• il y a 5 heures
Retrouvez le replay de l'Équipe du Soir du 22/10/2024.

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Sport
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00:00:00Générique
00:00:14Dans le score final, la parole est à Etienne Moatti.
00:00:172-1 pour Paris.
00:00:19Ah voilà, il pique les scores aux autres.
00:00:20Nabil Jelit.
00:00:211-1 partout, je voulais le dire demain.
00:00:23Stéphanie.
00:00:243-2 Paris.
00:00:26Jérôme Alonso.
00:00:272-2.
00:00:29Et enfin, Jonko.
00:00:300-1.
00:00:32Eh bien c'est bien de se faire piquer le score par son voisin
00:00:34puisque Nabil, vous avez le bon score.
00:00:36C'est 1 partout, donc entre le PG et le PSV,
00:00:39donc vous avez le choix.
00:00:41Et je vous offre les deux jokers.
00:00:43On lui donne les points.
00:00:43Non, non, non, je vous offre un joker.
00:00:45On lui donne les points.
00:00:46Ah bah non, c'est pas les points.
00:00:47Il dit 1 partout.
00:00:48Eh oui, mais c'est comme ça, parfois l'accident a du bon.
00:00:51Et... Ah !
00:00:52Il est prêt, 23h, tout de suite les images, mes petits.
00:00:54Avec Virginie derrière, vous réfléchissez pour les jokers.
00:00:57Virginie, 1 partout.
00:00:58On y va pour résumer.
00:00:59Déjà, il y a eu plusieurs occasions de Dembélé,
00:01:01dont une reprise de volée à la 19ème.
00:01:03Il catapulte le ballon sur la barre.
00:01:05La sanction arrive à la 34ème.
00:01:07Passe de Joao Neves, mal négocié par Dembélé.
00:01:09Pressé par Thielmann qui donne à Saïbary.
00:01:11Noa Lange récupère fixe Martignos et trompe Dorando Nahouma.
00:01:14Le missile d'Hakimi remet les compteurs à zéro
00:01:16en début de seconde période.
00:01:17Il prend son temps, il arme sa frappe.
00:01:19Les néerlandais ont l'occasion de reprendre l'avantage.
00:01:21Quand Thiel file au but, il décale mal à droite.
00:01:23C'est dégagé par Martignos.
00:01:25Paris a poussé jusqu'au bout.
00:01:26Arrêt miracle de Benitez sur une tête de Marquy encore.
00:01:29Au bout du bout du temps additionnel.
00:01:30Et Paris qui enchaîne un deuxième match sans gagner.
00:01:32Voilà qui est fait.
00:01:34Les images sont passées.
00:01:35Juste, vos impressions comme ça à la sortie du stade.
00:01:38J'allais ouvrir un peu la discussion.
00:01:40Mais dans le temps additionnel, il y a eu le VAR qui s'est invité.
00:01:44Pour vous, la décision de M. Nyberg est bonne ou pas ?
00:01:47100% ? Pourquoi ? Expliquez-nous.
00:01:48La décision du VAR est bonne.
00:01:49Oui, la décision du VAR.
00:01:50La décision et la correction du VAR.
00:01:51Finale.
00:01:52La décision finale.
00:01:53Le fait qu'il n'y ait pas Penalty.
00:01:55On voit bien que derrière, il tacle du gauche.
00:01:57Impeccable.
00:01:58Asensio joue bien le coup.
00:01:59Il tente de jouer le coup à l'expérience un peu.
00:02:00Mais le tac, il est parfait.
00:02:01Dangereux, mais parfait.
00:02:02Il ne s'est pas trompé le joueur.
00:02:03Et c'est bien rectifié.
00:02:04Et Asensio aurait dû être averti.
00:02:05Ce qui n'a pas été le cas.
00:02:06OK.
00:02:07Vos impressions maintenant du match ?
00:02:09Voilà.
00:02:10Sortie de stade comme ça ?
00:02:11Un petit truc à nous dire ?
00:02:13Frustré ?
00:02:14Le temps ?
00:02:15C'est quand même les dix dernières minutes.
00:02:17C'était un tsunami incroyable de la part des joueurs du Paris Saint-Germain.
00:02:20Avec des situations qui se sont multipliées.
00:02:22On peut se demander pourquoi ils n'avaient pas mis autant d'enthousiasme et d'envie
00:02:26sur d'autres séquences du match.
00:02:28Mais un truc perso, c'est… En fait, moi, je n'ai pas trop compris aussi à la fin.
00:02:31J'en parlais avec Etienne parce qu'on collabore pas mal et pas seulement sur les
00:02:34pronos.
00:02:35Alors, je suis peut-être naïf et candide.
00:02:36C'est votre collaborateur.
00:02:37Mais je trouve que c'est dommage que quand on voit les types se dépouiller comme ça
00:02:39sur la fin, que lorsque le coup de sifflet à la finale est donné, qu'elle soit sifflée.
00:02:44Je trouve que ça… Bon, je suis peut-être un peu…
00:02:47Il y a un peu de regrets ? Un peu de regrets, un peu de surprises ?
00:02:50Je ne sais pas.
00:02:51Sur les dernières séquences, je ne comprends pas comment on peut les siffler.
00:02:56Il y a des regrets forcément pour le PSG quand même qui méritait de gagner ce match-là,
00:02:59qui a fait ce qu'il fallait pour gagner ce match-là.
00:03:01Même s'il y a des choses à dire, on l'a dit à la mi-temps, mais c'est un match
00:03:04que les pariseurs auraient dû gagner.
00:03:05Oui, c'est vous aussi, votre sentiment ?
00:03:07C'est difficile de ne pas avoir ce sentiment-là.
00:03:09Le nombre d'occasions, on a vu celle de la première mi-temps.
00:03:12Mais sur les dix dernières minutes et même avant, franchement, c'est fort à la mot
00:03:16et c'est incroyable le nombre d'occasions qui se procurent.
00:03:18C'est incroyable l'intensité qu'ils finissent par mettre dans ce match.
00:03:21Et de ce point de vue-là, c'est plutôt remarquable.
00:03:23Je partage l'avis de Naville.
00:03:25Ce public qui siffle son équipe, qui met autant d'énergie, autant d'envie dans une fin de match.
00:03:30Je trouve ça curieux.
00:03:32Tu as le droit d'aimer ou pas ce que fait Louis-Henri Guay.
00:03:35Tu as le droit parfois d'être déçu.
00:03:36Mais dans ce match-là, on va les compter, je ne sais pas, sept, huit, neuf occasions
00:03:40franches où effectivement Benitez te donne un peu le but, mais derrière fait une fin
00:03:44de match exceptionnelle.
00:03:45C'est dur.
00:03:47Tu siffles ton équipe quand effectivement, tu as quand même un sentiment que ces gars-là,
00:03:51oui, c'est très mauvais comptablement parce qu'on en reparlera.
00:03:54Le top 8, ça va devenir chaud.
00:03:57Mais siffler l'équipe alors qu'elle a donné ça, c'est un peu dur, je suis d'accord.
00:04:02Fin de ces impressions de sortie du stade.
00:04:06Ma question c'est, est-ce un soir à douter de la qualification pour vous ce soir ?
00:04:10Puisqu'après trois matchs, Gérône écrasé 1-0, Arsenal défaite cinglante.
00:04:16Sans appel.
00:04:17Et puis ce soir, le PSG qui était un adversaire à la portée du Paris Saint-Germain, c'est
00:04:21un partout.
00:04:22Est-ce un soir pour vous à douter du top 8 ?
00:04:24Non, non, pas top 8.
00:04:26Non, non, pas top 8.
00:04:28La qualif en général.
00:04:30Top 8, oui.
00:04:31Qualif, non.
00:04:32Le top 8, il faut déjà l'oublier les gars.
00:04:34Mais d'accord.
00:04:35T'as sept, huit équipes à zéro point.
00:04:37Non mais la question en fait, c'est quand même.
00:04:40Pardon, excusez-moi.
00:04:42Non, mais d'accord.
00:04:44Le cahier des charges, quand on arrive, c'est le Paris Saint-Germain et son candidat au top 8.
00:04:47Aujourd'hui, on a un trois-quarts de réponse.
00:04:50Non mais là, le top 8, c'est terminé là.
00:04:52Le jour du tirage au sort, toi, tu l'aimais favori dans le top 8 ?
00:04:55Tu trouvais mes tweets.
00:04:56Moi, j'étais sûr qu'ils allaient pas finir dans le top 8.
00:04:58Ah oui, mais tes tweets, c'est pas religieux.
00:04:59Non, mais si je l'écoutais, c'est que je le pensais.
00:05:03Moi, j'ai dit que non.
00:05:04Toi, tu le voyais top 8, toi ?
00:05:06Moi, si tu regardes mes tweets, t'en sauras jamais rien.
00:05:08J'ai dit 9-10-11.
00:05:10Donc, c'est pas top 8, le 10-11.
00:05:12On est tous d'accord, en fait.
00:05:13Ils sont 16, ce soir, à peu près.
00:05:17Et là, ils jouent Bayern et City.
00:05:19Non, ils jouent l'Atlético-Madrid.
00:05:20Bayern et City ?
00:05:21Oui, Bayern et City.
00:05:22Et le budget, c'est top 4.
00:05:24Donc, on les attend dans le top 8, forcément.
00:05:26Non, mais après, il y a un décalage par rapport au budget, par rapport à ce que tu prétends être en Europe.
00:05:31Et dire oui, ça va être difficile de finir dans les 8, c'est quand même la base de finir dans les 8.
00:05:36Non, ce soir, on le sait.
00:05:37Ce soir, c'est…
00:05:38Non, il y a un problème.
00:05:39Quand tu as le budget du Paris Saint-Germain, les salaires du Paris Saint-Germain, tu dois être dans le top 8.
00:05:43Après, il y a…
00:05:44Quand tu as le budget et le salaire du Paris Saint-Germain, je suis d'accord avec toi.
00:05:47L'objectif, normalement, c'est d'être dans le top 8.
00:05:50Quand tu regardes aujourd'hui l'effectif du Paris Saint-Germain au démarrage de la saison, là, je rejoins plutôt Jérôme.
00:05:55Je pense que ça ne s'impose pas forcément d'être dans le top 8.
00:05:58Tu regardes, il y a des effectifs.
00:06:00Il y a un mauvais travail qui est fait.
00:06:01D'accord.
00:06:02Là-dessus, on peut être d'accord.
00:06:03Mais quand tu regardes les effectifs, je pense que l'effectif du Paris Saint-Germain, je parle de 20 joueurs au départ de la saison,
00:06:10je ne pense pas qu'il soit dans le top 8.
00:06:12Je pense qu'il y a plus de 8 effectifs qui sont meilleurs que le leur.
00:06:15Non, non.
00:06:16Vous parlez du budget et des salaires.
00:06:18Mais vous corrélez ça.
00:06:19Peut-être, effectivement, un mauvais travail.
00:06:21Est-ce que le jour de la fin du Mercato, donc on va dire le 1er septembre, vous prenez le meilleur 11 possible parisiens ?
00:06:27Vous le mettez sûr dans le top 8 ?
00:06:29On ne le sait pas.
00:06:30On ne le sait pas.
00:06:31On ne le sait pas.
00:06:32Vous dites que c'est sûr, c'est qu'il y a eu des charges.
00:06:34C'est la base.
00:06:36Avec les moyens du Paris Saint-Germain, il devrait constituer un effectif top 8.
00:06:40Ce n'est pas pareil, Stéphane.
00:06:41Après, on te dit, João Neves, c'est ceci, celui-là, c'est cela, l'autre, c'est…
00:06:46Oui, on te dit.
00:06:47Mais la raison, parce qu'en fait, l'objectif, c'est avec le budget qu'ils ont fait et les recrues qu'ils ont faites, c'est de finir minimum dans le top 8.
00:06:53Du coup, c'était qui ?
00:06:54Je ne sais pas.
00:06:55Mais là, on est fixé.
00:06:56On peut dire ça par rapport à ce qu'on a vu sur les trois premières journées, mais par contre, quand il faut le recrutement, j'imagine, j'ose imaginer que c'est pour aller arriver le plus haut possible.
00:07:05Il ne faut pas y avoir une équipe pour se dire dans cinq ans, on s'en rend compte.
00:07:08Le 2 septembre, Jérôme, tu te dis quand même, le 2 septembre, moi je le dis le 2 septembre, Gérôme, c'est fait à domicile.
00:07:13PSV Eindhoven, c'est fait à domicile.
00:07:15Arsenal, oui, tu as un doute.
00:07:16Arsenal extérieur, tu te dis, voilà.
00:07:17Mais tu ne peux pas te dire au bout de trois jours des ligues des champions que tu vas avoir vu ce PSG-là, trois matchs de suite, qui va finalement avoir quatre points sur neuf possibles.
00:07:25Non, moi, même le 2 septembre, même avec cet effectif-là, l'effectif de PSV Eindhoven, je veux dire, Luc de Jong, il n'a plus d'âge.
00:07:32Le meilleur joueur du PSV était suspendu.
00:07:36Ils n'ont pas d'arrière-gauche, ils n'ont pas d'arrière-droite.
00:07:39D'est, Schutten, Wehrmann et Lozano étaient forfaits car laissé, Perisic non qualifié.
00:07:45S'il vous plaît, mon cher Jérôme, on va aller au parc.
00:07:47Votre ancienne maison, y retrouver Giovanni Castaldi.
00:07:50Giovanni, bonsoir, vous avez assisté au match de Gérôme.
00:07:53Gérôme, Arsenal et le PSV, est-ce que finalement, vous avez vu le meilleur match en ligue des champions cette saison du Paris Saint-Germain,
00:07:59mais pour un résultat qui est, on va dire, catastrophique.
