• le mois dernier
Mardi, un nouveau rassemblement contre Israël avec des appels à l’intifada s’est déroulé au sein de Sciences Po Paris. Mercredi, une table ronde avait lieu sur la rentrée universitaire à l’Assemblée nationale, une occasion d’aborder et de dénoncer ces rassemblements. Mais pour Louise Garnier, responsable de l’UNI, «on les autorise à faire le bazar pendant un quart d’heure, ensuite on siffle la fin de la récréation et tout le monde va en cours».

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Transcription
00:00Oui, bien sûr, ce sont tous des étudiants à Sciences Po qui se donnent rendez-vous.
00:03Moi, ce qui m'étonne, c'est l'importance qu'on accorde au rassemblement qui a eu lieu mardi,
00:07puisque pour nous, étudiants de Sciences Po, on les voit toutes les semaines,
00:09si vous voulez, tous les jeudis, de midi 15 à midi 30,
00:12donc jeudi, là, juste après, ce midi, ils seront encore.
00:15Il y a une minute de silence qui est organisée, pourquoi pas une minute de silence,
00:19mais si vous voulez, quand vous amenez des mégaphones
00:21et que vous êtes masqués avec des keffiers pour faire une minute de silence,
00:24je ne suis pas sûre qu'on soit seulement sur l'hommage.
00:26Il y a aussi des revendications très violentes qui sont proférées de manière hebdomadaire.
00:29Mais est-ce qu'elles sont illégales, ces revendications ?
00:31Non, bien sûr que non, elles ne sont pas du tout illégales, elles sont totalement acceptées.
00:34Si vous voulez, c'est un espèce de compromis qu'a trouvé l'administration,
00:37on les autorise à faire le bazar pendant un quart d'heure,
00:38ensuite, on cible la fin de la récré et tout va en cours.

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