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Mainrenant réfugiée en Allemagne, Natalia Hersche se bat pour les prisonniers politiques du Bélarus.

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Transcription
00:00Amnesty International qualifie de torture les conditions de détention dans les prisons du Bélarus.
00:07L'opposante Bélarus, Natalia Ersch, en a fait l'expérience.
00:11Maintenant qu'elle est à nouveau libre, la dissidente lutte pour que les 1 400 prisonniers politiques du Bélarus ne soient pas oubliés.
00:20Euronews a rencontré Natalia Ersch dans l'ancienne prison de la Stasi à Berlin.
00:30Les conditions de détention des prisons bélaruses sont dures alors qu'elle était prévue pour lutter contre la dictature.
00:37Les conditions de détention des prisons bélaruses sont dures alors qu'elle était prisonnière, Natalia Ersch a refusé de coudre des uniformes pour le régime bélarus.
01:05La dissidente a été sanctionnée pour son refus, Natalia Ersch a dû passer 46 jours dans une cellule d'un mètre et demi de large.
01:35Je n'ai pas essayé de crier, mais j'ai chanté.
01:55Je n'étais pas seule dans la cellule, mais avec un autre prisonnier politique, et en chantant, nous avons échangé nos émotions.
02:12Quand elle a chanté, j'ai pleuré, et quand j'ai chanté, elle a pleuré.
02:23Est-ce qu'il y avait une chanson qu'elle a chantée ?
02:26Oui, Coupalinka.
02:28Coupalinka est une chanson folklorique belaruse très connue.
02:32Coupalinka est souvent chantée lors des manifestations au Bélarus et elle est devenue un symbole de la résistance.

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