00:08:02Est-ce que vous partagez ce constat ?
00:08:08Bonsoir mémé, bonsoir à tous.
00:08:09Sur le résultat catastrophique, je pense que c'est un tantinet excessif.
00:08:13Sur le Paris Saint-Germain, oui, c'est le meilleur PSG que j'ai vu en ligue des champions de très très loin.
00:08:18Ce soir, il méritait de s'imposer.
00:08:21Moi, je suis extrêmement remonté contre la prestation.
00:08:24En tout cas, les 45 premières minutes d'Ousmane Dembélé, parce que ça coûte très cher.
00:08:28C'est un match où tu dois mener 2-0 après 20 minutes de jeu.
00:08:31Honnêtement, les 20 premières minutes, je les ai trouvées très très bonnes de la part du Paris Saint-Germain.
00:08:36Arsenal, il y avait deux classes d'écart.
00:08:39Il n'y a pas de soucis là-dessus.
00:08:41J'entendais votre débat, vous parliez des budgets, des sommes dépensées, etc.
00:08:46On peut s'arrêter à une ligne de revenus.
00:08:49On peut regarder les joueurs qui composent cette effective.
00:08:51Je pense qu'il n'y a personne, quand il y a le calendrier qui est tombé,
00:08:54et que vous voyez l'effective du Paris Saint-Germain,
00:08:56qui peut envisager que cette équipe soit top 8 européen.
00:08:59Comme l'an passé, je n'ai jamais pensé que cette équipe allait en demi-finale de ligue des champions.
00:09:04On peut parler des budgets.
00:09:06Je trouve que c'est plus intéressant de parler de ce qui s'est passé ce soir sur la pelouse.
00:09:10On parle beaucoup de progrès ou non de cette équipe parisienne.
00:09:13Ce soir, j'ai vu un bon match des Parisiens dans le contenu.
00:09:16C'est assez intéressant, il me semble.
00:09:19Qu'ils soient en dessous les joueurs de leur niveau, c'est une chose.
00:09:23Par contre, quand tu fais cette effective-là, quand tu les prends un par un,
00:09:26tu as quand même des joueurs qui jouent dans les plus grandes sélections.
00:09:29Et puis des joueurs qui sont en devenir, mais ce n'est pas en devenir dans trois ans.
00:09:33Si tu es au PSG, c'est en devenir rapidement.
00:09:35Peut-être qu'ils n'ont pas fait assez en prenant des joueurs confirmés,
00:09:39avec un peu plus d'expérience, mais ça c'est leur choix.
00:09:42On parle de deux choses différentes.
00:09:44Qu'est-ce qu'on fait en fait ?
00:09:46On analyse une équipe qui va être prête dans 2-3 ans.
00:09:48Dans ce cas-là, ils sont en progression et peut-être qu'ils vont le faire.
00:09:51On parle de deux choses différentes.
00:09:53Quand tu as le PSG en main, tu n'es pas là pour être prêt dans 2-3 ans.
00:09:57Tu fais un recrutement pour que les joueurs de suite soient compétitifs.
00:10:00Vous ne parlez pas avec Jérôme exactement de la même chose.
00:10:02Toi, tu parles du fait que le Paris Saint-Germain travaille mal dans le recrutement
00:10:05et que dans son projet sportif, forcément...
00:10:08Tu n'as pas dit ça, non ?
00:10:11Je le dis, parce que tu ne peux pas considérer...
00:10:14Si tu regardes, comme le disait Giovanni, la ligne budgétaire,
00:10:17c'est sûr que le PSG ne travaille pas bien,
00:10:19puisque là, pour le coup, il devrait être dans le top 8.
00:10:21Quand tu regardes, comme le disait Jérôme,
00:10:23le 11 titulaire au départ du PSG au démarrage de la saison,
00:10:26au tirage au sort de la Ligue des Champions,
00:10:28moi, je ne pense pas que cet effectif-là, ce 11-là de départ,
00:10:32soit dans les 8 meilleurs 11 de départ de la Ligue des Champions.
00:10:35Il y en a beaucoup qui lui sont supérieurs,
00:10:37et je pense même assez nettement supérieurs.
00:10:39Jérôme, tu trouves que l'effectif de Monaco est supérieur à celui du PSG ?
00:10:42On ne parle pas de Monaco quand on parle des équipes qui seront aussi...
00:10:44Evidemment, il est possible d'avoir des meilleurs résultats
00:10:47parce que ton effectif...
00:10:48Quand je vois le jeu de Monaco, ce n'est pas le même que celui du PSG.
00:10:50Mais bien sûr, après, il y a d'autres questions qui rentrent en ligne de compte.
00:10:52Est-ce que Luis Henrique en tire le meilleur parti ?
00:10:54Est-ce que ce n'est pas trop rigide ?
00:10:56Est-ce que cette équipe-là ne peut pas être, à des moments donnés, dans un carcan ?
00:10:59Mais moi, je ne peux pas...
00:11:00Quand tu démarres la saison, même si on peut ne pas aimer...
00:11:03Ce n'est pas la faute que sur l'entraîneur.
00:11:05On peut ne pas aimer Mbappé, mais c'est quand même un joueur de classe mondiale,
00:11:09même si en ce moment, un peu moins qu'avant,
00:11:12tu le perds et tu ne le reclasse pas.
00:11:14Donc, tu n'as plus le joueur qui va te mettre 40 buts dans la saison
00:11:18comme tous les grands clubs européens à peu près en ont moins.
00:11:20Mais après, c'est leur choix.
00:11:21C'est-à-dire le choix d'espérer, comme j'ai entendu,
00:11:24qu'il espère avoir plusieurs joueurs qui mettent même moins de buts,
00:11:27mais qui soient assez...
00:11:29Et s'il ne se résume pas à PSG avec Mbappé ou sans Mbappé ?
00:11:32Ce n'est pas ça.
00:11:33Moi, je n'y pense même plus quand je vois les matchs du PSG.
00:11:36Ce n'est pas ça.
00:11:37Qu'est-ce que cette équipe a ?
00:11:39Moi, je me suis demandé tout le match, finalement,
00:11:41c'est quoi le point fort du PSG ?
00:11:43Quand on joue le PSG, on se dit qu'on a peur de quoi ?
00:11:46Je suis bien d'accord avec toi.
00:11:48Je ne réponds pas à la question.
00:11:50On en parlait tout à l'heure.
00:11:52C'est-à-dire que le milieu terrain du PSG,
00:11:54dans le projet de jeu de Luis Henrique,
00:11:56c'est lui qui doit te porter sur le toit de l'Europe.
00:11:58Donc, avec ce milieu-là, tu es censé dominer dans le jeu
00:12:01tous les grands clubs européens.
00:12:03Moi, je ne pense pas.
00:12:04Je suis bien d'accord avec toi.
00:12:06Moi, je ne le pense pas.
00:12:07Donc, il y a un problème structuré dans les pins.
00:12:09Il y a une tromperie sur la marchandise.
00:12:11Parce qu'on nous a promis, quand même,
00:12:13que le collectif, c'est ce que j'ai entendu,
00:12:15allait compenser le manque de talent individuel.
00:12:17Je peux vous mettre sur pause ?
00:12:19On va regarder une archive.
00:12:21On est juste avant le début de la saison.
00:12:23Mbappé est parti.
00:12:24Conférence de presse de Luis Henrique.
00:12:26On est le 15 août.
00:12:27On est à la veille du début de la saison
00:12:30Mbappé est parti.
00:12:32Est-ce que vous voulez enrôler un grand numéro 9,
00:12:34un grand attaquant ?
00:12:35Écoutez la réponse de Luis Henrique.
00:12:37Vous allez voir que la réponse, finalement,
00:12:39a peut-être illustré ce qui ne s'est pas passé ce soir.
00:12:41On y va. Luis Henrique, le 15 août dernier.
00:12:49S'il y a un joueur qui marque 40 buts,
00:12:51on ne lui fermera pas les portes.
00:12:53Mais avec le recul, je préfère en avoir 4
00:12:55qui en marquent 12.
00:12:57Ça fait 48. C'est plus que 40.
00:12:59Est-ce que c'est le constat du soir ?
00:13:01Est-ce que Luis Henrique, par rapport à ce qu'il nous dit,
00:13:03c'est le cap ?
00:13:05Ce n'est pas un vrai constat.
00:13:07Si t'en as un qui met 40,
00:13:09et puis t'en as quand même autour,
00:13:11ils ne mettent pas zéro but dans la saison.
00:13:13À la sortie, tu les as, les 3-4
00:13:15qui t'en mettent entre 7, 8, 10.
00:13:17Par contre, tu n'as pas celui
00:13:19qui t'en met 40.
00:13:21Ça, c'est un choix.
00:13:23Sur ce soir,
00:13:25tu ne vas pas taper sur ça
00:13:27parce qu'ils ont vraiment les occasions.
00:13:31Ce n'est pas aussi le fait
00:13:33que le joueur qui met 40 buts...
00:13:35Tu as des joueurs qui mettent 40 buts
00:13:37et qui, en Ligue des Champions, ne performent pas.
00:13:39C'est le joueur qui, en Ligue des Champions,
00:13:41dans ces grands matchs-là, te fait basculer.
00:13:43Là, un grand joueur...
00:13:45Si on dit Mbappé,
00:13:47on focalise sur un nom et ça pourrit le débat.
00:13:49Mais si tu as...
00:13:51De Jong, par exemple,
00:13:53ce soir,
00:13:55là, ce n'est pas le meilleur de Jong,
00:13:57mais tu lui donnes l'occasion de Dembélé,
00:13:59elle est au fond.
00:14:01Tu perds Ramos très rapidement.
00:14:03Je pense que ce joueur-là,
00:14:05ce joueur-là,
00:14:07c'est quand même assez clinique devant le but.
00:14:09Sur certaines occasions,
00:14:11je pense que ça aurait été mieux fait.
00:14:13Qu'est-ce qui vous fait croire que...
00:14:15Je vois des gestes,
00:14:17notamment en dernier à Marseille,
00:14:19des buts qu'il met dessus,
00:14:21par exemple, l'occasion que Dembélé a.
00:14:23Moi, je trouve que Dembélé ne fait pas le bon geste.
00:14:25C'est-à-dire qu'il subit le ballon,
00:14:27que son pied part derrière.
00:14:29C'est-à-dire qu'un Ramos,
00:14:31je ne dis pas qu'il marque,
00:14:33peut-être qu'il la mettra à côté,
00:14:35mais par contre, le geste aurait été claqué.
00:14:37C'est ce qu'il fallait faire.
00:14:39La demi-volée, tu ne dois pas subir ce ballon.
00:14:41Je pense que Ramos, c'est un attaquant pour avoir ces gestes-là.
00:14:43Là, tu ne l'as pas.
00:14:45Sur l'analyse du joueur Ramos,
00:14:47sauf que Ramos, c'est un joueur
00:14:49compatible à Louis-Henrique.
00:14:51Il n'aime pas Ramos.
00:14:53Il ne veut pas de vrai neuf.
00:14:55Il joue un peu.
00:14:57Il n'a que des bouts de match.
00:14:59Est-ce que Ramos jouera quand il sera en pleine forme ?
00:15:01Je ne sais pas.
00:15:03Je ne suis pas sûr.
00:15:05Louis-Henrique, tu es sûr de ça ?
00:15:07Tu es sûr qu'il veut jouer sans neuf ?
00:15:09Je ne suis pas sûr qu'il joue sans neuf.
00:15:11Quand Ramos s'est blessé, il a dit
00:15:13« je ne prends pas d'autres neufs ».
00:15:15Là où il a raison, c'est que Ramos a des compétences
00:15:17et une aptitude à aller plus vite dans la surface
00:15:19et à être plus clinique.
00:15:21Et puis, à un moment, il ne va pas pouvoir aller tout le temps.
00:15:23Ce soir, pour jouer le PSV,
00:15:25tu ne peux pas te réfugier
00:15:27derrière l'absence de Pierre, de Paul.
00:15:29On est en train
00:15:31de redescendre le débat
00:15:33à niveau d'exigence.
00:15:35Là, on est en train d'analyser Lille ou Brest.
00:15:37Ce n'est pas Paris.
00:15:39Sur les grands matchs
00:15:41ou les matchs importants,
00:15:43il nous dit que
00:15:45ce soir, avec un neuf clinique
00:15:47type Ramos,
00:15:49tu en mets au moins un de plus.
00:15:51Il y avait Colomoynié qui jouait au numéro neuf.
00:15:53Il est rentré Lille-Gauche.
00:15:55Juste un truc important.
00:15:57Ce soir, on est fixé. PSG, c'est chapeau 2.
00:15:59C'est vrai que moi, au tirage au sort,
00:16:01même si je pensais qu'ils n'allaient pas finir
00:16:03dans le compétition, ils étaient chapeau 2.
00:16:05Vous reparlez de votre tweet.
00:16:07Non, je redis après chacun
00:16:09ses impressions.
00:16:11Contre Géron, ça a été l'alerte.
00:16:13Contre Arsenal,
00:16:15ça a été le révélateur.
00:16:17Ils ne sont pas au niveau.
00:16:19Ce soir, c'est la confirmation.
00:16:21Ils ont marqué deux buts en Ligue des champions cette année.
00:16:23Deux erreurs de gardien.
00:16:25C'est ça le bilan offensif du PSG.
00:16:27Giovanni, vous nous avez un petit peu allumé sur Dembélé.
00:16:29Je voulais les faire agir.
00:16:31On est parti sur la structure,
00:16:33sur la politique sportive du PSG,
00:16:35sur les options, les choix
00:16:37de Louis Sélincké.
00:16:39Vous pouvez nous ramener sur le terrain
00:16:41et sur ce que vous avez constaté
00:16:43sur d'autres attaquants qui ont manqué.
