosions d'appareils électroniques.
00:56Nasrallah qui reconnaît aussi un coup très dur porté à son organisation.
01:01Notre confrère Doval Fohn, lui-même ancien membre des services secrets israéliens, nous racontera les dessous de cette opération inédite.
01:07Et puis le stade Brestois dans la cour des très grands ce soir.
01:10La Ligue des champions, la première de l'histoire du club.
01:13Ce sera à Guingamp tout à l'heure face aux Autrichiens du Sturmgrat.
01:17Monaco reçoit pour sa part le FC Barcelone.
01:20La météo c'est avec vous Peggy Broch, bonsoir.
01:22Bonsoir Yves, bonsoir à tous.
01:24Demain on va passer une matinée plutôt calme et ça se dégrade en journée par l'ouest avec des averses orageuses.
01:36Un peu plus d'une heure trente de réunion autour de Michel Barnier cet après-midi à Matignon.
01:40Et ce soir, ce chiffre Julien Fautrat, 38 ministres.
01:45Pour les noms, on attendra encore un peu mais les choses avancent.
01:48Oui, 38 ministres dont 16 de plein exercice.
01:51Les autres, ce seront des ministres délégués ou des secrétaires d'État.
01:54Parmi les 16 ministres, 7 glanés par Gabriel Attal pour son parti Renaissance.
01:593 pour la droite républicaine, 2 Modem, 1 Horizon, 1 UDI.
02:03C'est la Macronie qui reviendra en force et c'est la droite qui doit ce soir manger son chapeau.
02:083 ministères alors qu'ils imaginaient la moitié du gouvernement.
02:11Laurent Wauquiez et Bruno Retailleau sont sortis une demi-heure après les autres.
02:15Michel Barnier a probablement dû leur faire avaler la pilule.
02:19Même si finalement, vous ne serez peut-être pas surpris, quand on a 47 députés, on pèse moins que quand on en a 97.
02:25Pour une fois, la politique c'est de l'arithmétique.
02:28C'est bien une victoire de Gabriel Attal.
02:30Oui, c'est lui qui a donné le tempo.
02:32Il n'a pas attendu que le Premier ministre annonce le résultat de ses premiers arbitrages.
02:36C'est lui qui annonce tout ce soir.
02:38Comme ce matin, lui qui avait annoncé à ses députés les enjeux de cette réunion.
02:42Avec presque la moitié des ministres de plein exercice, il sort renforcé de ce moment politique Gabriel Attal.
02:48Il a même raconté que le sujet de l'immigration avait été abordé en réunion.
02:52Fixant lui sa ligne, ligne de riqueur et d'humanisme sur l'immigration, a-t-il précisé ce soir à ses troupes.
02:58Alors, le nombre de ministres, la répartition par parti, ça veut dire quoi Julien ?
03:03Que l'annonce du prochain gouvernement n'est plus très loin ?
03:05En tout cas, ce soir, il y a une réunion à l'Elysée, Michel Barnier avec le chef de l'Etat.
03:11Pas de nom encore n'a été donné à ce stade.
03:14Mais les équilibres, vous avez compris, ces équilibres, oui, nous les connaissons désormais.
03:18Reste donc cette étape que vous attendez, Agnès, qui peut être sanglante.
03:22Parce que la droite va devoir se déchirer pour les trois postes promis.
03:25Même chose chez Renaissance avec les sept.
03:28Il va falloir mettre des noms, désormais, l'un des enjeux à partir de maintenant.
03:32Julien Fautra en direct de Matignon avec Christophe Justignani pour les moyens techniques.
03:38Et c'est dans ce contexte que les parlementaires ont enfin reçu un document destiné à préparer le budget 2025.
03:43Cela faisait des semaines qu'Eric Coquerel, le président LFI de la commission des finances de l'Assemblée Nationale,
03:48ainsi que le rapporteur général Charles de Courson, le réclamaient ce document.
03:53Ils se réjouissent de pouvoir enfin, enfin commencer à travailler.
03:56À partir du moment où ils nous envoient ce document, je considère donc que les lettres au plafond
04:00qui ont été envoyées engagent ce nouveau gouvernement et que ce nouveau gouvernement fait du budget à tale son budget.
04:06Au moins ce document qui est le document officiel du gouvernement Barnier
04:10va nous permettre aussitôt que le ministre des finances va être nommé
04:14de lui demander de venir en commission des finances pour commencer à débattre.
04:19Avant, s'il voulait, ils se réfugiaient derrière.
04:21On ne peut pas parce que c'est le budget d'à tale, ce n'est pas le nôtre, etc.
04:24Là, ils ne peuvent plus se réfugier puisque eux-mêmes valident un document qui vient cette fois-ci de leur gouvernement.
