• il y a 3 mois
Dans ce nouveau numéro de Loire Eco !

A Andrézieux-Bouthéon, l'agence de voyages Vitamine Vacances veut faire redécoller l'aéroport de Saint-Etienne Bouthéon.
A Saint-Etienne, on dispose d'un joyau industriel : le banc national d'épreuves des armes. Reportage dans les coulisses de ce lieu placé sous haute sécurité.
Il aide les entrepreneurs à prendre de la hauteur et est aussi le président du club d'entreprises Acctifs. Samuel Seité nous parle de ses deux activités dans le Face à Face.
GoFAB, le salon de l'industrie du futur, débarque à l'Arena de Saint-Etienne Métropole à Saint-Chamond.
Filiale du géant indien Arcelor Mittal, Industeel tient une forme olympique ! Son usine de Chateauneuf est à l'origine des 2 000 flambeaux qui ont fait voyager la flamme olympique. C'est aussi dans cette usine que les anneaux olympiques installés sur la Tour Eiffel ont été fabriqués.
Sans oublier le traditionnel Quiz Eco qui nous permettra de faire un tour d'horizon de l'actualité ligérienne.


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Transcription
00:00Bienvenue dans ce numéro de Loire & Co enregistré à la foire économique de Saint-Etienne.
00:11Alors la foire économique c'est évidemment un lieu animé qui regroupe tout un tas de
00:16commerçants, souvent nigériens, vous le saviez, et bien en tout cas ils sont venus
00:20ici pour exposer leur savoir-faire et ça, ça tombe bien parce que vous savez, nous,
00:25le savoir-faire, on aime le faire savoir et c'est précisément ce que nous allons faire
00:29aujourd'hui dans cette émission avec une plongée en immersion totale au cœur de la
00:36diversité économique de notre territoire.
00:39Alors au programme aujourd'hui, une mise en lumière du dynamisme de notre industrie
00:44en forme olympique, ça vous donne une petite idée, nous vous emmènerons aussi dans un
00:49lieu unique en France, témoin de notre passé armurier du temps de Louis XIV et nous vous
00:55présenterons également un salon consacré à l'industrie du futur, n'est-ce pas Laurent,
01:02où encore des personnalités engagées qui animent de nombreux réseaux de chefs d'entreprise.
01:08Enfin, nous aborderons aussi un thème de voyage et d'évasion, et bien oui, l'été se termine
01:14et pourtant on va partir de notre département.
01:17Comme à notre habitude, nous vous proposons un véritable voyage au cœur d'une économie
01:23locale, vibrante et pleine de promesses.
01:25Nous sommes fiers de vous présenter Loire ECO, c'est parti !
01:29Alors la Loire innove et nous on innove aussi et pourtant on garde certains piliers dans
01:51cette émission.
01:52J'ai le plaisir d'accueillir à mes côtés Sylvain Angier.
01:55Bonjour Sylvain.
01:56Salut Rémi, salut à tous les Ligériens.
01:58Alors moi aujourd'hui, j'ai un programme particulier.
01:59Est ce que vous êtes prêt à prendre de la hauteur, mon cher ami ? On va prendre de
02:02la hauteur.
02:03Oui, je vais recevoir un dirigeant ligérien qui aide les chefs d'entreprise à prendre
02:07de la hauteur.
02:08Et puis, bien sûr, on fera le petit traditionnel quiz économique ligérien.
02:11C'est parfait.
02:12Laurent Vido.
02:13Et bien vous, cher Rémi, vous nous avez dit que vous nous emmeniez en voyage et on va
02:18se mettre en route pour un voyage.
02:20Alors quel voyage ?
02:22Le voyage de l'industrie qui est en route vers le futur.
02:24Ah, le voyage de l'industrie vers le futur.
02:27Parfait.
02:28Gilles Cahuela.
02:29Bonjour Rémi.
02:30Écoutez, c'est moi qui vais vous emmener en voyage.
02:31J'avais envie de prolonger un petit peu cet été.
02:33Donc accrochez vos ceintures, embarquement immédiat avec Philippe Gaillard de Vitamines
02:37Vacances.
02:38Parfait.
02:39Et puis on aura aussi Laetitia Le Maneur qui nous présentera un du style.
02:42Voilà, c'est parti.
02:43Je laisse ma place pour le quiz, n'est ce pas Sylvain ?
02:45Allez, c'est parti.
02:46Allez, on y va.
02:52Allez, je rappelle le principe du quiz économique ligérien.
02:56On va poser quelques questions sur l'actualité économique ligérienne en espérant avoir
03:00des réponses de la part de nos chroniqueurs.
03:02On va faire une équipe mixte, Vino Le Maneur, s'il vous plaît.
03:07Vous pouvez tester les buzzers contre Gilles Cahuela.
03:10Allez, c'est parti.
03:12Première question.
03:13Direction, une fois n'est pas coutume, la commune de Fresse.
03:16Nous cherchons le nouveau domaine d'activité déployé par cette PME ligérienne.
03:20C'est un domaine d'activité un peu original.
03:22C'est pour ça que j'en parle.
03:23On est dans le domaine du bâtiment et l'entreprise s'appelle SCOB.
03:26SCOB, d'habitude, c'est la détection des réseaux souterrains.
03:29Et là, on est toujours dans le domaine du bâtiment.
03:31Mais c'est un domaine complètement original.
03:33On va parler du domaine de la toiture.
03:35Et qu'est-ce que a décidé de développer la société SCOB ?
03:40Très bonne question.
03:41On utilise un outil, un nouvel outil qui vole et qui va permettre ?
03:45Des drones.
03:48Pour imperméabiliser les toitures.
03:51Les remettre à neuf plutôt.
03:53C'est une bonne réponse, Gilles Cayuela.
03:55On utilise des drones pour démousser les toitures.
03:58Et c'est effectivement un nouveau domaine d'activité que j'ai trouvé,
04:00on le voit à l'écran, assez original.
04:02La société SCOB à Fresse.
04:041-0 pour Gilles Cayuela.
04:07Seconde question, toujours dans la vallée de Londres.
04:09Mais cette fois, direction la Ricamari.
04:11Nous parlons de l'entreprise Sodertex.
04:1320 salariés, 3 millions d'euros de chiffre d'affaires
04:15qu'on a déjà reçu d'ailleurs sur Tl7.
04:17Et Sodertex est propriétaire de la marque Loulipo,
04:21qui est une marque de loisirs créatifs, de jeux éducatifs et inclusifs.
04:25Et là, ils développent une nouvelle branche,
04:27ils ont fait une croissance externe.
04:29Votre micro, mon cher Laurent.
04:31Ils investissent dans la pâte à modeler.
04:34Bonne réponse de Laurent Vinault.
04:36Effectivement, ils ont créé une ligne de fabrication de pâte à modeler.
04:40Ils ont repris plus exactement les actifs d'une société qui s'appelle Patamode.
04:44Patamode, pâte à modeler écolo,
04:47à base de farine de colorant sans gluten ni conservateur.
04:51Et on salue le président Geoffroy Cizeron de la société Sodertex.
04:55Bonne réponse de Laurent Vinault, un partout.
04:58Allez, troisième question, c'est la foire.
05:00Alors, on va en parler.
05:01Nous sommes en plein cœur de la foire économique de Saint-Étienne,
05:04qui chaque année marque la rentrée économique.