00:16:45Vous me faites une petite
00:16:47démbousise, une irritation à la Dembélé.
00:16:49Est-ce qu'il y a d'autres joueurs
00:16:51offensifs qui vous ont déçu, Giovanni ?
00:16:55Je pense que Bradley Barcola
00:16:57aurait pu et dû faire mieux.
00:16:59Il n'a pas été aussi tranchant et provoquant
00:17:01que d'habitude.
00:17:03Mon Lee s'est complètement perdu dans son rôle
00:17:05de faux numéro 9. Je ne l'ai pas trouvé
00:17:07très très bon.
00:17:09Il y a eu du déchet devant.
00:17:11Ce qui me rend le plus fou sur
00:17:13le coaching de Louis Sélincké,
00:17:15c'est quand il fait rentrer Randall Colomoigny
00:17:17à gauche, qu'il laisse Asensio Fauneuf
00:17:19et qu'il met Doué à droite, alors que Doué
00:17:21est plus à l'aise côté gauche pour rentrer
00:17:23sur son pied droit, qu'Asensio a quand même passé
00:17:257 ans au réel côté droit pour rentrer sur son pied gauche
00:17:27et que Colomoigny, même si on pense
00:17:29que c'est ici à Paris une pompe à vélo,
00:17:31quand il est en équipe de France, il met quand même des buts en position
00:17:33d'avant-centre. C'est un truc que je ne m'explique pas.
00:17:35Je vais essayer de lui poser la question
00:17:37parce que je ne suis pas en capacité de comprendre ses réponses.
00:17:39Je vais au moins essayer de lui poser.
00:17:41En revanche, je trouve qu'il y a un secteur
00:17:43sur lequel le Paris-Saint-Germain
00:17:45progresse par séquences,
00:17:47c'est les récupérations. Pendant 20 minutes,
00:17:49ils ont été excellents
00:17:51dans ce domaine-là.
00:17:53Je trouve que dans les circuits, ce soir,
00:17:55il y a eu 2-3 séquences qui sont intéressantes.
00:17:57Quand j'entends qu'on me dit que ça y est,
00:17:59Paris est chapeau 2, que c'est acté, etc.,
00:18:01la Ligue des Champions s'étend jusqu'à fin janvier.
00:18:03Il y aura un mercato au milieu.
00:18:05Il n'est pas interdit de croire
00:18:07que cette équipe a le droit de progresser aussi.
00:18:09Je vous trouve très impatients
00:18:11et vous êtes très définitifs sur ce PSG-là
00:18:13après 3 journées. Ça me paraît beaucoup trop excessif.
00:18:15Giovanni, Giovanni, Giovanni,
00:18:17le calendrier du Paris-Saint-Germain.
00:18:19Après Gérone, Arsenal, le PSG,
00:18:21on a la journée prochaine
00:18:23Atlético de Madrid.
00:18:25Puis après, un petit voyage dans un petit club
00:18:27bavarois le Bayern. Salzbourg,
00:18:29ça pourrait aller. Et puis après,
00:18:31réception de Manchester City
00:18:33et un voyage du côté de Stuttgart.
00:18:35Je peux revenir avec Jo une seconde, mémé ?
00:18:37Oui, on a toujours les droits
00:18:39du Jo au Castelbil.
00:18:43Quelque part, on partage le même constat
00:18:45puisque toi-même, tu es d'accord avec moi pour dire que
00:18:47même toi, en septembre, tu pensais que
00:18:49Paris n'était pas un candidat évident
00:18:51au top 8. Donc là, on n'est pas très sévère.
00:18:53On dit juste que ce soir, c'était la confirmation
00:18:55que le top 8 cette saison
00:18:57s'éloigne déjà de manière peut-être définitive.
00:18:59Est-ce que tu partages ça ?
00:19:01Je ne pense pas.
00:19:03Je vais juste répondre à ça.
00:19:05Moi, j'aime beaucoup
00:19:07la Bundesliga. Je regarde le Bayern.
00:19:09Je pense que c'est une équipe qui n'est pas imprenable
00:19:11pour un PSG dans un bon soir.
00:19:13Je mets du côté le match d'Arsenal
00:19:15parce qu'il y avait trois classes d'écart.
00:19:17Mais je trouve que le Paris Saint-Germain
00:19:19a cette capacité à se procurer
00:19:21énormément d'occasions.
00:19:23Il y a un fil conducteur. Il y a une idée.
00:19:25Il y a un projet de jeu. Il y a des joueurs qui y adhèrent.
00:19:27En fait, le sentiment de progression,
00:19:29il ne peut aller qu'en s'améliorant.
00:19:31Je ne dis pas que c'est parfait.
00:19:33Vous, vous partez du principe
00:19:35que c'est déjà paumé contre l'Atletico,
00:19:37contre le Bayern et contre City.
00:19:39Donc, il y aura zéro point sur les neufs.
00:19:41Le constat de Giovanni Castaldi, c'est que ça progresse.
00:19:43Mais nous, ce dont on parlait,
00:19:45c'est le registre extrêmement particulier
00:19:47de la finition.
00:19:49La finition, on va dire,
00:19:51c'est comme les inconnus disaient, le bon et le mauvais chasseur.
00:19:53Est-ce que la finition,
00:19:55tu l'as ou tu ne l'as pas ?
00:19:57De Dembélé, qui devient un buteur,
00:19:59on va dire, un peu plus régulier cette saison.
00:20:01Mais si tu fais l'analyse,
00:20:03des attaquants du Paris Saint-Germain,
00:20:05on a Durandal-Colovali,
00:20:07on a peut-être Dubarcola, peut-être le meilleur buteur
00:20:09de cette équipe. On a Asensio.
00:20:11Ça ne marque pas beaucoup.
00:20:13Il n'y a aucun de tous ces joueurs qui, dans leur carrière,
00:20:15ont marqué beaucoup de buts.
00:20:17Il n'y en a pas. Donc, Dembélé, si on imagine,
00:20:19et moi, je trouve qu'il a fait des progrès.
00:20:21Je sais bien qu'il est détesté sur ce plateau.
00:20:23Moi, je trouve qu'il a fait des progrès.
00:20:25J'étais même déçu de le voir sortir.
00:20:27On ne le déteste pas, il nous désespère.
00:20:29C'est du dépit amoureux.
00:20:31Tu vois où les progrès sont,
00:20:33devant le but ?
00:20:35Je ne te parle pas des progrès devant le but.
00:20:37Il a voulu enrouler.
00:20:39Je suis d'accord avec toi.
00:20:41C'est bien comme ça
00:20:43que je commence mon propos,
00:20:45en disant que si on attend de Dembélé,
00:20:47aujourd'hui, que ça devienne un buteur, ça ne le deviendra jamais.
00:20:49Moi, là où je vois des progrès de Dembélé,
00:20:51c'est sa capacité, pendant 90 minutes,
00:20:53à faire...
00:20:55Non.
00:20:57Sur 90 minutes,
00:20:59il n'avait pas cette capacité d'accélération.
00:21:01Je trouve qu'il a gagné en intensité physique
00:21:03un an et demi.
00:21:05Ça, par contre, on ne peut pas lui enlever.
00:21:07Il continue tout le match,
00:21:09même s'il rate.
00:21:11Ça, tu ne peux pas lui enlever.
00:21:13Là où il a progressé,
00:21:15c'est qu'il enchaîne les matchs.
00:21:17Il joue tous les matchs.
00:21:19C'est du jamais vu.
00:21:21On ne peut pas focaliser tous les débats sur Dembélé
00:21:23comme s'il n'y avait que ça comme souci.
00:21:25Si tu regardes
00:21:27les taux de joueurs du Paris Saint-Germain,
00:21:29si tu penses...
00:21:31Si on me parle, c'est des top joueurs européens.
00:21:33Je le juge par rapport aux top joueurs européens.
00:21:35Dans quelle catégorie, en fait, Dembélé ?
00:21:37Je suis d'accord avec toi.
00:21:39On ne va pas faire un débat d'une heure là-dessus.
00:21:41Je suis d'accord que ce n'est pas le premier budget de l'Europe.
00:21:43On a l'exemple de Chapeau 2.
00:21:45Paris, on les regarde comme une équipe pour devenir tranquille.
00:21:47Ils se préparent.
00:21:49Tu nous prêtes des propos
00:21:51qu'on n'a pas tenus.
00:21:53Si vous dites
00:21:55que le 2 septembre arrive,
00:21:57on n'a pas d'attente particulière.
00:21:59On attend du PSG
00:22:01que ce soit un 8e de finaliste de Ligue des Champions
00:22:03au mieux.
00:22:05C'est la Ligue 6.
00:22:07Je voudrais savoir par quel fonctionnement intellectuel
00:22:09on arrive à cette exigence-là
00:22:11vis-à-vis de ce club-là.
00:22:13C'est invraisemblable.
00:22:15Quand tu vois la ligne d'attaque du Paris Saint-Germain
00:22:17au début de la saison,
00:22:19tu te dis que c'est une des meilleures lignes d'attaque.
00:22:21Je ne te dis pas ça.
00:22:23Je ne suis pas fait des pronostics.
00:22:25Je regarde un club qui nous vend un discours,
00:22:27qui nous achète des joueurs,
00:22:29qui constitue un effectif, qui nous vend un projet.
00:22:31Tu essayes de mettre des oppositions
00:22:33là où il n'y en a pas.
00:22:35Est-ce qu'ils ont réduit la masse salariale de 30% cette année
00:22:37qui expliquerait qu'ils soient encore en retraite ?
00:22:39Tu as envie de faire le débat tout seul.
00:22:41Tu fais des oppositions
00:22:43là où il n'y en a pas.
00:22:45Je suis complètement d'accord avec toi
00:22:47sur ce constat-là, sur le fait qu'il y a un travail.
00:22:49Tu te sens, sans toi,
00:22:51mégalomaniser un peu moins l'émission.
00:22:53Je ne te sens pas.
00:22:55À chaque fois que je parle,
00:22:57viser, ce n'est pas le sujet.
00:22:59Je ne te parle pas de toi.
00:23:01Je te parle de l'attente autour du Paris Saint-Germain
00:23:03et ce que le Paris Saint-Germain nous vend
00:23:05et que nous on gomme.
00:23:07Les Anglais et les Provences n'engagent que ceux qui les croient.
00:23:09Je trouve que le bilan du PSG
00:23:11après trois journées en Ligue des champions
00:23:13et pourtant on sort d'un match
00:23:15qui était plutôt meilleur que les précédents,
00:23:17ce n'est pas normal.
00:23:19Ce n'est pas normal par rapport aux adversaires.
00:23:21Si tu as joué City-Bayern-Arsenal,
00:23:23tu te dis que ça va.
00:23:25Tu as fait à peu près la moitié.
00:23:27Et Brest, qu'est-ce qu'ils disent ?
00:23:29Ils ont joué des équipes.
00:23:31Demain, Brest, qu'est-ce qu'ils font ?
00:23:33Ne mégalanise pas trop l'émission.
00:23:35Giovanni Castagni.
00:23:37C'est vrai, tu es tellement discret
00:23:39dans cette émission.
00:23:41La hyène a été mordue, la hyène rechique.
00:23:43Giovanni Castagni.
00:23:49Je ne sais pas si Étienne
00:23:51va être un peu trop mégalo.
00:23:53En tout cas, ce qui est sûr, c'est que Stéphane,
00:23:55visiblement, tu as un petit souci avec la direction parisienne.
00:23:57Moi, je n'ai pas entendu le même discours
00:23:59puisqu'ils nous ont vendu un projet de reconstruction
00:24:01autour de Louis Sénériqué.
00:24:03Tu parles de masse salariale.
00:24:05Ils l'ont baissé de plus de 30%.
00:24:07Moi, je veux bien qu'on parle des prix d'achat
00:24:09que Neymar, Messi
00:24:11et Kylian Mbappé.
00:24:13On peut tout faire dire au chiffre.
00:24:15Il n'y a pas de souci. Ils dépensent des sous, etc.
00:24:17Mais il faut être inconscient pour penser
00:24:19que le PSG, en ayant perdu ce qu'ils ont perdu
00:24:21en deux ans en termes d'effectifs,
00:24:23de joueurs d'expérience, de joueurs offensifs,
00:24:25de classe internationale, de dire que c'est encore
00:24:27un club qui a les mêmes ambitions
00:24:29qu'il y a deux ans. Déjà, l'an passé, c'était moins de bling-bling.
00:24:31Et là, si on tourne la page, on est en reconstruction.
00:24:33On peut le croire ou non, mais la réalité,
00:24:35c'est que c'est un effectif jeune,
00:24:37avec des joueurs à fort potentiel,
00:24:39avec quelques joueurs confirmés.
00:24:41Mais ce n'est plus le PSG qu'on a connu il y a un an et demi,
00:24:43deux ans. C'est tout.
00:24:45C'est quoi le cas pour Giovanni sur le PSG ?
00:24:47On les juge par rapport à qui ?
00:24:49Il dit que ce n'est pas dans le chapeau 2.
00:24:51Mais on les juge par rapport à qui ?
00:24:53C'est contradictoire par rapport à son histoire.
00:24:55Il ne faut pas les mettre dans le chapeau 2.
00:24:57Non, mais il y a une tromperie sur la marchandise.
00:24:59Je dis juste sur le chapeau 2,
00:25:01Johan, que c'est trop tôt pour les condamner.
00:25:03Je dis simplement que si vous avez
00:25:05la même exigence du PSG,
00:25:07il y a deux ans, quand en attaque,
00:25:09il y avait Lionel Messi, Neymar et Kylian Mbappé,
00:25:11et que là, ils se retrouvent avec Kanginglief,
00:25:13O'Neuf, Bradley Barcola et Ousmane Dembélé,
00:25:15ce n'est pas être honnête.
