• il y a 2 mois
Ce mercredi, tous les Dauphinois sont sous le choc. L’émotion après la découverte du corps de Philippine a laissé place à la colère en découvrant le parcours du principal suspect Taha O. Pour nombreux étudiants, le drame aurait pu être évité. 

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Transcription
00:00Les drapeaux de l'université ont été mis en berne, à quelques pas du bois de boulogne.
00:05Marylis est étudiante à Paris Dauphine.
00:08Elle est venue déposer des fleurs à la mémoire de Philippine.
00:11Aujourd'hui, on se rend compte que c'est réel.
00:13Ça m'a énormément touchée, elle était dans mon niveau, elle avait mon âge.
00:17Je m'identifie à la peur qu'elle a dû ressentir quand ça a dû se passer pour elle.
00:23Sur toutes les lèvres, la tristesse, mais aussi l'incompréhension et parfois la colère.
00:28De la colère et de l'inquiétude, de l'angoisse.
00:31C'est pas normal que quelqu'un qui soit condamné soit relâché.
00:34Le fait de se dire qu'il y a peut-être d'autres personnes comme ça aussi qui pourraient reproduire la même chose,
00:39c'est pas forcément très très rassurant.
00:41Même aux abords de notre université, on n'est pas en sécurité, en fait on n'est en sécurité nulle part.
00:46Philippine devait venir au cours de ce professeur lundi après-midi.
00:50On avait une ambiance extrêmement pesante.
00:52Je leur ai dit juste qu'il fallait pas qu'on l'oublie.
00:55Notre ami a été en contact avec le président de l'université,
00:58qui a d'ailleurs eu les mots qu'il fallait par rapport à la promotion.
01:04L'étudiante aurait fêté ses 20 ans le 10 octobre.

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