05:06Le thème cette année, c'est le Japon.
05:08Une expo 100% japonaise, des mangas, bar à sushi, etc.
05:11C'est la foire, mais c'est aussi avant tout un rendez-vous économique.
05:13J'ai besoin de savoir quel est le nombre d'exposants,
05:16la surface commerciale et le nombre de visiteurs en 2023.
05:19Allez, lancez-vous. Votre micro, mon cher Laurent.
05:24Exposants, 350.
05:26Alors, pas tout à fait, un peu moins.
05:28200, non ?
05:29Voilà, 250 exposants.
05:31La surface commerciale, c'est près de...
05:3350 000 ? 40 000 ?
05:351 000 m² au niveau des exposants.
05:38Et le nombre de visiteurs ?
05:41300 000.
05:4367 000 visiteurs.
05:45On était loin.
05:47Ce sont des encouragements que je lance.
05:49Exactement.
05:51Je vais me garder le point sur cette question.
05:53Je peux juste vous préciser que 70% des visiteurs sont fidèles.
05:58C'est-à-dire qu'ils reviennent d'année en année.
06:00Ce qui fait son succès d'ailleurs.
06:02J'imagine que les exposants reviennent notamment pour ça.
06:05On voit cette magnifique affiche cette année de la foire économique japonaise.
06:09On va tout miser sur la dernière question.
06:11Vous le savez, c'est comme ça le quiz.
06:13Qui va remporter le fameux trophée ?
06:15Tout se décide sur cette dernière question.
06:18Cocorico, ça va aller vite parce que là, ça fait le buzz.
06:21Cocorico, vive la Loire et encore une distinction internationale
06:24pour une entreprise de la Loire.
06:26Nous parlons de la société Deville, basée à Roche-la-Molière.
06:29Attendez, attendez avant de buzzer.
06:33Qui fabrique des macarons ?
06:355 millions d'euros de chiffre d'affaires, un four de 22 mètres,
06:3790 000 macarons par jour.
06:39Attention, ça fait tourner les yeux.
06:41Le label d'excellence internationale,
06:43Grid Test, 3 étoiles,
06:45pour un aliment qui est qualifié d'ex,
06:47qui est savoureux.
06:49C'est donc un macaron, mais à quel parfum ?
06:51Un macaron au citron.
06:53On voit les gourmands, ils répondent tous directement.
06:56C'est quand même une distinction internationale.
06:58Le macaron au citron, le meilleur macaron au citron au monde,
07:01il est dans la Loire,
07:03avec de la crème au beurre allégée,
07:05une crème anglaise avec du jus de citron de Sicile.
07:07C'est quand même pas mal.
07:09Inspiré d'Alain Ducasse.
07:11Inspiré d'Alain Ducasse.
07:13Vu que tout le monde a répondu,
07:15il n'y aura pas de remise de trophée,
07:17c'est le trophée Loire ECO.
07:19Voilà mon cher Rémi, une nouvelle étape du Quiz ECO.
07:21A la prochaine, pour une prochaine étape du Quiz ECO.
07:23A bientôt.
07:27Nous revoilà sur le plateau,
07:29avec Gilles Cayuela.
07:31Vous avez une tenue.
07:33J'ai arboré de jolies couleurs,
07:35une chemise très estivale,
07:37et j'ai même amené la petite serviette de plage.
07:39Pourquoi ?
07:41Parce qu'on reçoit bien évidemment
07:43Philippe Gaillard,
07:45le dirigeant et fondateur de Vitamine Vacances.
07:47Bonjour Philippe.
07:49Vous êtes le fondateur et dirigeant de Vitamine Vacances,
07:51une agence de voyage pas tout à fait comme les autres,
07:53puisque vous êtes installé au cœur
07:55de l'aéroport de Saint-Etienne-Bouthéon,
07:57qui n'est pas le plus attractif
07:59des aéroports de la région,
08:01soit dit au passage.
08:03Pourquoi ce choix d'implantation ?
08:05Ce choix d'implantation
08:07est dû au fait que je suis
08:09ligérien avant tout, et quand j'ai attaqué
08:11la société
08:13il y a quelques années en arrière, 15 ans l'année prochaine,
08:15j'ai décidé
08:17de m'implanter dans l'aéroport
08:19pour faire redécoller des avions
08:21de là-bas, et puis comme je fais
08:23une activité un peu sur mesure,
08:25je n'ai pas besoin d'avoir pignon sur rue.
08:27C'est la raison pour laquelle
08:29je suis à l'aéroport.
08:31Vous n'étiez pas embêté, à un moment donné, vous deviez être assez tranquille
08:33dans l'aéroport, non ?
08:35On était tranquille, mais on pouvait travailler
08:37en toute sérénité,
08:39et on recevait nos clients
08:41dans de très belles conditions.
08:43Donc ce n'était pas forcément un choix stratégique, c'était plutôt un choix du cœur finalement ?
08:45C'est un choix du cœur. Pendant des années,
08:47je faisais la route sur Lyon pour aller travailler
08:49pendant une vingtaine d'années à Lyon, aller retour journée.
08:51Aujourd'hui, quel bonheur !
08:53Ceci étant dit, mon cher Gilles, c'est quand même pas commun
08:55d'avoir une agence de voyage au sein d'un aéroport.
08:57Complètement.
08:59Justement, l'aéroport, tout le monde en parle.
09:01Faut-il maintenir cet équipement
09:03qui coûte aux collectivités et aux contribuables ?
09:05On imagine que pour vous, la réponse est oui.
09:07Vous qui avez relancé
09:09notamment cette année les vols charter,
09:11pensez-vous que cet équipement
09:13peut enfin redécoller ?
09:15Quel rôle comptez-vous jouer dans ce redécollage ?
09:17En étant installé
09:19au cœur de cet aéroport,
09:21je pense qu'il y a
09:23vraiment un rôle à jouer
09:25sur du multicanal
09:27au niveau des vols touristiques,
09:29commerciaux,
09:31sur différentes destinations.
09:33Ce qu'il faut, c'est ne pas se tromper
09:35au niveau destination.
09:37Il ne faut pas se tromper non plus
09:39de mettre foison de vol sur les mêmes destinations
09:41parce que le vivier ne permettrait pas
09:43de remplir des chaînes.
09:45Et puis, il y a d'autres possibilités
09:47pour du team building, pour des sociétés
09:49qu'on en fait
09:51et pourquoi pas au départ de Saint-Etienne
09:53au niveau des slots horaires qu'on peut avoir
09:55pour les avions, c'est quand même plus tranquille
09:57que d'un gros aéroport
09:59comme celui de Lyon.
10:01À noter, Gilles, qu'il y a aussi
10:03de l'aviation d'affaires qui décolle un petit peu,
10:05qui frémit un peu. On a quelques avions
10:07privés pour des chefs d'entreprise un peu pressés
10:09qui se développent sur l'aéroport de Saint-Etienne.
10:11Tout à fait. Vous avez
10:13commercialisé trois voyages
10:15pour l'instant au départ de Saint-Etienne-Bouthéon
10:17ce printemps.
10:19Il y en a trois autres programmées dès cet automne.
10:21Est-ce que vous comptez monter
10:23en puissance sur 2025 et si oui,
10:25quelle va être votre stratégie et les destinations
10:27que vous allez cibler ?