00:25:17L'effectif est beaucoup moins fort,
00:25:19quoi qu'on en dise, quoi qu'il se passe.
00:25:21La masse salariale est beaucoup moins élevée
00:25:23et les sommes engagées sont beaucoup moins importantes.
00:25:25Donc en fait, Stéphane, ce n'est pas vrai
00:25:27quand tu dis qu'ils vendent ce projet-là.
00:25:29Le PSG aujourd'hui, c'est la 6e,
00:25:317e équipe d'Europe.
00:25:33Et puis voilà.
00:25:35Le PSG, c'est surréaliste ce que tu racontes.
00:25:37Je ne sais pas c'est par qui
00:25:39que tu as été épipousé,
00:25:41mais c'est surréaliste.
00:25:43Ils ont combien de fois le budget du PSG
00:25:45et du PSV ?
00:25:47Le budget du PSV et du PSG ?
00:25:49Et de Girond ?
00:25:51Stéphane, c'est important quand même l'argent.
00:25:53L'argent, c'est quand même un peu la règle du jeu.
00:25:55Tu n'as pas la même attente
00:25:57quand tu vois Brest jouer la Ligue des champions
00:25:59ou le Paris Saint-Germain.
00:26:01Est-ce que tu pensais, toi, fin août,
00:26:03que cet effectif-là pourrait faire facilement
00:26:05dans les carrés Ligue des champions ?
00:26:07Je pensais que le PSG,
00:26:09avec son projet actuel, ses moyens
00:26:11et son budget, n'aurait pas
00:26:13à craindre des matchs contre Girond et Eindhoven
00:26:15au Parc des Princes.
00:26:17Pour l'instant, on en est là.
00:26:19On parlera dans 15 jours
00:26:21du match contre l'Atlético de Madrid.
00:26:23Là, ils viennent de jouer le PSV-Eindhoven
00:26:25qu'ils n'ont pas battu.
00:26:27Je vous mets sur pause, mes amis.
00:26:29Je ne vais pas vous clouer parce que Marquinhos
00:26:31a dégainé un truc sur Canal.
00:26:33Marquinhos, écoutez ce qu'il nous dit.
00:26:35L'an dernier, on avait un grand numéro 9.
00:26:37Reviens, Kiki, reviens.
00:26:39La maison est vide sans toi.
00:26:41L'année dernière, on avait un grand numéro 9.
00:26:43Il a dit chez nos confrères de Canal+,
00:26:45on a des grands joueurs qui peuvent marquer les buts,
00:26:47qui ont montré qu'ils peuvent le faire.
00:26:49Aujourd'hui, ça a manqué plus de tranquillité devant le but.
00:26:51L'année dernière, on avait un grand numéro 9.
00:26:53C'est une autre idée de jeu aujourd'hui.
00:26:55C'est quoi ? C'est un pas de côté
00:26:57C'est un bon discours de capitaine.
00:26:59C'est bien pour tes avancées.
00:27:01C'est un scud pour son entraîneur surtout.
00:27:03C'est ses coéquipiers.
00:27:05Il y a des potes qui s'avancent.
00:27:07Moi, je suis son coéquipier.
00:27:09Je prends l'exemple.
00:27:11Je ne joue pas en neuf.
00:27:13Je ne le prends pas forcément pour moi.
00:27:15Là, c'est la politique sportive.
00:27:17Là, il s'en prend à son coach.
00:27:19Forcément, il joue à raison.
00:27:21Ce n'est pas très sympa pour les joueurs qui jouent.
00:27:23Il a surtout raison.
00:27:25Arnaud, sur Ousmane Dembélé, si j'ai le droit ?
00:27:29Moi, je n'aurais pas le droit.
00:27:31J'ai envie de revenir dessus.
00:27:33Je suis d'accord avec Stéphane sur l'analyse globale.
00:27:35Le PSG, c'est l'équipe.
00:27:37Dembélé, on ne va pas revenir sur la politique sportive.
00:27:39Dembélé, il n'a jamais terminé les actions.
00:27:41Tu commences la saison en lui expliquant.
00:27:43C'est comme si tu étais en NBA.
00:27:45Tu étais option numéro 3.
00:27:47Tu étais le troisième sur les shooters de l'équipe.
00:27:49Et tu deviens premier shooter alors que ça n'a jamais été ta spécialité.
00:27:51Et sur le match, ce que j'ai remarqué,
00:27:53après je me trompe peut-être,
00:27:55c'est qu'il est devenu réellement intéressant dans le registre
00:27:57dans lequel il excelle le plus.
00:27:59Éliminé et centré.
00:28:01Mais étonnamment, quand il centre,
00:28:03il n'y a personne pour couper.
00:28:05Ou alors les parcours là, il est en retard.
00:28:07Donc, si on lui demande de moins terminé,
00:28:09de davantage centré et d'avoir à l'arrivée des joueurs qui plongent,
00:28:11peut-être que là, effectivement, Paris Saint-Germain mettra plus de buts.
00:28:13Mais maintenant, ce qui se passe, c'est qu'on fait des débats.
00:28:15On nous explique que Dembélé, c'est Di Maria, Robben,
00:28:17ou j'en sais rien, et il va finir en double-double.
00:28:19Il en oublie même ses coéquipiers, parfois.
00:28:21Et moi, je trouve que ça a été contre-productif,
00:28:23cette communication autour de Dembélé.
00:28:25Sur l'intervention de Dembélé,
00:28:27parfois, son manque de connexion avec le reste de l'équipe.
00:28:29Sur Barcola, son placement.
00:28:31Donc, notre ami Luis Enrique
00:28:33joue cent numéro neuf.
00:28:35Donc, il me semble que les joueurs sur les côtés
00:28:37Barcola et Dembélé doivent, on va dire, se recentrer.
00:28:39Il faut qu'il ferme.
00:28:41Barcola ne ferme jamais, lorsque le ballon,
00:28:43il y a eu les centres d'Akimi.
00:28:45Jamais Barcola arrive à fermer.
00:28:47Ce qu'il a vraiment à travailler,
00:28:49c'est qu'on s'est fait la réflexion en bas,
00:28:51et d'ailleurs, les commentateurs aussi, c'est qu'à chaque fois
00:28:53qu'il y avait une action côté droit,
00:28:55lui, il restait, sous son côté gauche,
00:28:57mais à l'extrême de la surface.
00:28:59En fait, vraiment, quand on aime ou on n'aime pas,
00:29:01il déborde souvent.
00:29:03Et on ne sait pas ce qui peut se passer.
00:29:05Mais souvent, le ballon, il passe un peu.
00:29:07Il arrive comme ça.
00:29:09Et Barcola n'est jamais là, à ce moment-là.
00:29:11Dans l'organisation de Luis Enrique,
00:29:13le fait de ne pas avoir d'avant-centre,
00:29:15une pointe fixe,
00:29:17là, tes deux excentrés, ils doivent fermer.
00:29:19Ils doivent revenir.
00:29:21Là, ce n'est pas une question, on va dire,
00:29:23d'offensivement.
00:29:25Ce n'est pas une question de jeu.
00:29:27C'est une question de développement.
00:29:29Je pense qu'on l'a tous sur Barcola
00:29:31pour l'instant, qui fait un très bon début de saison.
00:29:33Il faut quand même plutôt positiver.
00:29:35Ce que montre Barcola, depuis le début de l'année,
00:29:37c'est quand même très en progrès.
00:29:39Il fait partie, lui, des belles promesses du PSG.
00:29:41Mais on attend, effectivement, de voir si Barcola
00:29:43est ce joueur de ces rendez-vous-là,
00:29:45des grands rendez-vous à l'équipe de France, quand il est attendu.
00:29:47Et ça, ça ne se fait pas, pour le coup,
00:29:49en claquant des doigts.
00:29:51Il y a un truc qui est criant pour moi.
00:29:53Ce que je remarque ce soir, malheureusement,
00:29:55pour le PSG, c'est qu'il y a eu Monaco, avant.
00:29:57Non, mais c'est vrai.
00:29:59Tout ce que fait Monaco, les combinaisons
00:30:01qu'il y a entre les joueurs.
00:30:03Les combinaisons qu'il y a
00:30:05avec les joueurs offensifs.
00:30:07La disponibilité, les jeunes triangles.
00:30:09La connexion.
00:30:11Et pas que les mecs devant.
00:30:13Les mecs du milieu accompagnent, etc.
00:30:15Ça, je ne le vois pas.
00:30:17Parce que tu n'as pas les mêmes joueurs pour jouer pareil.
00:30:19Mais je ne sais pas
00:30:21quel est le jeu qu'ils veulent mettre en place.
00:30:23Quand tu as un milieu de terrain comme ça,
00:30:25tu ne vas pas me dire que c'est un milieu de terrain
00:30:27pour entrer physiquement. Non, c'est pour avoir le ballon.
00:30:29Si c'est pour avoir le ballon, faire ça, ça, ça, ça,
00:30:31et jamais de combinaisons avec les autres.
00:30:33Si tu as des joueurs techniques dans ce milieu,
00:30:35c'est pour combiner avec les trois de devant.
00:30:37Mais si après, tu donnes le ballon à l'autre de devant
00:30:39et tu ne le revois jamais, tu n'arrives pas à avoir de connexion.
00:30:41Comme disait Nabil,
00:30:43c'est quoi le meilleur de Dembélé ?
00:30:45C'est quand il est sur son côté et qu'il fait des différences.
00:30:47Parce que comme le disait Jérôme,
00:30:49je cite tous les grands auteurs,
00:30:51le ballon, finalement, il réussit
00:30:53à peu près à arriver à un moment donné dans la surface.
00:30:55Et quand tu as de l'autre côté, Barcola,
00:30:57et je vais citer Stéphane,
00:30:59qui a dit quelque chose de bien dans la mission.
00:31:01Ce soir, on se réconcilie, mes amis.
00:31:03Oh non, ça, ce sera tout à l'heure.
00:31:05Il vient voir un coup, on verra.
00:31:07Je suis ça, moi.
00:31:09Quand tu as Barcola sur un côté gauche,
00:31:11qui est capable de faire des différences individuelles,
00:31:13et qui est capable aussi de jouer avec l'équipe,
00:31:15tu as quand même envie d'avoir un joueur de surface,
00:31:17à un moment donné.
00:31:19Luis Henrique, il peut, de manière volontaire,
00:31:21se priver d'un numéro 9.
00:31:23Parce que tu as dit, c'est vrai qu'au départ de la saison,
00:31:25peut-être, il pouvait penser à Gonzalo Ramos.
00:31:27Mais comme l'a dit, encore une fois,
00:31:29Jérôme Alonso,
00:31:31il avait l'occasion de remplacer,
00:31:33de venir prendre un autre numéro 9
00:31:35de Gonzalo Ramos,
00:31:37s'il ne le fait pas.
00:31:39Et là, ce n'est pas une question de moyens.
00:31:41Là, c'est lui qui avait la main sur le recrutement,
00:31:43si c'était possible de le faire.
00:31:45Il a choisi de ne pas le faire,
00:31:47alors qu'il sait qu'il a Randall Colomwany,
00:31:49dont il ne veut pas,
00:31:51et qu'il a, sinon, que des faux numéro 9.
00:31:53Osimène, c'est presque une faute professionnelle.
00:31:55Il fait des ciseaux, là, du côté de Galatasaray.
00:31:57Un joueur comme ça, quand tu es défenseur,
00:31:59tu rentres chez toi, tu dors pendant 3 jours.
00:32:01Je ne comprends pas qu'il soit passé à côté d'un joueur pareil.
00:32:03Mais bon, comme je dis souvent,
00:32:05il y a 2 Louis au Paris Saint-Germain.
00:32:07Il en reste 2, mais il y en a un qui décide plus que l'autre.
00:32:09Louis Campos, c'est Louis, c'est vérité.
00:32:11Merci beaucoup. Dans quelques minutes, la suite de l'équipe du soir,
00:32:13on passera, tiens, des images de Monaco.
00:32:15Une victoire 5-1
00:32:17contre l'Etoile Rouge Belgrade,
00:32:19avec de la connexion de cette équipe.
00:32:21Moins de budget aussi, non ?
00:32:23Je ne suis pas de 3 euros près.
00:32:25Ce n'est pas beaucoup d'argent.
00:32:27Non, ce soir, de ma passion.
00:32:29Allez, à tout de suite, mes amis.
00:33:04On va remettre les choses dans le contexte.
00:33:07Marquinhos a dit ceci.
00:33:09Si on prend les statistiques,
00:33:11on a pas mal de buts cette saison.
00:33:13Je pense qu'on en a plus que la saison dernière.
00:33:15L'année dernière, on avait un grand numéro 9.
00:33:17Quand un joueur comme ça part,
00:33:19les gens vont beaucoup se focaliser sur ça.
00:33:21C'est une autre idée de jeu aujourd'hui.
00:33:23Notre équipe a changé la caractéristique de notre jeu.
00:33:25C'est important de concrétiser.
00:33:27On a de grands joueurs qui peuvent marquer des buts
00:33:29et qui ont montré qu'ils peuvent le faire.
00:33:31Aujourd'hui, il a manqué plus de tranquillité devant le but.
00:33:33C'est à travailler dans nos têtes.
00:33:35À l'entraînement, ce sont des petits détails
00:33:37qui font la différence.
00:33:39Est-ce que ça devient moins frontal
00:33:41par rapport à la première déclaration
00:33:43qu'on a faite découvrir à nos téléspectateurs ?
00:33:45Beaucoup moins.
00:33:47Est-ce qu'il est dans son rôle, Marquis ?
00:33:49Le fait juste d'avoir souligné
00:33:51que ce soir, c'était une soirée inefficace ?