04:29C'est le même qu'à tale. Ça montre qu'on a quand même perdu beaucoup de temps pour rien.
04:33Des propos recueillis par Thomas Becker pour RTL.
04:38Encore beaucoup de questions sur la disparition de Lina il y a un an en Alsace.
04:41Mais une certitude tout tente à démontrer l'implication de Samuel Gonin.
04:44Oui, l'homme qui s'est suicidé à Besançon en juillet dernier est le principal suspect dans cette affaire.
04:50Lors d'une conférence de presse ce matin, le procureur de la République par intérim de Strasbourg
04:55est revenu sur les différents éléments qui impliquent Samuel Gonin.
04:59On retrouve également dans le coffre de la voiture deux cordes.
05:02Sur l'une de ces cordes, on retrouve l'ADN de Lina et également l'ADN de Samuel Gonin.
05:08Ce qui tente à démontrer qu'à un moment ou à un autre, Lina a été ligotée.
05:12Tous les ADN qui ont été isolés dans ce véhicule sont des ADN de contact.
05:17Aucune trace de sang n'a été détectée à l'intérieur de la voiture.
05:21Autre élément très important.
05:23Les investigations ont permis d'établir que Samuel Gonin était le conducteur de la Ford Puma le jour des faits.
05:29En effet, à 9h23 précisément, il commet un vol d'essence à Ettingen en Allemagne.
05:36Et il est seul à bord à ce moment précis.
05:39Le procureur de la République par intérim de Strasbourg, Alexandre Chevrier, au micro de Planar Adénovitch pour RTL.
05:45Nous serons à 18h15 avec le général Dominique Lambert qui dirige la police judiciaire de la gendarmerie nationale.
05:52Au procès des viols de Mazans, c'est au tour des co-accusés d'être interrogés par la cour.
05:57Oui, ils sont 50 à comparaître aux côtés de Dominique Pellicot.
06:00Tous sont venus au domicile de ce dernier pour avoir des relations sexuelles avec son ex-épouse Gisèle.
06:07Son ex-épouse qui était droguée.
06:09Bonsoir Cindy Hubert.
06:10Bonsoir.
06:11Vous suivez ce procès à Avignon pour RTL.
06:13Si le premier homme entendu ce matin a reconnu les faits, ce n'est pas le cas du deuxième cet après-midi.
06:19Jacques, 72 ans, lui conteste avoir violé Gisèle Pellicot.
06:23Les vidéos des faits ont donc été diffusées à l'audience Cindy.
06:27Je ne vais pas vous décrire les gestes sur ces vidéos.
06:29La bande sonore suffit.
06:31On entend très distinctement les ronflements de la victime du début à la fin.
06:35L'homme qui abuse de Gisèle Pellicot à l'écran est maintenant devant nous à la barre.
06:39En chemisette à motifs, le visage rouge de honte.
06:42L'accusé explique être venu dans cette chambre des Pellicot en pensant retrouver un couple libertin avec une dame endormie.
06:48Mais très vite, Jacques comprend que quelque chose ne va pas.
06:51Gisèle Pellicot n'a aucune réaction sur les vidéos.
06:54Il est d'ailleurs impossible de ne pas voir ses bras ballants, sa tête qui tombe dans le vide sur le côté du lit.
06:59« Alors pourquoi vous ne partez pas en courant ? » lui demande le président.
07:02« Pourquoi vous continuez ? » L'accusé hausse les épaules.
07:05« Je ne voulais pas contrarier Dominique Pellicot. J'avais peur. Je ne sais pas trop de quoi. »
07:09Aujourd'hui, Jacques, en pleurs, demande pardon à la victime.
07:12Mais il continue d'affirmer qu'il n'a prodigué que des caresses.
07:15C'est que ce n'est pas lui qui filmait quand Dominique Pellicot était en train de violer sa femme.
07:18Son avocat tente de voler à son cours.
07:20Jacques, on connaît votre générosité, votre vie dévouée aux autres.
07:24Vous avez été pompier à l'époque à 69 ans.
07:27Vous vous rendez à Mazan pour violer cette femme ?
07:29L'accusé secoue la tête, met du haut de son box.
07:32Appelé en arbitre, Dominique Pellicot prend un malin plaisir à confirmer que Jacques a bien violé ce soir-là.
07:38Conte rendu d'audience signé Cindy Huber pour RTL.
07:42Après les vagues d'explosion de Bipper et de Tolki-Wolki au Liban,
07:45le chef du Hezbollah promet un terrible châtiment à Israël.
07:48On en parle tout de suite dans RTL Soir.
07:59La suite du journal avec le Hezbollah qui promet à Israël des représailles
08:02après les vagues d'explosion d'appareils électroniques au Liban.