10:29Les destinations ciblées pour l'année prochaine,
10:31on aura un vol au mois d'avril
10:33sur la Crète
10:35au départ de Saint-Etienne le 19 avril
10:37en pleine vacances scolaires.
10:39On aura un vol le 24 avril
10:41sur l'île de Kos, la petite île de Kos
10:43face à la Turquie. Nous aurons
10:45deux vols sur le Monténégro au mois de mai,
10:47un vol le 21 mai
10:49pour 8 jours
10:51et puis on a deux vols au départ
10:53de Saint-Etienne pour le week-end
10:55de l'ascension, un sur le Monténégro
10:57en 5 jours 4 nuits et un sur Kos
10:59en 4 jours 3 nuits.
11:01Ça fait combien ?
11:03Ça fait une dizaine, une quinzaine de vols ?
11:05Ça va faire une dizaine de vols puisqu'à l'automne également,
11:07nous aurons un vol sur l'Albanie
11:09début octobre
11:11et début novembre,
11:13c'est pour fêter notre anniversaire
11:15chez Vitamine Vacances,
11:17on est à la moitié moins que Telcet,
11:19l'année prochaine, 15 ans,
11:21et pour ces 15 ans, on fait décoller un avion
11:23pour le Nil au départ de Saint-Etienne
11:25à destination de l'Égypte,
11:27destination cher à mon cœur.
11:29Quel confort de partir d'Andrézie-Boutéon.
11:31Alors Vitamine Vacances, c'est pas que des vols charter
11:33au départ de Saint-Etienne-Boutéon,
11:35c'est aussi et surtout des voyages sur mesure
11:37que vous proposez. Quel est
11:39votre quotidien depuis 14 ans ? Expliquez-nous un petit peu.
11:41Notre quotidien, c'est
11:43de renseigner les clients
11:45correctement. On est doté d'une
11:47belle équipe de professionnels
11:49du tourisme. Cinq salariés,
11:51c'est ça ? Cinq collaborateurs ? Cinq salariés plus moi,
11:53tous des vrais professionnels
11:55du tourisme. Notre
11:57leitmotiv, c'est qu'on accompagne
11:59nos clients de la
12:01demande jusqu'à leur retour
12:03et quand ils sont sur place, bien entendu,
12:05ils ont une assistance
12:07en cas de soucis, 24 heures sur 24,
12:097 jours sur 7. Donc on fait du sur-mesure
12:11parce qu'à destination, depuis une
12:13trentaine d'années, je travaille
12:15avec des fournisseurs qui sont devenus des
12:17amis et ils ne nous laissent pas tomber
12:19quand il peut y avoir un petit problème
12:21au bout. Justement, vous avez
12:23traversé en 15 ans pas mal de
12:25périodes un peu compliquées. Il y a eu le Covid récemment,
12:27avant il y a eu le printemps arabe qui a dû un petit peu
12:29aussi impacter
12:31votre activité. Vous avez quand même réussi
12:33à vous maintenir. Quel est
12:35le secret de cette réussite ?
12:37Le secret, c'est que c'est une
12:39petite boîte familiale
12:41où on a fait le caméléon
12:43pendant des années. On a attaqué
12:45par le printemps arabe. On a
12:47ouvert. Le printemps arabe est arrivé
12:498 jours après.
12:51Et puis le Covid, donc après
12:53en étant une petite structure, on a
12:55su s'adapter, demander des
12:57efforts à tout le monde, que ce soient nos fournisseurs,
12:59les employés.
13:01On a eu une belle aide
13:03des médias comme Tl7
13:05pendant le Covid
13:07parce qu'il nous fallait une visibilité
13:09pour dire à nos clients qu'on était toujours
13:11là malgré le fait qu'on était confinés.
13:13Et ça, ça ne s'oublie pas.
13:15Petite structure,
13:175 salariés, on l'a dit,
13:196 millions d'euros de chiffre d'affaires.
13:21Quels sont vos objectifs pour les années à venir
13:23et comment vous voyez dans 5 à 10 ans ?
13:25Alors, c'est pas
13:276 millions d'euros. Je vous remercie.
13:29C'est 3 millions.
13:31Donc,
13:33peut-être 6 millions dans 10 ans.
13:35C'est l'objectif.
13:37L'objectif,
13:39c'est de continuer à
13:41donner un service
13:43parce qu'aujourd'hui, nos clients nous le
13:45rendent bien. On est cachés
13:47dans l'aéroport de Saint-Etienne.
13:49On dit vivons cachés, vivons heureux.
13:51C'est nos clients qui sont
13:53nos plus beaux ambassadeurs et c'est
13:55eux qui nous renvoient du monde. Ça prouve une chose,
13:57c'est qu'on est dans le vrai et
13:59qu'on fait un vrai boulot de conseil.
14:01Sur votre site internet qui est tout
14:03récent, on peut lire
14:05que c'est pas notre lettre motive. Alors, qu'est-ce qui
14:07fait courir Philippe Gaillard ? Faire rêver
14:09mais on a coutume de dire que le rêve
14:11a un prix quand même.
14:13Notre quotidien, c'est
14:15de placer le client
14:17au centre de nos
14:19intérêts.
14:21On mène un cahier
14:23des charges avec eux quand on fait du sur-mesure
14:25et on essaye d'adapter
14:27son souhait
14:29à une destination,
14:31à son budget. Alors,
14:33des fois, on explique pourquoi on met peut-être
14:35un hôtel moins bien sur deux nuits
14:37pour lui permettre d'avoir
14:39un bel hôtel par exemple
14:41à Monument de Valais.
14:43The view qu'il faut,
14:45the place to be et c'est comme ça
14:47qu'on essaye d'avancer
14:49avec nos clients en
14:51les conseillant du mieux possible et
14:53nous le rendent bien aujourd'hui. Pour terminer,
14:55un mot rapide sur les
14:57voyages que vous faites gagner sur la foire
14:59justement. Vous pouvez nous en dire un petit peu ?
15:01Deux voyages. Je dirais
15:03partenaire un jour,
15:05partenaire pour toujours.
15:07Avec TELSET,
15:09quand on est venu nous voir pour savoir ce qu'on pouvait faire
15:11ensemble, on fait gagner
15:13au départ
15:15de l'aéroport de Saint-Etienne,
15:17un voyage puisque c'est la ville de naissance de
15:19TELSET, Andrés-Yves Boutillon.
15:21C'est de là où tout est parti. Voilà, donc
15:23on fait gagner un voyage en Crète
15:25pour deux personnes, départ le
15:2719 avril. Et puis
15:29on est partenaire avec Active Radio
15:31de la foire économique
15:33de Saint-Etienne depuis bientôt 13 ans.
15:35Et cette année, la destination
15:37à l'honneur étant le Japon,
15:39on fait gagner un voyage pour deux personnes
15:41à Tokyo, départ de Lyon
15:43avec Turkey Shirline,
15:45la petite paquette qui est là.
15:47Ça ne vous aura pas échappé que moi je suis déjà
15:49prêt. Si vous voulez, on peut partir.
15:51Il est tout prêt, c'est vrai. Est-ce que vous avez joué ?
15:53Il faut venir jouer sur le stand.
15:55Ils ont le droit.
15:57Merci beaucoup, c'est super pratique
15:59de partir de l'aéroport d'Andrés-Yves Boutillon.
