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Dans l'Atlas marocain, les tatouages qui ornent les visages et les mains des femmes berbères, autrefois considérés comme des signes de beauté et d'appartenance à une tribu, sont une tradition qui se perd sous l'influence de la modernité et des interprétations religieuses.

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00:30Je suis enceinte et je ne peux pas aller à l'hôpital, je ne peux pas aller à l'hôpital parce que je n'ai pas d'argent.
00:38Je ne peux pas aller à l'hôpital parce que je n'ai pas d'argent.
00:41Je ne peux pas aller à l'hôpital parce que je n'ai pas d'argent.
00:44Je ne peux pas aller à l'hôpital parce que je n'ai pas d'argent.
00:47Je ne peux pas aller à l'hôpital parce que je n'ai pas d'argent.
00:50Je ne peux pas aller à l'hôpital parce que je n'ai pas d'argent.
00:53Je ne peux pas aller à l'hôpital parce que je n'ai pas d'argent.
00:56Je ne peux pas aller à l'hôpital parce que je n'ai pas d'argent.
01:16Alors, pourquoi ça, la faillite ?
01:20Les salafistes pensent qu'ils vont tous aller en enfer.
01:26C'est une erreur, il n'y a pas d'évidence coranique ni d'évidence religieuse.
01:30C'est pourquoi nous encourageons les femmes amazighes à exprimer leur culture,
01:35leur identité, leur respect de leur identité et de leur histoire,
01:38pour les attaquer à l'âge ancien,
01:40et à ne pas se restreindre à des choses qui n'ont rien à voir avec la religion.
01:51Nous trouvons que chaque tribu a sa propre couleur,
01:55sa propre forme de peinture,
01:57sa propre identité et sa propre identité.
02:01C'est la même chose pour l'ouisham.
02:04Chaque tribu a sa propre couleur,
02:07sa propre forme de peinture et sa propre identité.

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