Dans le cadre d'un reportage diffusé durant l'émission 20h30 le samedi, Francis Cabrel a révélé pourquoi il n'acceptait pas tout le monde au sein de son école de musique.

  • il y a 5 heures

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Transcription
00:00...
00:02Est-ce que vous voulez bien noter
00:04les trois premiers mots qui vous passent par la tête ?
00:07Vous allez faire une adaptation en français de yesterday
00:11en utilisant les mots que vous avez notés.
00:13-"Pendant les 10 jours de stage,
00:15les jeunes artistes ont des exercices d'écriture
00:18encadrés par des pros."
00:20Il faut que ça ait un sens, une histoire,
00:22dans un temps très court.
00:24C'est dur, non ?
00:25Oui, c'est dur. Franchement, c'est très dur,
00:28surtout le matin.
00:29On peut te demander si ça avance ?
00:31Euh...
00:32Ca avance.
00:34Il me reste le refrain, très précisément.
00:36Il fait 12, plus une heure.
00:394 heures, merci.
00:40Il faut le chanter, hein.
00:42L'Italie
00:44J'y suis allée trois fois dans ma vie
00:48Ou peut-être quatre, je ne sais plus
00:52Fébrile vertige
00:54Au matin frêle
00:57As-tu des amis ?
01:00Es-tu heureux, petit frère ?
01:04C'est important qu'on les incite à composer en français.
01:08Mais c'est primordial.
01:10Rires
01:12C'est plus qu'important.
01:14On n'a jamais accepté de gens qui composaient en anglais.
01:17Ca n'aurait pas de sens.
01:19C'est une langue assez commode, qui sonne tout de suite,
01:22confortablement.
01:23On peut mal accéder aux mots.
01:25Donc, nous, on a déjà hérité de gens qui voulaient, justement,
01:29se soigner de l'addiction à l'anglais pour passer à la langue française.
01:32Vous êtes plus sain.
01:33Ca, ça me plaît beaucoup.
01:35Rires

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