16:01C'est facile pour se garer, il n'y a pas
16:03d'attente. On est
16:05dans un climat familial et c'est
16:07vraiment le grand confort de
16:09décoller de cet aéroport. Merci beaucoup
16:11pour votre fidélité, votre présence et votre
16:13soutien, Philippe, Vitamine Vacances.
16:15Merci beaucoup à tous et merci
16:17à TELSET et bel anniversaire. Merci à vous.
16:19Merci.
16:21Alors, est-ce
16:23que vous saviez que Saint-Etienne
16:25maîtrise un savoir-faire que l'on trouve
16:27nulle part ailleurs ? Eh bien,
16:29oui, ce savoir-faire a été créé
16:31sous le règne de Louis XIV.
16:33On parle du Banc
16:35National d'Épreuve, une institution
16:37qui est un des nombreux services de la
16:39Chambre de Commerce et
16:41d'Industrie qui fait écho
16:43à notre passé d'armurier.
16:4540 salariés travaillent
16:47dans ce banc national. C'est des ingénieurs, c'est des
16:49armuriers, c'est des techniciens. Ils éprouvent
16:5160 000 armes par an,
16:53ils neutralisent 3 000 armes
16:55par an et ils font 600 rapports
16:57d'essais. C'est un sujet de Lilian Bard.
17:11Bienvenue au Banc National
17:13d'Épreuve, c'est le seul en France.
17:15Un service de la Chambre de Commerce et d'Industrie.
17:17On est une petite quarantaine
17:19de salariés, des armuriers,
17:21des techniciens et des ingénieurs.
17:23Le chiffre d'affaires est aux alentours
17:25entre 3 et 3,5 millions d'euros
17:27selon les années.
17:29On éprouve
17:3160 000 armes à peu près.
17:33On neutralise entre
17:352 et 3 000 armes par an
17:37et on produit
17:39entre 500 et 600
17:41rapports d'essais.
17:43L'expertise des armes anciennes
17:45pour les armes qui sont importées
17:47hors Union européenne,
17:49elles arrivent au Banc d'Épreuve
17:51en statut sous douane.
17:53Ici, on va procéder à l'expertise.
17:55On va regarder les armes,
17:57leurs modèles, vérifier que l'arme
17:59a bien été fabriquée avant 1900
18:01et s'il est fabriqué avant 1900,
18:03on va faire son expertise et déclarer
18:05qu'elle est en détention libre.
18:07L'épreuve de l'arme,
18:09la grande majorité des armes que l'on éprouve
18:11sont des armes d'importation.
18:13La première opération va être de sortir
18:15l'arme de son emballage de vente,
18:17la mettre dans le char
18:19qui est notre unité de production
18:21et c'est le char qui va suivre tout le circuit
18:23de l'épreuve.
18:25À ce stade, on va vérifier les dimensions
18:27de la chambre,
18:29vérifier que la chambre est capable
18:31de la munition pour laquelle l'arme a été conçue.
18:33Le tir d'épreuve,
18:35on va tirer une munition qui est surchargée
18:37entre 25 et 30 %
18:39par rapport à la pression du commerce
18:41et ici, on a un affût de tir
18:43qui nous permet de déclencher le tir
18:45à distance. Le principe, c'est qu'on va
18:47fermer la porte et l'opérateur
18:49va déclencher le tir
18:51en toute sécurité.
18:53Et après le tir,
18:55un examen rapide de l'arme pour vérifier
18:57qu'il n'y a pas eu de déformation, pas de détérioration.
18:59Une fois que les armes
19:01ont été complètement éprouvées,
19:03on va éditer un certificat
19:05d'épreuve avec le statut,
19:07donc l'arme est conforme,
19:09et la copie du poinçon qui est
19:11apposée sur l'arme.
19:17Une activité du
19:19banc d'épreuves, la partie laboratoire,
19:21laboratoire de résistance balistique
19:23des matériaux, donc elle c'est une activité commerciale,
19:25contrairement aux autres activités.
19:27Et au laboratoire,
19:29on va tester la résistance
19:31d'échantillons, des plaques
19:33d'acier, d'aluminium, des vitrages,
19:35des gilets pare-balles, des casques, etc.,
19:37face à des menaces balistiques.
19:39Les clients viennent chez nous au laboratoire pour faire du développement
19:41ou pour avoir des rapports
19:43sous accréditation pour répondre
19:45à des appels d'offres, des cahiers d'écharges, etc.
19:49L'ancrage historique, ça correspond
19:51à la grande histoire armurière
19:53de la région, et c'est
19:55également
19:57une fierté de la région
19:59et un point sur
20:01lequel est la CCI
20:03et moi, en tant que directeur du Banque d'épreuves,
20:05nous souhaitons continuer de développer l'activité
20:07autour du contrôle
20:09des armes et des munitions.
20:15J'ai le plaisir de recevoir
20:17aujourd'hui dans mon face-à-face éco
20:19Samuel CIT, qui est le dirigeant de
20:21Jump Conseil, une société de coaching
20:23professionnel dont on va parler, basée à Saint-Guelmier,
20:25mais aussi le président du club d'entreprise
20:27actif d'Andrézieux.
20:29Bonjour Samuel.
20:31Bonjour Sylvain.
20:33Tout d'abord, les Ligériens veulent en savoir plus sur vous.
20:35Qui êtes-vous ? D'où venez-vous ? Quel est
20:37votre parcours de vie, cher Samuel ?
20:39Alors en fait, j'ai
20:41bientôt 52 ans dans quelques jours.
20:43Je suis né à Bourg-Cambresse
20:45et j'ai atterri
20:47dans la Loire il y a 44 ans maintenant,
20:49à Rosier-en-Donzie à l'époque.
20:51On vous adopte, on vous adopte Ligériens.
20:53Ça fait quelques temps que je suis dans le coin
20:55et je vis effectivement à Bellegarde
20:57en forêt depuis un peu plus de 20 ans maintenant
20:59et je développe mon activité avec un bureau
21:01qui est basé à Saint-Guelmier.
21:03D'accord. Alors Jump Conseil, c'est votre société.
21:05J'ai lu sur votre site,
21:07c'est du coaching personnalisé.
21:09Alors expliquez-nous, qu'est-ce que le coaching personnalisé ?
21:11Alors l'idée, c'est vraiment
21:13d'accompagner les dirigeants et c'est un peu
21:15ma singularité sur ce marché
21:17du coaching qui se développe,
21:19d'accompagner les dirigeants dans leur prise de hauteur.
21:21Alors pourquoi la prise de hauteur ?
21:23Les dirigeants sont, on va dire,
21:25confrontés à un environnement de plus
21:27en plus complexe, de plus en plus incertain,
21:29qui bouge de plus en plus vite.
21:31Et l'idée, c'est vraiment de leur proposer un espace
21:33dans lequel ils vont pouvoir se poser
21:35et les accompagner
21:37dans leur réflexion et dans leur prise de hauteur.
21:39Et il y a deux dimensions dans la prise de hauteur.
21:41Il y a vraiment la prise de distance
21:43pour se distancier émotionnellement
21:45de ce qu'on peut vivre,
21:47de ce à quoi on peut être confronté.
