Je me tue à le dire

  • le mois dernier
Michel est un trentenaire qui sait bien que la mort est inéluctable. Pourtant, il en a peur. D'autant qu'il ne souhaite pas finir comme sa mère, bientôt placée en maison de convalescence et atteinte d'un cancer du sein. Devenu hypocondriaque, phobique et obsessionnel, Michel commence à développer des symptômes similaires : il perd ses cheveux par plaque et une étrange grosseur est apparue sur sa poitrine. Son médecin a beau lui dire qu'il n'a rien de grave, Michel est persuadé que pour lui, c'est le début de la fin. Il n'en fallait pas plus pour qu'Aurélie, sa compagne qui ne supporte plus ses névroses, choisisse de quitter ce spécialiste de la psychosomatisation...
Transcription
00:31C'est une blague ?
00:32J'ai jamais vu quelqu'un mourir aussi mal.
00:34On n'est pas bien, là ?
00:36Magnifique.
00:41C'est pas des seins, ça.
00:42C'est des manelons.
00:43C'est grave quand ça bouge ou quand ça bouge pas.
00:49Dans quel pays est-ce que tu vis, monsieur ?
00:52Je croyais que je suis pas au courant.
00:53Que quand il y a rien, parfois, il est permis quelque chose.
00:57Je sais comment je me sens.
00:58Je me sens pas très bien.
00:59Vous êtes un peu pâle, hein ?
01:00Vous avez mal à la tête ?

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