08:05Le dernier bilan, on le rappelle, donné par le ministre de la Santé libanais
08:08de 37 morts et 3000 blessés.
08:10Avec cette méthode inédite, des centaines de Bipper et Tolki-Wolki
08:14appartenant à des membres du Hezbollah piégés, programmés pour exploser en même temps.
08:18Cet après-midi, Hassan Nasrallah a pris la parole.
08:21Bonsoir Nicolas Burnan.
08:22Bonsoir.
08:23Avant tout, le chef du Hezbollah reconnaît un coup très dur porté à son organisation.
08:27Oui, dans ce discours retransmis à la télévision,
08:29le chef religieux turban noir, longue barbe grise
08:32dénonce d'abord le massacre de plusieurs centaines de ses combattants et partisans,
08:36affirme qu'Israël a franchi toutes les lignes rouges.
08:39Hassan Nasrallah explique ensuite que le front du Liban avec Israël
08:42restera ouvert jusqu'à la fin, je cite, de l'agression à Gaza
08:46et que ses habitants ne pourront pas rentrer chez eux.
08:49Il finit par employer un ton plus menaçant, parle de représailles
08:53et promet que son ennemi recevra un terrible châtiment.
08:56Quand, où et comment, le chef du mouvement armé chiite reste mystérieux
09:01et ne donne aucun détail sur le timing ou la forme de cette riposte.
09:06Alors ce soir le Hezbollah reste dans une situation délicate.
09:09Absolument, le mouvement islamiste libanais a le dos au mur,
09:13il a deux options sur la table aux conséquences bien différentes,
09:16soit lancer une attaque majeure pour répondre à Israël
09:19et restaurer ainsi l'équilibre de terreur,
09:22ce qui l'expose potentiellement à une guerre ouverte,
09:25ou alors choisir une réponse plus timide,
09:27ce que l'organisation a toujours fait jusque là,
09:30en privilégiant par exemple une campagne mesurée
09:33de barrages de missiles ou de roquettes,
09:36avec le risque d'être à l'avenir la cible de nouvelles frappes israéliennes.
09:40Le front de soutien en Hamas ouvert depuis le 7 octobre
09:43pourrait alors se refermer comme un piège sur le Hezbollah.
09:46Nicolas Burnan du service international de RTL,
09:49et puis cela s'est fait en toute discrétion,
09:51mais le secrétaire d'état américain Anthony Blinken,
09:54lui était à Paris pour participer aujourd'hui à une réunion
09:57sur le Proche-Orient justement, sous l'égide de la France.
09:59Emmanuel Macron appelle toutes les parties à agir
10:02pour éviter la guerre.
10:03Et à 18h45, nous entendrons l'analyse de notre confrère Dov Alfon,
10:07qui fut membre de l'unité cyber de l'armée israélienne.
10:10Visiter un proche, pratiquer une activité sportive
10:13ou encore se rendre à un rendez-vous médical,
10:15de plus en plus de Français renoncent à se déplacer.
10:17Oui, c'est ce que révèle une enquête de WeMove,
10:19soutenue notamment par le ministère de la Transition écologique.
10:2215 millions de Français sont en situation de précarité-mobilité.
10:27Alors d'abord, Nathan Bocart, très concrètement, ça veut dire quoi ?
10:30Ça veut dire qu'une personne n'a pas la liberté de se déplacer,
10:33excusez-moi, comme elle le veut, autant qu'elle le veut,
10:36voire qu'elle doit tout simplement renoncer à se déplacer.
10:39C'est d'autant plus inquiétant que la mobilité, c'est un droit,
10:41il est garanti par la loi.
10:43Or, selon cette enquête, 40% des personnes majeures
10:45ont dû renoncer à un déplacement au cours des 5 dernières années.
10:49Et parmi eux, plus d'un tiers ont des difficultés persistantes sur le sujet,
10:53une proportion qui augmente d'année en année.
10:55Qui sont les Français les plus touchés, Nathan ?
10:57Il faut savoir que ça touche toutes les générations, en ville comme en zone rurale.
11:00Mais il y a quand même des catégories particulièrement concernées,
11:03les personnes qui ont de faibles revenus,
11:05les demandeurs et demandeuses d'emplois de longue durée,
11:08et, assez logiquement, les personnes qui n'ont pas le permis de conduire.
11:11Et si on cumule ces situations, bien entendu,
11:13alors la précarité de mobilité devient particulièrement handicapante.
11:16Et quels sont les principaux freins à la mobilité ?
11:19Le plus notable, c'est la dépendance à la voiture.
11:22En clair, il n'y a pas ou peu de transport en commun là où vous habitez,
11:25vous êtes obligé de conduire.
11:27Or, le carburant, on le sait, ça coûte cher,
11:29et ça pousse certaines personnes à rogner sur d'autres dépenses,
11:32parfois essentielles, et donc, parfois, à renoncer à se déplacer.