21:49Et il y a vraiment l'idée de la vue d'avion,
21:51c'est-à-dire de prendre de la hauteur pour remettre
21:53effectivement les sujets, les problématiques
21:55qu'on doit adresser, les remettre en contexte
21:57et avoir une vie d'ensemble des sujets
21:59sur lesquels on doit effectivement agir.
22:01Vous me rassurez parce que j'imaginais que prendre de la hauteur,
22:03c'est que vous pensiez que les dirigeants étaient terre à terre dans la Loire.
22:05Mais non, pas du tout. C'est justement pour prendre
22:07de la hauteur, pour essayer de prendre les bonnes décisions
22:09au bon moment. C'est bien ça ?
22:11Oui, je pense qu'une des compétences du dirigeant,
22:13c'est effectivement de travailler sur son discernement,
22:15sur sa lucidité
22:17pour prendre
22:19les meilleures décisions possibles.
22:21Après, je vous avoue que moi, une bonne décision, je ne sais pas trop ce que c'est.
22:23L'idée, c'est en tout cas
22:25déjà d'en prendre
22:27parce qu'il n'y a rien de pire que de ne pas prendre de décisions.
22:29Donc l'idée, c'est déjà d'en prendre, effectivement.
22:31Et puis de prendre le temps, effectivement,
22:33de prendre un peu de hauteur pour essayer, autant que possible,
22:35de prendre les meilleures.
22:37Ça va du dirigeant de la TPE jusqu'au dirigeant d'une PME,
22:39d'une PMI ?
22:41Effectivement, moi, j'ai commencé dans ce métier
22:43dans un cabinet lyonnais dans lequel
22:45j'ai été partenaire puis associé pendant
22:47quatre ans. Et là, l'activité était
22:49France entière, plutôt dans des grands groupes.
22:51Et depuis quatre ans, je me suis réinstallé
22:53effectivement dans le département avec
22:55une clientèle qui est beaucoup plus large et ça va
22:57effectivement de la
22:59TPE, voire PME familiale
23:01jusqu'à des groupes de plus grande envergure.
23:03Très bien. L'objectif du
23:05Face à Face, mon cher Samuel, c'est aussi de découvrir
23:07l'aspect particulier d'une personnalité.
23:09Vous êtes bénévole,
23:11président bénévole du club d'entreprise Actif
23:13depuis septembre 2021. En
23:15trois mots, qu'est-ce qu'Actif ?
23:17Alors, Actif, c'est un club territorial
23:19d'entreprise. Donc effectivement,
23:21c'est un club d'entreprise
23:23mais sur un territoire donné. Le
23:25territoire, en l'occurrence, c'est un club
23:27qui a été créé il y a 38 ans à Andrézieux
23:29par des cadres industriels
23:31à l'époque. Et l'idée, c'est vraiment
23:33de fonctionner un peu comme un cluster
23:35mais plutôt que le lien soit un
23:37domaine d'activité, ce qui fait le lien
23:39c'est la proximité géographique
23:41et c'est l'appartenance au territoire.
23:43Alors pourquoi on donne du temps bénévolement ?
23:45C'est quoi qui fait courir Samuel
23:47pour donner du temps à un club d'entreprise ?
23:49Ça, c'est une bonne question. Alors je pense que déjà,
23:51c'est un peu dans mon éducation et dans ma
23:53culture. C'est vrai que mes parents ont toujours été
23:55investis dans les
23:57associations auxquelles moi, j'ai
23:59été aussi, que ce soit le tennis, le basket
24:01et j'en passe.
24:03Et puis, ça fait 44 ans que
24:05je vis sur ce territoire
24:07et je pense que finalement, mon investissement
24:09chez Actif, c'est un peu ce qui
24:11m'anime. C'est un peu la même chose que l'accompagnement
24:13de dirigeants. C'est que je suis convaincu
24:15du potentiel de ce territoire et si
24:17à mon niveau, je peux permettre
24:19de le développer, de l'accompagner,
24:21j'en suis ravi.
24:23Et puis, pour être beaucoup plus
24:25terre à terre, ça me permet
24:27de rencontrer aussi un certain nombre de mes clients.
24:29Forcément. Rendre au territoire tout ce qu'il
24:31vous a donné, je crois que c'est vraiment ça
24:33le mot de conclusion. Avant de terminer, on va faire
24:35un traditionnel thé au café.
24:37Je vais vous faire deux propositions. Vous allez choisir
24:39sans argumenter. Alors,
24:41président bénévole ou dirigeant
24:43d'entreprise ?
24:45Dirigeant d'entreprise. Transat, bronzette
24:47ou sac à dos, basket ?
24:49Sac à dos, basket. Économie
24:51ou écologie ?
24:53Je ne choisis pas là.
24:55Avion ou train ? Il n'y a qu'un seul
24:57joker, attention. Avion ou train ? Train.
24:59Sport collectif ou sport individuel ?
25:01Sport collectif. Condrieux
25:03ou bourgogne ? Condrieux.
25:05Salaire ou dividende ?
25:07Salaire.
25:09Petit commerce ou marketplace ?
25:11Petit commerce.
25:13TL7 ou TL7 ? TL7.
25:15MEDEF ou CPME ?
25:19MEDEF.
25:21Presse quotidienne
25:23ou réseau social ?
25:25Réseau social.
25:27André Zieux ou Saint-Gallemier ?
25:29Saint-Gallemier. Et enfin,
25:31thé ou café ? Café.
25:33Eh bien voilà, j'ai eu le plaisir de recevoir dans mon
25:35face-à-face écho en direct de la Foire,
25:37Samuel CIT qui fait prendre de la hauteur
25:39au dirigeant mais aussi le président
25:41du club d'entreprise actif André Zieux.
25:43Merci.
25:49Le salon du futur.
25:51Le salon de l'industrie du futur,
25:53c'est Laurent Vinault
25:55qui va avec son invité nous
25:57parler de ce salon.
25:59Alors on va parler effectivement du salon du futur,
26:01du salon GoFab
26:03qui s'inscrit effectivement dans ce
26:05qu'on appelle le programme national
26:07industrie du futur. C'est un programme
26:09qui a été lancé en 2015
26:11et qui a comme prétention de moderniser
26:13les outils et processus
26:15de production du secteur
26:17industriel et d'accélérer
26:19la mutation à la fois
26:21économique,
26:23numérique et
26:25écologique. Cette
26:27transformation qu'on pourrait d'ailleurs appeler plus
26:29raisonnablement une révolution
26:31parce qu'elle remue les choses vraiment
26:33en fond vers l'industrie
26:35du futur.
26:37Ça pariente véritablement à une
26:39révision globale de
26:41vos systèmes, vous industriel,
26:43de vos systèmes de production
26:45industrielle et se traduit,
26:47je l'ai dit, par la numérisation des
26:49processus de fabrication, l'intégration
26:51de ce qu'on appelle les technologies avancées,
26:53c'est-à-dire l'intelligence artificielle,
26:55le robot collaboratif,
26:57la réalité virtuelle est augmentée,
26:59l'internet par les
27:01objets, ce fameux IOT,
27:03pour gagner
27:05à la fois en compétitivité,
27:07mais également pour donner
27:09plus de souplesse à vos modèles d'organisation.