00:33:53Oui, il a raison.
00:33:55Sur la soirée, il a raison.
00:33:57C'était étonnant quand même de le voir
00:33:59tac le deux pieds décollés.
00:34:01Oui, parce qu'en général, il est plutôt dans le rang C.
00:34:03Il est plutôt à 3-4 mètres de l'attaquant.
00:34:05Comme ça, il voit le jeu devant lui.
00:34:07Il n'est pas dans le corps-à-corps.
00:34:09À droite, il y a toujours une petite prolongation qui arrive.
00:34:13On va parler de Marquinhos fautif.
00:34:15On va revenir sur le match de Marquinhos
00:34:17en revoyant, s'il vous plaît, en régie
00:34:19le but encaissé par le Paris Saint-Germain.
00:34:21On est à la 34ème minute.
00:34:23Tiens, vous repassez
00:34:25le complet.
00:34:27On se fait un petit focus
00:34:29sur le but encaissé.
00:34:31Après, j'irai vous voir avec Marquinhos
00:34:33si c'est lui le principal ou pas.
00:34:35On y va, Virginie.
00:34:37Le résumé démarre par une grosse occasion
00:34:39de Dembélé à la 19ème reprise de volée
00:34:41qui catapulte le ballon sur la barre.
00:34:43Sanction ensuite à la 34ème
00:34:45avec la passe de joueur à Onéves mal négociée par Dembélé
00:34:47pressée par Thielmann qui donne à Saibari.
00:34:49Nohalang récupère, fixe Marquinhos
00:34:51et trompe Donnarumma.
00:34:53Le missile d'Hakimi remet les compteurs à zéro
00:34:55ça passe entre les jambes du gardien
00:34:57les néerlandais ont l'occasion de reprendre l'avantage
00:34:59Thiel file au but, il décale mal à droite
00:35:01c'est dégagé par Marquinhos.
00:35:03Paris qui a poussé jusqu'au bout
00:35:05arrêt miracle de Benitez sur une tête
00:35:07de Marquinhos au bout du bout du temps additionnel.
00:35:09Et Paris enchaîne un deuxième match sans gagner.
00:35:11Le but encaissé par Paris est-il pour Marquinhos ?
00:35:13Faites entrer Marquinhos s'il vous plaît
00:35:15et je demande l'avis de tous les chroniqueurs.
00:35:17Le but encaissé par Paris, 34ème minute
00:35:19inscrit par Nohalang, est-il pour Marquinhos ?
00:35:21Et tienne-moi aussi.
00:35:23Pas que.
00:35:25Nabil.
00:35:27Il est pour Dembélé.
00:35:29Donc c'est non. Stéphane ?
00:35:31Je vais dire oui pour changer un peu la musique.
00:35:33Jérôme ?
00:35:35En tant que gardien, je vais dire oui.
00:35:37Oui.
00:35:39Je pense qu'on peut...
00:35:41C'est intéressant.
00:35:43C'est très intéressant.
00:35:45On se fait un petit gueule.
00:35:47On est dans le Superbowl.
00:35:49Je vous mets avec Nabil.
00:35:51C'est un plaisir.
00:35:53Je participe à ses tweets.
00:35:55C'est la première fois que j'ai un coéquipier
00:35:57qui est mégalo.
00:35:59Et tu vas voir,
00:36:01c'est pas si mal que ça.
00:36:03Peut-être que j'en prendrais une deuxième.
00:36:05Je prendrais aussi peut-être les 30 secondes de Stéphane Guy.
00:36:07Et tienne, vous commencez ou c'est Nabil qui commence ?
00:36:09Je vais rester assez mégalo.
00:36:11Je vais commencer.
00:36:13Stéphane et Jérôme qui commencent ?
00:36:15Ce sera Jérôme évidemment.
00:36:17Le but encaissé par Paris
00:36:19est-il pour Marquinhos ?
00:36:21Du point de vue du gardien.
00:36:23Expliquez-nous pourquoi.
00:36:25En amont,
00:36:27les copains démontreront
00:36:29qu'il y a des manquements.
00:36:31Mais tu peux rattraper aussi.
00:36:33C'est pour ça que tu es là.
00:36:35Et lorsqu'il y a un face-à-face
00:36:37et que tu recules vers ton but
00:36:39sans frein,
00:36:41tu mets ton gardien en difficulté.
00:36:43Parce qu'il va y avoir forcément
00:36:45un moment où il y aura la fenêtre de tir
00:36:47Et on passe à côté
00:36:49Etienne Moati, mais pas que.
00:36:51En évoquant ce qu'on va dire,
00:36:53il pense désamorcer.
00:36:55Il ne désamorce rien du tout.
00:36:57Il y a une passe extrêmement dangereuse
00:36:59de João Neves qui la met en plein axe
00:37:01alors que Dembélé
00:37:03n'est pas encore en situation
00:37:05de bien pouvoir recevoir le ballon.
00:37:07La deuxième responsabilité,
00:37:09c'est quand même un peu pour Dembélé parce qu'il ne vient pas attaquer son ballon.
00:37:11Et s'il le fait, il devance
00:37:13le néerlandais, donc c'est lui qui a la balle.
00:37:15Il n'a jamais cette situation-là.
00:37:17Et au bout, c'est vrai qu'il y a une troisième responsabilité,
00:37:19c'est celle de Marquinhos,
00:37:21mais elle est répartie.
00:37:23On revient à la trente sur le chrono.
00:37:25Ne vous inquiétez pas.
00:37:27Stéphane Guy, le but est-il pour Marquinhos ?
00:37:29A vous de jouer.
00:37:31Oui, parce que c'est son job.
00:37:33Son job, c'est d'agir dans l'urgence.
00:37:35Il sait depuis qu'il est Poussin
00:37:37que lorsqu'un attaquant arrive face à lui,
00:37:39il ne faut pas reculer en même temps.
00:37:41C'est à lui d'intervenir.
00:37:43Il a tout à fait le talent et les capacités
00:37:45pour faire ça, donc il donne
00:37:47le fouet pour se faire battre.
00:37:49Il vous reste trois secondes
00:37:51et cinq dixièmes.
00:37:53Le body language de Dembélé, il est catastrophique.
00:37:55On dirait un gars qui fait la queue à la boulangerie
00:37:57alors qu'il a un ballon chaud qui arrive
00:37:59et qu'il est dos au but.
00:38:01Tout simplement, c'est lui qui perd ce ballon
00:38:03parce qu'il manque de détermination et d'agressivité.
00:38:05Tout ce qui a symbolisé le Paris Saint-Germain sur cette première mi-temps.
00:38:07Puis derrière, il y a quand même le talent
00:38:09d'un joueur.
00:38:11Noah Lang.
00:38:13Il n'avait pas sa langue dans sa poche
00:38:15quand il a fallu
00:38:17ajuster toute la défense du PSG.
00:38:19Complément au niveau du chrono, parce que le chrono était mal ajusté.
00:38:21Je suis désolé, il y a un petit bug technique.
00:38:23Quand tu es gardien, je pense que
00:38:25dans cette situation-là,
00:38:27tu vas préférer soit le joueur qui avance un peu
00:38:29et qui vraiment bloque la course
00:38:31et là, il n'a pas bloqué la course.
00:38:33Eux, il n'y avait pas de bug technique. Ils avaient eu toute leur minute.
00:38:35On avait 30 secondes pour deux.
00:38:37C'est intéressant, franchement.
00:38:39Si mon défenseur va au contact
00:38:41et qu'il se fait éliminer,
00:38:43j'aurai un duel pas très dur à jouer.
00:38:45Parce qu'il va être forcément sur un grand crochet
00:38:47et s'il élimine mon joueur, moi je vais être derrière
00:38:49en position de duel, mais pas très dur,
00:38:51angle fermé pour le défendre.
00:38:53J'ai une question complémentaire. Vous nous avez parlé du recul-frein.
00:38:55Oui, sans frein.
00:38:57À partir de quel moment le frein
00:38:59doit être avancé dans le recul ?
00:39:01Tu peux faire un frein à main qui est un peu
00:39:03grippé. C'est-à-dire que tu peux reculer
00:39:05sur tes appuis
00:39:07trois quarts, en orientant le joueur un peu
00:39:09où tu veux. Alors que là, en reculant
00:39:11loin du joueur,
00:39:13tu t'exposes au crochet et à la frappe
00:39:15des deux côtés. Pardon, je vais demander une consultation
00:39:17à notre président. Vous, le recul-frein, ce n'était pas
00:39:19forcément ce que vous avez noté.
00:39:21Si c'était le recul-frein, vous avez noté
00:39:23qu'il y a une mauvaise distance
00:39:25entre nous et l'angle. Ce n'est plus du recul.
00:39:27C'est un peu les deux. Là, ce n'est plus du recul.
00:39:29Là, c'est d'essayer d'aller
00:39:31je sors de l'angle.
00:39:33D'essayer d'aller un peu lui faire mal.
00:39:35De réduire l'espace.
00:39:37Là, ce n'est pas recul, c'est avance-frein.
00:39:39Ce n'est pas le recul-frein.
00:39:41Tu montes pour ensuite faire le recul.
00:39:43Tu ne vas pas monter pour te faire éliminer.
00:39:45Tu montes et quand tu as une distance assez proche
00:39:47de l'attaquant, là tu commences
00:39:49à l'accompagner en recul-frein.
00:39:51Après, je trouve que tout ce qui a été dit
00:39:53c'est juste. Je trouve que Jérôme Néves ne doit pas
00:39:55faire ce passe-là, dans cette zone pour moi.
00:39:57Dembélé, j'ai l'impression que le mec
00:39:59il est tranquille.
00:40:01Il est sans personne
00:40:03autour de lui.
00:40:05Il ne se rend pas compte qu'il est dans une zone
00:40:07où il y a énormément de joueurs.
00:40:09Et la réaction
00:40:11est très mauvaise. Mais après, derrière
00:40:13pour moi, quand même, un cran au-dessus
00:40:15Marquinhos doit agir différemment de ce qu'il fait
00:40:17dans ce qu'on vient de dire, c'est-à-dire réduire l'espace
00:40:19après reculer avec l'attaquant.
00:40:21Là, il se fait éliminer
00:40:23comme s'il n'était pas là.
00:40:25Il ne peut pas.
00:40:27L'angle arrive à 3-4 mètres de lui.
00:40:29Il part sur la droite.
00:40:31C'est vrai qu'il ne se fait pas éliminer
00:40:33sans être humilié.
00:40:35Il y a trois erreurs.
00:40:37C'est un peu ce qui me dérange dans Marquinhos.
00:40:39C'est vrai que l'angle est tellement ouvert
00:40:41pour Donnarumma. J'ai entendu dire
00:40:43que Donnarumma aurait pu faire autre chose.
00:40:45Mais c'est tellement compliqué parce que le gars
00:40:47est à 20 mètres de toi.
00:40:49La connaissance de ton gardien.
00:40:51Je pense qu'il pense peut-être là-bas.
00:40:53Marquinhos, s'il y a bien un point fort
00:40:55qu'il a Donnarumma, c'est les duels comme ça.
00:40:57Il est très fort là-dedans.
00:40:59Je me rapproche du joueur de l'intérieur
00:41:01pour forcer l'angle à partir à l'extérieur
00:41:03et à jouer si il m'élimine.
00:41:05Ce qui n'est pas encore fait.
00:41:07Si il m'élimine, jouer un duel anglo-fermé
00:41:09avec Donnarumma.
00:41:11En plus, tu sais qu'il est droitier.
00:41:13Je lui laisse l'extérieur
00:41:15et si il m'élimine,
00:41:17Donnarumma derrière.
00:41:19C'est une responsabilité partagée à trois
00:41:21mais on focalise tout sur Marquinhos
00:41:23comme si l'association...
00:41:25Il n'y a que lui.
00:41:27On t'en vient de rappeler qu'il a été acheté
00:41:2960 millions.
00:41:31Il fait une passe extrêmement dangereuse
00:41:33à un moment du match où ça peut basculer.
00:41:35Tu ne dois pas la faire cette passe-là.
00:41:37Il n'y a strictement aucune raison de la faire.
00:41:39Concernant Dembélé, il n'est pas dans l'anticipation.
00:41:41Il ne vient pas au ballon.
00:41:43Alors qu'il peut rattraper lui-même
00:41:45déjà un petit peu l'erreur
00:41:47de João Neves.
00:41:49Je pense qu'il y a deux erreurs importantes.
00:41:51Il y a une troisième de Marquinhos.
00:41:53Je suis d'accord avec vous sur ça.
00:41:55Vous avez parlé des deux cas.
00:41:57Je suis d'accord plutôt avec ça.
00:41:59Mais derrière, pour moi,
00:42:01Marquinhos fait une grosse erreur.
00:42:03La question c'est le but encaissé du PSG.
00:42:05Est-il pour Marquinhos ?
00:42:07Je ne suis pas à 100% d'accord.
00:42:09Peut-être que je me trompe.
00:42:11Je trouve que la passe
00:42:13n'est pas si catastrophique que ça.
00:42:15J'ai déjà vu des parfums d'un autre niveau.
00:42:17Quand tu donnes un ballon comme ça,
00:42:19tu dois attaquer ton ballon à minimum.
00:42:21Là, il ne se passe rien.
00:42:23C'est pour ça que j'ai focalisé sur Neves.
00:42:25Mais l'art de ne pas se faire éliminer,
00:42:27on l'a découvert avec un but
00:42:29encaissé par l'équipe de France
00:42:31où Roland Gourbis, un soir de débrief
00:42:33du match des Bleus, avait regretté
00:42:35l'attitude de Koundé
00:42:37qui n'avait pas mis la bonne distance
00:42:39de défense et surtout
00:42:41qui n'avait pas voulu monter
00:42:43au contact de son défenseur
00:42:45pour ne pas prendre le risque
00:42:47de se faire dribbler et donc
00:42:49de se faire accabler.
