• le mois dernier
Transcription
00:00On ne peut pas prétendre devenir, pour Mestre, un jour un ministre important, voire premier ministre,
00:08si on dénigre la ville pour laquelle on veut gouverner ou le pays pour lequel on veut gouverner.
00:16— C'est un peu déplorable, si je comprends bien. — Ça, ce sont vos termes.
00:21Je dis simplement que c'est beaucoup mieux d'aimer et de montrer à nos concitoyens qu'on aime une ville,
00:29qu'on veut l'améliorer, qu'on aime son pays et qu'on veut l'améliorer.
00:33— Mais vous êtes quand même content que votre ville, Mons, reste entre les mains socialistes ?
00:37— Pour le moins. Pour le moins, oui. Pour le moins, oui. Je suis plus que content.
00:42— Vous trouvez que le PS s'est bien maintenu un peu partout ? C'est quoi, votre avis ?
00:48— Allez, on avait prédit la catastrophe, la fin du monde. Je sais pas ce qu'on avait prédit.
00:54Mais donc la preuve est qu'il y a un terreau de femmes et d'hommes socialistes aimés par les citoyens
01:02parce qu'ils s'occupent... Ces femmes et ces hommes socialistes s'occupent des vrais problèmes
01:08de nos concitoyens sur le terrain. Et pour nous, c'est extrêmement important.
01:12Et je pense que pour les citoyens également. Preuve en est les résultats.

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