27:11Alors j'ai le plaisir d'accueillir
27:13Olivier Blanc qui est le président de
27:15Sam Outillages,
27:17cette industrie
27:19emblématique qui est à quelques
27:21heures d'ici centenaire, qui est spécialisée
27:23dans l'outillage à main
27:25mais également dans les solutions
27:27de rangement intelligent. Vous êtes
27:29en parallèle élu à la chambre de commerce et
27:31industrie Lyon-Métropole-
27:33Saint-Etienne-Rouen,
27:35et vous êtes à l'initiative effectivement
27:37de la troisième édition du salon
27:39GoFab
27:41qui se tiendra à l'Arena
27:43Saint-Etienne-Métropole,
27:45avec le concours des grandes écoles,
27:47avec le concours également
27:49du centre technique le CETIM,
27:51et puis également de certains partenaires
27:53comme la Caisse de Crédit Agricole,
27:55Groupama, Astres Software,
27:57j'en oublie, je vous prie de m'excuser.
27:59Alors, Olivier Blanc,
28:01réindustrialisé, intégré
28:03les technologies du numérique dans l'entreprise,
28:05répondre, je l'ai dit, aux exigences
28:07sociales et environnementales.
28:09A priori, le chantier paraît
28:11complexe, important.
28:13Est-ce que la France,
28:15première question, a par rapport
28:17à nos voisins européens, les 26 membres
28:19de l'Union Européenne, est-ce qu'on a déjà un retard
28:21à résorber ?
28:23Alors, un retard, mon cher Laurent,
28:25je ne crois pas.
28:27Il faut faire un petit retour
28:29en arrière pour bien comprendre,
28:31et pas très loin. En fait, dans les années
28:3390, on a vécu une grosse
28:35vague de délogalisation industrielle
28:37parce qu'à ce moment-là,
28:39on a raté le passage à l'industrie
28:413.0. Vous savez, ce moment
28:43où l'informatique et l'électronique
28:45ont révolutionné nos chaînes de fabrication.
28:47Et je crois que, de ce constat,
28:49on a pris beaucoup de leçons,
28:51on a mis beaucoup d'initiatives
28:53en place, et justement,
28:55je crois que la France
28:57a pris le chemin de l'industrie 4.0
28:59et vous verrez que, très bientôt,
29:01on parlera aussi de l'industrie
29:035.0. Donc, c'est un futur
29:05très immédiat. Alors, le terme
29:07même d'industrie du futur va
29:09recouvrir des réalités très différentes
29:11en fonction de la taille
29:13de l'entreprise industrielle. Est-ce qu'on peut
29:15considérer que, finalement, l'industrie
29:17du futur, ce fameux 4.0,
29:19avant le 5.0 que vous évoquez,
29:21de cette révolution
29:23industrielle, est-ce que ce n'est pas plus
29:25cette industrie du futur
29:27une invitation pour le
29:29responsable d'entreprise à réfléchir
29:31à une stratégie pour
29:33imaginer, justement, son
29:35entreprise de demain et imaginer le futur
29:37de celle-ci. C'est ça un peu
29:39la définition ? Tout à fait.
29:41Tout à l'heure, vous avez cité
29:43tout ce que regroupe l'industrie 4.0.
29:45C'est plein de nouveaux procédés,
29:47plein de nouveaux process, plein de nouvelles
29:49technologies. En fait, le travail
29:51pour le chef d'entreprise, au début,
29:53c'est de définir à quoi ça va
29:55lui servir, quel objectif
29:57il veut mener. Est-ce qu'il veut
29:59maintenir un parc machine important ?
30:01Est-ce qu'il veut décarboner
30:03et faire des économies ?
30:05Est-ce qu'il veut faire
30:07de l'innovation ? Est-ce qu'il a besoin
30:09de faire des prototypes ? Dans ce cas-là, il va
30:11se servir de l'impression 4.0
30:13pour y arriver. Est-ce qu'il
30:15veut améliorer la qualité des produits ?
30:17Vous voyez, c'est...
30:19Toutes ces questions qu'il doit se poser
30:21pour pouvoir trouver les bonnes solutions.
30:23Par rapport à toutes ces questions qu'il doit se poser,
30:25vous, Olivier Blanc, chez SAM Outillages,
30:27qu'est-ce que vous avez imaginé, qu'est-ce que vous avez
30:29exploré, puisque vous avez mis en place
30:31un plan de transformation
30:33pour la période 2020,
30:352021, pardon, 2025 ?
30:37Qu'est-ce que vous avez exploré comme piste ?
30:39Ce qu'il faut bien comprendre,
30:41SAM, c'est un bon reflet puisque
30:43c'est une industrie vieille
30:45qui a été créée dès 1906.
30:47C'est une industrie faite de forge,
30:49faite d'usinage, faite de
30:51traitement thermique. Et au moment
30:53du Covid, on a pris à ce moment-là
30:55une vraie claque avec l'arrêt de l'activité.
30:57Et il a fallu qu'on réfléchisse
30:59au vrai sens de notre entreprise,
31:01au vrai, bien fondé,
31:03la vraie raison d'être de notre
31:05entreprise. Et la vraie raison
31:07d'être, c'est de créer des produits,
31:09c'est de créer des solutions,
31:11c'est d'apporter de la productivité,
31:13de la sécurité, du confort
31:15à nos clients. En même temps,
31:17on a fait le constat
31:19qu'on perdait en compétitivité
31:21sur le plan international. Donc, il fallait
31:23aller chercher des économies.
31:25C'est pour ça qu'on a initié
31:27ce qu'on a appelé
31:29nous, la stratégie CAP5I,
31:31qui a été basée
31:33sur cinq éléments, l'innovation,
31:35le développement à l'international,
31:37le digital,
31:39l'individu, extrêmement important,
31:41et l'industrialisation
31:43pour réussir notre transformation.
31:45On a investi plus de 15 millions d'euros
31:47sur les cinq dernières années
31:49pour réussir ce passage
31:51à un nouveau monde
31:53dans lequel on a sorti
31:55beaucoup de nouveaux produits,
31:57dont la fameuse gamme Samouraï dont on parle
31:59et qu'on présentera au salon GoFab.
32:01Et pour clôturer tout ça,
32:03parce qu'on avait besoin encore
32:05plus de comprendre la leçon,
32:07on a fait l'acquisition en juin,
32:09le 28 juin dernier,
32:11de la société Sori,
32:13qui est une tôlerie industrielle basée
32:15à Tullens, près de Grenoble,
32:17et qui, elle, est un exemple
32:19de l'industrie 4.0
32:21et que je vous invite à venir visiter.
32:23Alors, précisément, Olivier Blanc,
32:25vous venez d'indiquer que
32:27pour conduire cette industrialisation
32:29ou réindustrialisation, il faut investir.
32:31Vous avez dit, j'ai investi 15 millions d'euros.
32:33Donc ça a un coût.
32:35Ce coût, comment est-ce qu'on le finance
32:37et surtout comment on se fait aider
32:39nationalement, mais aussi localement
32:41et là, je pense aussi
32:43aux partenaires financiers
32:45mais aussi aux partenaires économiques.
32:47Comment ça marche ? Quel est le mode d'emploi ?
32:49Alors déjà, il faut être à l'affût
32:51justement de toutes les possibilités,
32:53d'où le fait que je sois très impliqué
32:55à la CCI, mais aussi à la CPME
32:57et aussi, je suis président
32:59du syndicat de l'outillage à main.
33:01Il faut reconnaître qu'il y a eu
33:03beaucoup de très bonnes initiatives
33:05qui ont été prises ces dernières années.