00:42:51Parfois, il y a des attitudes qui font
00:42:53qu'il est là, qu'il n'est pas passé
00:42:55et qu'il n'est peut-être pas aussi responsable que ça.
00:42:57Mais l'équipe du soir veille en tout cas.
00:42:59Louis Sénriquet
00:43:01en conférence de presse.
00:43:03Je lui ai posé la question, et c'est un soir
00:43:05à douter de la qualification.
00:43:07M. Louis Sénriquet a exprimé
00:43:09quelques doutes sur la suite
00:43:11de la compétition. Écoutez Louis Sénriquet.
00:43:13Bonsoir, Baptiste Becker
00:43:15de l'AFP. Est-ce que vous
00:43:17ressentez que le PSG est désormais sous
00:43:19une forte pression en Ligue des Champions
00:43:21après seulement 4 points et 3 journées
00:43:23alors que d'autres rivaux, eux,
00:43:25performent plutôt bien ?
00:43:27Et avec de grosses affiches à venir aussi en novembre
00:43:29avec l'Atletico et le Bayern Munich.
00:43:35Et le Manchester City également.
00:43:37Et Stuttgart.
00:43:39Et Salzburg.
00:43:41C'est le groupe le plus
00:43:43difficile, oui.
00:43:45Et il faut être prêt
00:43:47pour pouvoir
00:43:49améliorer ce qu'on peut améliorer.
00:43:51Et suivre ainsi.
00:43:53Mais c'est difficile.
00:43:55Je suis préoccupé, oui, en effet.
00:44:17C'est l'équipe du soir.
00:44:19Allez, à tout de suite, mes amis.
00:44:29On s'est quitté avec la conférence
00:44:31de presse de Louis Sénriquet.
00:44:33Saint-Soir a douté de la qualification.
00:44:35Louis Sénriquet qui, d'habitude, fait plutôt
00:44:37de la langue de bois, qui est quand même droit comme un lit
00:44:39en s'arcoubutant sur son
00:44:41projet. L'équipe va s'améliorer.
00:44:43L'équipe est là. Là, ce soir,
00:44:45il ouvre la porte, vous m'avez dit,
00:44:47le parapluie de Cherbourg sur
00:44:49la qualif.
00:44:51Puisqu'il a parlé du Bayern, il a parlé de l'Atletico de Madrid.
00:44:53Il a parlé de City également, que le journaliste
00:44:55avait oublié. Et donc, plus
00:44:57personne n'est inquiet encore. Pour l'instant, on n'est pas
00:44:59inquiet.
00:45:01La qualif ?
00:45:03La qualif, non.
00:45:05Il y a quand même 5-6 équipes très très
00:45:07très faibles. Le budget du PSG
00:45:09est en grosse diminution cette année. Donc, il faut quand même s'inquiéter.
00:45:11Vous êtes dans les 24
00:45:13équipes européennes.
00:45:15Le budget, par définition, il baisse par rapport au fait que Mbappé
00:45:17s'en aille quand même.
00:45:19Quand tu perds les masses salariales
00:45:21de Messi, Neymar,
00:45:23là, il faut que tu prennes 27 joueurs pour les remplacer.
00:45:25C'était un avance.
00:45:27Là, on parle de l'an dernier à cette année.
00:45:29En perdant Mbappé, tu perds quand même
00:45:31une grosse part du budget.
00:45:33Ce soir, qu'on fasse le point.
00:45:35Personne.
00:45:37Pour le top 8, c'est terminé.
00:45:39La 24 ?
00:45:41Si le Paris Saint-Germain
00:45:43n'est pas dans les 24 équipes
00:45:45de cette Ligue des Champions, là, pour le coup,
00:45:47je vais rejoindre mon ami. C'est mon ami
00:45:49Stéphane Guy. Le projet, il a changé.
00:45:51Le projet, il aura changé, mais il n'aura pas changé en bien.
00:45:53Ce sera véritablement un pur accident.
00:45:55C'est cataclysme
00:45:57s'ils ne sont pas dans les 24 équipes.
00:45:59Pour l'instant, c'est le plus gros cataclysme.
00:46:01Après, ils peuvent gagner.
00:46:03Tu as 7-8 équipes.
00:46:05Oui, tu as 7-8 équipes à 0 point.
00:46:07On voit les images du match nul
00:46:09contre le PSV, puis après, on va aller
00:46:11directement sur les notes.
00:46:13Il y a un joueur symbole dont on parle.
00:46:15C'est Kang In-Li. C'était le choix de Louis Sénériqué
00:46:17de l'installer en faux numéro 9. Ce n'est pas d'ailleurs la première
00:46:19fois que ça arrive sous l'air Louis Sénériqué.
00:46:21On notera Kang In-Li.
00:46:23On note avec quoi aujourd'hui, mémé ?
00:46:25Ah, il n'y a pas de raquette !
00:46:27Vous allez noter.
00:46:29Il n'y a pas de raquette, mais le billet reprend.
00:46:31Vous allez noter à la bouche.
00:46:33On y va
00:46:35pour le PSV.
00:46:37Vous avez raison, les raquettes ne sont pas là.
00:46:39Et ça démarre par une occasion
00:46:41de Dembélé à la 19ème minute.
00:46:43La reprise de volet qui catapulte le ballon sur la barre.
00:46:45Sanction ensuite à la 34ème.
00:46:47Passe de joie au Neves, mal négocié
00:46:49par Dembélé, pressé par Thielman,
00:46:51qui donne à Saibary. Noa Land récupère
00:46:53Fixmarf, Quiños et frappe au ras du poteau.
00:46:55Le missile d'Akimi remet les compteurs à 0
00:46:57en début de seconde période entre les jambes du gardien.
00:46:59Les néerlandais ont l'occasion
00:47:01de reprendre l'avantage. Thiel file au but.
00:47:03C'est dégagé par Marquinhos.
00:47:05Paris a poussé jusqu'au bout.
00:47:07Arrêt miracle de Benitez au bout du bout
00:47:09du temps additionnel et Paris enchaîne
00:47:11un deuxième match sans gagner ce soir.
00:47:13Les jeux de raquettes sont
00:47:15arrivés, mais il semble qu'il n'y a pas
00:47:17toutes les notes.
00:47:25On va noter Kangigli.
00:47:27Sur l'équipe Connect,
00:47:29rappelons qu'il y a l'équipe Connect.
00:47:31Si vous avez des petites choses à passer
00:47:33sur la performance de Kangigli, les choix de Louis Cédric.
00:47:35Virginie est là et peut
00:47:37très bien aller voir l'équipe Connect.
00:47:39Kangigli, c'est 4.
00:47:41Vous, vous avez le bloc, c'est 5.
00:47:435, 4, 5, 4 et 4.
00:47:45Ceux qui ont mis 5,
00:47:47vous espérez pas plus
00:47:49ou vous avez trouvé que le match était
00:47:51moyen neutre ?
00:47:53Je trouve qu'il a contre-emploi déjà.
00:47:55Ça pondère ma vision
00:47:57de son match en partie.
00:47:59Contre-emploi, alors.
00:48:01Où serait-il le mieux pour aider son équipe ?
00:48:03Vous le voyez.
00:48:05À 3 au milieu.
00:48:07Faux pied plutôt.
00:48:11Moi, j'ai trouvé moyen.
00:48:13Je ne l'ai pas trouvé en dessous de la moyenne.
00:48:15Il n'a pas fait un grand match.
00:48:17Est-ce que c'est son positionnement qui explique cela ?
00:48:19Je ne sais pas.
00:48:21Je ne sais pas si ça le dérange plus que ça,
00:48:23mais c'est vrai que sur un côté, je le préfère.
00:48:25À droite, quand il peut rentrer
00:48:27avec son pied gauche,
00:48:29peut-être qu'il animait un peu plus,
00:48:31mais dans ce rôle-là, je l'ai trouvé intéressant.
00:48:33Si on rentre dans la logique,
00:48:35on ne connaît qu'en guignol,
00:48:37s'il utilisait comme ça en faux numéro 9,
00:48:39quel match aurait-il dû faire ?
00:48:41Parce que là, en fait,
00:48:43on l'évoquait tout à l'heure,
00:48:45en faux numéro 9,
00:48:47il n'est presque pas numéro 9 du tout.
00:48:49Est-ce que c'est la volonté
00:48:51de Luis Henrique
00:48:53qu'il ne soit pas numéro 9 du tout ?
00:48:55Franchement, sur la première mi-temps,
00:48:57je ne l'ai pas vu en neuf.
00:48:59Ni en vrai, ni en faux, ni en moyen,
00:49:01ni en rien du tout.
00:49:03Vous l'avez vu où ?
00:49:05Et pourtant, il n'y a pas de connexion ?
00:49:07Vous avez regretté qu'il n'y ait pas de connexion
00:49:09entre les joueurs ?
00:49:11Est-ce que Kang In-li a pour la connexion
00:49:13les joueurs derrière lui et les joueurs devant lui ?
00:49:15Barcola, Dembélé ?
00:49:17Ce n'est pas lui le fautif.
00:49:19Lui, il est dans la connexion,
00:49:21mais quand le ballon va vers Dembélé ou Barcola,
00:49:23c'est la finition de l'action.
00:49:25Vous êtes encore dans la préparation ?
00:49:27En général, dans ces trucs-là,
00:49:29les mecs rentrent, plongent,
00:49:31doivent finir.
00:49:33Dembélé, en général,
00:49:35quand il joue sur son côté,
00:49:37je le trouve rarement trouver un appui
00:49:39dans l'axe.
00:49:41Il se sert beaucoup avec Hakimi,
00:49:43ça combine plutôt entre les deux,
00:49:45mais ça reste sur le côté.
00:49:47Il n'y a jamais une connexion dans l'axe
00:49:49pour ensuite éventuellement repartir
00:49:51avec Hakimi qui pourrait prendre l'espace.
00:49:53L'idée de Luis Enrique du faux numéro 9,
00:49:55c'était une idée qui existait à l'époque
00:49:57où c'était Fabregas en équipe d'Espagne,
00:49:59qui était un joueur d'un immense talent,
00:50:01d'un immense talent individuel,
00:50:03et comme il y avait embouteillage
00:50:05à son poste au milieu de terrain,
00:50:07ils ont trouvé cette idée-là
00:50:09de le faire jouer en faux numéro 9,
00:50:11ce qui faisait assez bien
00:50:13parce que c'était un joueur qui marquait
00:50:15énormément de buts, avec Arsenal par exemple.
00:50:17Il manquait aussi d'attaquants.
00:50:19C'était une solution, on va dire,
00:50:21un peu faute de mieux,
00:50:23et avec un joueur d'un immense talent,
00:50:25mais il essaie de reproduire ça aujourd'hui
00:50:27avec ces joueurs-là du Paris Saint-Germain
00:50:29qui sont perdus à ce poste-là
00:50:31qui est un poste forcément compliqué.
00:50:33Le 4 du Canguigny, je pense,
00:50:35il fait un match moyen pour toutes ces raisons-là,
00:50:37donc de sa faute et pas de sa faute,
00:50:39mais il a aussi une occasion énorme quand même
00:50:41quand on l'aborde, parce que l'occasion
00:50:43elle est au 6 mètres. Alors oui, Benitez
00:50:45fait un bel arrêt, mais dans son match moyen,
00:50:47il y aurait eu une faute auparavant
00:50:49de Dembélé qui a été sifflée, si on parle bien
00:50:51de la même action. Pour moi, j'ai ça,
00:50:53Dembélé, est-ce que vous m'avez posé ? Il est hors-jeu ? Non, il n'est pas hors-jeu.
00:50:55L'arbitre, monsieur Niberg,
00:50:57Glenn Niberg, siffle faute. C'est bien ça.
00:50:59À la 46e, là ? Oui, il cadre sa frappe.
00:51:01Ça n'empêchait pas Canguigny de marquer,
00:51:03même s'il y avait eu une faute avant.
00:51:05Oui, précédemment, mais ce but aurait été
00:51:07annulé.
00:51:09Quand tu joues avec un faux neuf,
00:51:11ça dépend de la qualité de ton faux neuf.
00:51:13Après, c'est pas Messi.
00:51:15Il y a quelques mémétismes,
00:51:17mais il faut lui expliquer que ce n'est pas Messi.
00:51:19Je pense qu'il s'en était rendu compte.
00:51:21Je ne sais rien, mais je me posais question et j'ai le droit.
00:51:23Dans ce que nous dit l'explication
00:51:25et la jeunesse du faux neuf, c'est qu'il manquait
00:51:27peut-être d'attaquants de surface.
00:51:29Il y en a des attaquants du côté du Paris Saint-Germain ?
00:51:31Non, mais là, pour le coup,
00:51:33ce n'est pas des attaquants
00:51:35pour son jeu.
00:51:37Randall Colomoyni, ce n'est pas un attaquant,
00:51:39ce n'est pas un avançant pour le jeu de Luis Enrique.
00:51:41Mes amis, on continue
00:51:43d'effeuiller les notes de l'équipe du soir.
00:51:45Achraf Hakimi.
00:51:47Achraf Hakimi a eu des situations offensives.
00:51:49Malheureusement, en fin de rencontre,
00:51:51il n'a pas pu cadrer,
00:51:53mais il a marqué.
00:51:55J'ai un petit truc à vous dire d'ailleurs,
00:51:57parce que j'ai reçu un texto de Roland Kourbis.
00:51:597-7-7-8.
00:52:018-8.
00:52:03Très bon match.
