Francis Perrin se confie dans Vivement dimanche sur France 3 face à Michel Drucker.

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Transcription
00:00Un point en commun, c'est qu'il a toujours été proche des enfants en difficulté.
00:06Bien sûr.
00:07Et toi, tu as connu...
00:08Il était pour personnages, oui.
00:10Et puis moi, j'ai connu ça avec Louis.
00:12Avec Louis.
00:13Qui est autiste.
00:14Autiste.
00:15Voilà, et on s'est battus avec...
00:16Qui est maintenant comédien.
00:17Avec mon épouse, qui est comédienne, Louis, maintenant, qui a 22 ans.
00:20Et qui était autiste sévère.
00:26Grâce au traitement ABA, qui est un traitement qui n'est pas du tout...
00:31Qui est sans médicaments, qui est simplement de stimulation,
00:35il est arrivé à être autonome et à devenir comédien.
00:39Les médecins qui l'ont examiné n'avaient pas mâché leur mot.
00:42On m'avait dit, faites le deuil de votre enfant, laissez tomber.
00:52Et on n'a pas laissé tomber avec Gersand.
00:55Et Louis, maintenant, est ce qu'il est.
00:59Et grâce aussi à toute la famille, à ses frères et sœurs,
01:03à Jeanne, qui est sa sœur un peu plus élevée,
01:09et puis Clarisse et Baptiste, ils ont été formidables.
01:12Je crois que la famille aussi, l'amour a été très important.
01:15Et puis Louis aussi, dans son envie de progresser,
01:22et ce qu'il fait toujours maintenant.
01:25Alors, tu as voulu écouter Julien Clerc.
01:28Ah oui.
01:29Parce que lorsque tu es sorti de chez le médecin,
01:32tu n'avais pas mâché ses mots,
01:34tu as écouté une chanson de Julien qui s'appelle « Ce n'est rien ».
01:36Voilà.
01:37Qu'il a composée avec Roda Gilles.
01:39On va l'écouter.
01:40Et puis après, on va recevoir ton fils et sa maman, ton épouse.

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