33:07Il y a eu tendance en France
33:09à râler, à critiquer,
33:11mais simplement, il faut se rappeler
33:13la mise en place de l'alternance,
33:15il faut se rappeler
33:17des PGE, du plan France Relance,
33:19de la baisse
33:21des taxes de production, même si
33:23elles n'ont pas été totalement annulées,
33:25de l'impôt des sociétés à 25%,
33:27qui est passé de 33% à 25%,
33:29ça a été un ensemble de bonnes mesures
33:31qu'il faut souligner et qui nous ont permis
33:33de réinvestir de façon importante
33:35dans ce monde 4.0.
33:37Un autre partenaire important,
33:39et ça, je veux le souligner,
33:41ce sont bien sûr nos partenaires banquiers
33:43qui jouent un rôle local
33:45extrêmement fort.
33:47Je me suis attaché depuis des années
33:49à faire preuve du maximum de transparence,
33:51à faire ce qu'on dit, à dire ce qu'on fait,
33:53pour qu'ils se sentent
33:55en confiance totale et prêts
33:57à financer tous ces projets
33:59qu'on a développés.
34:01Dans cette industrie du futur,
34:03que ce soit un futur immédiat ou proche,
34:05avant de passer au 5.0,
34:07l'humain restera quand même
34:09au cœur de l'entreprise.
34:11Pour autant, j'imagine que les métiers
34:13et les compétences vont être différents.
34:15Est-ce qu'on peut déjà avoir un portrait robot
34:17de ce que seront les métiers de demain ?
34:19Alors, c'est très difficile de parler
34:21des métiers de robot, des métiers de demain,
34:23et c'est pour ça que moi,
34:25je vous invite à venir à ce salon
34:27GoFab, qui aura lieu donc
34:29jeudi prochain, parce que sur une journée,
34:31vous allez pouvoir vivre
34:33tous ces nouveaux métiers et vous allez pouvoir
34:35être confrontés à
34:37l'ensemble de ces
34:39collaborateurs qui
34:41développent dans les entreprises
34:43toutes ces nouvelles solutions.
34:45Aujourd'hui,
34:47moi j'ai été frappé d'un exemple,
34:49j'ai eu la chance l'année dernière de pouvoir visiter
34:51l'usine Ferrari à Maranello.
34:53Et j'ai été frappé de voir
34:55comment ils étaient capables d'allier
34:57à la fois la robotisation qu'ils mettent autour
34:59d'une Ferrari, et 5
35:01opérateurs, en disant
35:03que leur principal souci,
35:05c'est de faire en sorte que l'opérateur
35:07n'ait pas de stress.
35:09Et moins il a de stress, et mieux
35:11il travaille sur la voiture.
35:13Donc pour l'industrie de demain,
35:15vous nous rassurez, si je puis dire,
35:17à la fois de la robotisation,
35:19cette intelligence artificielle,
35:21mais toujours de la bienveillance par rapport
35:23à l'humain, toujours de la place pour la responsabilité
35:25sociale des entreprises.
35:27C'est ce qu'on peut découvrir, c'est toutes ces facettes
35:29qu'on peut avoir au Salon GoFab,
35:31le 3 octobre, à l'Arena Saint-Etienne
35:33Métropole.
35:35C'est bien ça, l'entrée est gratuite ?
35:37C'est l'entrée gratuite, bien sûr.
35:39Merci beaucoup, vous vouliez rajouter autre chose ?
35:41Justement, je voulais dire que
35:43l'ARSE, c'est un pilier
35:45fondamental, au même titre que le
35:47résultat ou la trésorerie d'une entreprise.
35:49C'est devenu extrêmement fort, parce que
35:51c'est
35:53l'ARSE
35:55aujourd'hui, qui permet l'engagement
35:57total des équipes.
35:59Et je voudrais dire quand même qu'à Saint-Etienne,
36:01on a cette chance énorme
36:03de pouvoir avoir des
36:05collaborateurs totalement
36:07engagés dans la culture de l'entreprise,
36:09adhérents à nos valeurs, et qui
36:11nous suivent dans toutes les
36:13aventures qu'on mène avec eux.
36:15L'ARSE est avant tout un état d'esprit.
36:17Un état d'esprit.
36:19Là, vous avez fait plaisir à Monsieur Villon, parce que c'est un fervent
36:21défenseur de l'ARSE
36:23et tout ce qui touche au sens
36:25des chefs d'entreprise. Et en tout cas,
36:27vous êtes très impliqués, vous nous l'avez dit tout à l'heure,
36:29Monsieur Blanc, et on aime
36:31les gens qui sont impliqués dans leur territoire.
36:33Bravo pour toute votre action au niveau de
36:35tous vos mandats. Merci, Monsieur Blanc.
36:37Merci à vous. Et merci beaucoup, TL7.
36:44Alors, nous allons continuer
36:46avec Laëtitia Levener. Laëtitia,
36:48content de vous revoir pour
36:50cette rentrée ici à la foire de Saint-Etienne.
36:52Nous allons parler d'Industyle.
36:54Industyle, on connaît
36:56tous, parce que quand on part
36:58de Saint-Etienne et qu'on va en direction de
37:00Lyon, on voit à un moment une grande
37:02cheminée. Et
37:04c'est le passé
37:06qui aujourd'hui existe
37:08depuis très longtemps. Et aujourd'hui,
37:10c'est une entreprise à la pointe, Industyle.
37:12Industyle. Alors oui, mon sujet
37:14va allier sport et industrie.
37:16Et je suis ravie de pouvoir vous présenter ça.
37:18Donc, quel est le point commun entre
37:20la torche de la
37:22flamme olympique et les
37:24anneaux qu'on a pu admirer
37:26sur la Tour Eiffel, les anneaux olympiques qu'on a pu
37:28admirer sur la Tour Eiffel, à votre avis ?
37:30On a trouvé A.
37:32C'est l'acier. Et l'acier
37:34provient justement de la société Industyle.
37:36ArcelorMittal.
37:38Qui fait partie, donc, effectivement,
37:40c'est une des filiales de ArcelorMittal.
37:42Industyle, donc, située à Châteauneuf,
37:44comme vous l'avez dit, mais également aussi à Saint-Chamond.
37:46En fait, en gros, dans la Vallée du Gier,
37:48les deux cheminées, c'est Industyle.
37:50Alors, les flammes olympiques,
37:52il y en a eu quand même 2000 qui ont été
37:54produites. C'est un nombre exact.
37:56Et il n'y en a pas eu une de plus.
37:58C'est 2000, exactement.
38:00Et, en fait, pourquoi on a confié
38:02à Industyle la réalisation
38:04justement de cet acier ?
38:06Puisqu'en fait, Industyle, c'est un
38:08spécialiste d'acier spéciaux.
38:10Et cette entreprise,
38:12alors, fleurons, quand même,
38:14de notre territoire.
38:16Ça vient de chez nous.
38:18Ça vient de chez nous. C'est 160 ans
38:20d'histoire, quand même.
38:2235 000 tonnes d'acier recyclé.
38:24Et ça, c'est quand même important
38:26également pour le choix de l'entreprise.
38:28Et 300 personnes.
38:30300 personnes qui travaillent.
38:32Ça fait partie des gros employeurs
38:34de la Vallée du Gier.