00:52:05Très bon match sur la première mi-temps
00:52:07où il a été mis en difficulté par le buteur Lang.
00:52:09Mais sur la deuxième mi-temps, je suis désolé,
00:52:11mais c'est mieux que lui.
00:52:13Dembélé, il est sorti, il n'existait plus.
00:52:15Il y avait Achraf sur la première partie du terrain
00:52:17et Hakimi sur la deuxième partie du terrain.
00:52:19Le but, déjà, c'est lui qui remet le Paris Saint-Germain dedans
00:52:21avec une frappe en plus de grande qualité,
00:52:23je trouve.
00:52:25Et un arrêt de piètre qualité quand même.
00:52:27La balle a rebondi, elle va vite, ça fuit.
00:52:29Tu as le droit d'être talentueux.
00:52:31Jérôme.
00:52:33Jérôme.
00:52:35Jérôme, à vitesse réelle,
00:52:37je ne sais pas si j'ai eu l'impression
00:52:39que la frappe était contrée au début.
00:52:41Elle était déviée.
00:52:43Le ralenti m'a dit qu'il y avait une drôle de trajectoire.
00:52:45J'ai mis une super note aussi, Nabil.
00:52:47C'est pas de mauvaise foi.
00:52:49Je ne dis pas que c'est une passe au gardien.
00:52:51Je dis que Bénitez, le but, il est pour lui.
00:52:53Elle rebondit juste avant.
00:52:55Elle fuse, elle va vite.
00:52:57C'est vrai qu'il se trouve en partie.
00:52:59Tu vois un gardien qui met les jambes sur une frappe de 30 mètres.
00:53:01Je ne mets pas 8 que pour son but.
00:53:03En tout cas, il le met, il n'y a pas de souci.
00:53:05Mais pour le reste, le dépassement de fonction.
00:53:07Pour le coup, autant il était piégé.
00:53:09Il y a quelques saisons au PSG, avec Di Maria et compagnie,
00:53:11il faisait des courses, il le carotait.
00:53:13Autant là, le système, pour le coup,
00:53:15l'avantage.
00:53:17Je trouve qu'il va dépasser.
00:53:19On arrête toujours à se disputer, même quand on est d'accord.
00:53:21Parce que je pense que tout le monde pense
00:53:23qu'Akimi a été le meilleur parisien.
00:53:25On va aller voir Giovanni Castaldi.
00:53:27Giovanni, je vous mets juste un petit peu sur poste
00:53:29parce que j'ai reçu un texto de notre président
00:53:31du lundi soir, Roland Courbis,
00:53:33qui n'en peut plus puisque sur la frappe d'Akimi,
00:53:35il a noté que le belge,
00:53:37et j'ai regardé le ralenti, en effet,
00:53:39le belge Matteo Dams, qui est face à Akimi,
00:53:41tourne le dos sur la frappe.
00:53:43Et ça, Roland Courbis...
00:53:45Qu'est-ce qu'il y a, Etienne ?
00:53:47Vous me faites les yeux au ciel.
00:53:49Roland a noté que, finalement, le défenseur
00:53:51avait tourné le dos
00:53:53et finalement n'avait pas, évidemment,
00:53:55embarrassé son gardien. On revient.
00:53:57Merci du texto, Roland.
00:53:59Je reçois parfois les textos.
00:54:01Pourtant, contrairement à Marquinhos,
00:54:03il sort mais...
00:54:05Quand tu fais ça en général, ton entraîneur,
00:54:07il te défonce à la fin du match.
00:54:09En tout cas, je ne sais pas s'il sera défoncé
00:54:11par Boch, mais il aurait pu être défoncé
00:54:13par Roland. Giovanni,
00:54:15vous l'avez trouvé comment, à Schraff-Akimi
00:54:17vu du stade, mon cher Joe ?
00:54:19Et qui est le cardio, quand même ?
00:54:21Je l'ai trouvé
00:54:23phénoménal, pour le coup.
00:54:25Surtout sa seconde période. Je trouve qu'il a montré
00:54:27énormément de caractère,
00:54:29de personnalité.
00:54:31Il a fait un très grand match.
00:54:33J'ai bien aimé parce que...
00:54:35On sait que la consigne de Louis-Henriqué,
00:54:37c'est qu'il fixe beaucoup à l'intérieur
00:54:39pour laisser le couloir à Ousmane Dembélé.
00:54:41Mais on a vu 2-3 débouler en seconde période.
00:54:43Il est quand même très à l'aise
00:54:45dans ce registre-là.
00:54:47Et c'est surtout sur un effectif
00:54:49qui est parfois un peu tendre, un peu jeune.
00:54:51Lui, il prend les choses en main
00:54:53et il n'y en a pas beaucoup des leaders comme ça
00:54:55dans cet effectif du Paris Saint-Germain.
00:54:57Et lui, il en fait partie. 7 ou 8,
00:54:59il aura la meilleure note dans le journal,
00:55:01à mon avis, côté parisien.
00:55:03Alors Hakimi, moi j'aime bien le joueur
00:55:05parce que c'est des joueurs qui font lever des stades.
00:55:07Mais Hakimi, un, défensivement,
00:55:09je l'ai vu une ou deux fois
00:55:11complètement muselé par Noah Lang.
00:55:13Et la deuxième chose, c'est qu'on est
00:55:15toujours dans les joueurs qui manquent
00:55:17totalement de connexion avec les autres.
00:55:19C'est un gars qui arrive, qui fonce...
00:55:21C'est pas vrai. Avec
00:55:23Dembélé, il y a une connexion quand même
00:55:25depuis un bon moment
00:55:27entre les deux. Donc le côté droit
00:55:29du Paris Saint-Germain, ça fonctionne quand même
00:55:31plutôt bien. Donc la connexion, il est capable
00:55:33d'en avoir. Après,
00:55:35moi je trouve qu'il fait un très bon match.
00:55:37Sur l'idée qu'il ne sait pas défendre,
00:55:39c'est un peu vrai.
00:55:41Mais combien je mettais
00:55:43le président au défi de me citer
00:55:45des arrière-droits qu'il savait défendre,
00:55:47il n'y en a pas beaucoup. On a trouvé Carvaral.
00:55:49Mais sinon, il n'y en a pas beaucoup.
00:55:51Oui, Cafu, mais il a arrêté, je crois.
00:55:53Cafu, oui, c'est un phénomène.
00:55:55Il y en avait un brésilien qui était un phénomène.
00:55:57C'était Meïcon.
00:55:59D'accord.
00:56:01Non mais défensivement...
00:56:03On n'était pas dans l'histoire du football.
00:56:05Je n'ai pas compris.
00:56:07Je cherche dans nos souvenirs, mais je trouve qu'Hakimi,
00:56:09quand il est attaqué...
00:56:11Ce n'est pas la sécurité sociale...
00:56:13Ce qui m'impressionne ce soir, c'est ses courses.
00:56:15La générosité de ses courses. Il y est allé plusieurs fois.
00:56:17Il va très très vite, donc ça marque les gens.
00:56:19Mais après, derrière ces courses-là,
00:56:21est-ce qu'il y a eu des situations
00:56:23qui ont amené des...
00:56:25Des frappes.
00:56:27Pas forcément des frappes de lui,
00:56:29mais des occasions vraiment franches.
00:56:31Il essaie pas d'être sévère.
00:56:33Je sais très bien,
00:56:35généralement, ça impressionne.
00:56:37Je ne parle pas que d'Hakimi.
00:56:39Quand des joueurs vont très vite,
00:56:41quand ils font des longues courses,
00:56:43les gens dans le stade sont impressionnés par ça.
00:56:45Mais s'il y a derrière ça,
00:56:47il y a un centre qui arrive au troisième poteau,
00:56:49il y a un centre qui n'arrive pas sur un parisien...
00:56:51On a insisté sur le fait que le côté droit du Paris-Saint-Germain,
00:56:53c'était quelque chose qui fonctionnait.
00:56:55Sur le côté gauche, ça ne fonctionnait pas.
00:56:57On essayait de trouver le pan dans un petit peu de ce côté droit.
00:56:59Donc il ne faut quand même pas tout jeter.
00:57:01Je trouve qu'il est quand même aussi capable
00:57:03de combiner sur son côté.
00:57:05Il est 6 ou 7.
00:57:076 ou 7, voire 8, pour entendre David.
00:57:09Mais quand même, à être aussi bon défensivement,
00:57:11il va finir au Réal à temps, il va peut-être y aller.
00:57:13Euh, pardon.
00:57:15Le truc, par contre, qui est important,
00:57:17je trouve que c'est un peu
00:57:19le même constat pour Nuno Mendes,
00:57:21c'est que le système du Paris-Saint-Germain,
00:57:23la façon dont Luis Enrique joue,
00:57:25met en valeur ces deux joueurs-là aussi.
00:57:27Donc ça fausse un peu notre regard sur ces joueurs-là.
00:57:29Un peu moins quand même Nuno Mendes à droite.
00:57:31À gauche, il est.
00:57:33À gauche, je veux dire.
00:57:35Pour le coup, Nuno Mendes,
00:57:37je trouve que défensivement,
00:57:39il peut y avoir les mêmes lacunes qu'Akimi.
00:57:41Mais en tout cas, le système de Luis Enrique,
00:57:43aujourd'hui, ne le met pas du tout en valeur.
00:57:45En tout cas, on ne le voit plus du tout,
00:57:47Giovanni Castaldi, dernière interventieuse.
00:57:49Est-ce qu'il y a un joueur, un second rôle
00:57:51qui vous a plu, vous,
00:57:53vu du stade ?
00:57:55Je ne parle pas d'Embelle, parce que vous lui avez mis
00:57:57une petite semelle. Mais un autre joueur
00:57:59dont vous aimeriez nous parler, vu du stade ?
00:58:03En tout cas, je suis ravi qu'Etienne
00:58:05lise bien la tactique,
00:58:07puisque Nuno Mendes, il est complètement bridé.
00:58:09Après, Stéphane, ce n'était pas sur une ligne de comptabilité
00:58:11le position de Nuno Mendes.
00:58:13Ça pouvait peut-être sortir de l'analyse.
00:58:15Un autre joueur du Paris Saint-Germain.
00:58:17Moi, j'ai bien aimé, par séquence, Juarens à R.M.Ri.
00:58:19Je trouve qu'il a essayé,
00:58:21il a essayé de se projeter,
00:58:23de faire des courses.
00:58:25Et un joueur qui m'a dérangé,
00:58:27c'est Pacho, parce que je trouve qu'il n'a pas beaucoup
00:58:29aidé son équipe ce soir. Il est parti à la pêche
00:58:31à bon nombre de reprises. Il a perdu
00:58:33des ballons importants. C'était une des rares satisfactions
00:58:35défensivement du côté du PSG.
00:58:37Ce soir, il a raté son match, je trouve.
00:58:39D'accord. Merci beaucoup.
00:58:41R.M.Ri, sur les 20-25 premières minutes,
00:58:43il a anné 2-3 fois
00:58:45le surnombre. Après, c'est neutre.
00:58:47Sur l'ensemble du match. Il a plongé vite.
00:58:49Peut-être qu'on ne voit pas les mêmes choses
00:58:51dans les tribunes,
00:58:53mais bon, je suis surpris. De toute façon,
00:58:55depuis, ça me l'est sûr. En équipe de France,
00:58:57c'est un joueur qui, quand il revient
00:58:59et quand il fait des bons matchs, malheureusement,
00:59:01avant, il était fort sur la durée. Et maintenant, il plonge.
00:59:03Je vais revenir avec Jo.
00:59:05Sur le match de R.M.Ri, c'est le début
00:59:07de match ? Ah, il est parti.
00:59:09Donc, on a perdu le droit sur Jo.
00:59:11Pas de Jo, par exemple. Comme c'est le projet
00:59:13de Leipzig, maintenant, quand tu as un joueur comme De Jong
00:59:15face à toi, tu apprends le métier. C'est pas grave. Dans 2-3 ans,
00:59:17ça va payer. R.M.Ri. Pas de Jo.
00:59:19Dans 2-3 ans, il sera dans un grand club.
00:59:21Mais tu veux dire qu'il était pas de Jo ce soir ?
00:59:23Non, mais c'est l'objectif. R.M.Ri. Pas de Jo. Pas de Chéco.
00:59:25Comme l'a surnommé hier
00:59:27notre marquis.
00:59:29Il dit, j'aime bien, pas de Chéco.
00:59:31R.M.Ri. En fait, avec sa décharge,
00:59:33il a quand même coupé une action. Alors, OK, il n'a pas été nickel,
00:59:35mais il a quand même coupé un contre de manière
00:59:41à évoquer le tour de la soirée
00:59:43de cette troisième journée qui a débuté ce soir
00:59:45avec un Real Madrid à réaction
00:59:47qui s'impose. Et vous regardez la rivière.
00:59:49Vinicius Junior s'est offert
00:59:51un triplé ce soir du côté de Dortmund.
00:59:53Virginie, à vous de jouer.
00:59:55Ils étaient menés 2-0 jusqu'à la 60ème,
00:59:57les madrilennes. Ils égalisent et relancent
00:59:59tout en deux minutes. Mbappé passant
01:00:01les deux fois pour Rudiger d'abord
01:00:03et puis pour Vinicius. Triplé du Brésilien
01:00:05ce soir, oui. Avec une
01:00:07folle chevauchée à la 86ème
01:00:09avant d'aller sceller la victoire
01:00:11en toute fin de match à la 93ème.
01:00:13Victoire. 5 buts
01:00:15à 2. Petite déclaration
01:00:17des Ordos Kamavinga en fin de match.
01:00:19Le coach nous a remis en confiance à la mi-temps.
01:00:21Il nous a dit que le plus important était la réaction.
01:00:23On l'a bien écouté et on a fait
01:00:25ce qu'il nous a dit de faire.