11:35L'autre problème, c'est l'image négative qu'ont les sondés des transports en commun.
11:39Une image qui les pousse à ne pas les emprunter.
11:41Un point intéressant relevé dans cette étude,
11:44c'est que ceux qui ont la pire image des transports,
11:46ce sont ceux qui ne les prennent jamais.
11:48Merci beaucoup, Nathan Bocart pour RTL.
11:51Rien à perdre, tout à gagner pour Brest,
11:53qui découvre la Ligue des Champions ce soir.
11:55C'est souvent ce qu'on se dit pour se donner du courage.
11:57Qualifiés surprise, les Bretons affrontent les Autrichiens du Sturmgratz.
12:01Le match se déroule à Guingamp,
12:03un saut dans l'inconnu aussi redoutable qu'excitant, Philippe Audoin.
12:07Oui, et l'effervescence est en train de monter parmi les supporters brestois,
12:11tous ceux que j'ai rencontrés.
12:13Aujourd'hui, ils m'ont confié leur bonheur d'être là, en Ligue des Champions,
12:17même si pour certains, ça ressemble encore à un rêve.
12:19C'est tout à fait le grand jour.
12:21Je ne réalise même pas qu'on va avoir 8 matchs de Brest en Ligue des Champions,
12:24Barcelone, Real Madrid.
12:26Toute la ville en parle, partout où on se bat dans Brest,
12:28on entend parler de la Ligue des Champions.
12:30C'est la Bretagne qui gagne, on va dire.
12:32C'est fantastique, il va y avoir une super ambiance,
12:34tout le monde est content, tout le monde a le sourire,
12:36tout le monde va rentrer dans le stade avec le sourire.
12:38Personnellement, j'ai encore du mal à y croire.
12:40Ce soir, quand on va entendre l'hymne avant le match,
12:42on va dire qu'on y est vraiment.
12:44Ça va être incroyable ce soir.
12:45En plus, on commence peut-être par le match le plus abordable de la poule,
12:47donc commencer par une victoire en Ligue des Champions,
12:49ce serait incroyable.
12:50Incroyable mais pas impossible pour le stade brestois
12:53qui avait épaté la France du football toute la saison dernière
12:56et qui aborde désormais sa grande aventure en Ligue des Champions
12:59sans le moindre complexe.
13:02Philippe Audouin que l'on retrouve tout à l'heure aux commentaires
13:05puisque Brest Sturm Graz, c'est à vivre sur RTL en direct
13:08à partir de 20h55 autour d'Éric Sylvestreau.
13:11Tout comme l'autre affiche, on la rappelle,
13:13cette affiche ce soir, Monaco-Barcelone.
13:16Le journal nous était proposé par Agnès Bonfillon.
13:18Il est 18h15.
13:19Demain, ça se dégrade pour notre météo.
13:21Peggy Broch.
13:22Oui, j'espère que vous avez bien profité de la journée
13:24parce que tout le monde a eu du soleil.
13:25Non, vous étiez au bureau enfermé.
13:26Ben oui, vous avez travaillé.
13:27Quel dommage.
13:28Bon, vous avez un petit peu de temps encore
13:29parce que c'est vrai que demain matin,
13:31on a globalement une belle journée.
13:33Alors, il y a quand même quelques bémols au nord de la Bretagne
13:35et le Cotentin, là, ça sera déjà gris dans le sud-ouest
13:38avec quelques averses sur les régions centrales,
13:40un petit peu plus de nuages, un ciel variable
13:42et quelques ondées ailleurs du soleil.
13:44Mais dans l'après-midi, en tout cas en fin d'après-midi,
13:46dégradations par l'ouest, dégradations orageuses
13:48entre la Bretagne, la Normandie, l'île de France,
13:50en passant par le massif central et la Nouvelle-Aquitaine.
13:53Localement, on peut avoir même de la grêle
13:55et ça peut cogner assez fort.
13:56Et puis, les nuages du sud-ouest, ils vont se décaler.
13:58On va les retrouver également dans le sud-est.
13:59Finalement, il n'y a que vers les frontières du nord
14:02et la Bourgogne-Franche-Comté que le soleil va résister.
14:05Côté température, ça reste quand même doux.
14:08De 21 à Cherbourg à 26 à Biarritz,
14:1025 à La Rochelle, 24 à Paris et 23 à Tarbes.
14:13Merci beaucoup, Peggy Broch.
14:14Dans un instant, on revient sur la disparition de Lina.
14:17Les avancées de l'enquête sont nombreuses.
14:19Nous faisons le point avec le général Dominique Lambert.
14:22Il dirige les enquêtes de la Gendarmerie nationale.