38:36Et non, 3-8, souvent.
38:38Et oui, totalement. Donc, grâce à ce savoir-faire
38:40de pointant, Industyle
38:42a été choisi par rapport
38:44à cet acier. Alors, pour soit quoi
38:46cet acier, il doit être extrêmement
38:48résistant pour supporter des conditions
38:50rigoureuses de transport et
38:52d'utilisation, mais également
38:54une pureté exceptionnelle. Parce que si
38:56vous l'avez vu, j'ai pu mettre
38:58une image de la torche
39:00juste avant. Et puis, il y en a plein qui ont dû
39:02la voir. Elle est avec
39:04cet effet un peu goutte d'eau.
39:06Et c'est une tôle de 0,7
39:08millimètre exactement.
39:10Il a fallu avoir une finition
39:12parfaite. Donc, voilà.
39:14Industyle, derrière,
39:16c'est vraiment la fabrication
39:18de l'acier. Donc, récupération
39:20de cet acier qui est 100% recyclé,
39:22récupéré dans
39:24un périmètre autour.
39:26Et c'est un acier
39:28qui a été, on va dire,
39:30qualifié, conçu
39:32directement pour
39:34cette torche
39:36et ses anneaux. Donc, c'est ce qu'on appelle
39:38une nuance. Et l'exploit
39:40des équipes d'Industyle, c'est qu'il leur a fallu
39:42que 7 jours pour qualifier
39:44cette nuance, alors qu'habituellement, il leur
39:46faut quand même 12 semaines.
39:48Donc, on peut dire qu'on peut faire ce lien entre le sport, justement,
39:50et l'industrie, et la
39:52performance, puisqu'en fait, les équipes
39:54ont fait ce record,
39:56elles, en interne, en sachant que tout est resté
39:58secret, parce que ça a été travaillé
40:00il y a plus d'un an, sur ce projet-là.
40:02Il y a beaucoup d'entreprises, d'ailleurs, sur le territoire
40:04qui sont restées dans ce principe, justement,
40:06de secret autour
40:08de
40:10l'olympisme, on va dire, puisqu'il y a
40:12beaucoup d'entreprises en termes de sous-traitance.
40:14Voilà, silence radio.
40:16Par contre, alors, de cette expérience
40:18Industyle, ce qu'il faut aussi valoriser
40:20chez eux, c'est leur démarche en termes de
40:22développement, également, empreinte
40:24carbone, puisque cet acier-là
40:26également, il est à bas
40:28carbone, donc vraiment réduction
40:30au maximum. Et donc,
40:32on peut dire que c'est quand même une médaille d'or
40:34qu'on peut remettre à
40:36Industyle, puisque j'ai
40:38aussi une exclusivité sur eux.
40:40J'ai une petite exclue, j'aime bien venir avec des exclus.
40:42Ils sont en train de finaliser
40:44un parc de panneaux
40:46photovoltaïques, des panneaux
40:48solaires de 3 hectares
40:50quand même, sur
40:52leur usine
40:54au niveau
40:56de Châteauneuf. Pour eux,
40:58c'est réellement un véritable
41:00engagement et une posture sur le développement
41:02durable, donc 3 hectares de
41:04panneaux solaires, ça va être le plus
41:06grand de la Vallée du Gier, en tout cas, pour le
41:08moment. C'est normal, c'est l'entreprise qui consomme le plus
41:10d'énergie de la Vallée du Gier, parce que
41:12c'est incroyable. Tous ces fours,
41:14tous ces brûleurs, et ils travaillent aussi pour
41:16la NASA, ils travaillent aussi pour
41:18des grands aviateurs avec des tôles qui sont
41:20particulièrement lourdes ou particulièrement fines.
41:22Et c'est vrai que quand on visite cette usine,
41:24c'est quelque chose qui est
41:26extraordinaire, tous ces métiers, tous ces savoir-faire
41:28et tout
41:30ce patrimoine qui fait partie de notre passé
41:32et qui, aujourd'hui, nous projette
41:34un peu dans l'avenir, parce qu'ils sont toujours à la pointe de la
41:36technologie. Et ils sont toujours à la pointe de la technologie
41:38et ils cherchent toujours à l'être, en fait, à la pointe
41:40de la technologie. Alors moi, j'aurais posé
41:42aussi la question, qu'est-ce que ça a fait
41:44en interne, finalement, d'avoir travaillé sur un
41:46projet comme, justement, une flamme olympique
41:48et ses anneaux. Ils nous ont dit
41:50qu'il y a eu énormément de fierté, en fait,
41:52des équipes, parce qu'alors
41:54déjà, ils ont travaillé dessus sans le savoir au départ,
41:56puisqu'il y avait de la
41:58confidentialité, et quand ils l'ont appris,
42:00il y a vraiment eu cette notion de fierté.
42:02Et la fameuse nuance qu'ils ont mis au point, est-ce qu'ils vont la réutiliser
42:04ou pas du tout ? Alors, ils vont la réutiliser,
42:06parce que, du coup, ArcelorMittal
42:08l'a baptisé, ils lui ont donné un petit
42:10nom, c'est X-Carb, maintenant, cette
42:12nuance spécifique,
42:14qui va être réutilisée, ça va être commercialisé.
42:16Alors, pour les équipes, justement,
42:18de chez Industyle, on peut quand même valoriser
42:20que, du coup, il y a plusieurs salariés qui sont, du coup,
42:22portés volontaires pendant les JO
42:24à Saint-Etienne. Voilà,
42:26même, il y a un marathonien dans leurs
42:28équipes, et puis, il y a également
42:30eu deux porteurs de
42:32flammes dans leurs équipes. Donc, c'est
42:34plutôt pas mal. Et je rajoute encore un tout petit truc,
42:36c'est qu'on a la société, aussi, à Cobal,
42:38à Saint-Chamond, qui font des plastiques,
42:40j'étais déjà venue présenter cette société,
42:42qui, eux, ont emballé
42:44les torches.
42:46Et oui, c'est plutôt pas mal,
42:48c'est eux qui les ont emballés avec leur plastique
42:50anti-corrosion, pour les préserver, justement,
42:52pendant le transport. Merci beaucoup, Industyle,
42:54à Châteauneuf et Saint-Chamond. Merci, Laetitia Lemanneur.
42:56Pour terminer, Gilles Cayuela,
42:58vous allez nous parler du journal des entreprises.
43:00Oui, un petit mot pour vous parler du numéro de septembre
43:02du journal des entreprises Auvergne-Rhône-Alpes,
43:04dans lequel vous retrouverez une enquête
43:06sur la filière textile
43:08de la région, qui s'organise
43:10pour faire face aux polluants éternels,
43:12les fameux PIFAS. Voilà, et puis,
43:14également, tout un tas d'informations sur les entreprises
43:16de notre département, dont
43:18Valentin Traiteur, qui a racheté récemment
43:20un groupe du Jura. Et tout ça est à lire
43:22en format papier, ou sur le
43:24www.lejournaldesentreprises.com
43:26Merci beaucoup.
43:28On espère que vous avez apprécié cette émission.
43:30Vous savez, la Loire est un territoire avec
43:32plein de savoir-faire, et nous, à Loire & Co, on aime vous
43:34le faire savoir, pour cette émission spéciale
43:36Foire de Saint-Etienne. A très bientôt. Merci.

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