01:00:27Le premier de Vinicius, je ne suis pas sûr qu'il soit une passe de Mbappé.
01:00:29C'est Mbappé qui est taclé par
01:00:31un joueur.
01:00:33Sur le match de Vinicius, lundi,
01:00:35grande soirée sur la chaîne équipe.
01:00:37C'est le ballon d'or.
01:00:39C'est lui ?
01:00:41Je ne sais pas.
01:00:43Je ne sais pas.
01:00:45Je pense que le vainqueur, au moment où on se parle,
01:00:47ne le sait pas. Il le saura le jour J.
01:00:49Ça, ce n'est pas vrai.
01:00:51Le vainqueur, il ne peut pas le savoir le jour J.
01:00:53Le jour J, il peut le savoir, le vainqueur.
01:00:55Il le saura, même avant, non ?
01:00:57Non. La veille ? Non.
01:00:59C'est la première année ou non. Il n'y a qu'une seule personne
01:01:01au monde qui est au courant. C'est Vincent Garcia
01:01:03à la tête de France Football. Mais le vainqueur
01:01:05comprendra en direct comme nous.
01:01:07Vincent Garcia m'a dit que c'était eux.
01:01:09Si vous avez des questions, je n'ai pas les réponses.
01:01:11D'accord.
01:01:13Les amis, le match de Vinicius,
01:01:15est-ce que vous avez regardé un petit bout du match de Vinicius ?
01:01:17Vous étiez focus sur focus.
01:01:19On a regardé.
01:01:21Etienne ? Le match de Vinicius ?
01:01:23Est-ce que j'ai aimé ?
01:01:25Franchement...
01:01:27Non, mais les bribes.
01:01:29C'est exceptionnel.
01:01:31D'abord, c'est exceptionnel le Real
01:01:33qui est mené 2-0 et qui met 5 buts
01:01:35à Dortmund.
01:01:37On parle de Dortmund. C'est quand même une grande équipe.
01:01:39En une mi-temps. En 30 minutes.
01:01:41Et vraiment, ils peuvent encore
01:01:43en mettre d'autres.
01:01:45Et un joueur,
01:01:47Vinicius, qui est un joueur absolument
01:01:49incroyable. Et je n'ai pas la moindre idée
01:01:51parce que Vincent Garcia n'est pas un garçon
01:01:53qui fait des confidences, il faut le savoir.
01:01:55Mais en tout cas, Vinicius, pour moi,
01:01:57il le mérite. Et le match de Mbappé,
01:01:59tu l'as vu ou pas ? Le match de Mbappé, j'ai vu.
01:02:01Comme toi, c'est vrai que c'est le défenseur
01:02:03qui donne... Je ne l'ai pas vu.
01:02:05Mais il a fait 2-3 trucs.
01:02:07Le héros, c'est Vinicius.
01:02:09Comment il construit ce retour ? Il vient du PSG.
01:02:11Comment il construit ce retour ? Parce que quand Rudiger
01:02:13marque le 2-1, l'attitude...
01:02:15En fait, on avait les deux écrans.
01:02:17On avait le PSG et le Real. Et quand tu vois
01:02:19le premier but du Real,
01:02:21mais tu vois ce qu'il s'empare
01:02:23de l'équipe, ce qu'il s'empare de Rudiger,
01:02:25l'attitude qu'il a quand il marque.
01:02:27Tu vois qu'il amène tout le monde.
01:02:29Les joueurs, le stade, tout le monde.
01:02:31C'est exceptionnel.
01:02:33Et on oublie, parce qu'on ne peut pas le voir,
01:02:35et ça passera malheureusement aux oubliettes peut-être,
01:02:37mais à 2-2, Courtois fait un arrêt extraordinaire.
01:02:39Extraordinaire.
01:02:41Mais ça veut dire que tous les joueurs
01:02:43se mettent à partir du 2-1 à un niveau
01:02:45exceptionnel. Et je trouve
01:02:47que Vinicius, c'est évidemment
01:02:49fantastique, mais...
01:02:51J'ai l'impression que Jean a envie de dire quelque chose.
01:02:53C'est marrant.
01:02:55J'ai l'impression que je devine ce qu'il a envie de dire.
01:02:57Tu sais quoi ?
01:02:59T'es en train de parler, t'es en train de t'invoquer.
01:03:05C'est un des fans.
01:03:07C'est un des candidats.
01:03:09Moi, j'espère que ce soit Rodri.
01:03:11Ah, Rodri ? Pourquoi ?
01:03:13Il a gagné l'Euro avec l'Espagne.
01:03:15Pour rien.
01:03:17Je ne sais pas.
01:03:19J'ai mon avis.
01:03:21L'influence qu'il peut avoir sur les équipes
01:03:23dans lesquelles il joue, pas que l'Espagne,
01:03:25qui aussi, il gagne encore un autre
01:03:27championnat. Ils sont éliminés
01:03:29en Ligue des Champions par le futur vainqueur
01:03:31qui est le Real. Et il gagne l'Euro.
01:03:33Avec l'influence qu'il a dans ces équipes-là.
01:03:35Franchement, si on ne pense pas
01:03:37une seule seconde à Rodri,
01:03:39on ne prend plus rien. Tout le monde pense aussi à
01:03:41Rodri. C'est vrai qu'après, moi, je n'ai pas la moindre idée
01:03:43de quel est le résultat final.
01:03:45Je suis tout à fait sérieux.
01:03:47Dans la logique,
01:03:49je ne sais pas si elle est bonne, mais il y a une logique du ballon d'or
01:03:51quand un attaquant
01:03:53qui fait une saison comme ça...
01:03:55Déjà, il a commencé à peu près en janvier parce qu'il a été
01:03:57longtemps blessé et ça ne marchait pas très bien en début.
01:03:59Et ensuite, la Coupe Américaine
01:04:01inexistante. Il a
01:04:03été décisif en finale
01:04:05de la Ligue des Champions. Ça, pour lui,
01:04:07forcément, ça a un poids énorme.
01:04:09Le Real a aussi gagné le titre de champion d'Espagne.
01:04:11City a été champion de l'Université de Montréal.
01:04:13C'est un poids énorme.
01:04:15Mais en fait, c'est que des bribes de trucs.
01:04:17Si tu parles de football en général,
01:04:19je trouve que Rodri, il a vraiment
01:04:21son mot à dire. Mais on est tout à fait d'accord.
01:04:23Rodri, c'est un joueur fantastique parce que c'est lui qui fait jouer
01:04:25son équipe et
01:04:27on pourrait aussi récompenser
01:04:29les joueurs comme ça.
01:04:31De ce que je vois de l'histoire du ballon d'or,
01:04:33en ce moment relativement récente,
01:04:35c'est que quand tu as un joueur offensif
01:04:37qui fait une saison
01:04:39comme ça, qui gagne tous les titres qu'il a gagnés...
01:04:41Non, ce n'est pas une saison comme ça !
01:04:43Mais non, ce n'est pas vrai !
01:04:45Regarde la saison dernière, ce n'est pas vrai !
01:04:47Il marque très peu de buts l'an dernier.
01:04:49Oui, c'est pas vrai, il marque pas très peu de buts.
01:04:51Très peu de buts, il n'en met pas 45.
01:04:53Il fait une demi-saison l'an dernier.
01:04:55Après, il a été décisif en Ligue des Champions.
01:04:57Ça, c'est sûr.
01:04:59Le jugement, c'est la Ligue des Champions.
01:05:01L'Euro, cette année, ne compte pas.
01:05:03Lundi, soirée au ballon d'or
01:05:05sur la chaîne d'équipe.
01:05:07Rodri ou Mélissus, en exclusivité.
01:05:11Il y a d'autres candidats possibles.
01:05:13Il y a Beningham, qui est aussi un candidat crédit.
01:05:15Beningham, il a valé la peau.
01:05:17Je ne sais pas s'il sera ballon d'or ou pas.
01:05:19Mais ce qui est clair, c'est que Rodri,
01:05:21aujourd'hui, c'est le meilleur milieu de terrain au monde.
01:05:23Un défenseur, il ne sera pas loin.
01:05:25Carvaral, il ne sera pas loin.
01:05:27C'est passionnant.
01:05:29Il y a tellement de possibilités.
01:05:31Rodri, ce n'est pas juste le meilleur milieu de terrain.
01:05:33Il gagne des trucs et de l'influence
01:05:35qu'il a sur le jeu de son équipe.
01:05:37Et puis, on parlait de leader pour le PSG.
01:05:39C'est un vrai leader d'équipe.
01:05:43L'histoire du ballon d'or montre que Rodri,
01:05:45il aurait dû être encore beaucoup plus près
01:05:47de le gagner la saison d'avant.
01:05:51Il n'y était pas.
01:05:53Franchement, on verra.
01:05:55Soit l'un ou l'autre, je serai content.
01:05:57Dans des styles complètement différents.
01:05:59Je pense que Vinicius ne détonnerait pas
01:06:01comme ballon d'or.
01:06:03La Première Ligue est très exposée.
01:06:05Dans l'équipe la plus exposée,
01:06:07tu as l'Euro qui est gagnée par l'équipe qui joue le mieux au foot.
01:06:09Je ne sais pas.
01:06:11Si ça, ça ne suffit pas.
01:06:13La victoire de Milan.
01:06:15Après, il y avait des monstres en face.
01:06:17À ce moment-là,
01:06:19Messi ne fait pas la meilleure saison de sa carrière.
01:06:21C'est vrai que ce n'est pas l'année.
01:06:23Cette année, je rejoue un jeu.
01:06:25Il y a deux ans,
01:06:27Vinicius, je l'ai trouvé complètement dingue.
01:06:29Sur l'année, oui.
01:06:31Moins l'année dernière, c'est vrai.
01:06:33Peut-être que sur ça,
01:06:35il y a un espace pour un joueur.
01:06:37Le suspense est lancé.
01:06:39Les résultats du soir, on y revient.
01:06:413-1 contre Bruges.
01:06:43Avec un magnifique corner direct
01:06:45de Pulisic pour ouvrir le score
01:06:47à la 34e minute.
01:06:49Regardez ça.
01:06:51À noter le gros match
01:06:53de Mike Meunier en solide sur sa ligne.
01:06:554 arrêts dont 2 en tout début de match.
01:06:57Vous avez vu cette superbe détente.
01:06:59Pour Milan, la suite, c'est quoi les résultats Arsenal ?
01:07:01On a Arsenal qui l'emporte par un but gag
01:07:03contre Shakhtar.
01:07:05La frappe de Martinelli va aller sur le poteau.
01:07:07Ça va rebondir sur le gardien.
01:07:09Et ça va franchir la ligne.
01:07:111-0.
01:07:13Pour les autres résultats, la Juve a été battue par Stuttgart.
01:07:151-0. Aston Villa s'impose 2-0 contre Bologne
01:07:17et prend la tête du classement.
01:07:19Même score pour la victoire de Gérôme
01:07:21contre le Slovan Bratislava
01:07:23et pour celle du Sporting face à Tomas.
01:07:25Monaco, on en parle dans quelques minutes.
01:07:27C'est ça ou on passe les images tout de suite ?
01:07:29C'est vous qui me dites.
01:07:31Non, c'est la régie qui va décider.
01:07:33Monaco s'impose 5 buts 1
01:07:35contre l'étoile rouge Belgrade.
01:07:37La fête est réussie.
01:07:39Minamino ouvre le bal sur un ballon de Singo
01:07:41lancé dans la profondeur.
01:07:43Le Japonais remporte tout seul.
01:07:45Son duel face au gardien s'est checké par là-bas.
01:07:47Pas d'enjeu. Il est bien couvert.
01:07:49Brelangolo relance le match avant la pause.
01:07:51La reprise est maladroite
01:07:53mais ça passe.
01:07:55Le Suisse a bien choisi son soir pour marquer son tout premier but de la saison.
01:07:57Bijou de Singo
01:07:59pour le 3-1 à la 54ème.
01:08:01Inspiration sublime de l'Ivoirien.
01:08:03La frappe est magnifique.
01:08:05Minamino encore à la 70ème.
01:08:07Doublé de l'attaquant, ça déroule dans le dernier quart d'heure.
01:08:09A Cliouche, la petite cerise
01:08:11sur le gâteau en fin de match.
01:08:13Et ça fait 5 buts à 1.
01:08:15A la pause, c'était un peu mal embarqué
01:08:17pour Monaco qui menait 2 buts à 1.
01:08:19Vous avez vu Mbolo.
01:08:21Mais à la pause, à 18h...
01:08:23Attendez, vous n'êtes pas...
01:08:25Faites la question.
01:08:27Monaco qui gagne, faites la question.
01:08:29Le lancement, c'était mal embarqué pour Monaco à la pause
01:08:31qui menait 2 buts à 1.
01:08:33Il n'y a aucun problème dans le lancement.
01:08:35Est-ce que vous avez vu le match ?
01:08:37Donc 2-1. Le contenu de la première mi-temps.
01:08:39C'est génial.
01:08:41Etienne Moity.
01:08:43Quand c'est mal embarqué,
01:08:45je vois que le présentateur n'est pas content d'avoir raté son lancement.
01:08:47Mais ça peut arriver.
01:08:49Racontez-moi la première mi-temps.
01:08:51Etienne, on y va.
01:08:53La première mi-temps,
01:08:55il y a beaucoup d'occasions pour Monaco.
01:08:57Lesquelles ?
01:08:59On a vu 62 matchs ce soir.
01:09:01Je n'ai pas tout en tête.
01:09:03De considérer que c'était très mal embarqué
01:09:05à la mi-temps pour Monaco
01:09:07alors qu'il mène au score
01:09:09contre une équipe qui est assez faible.
01:09:11Franchement, je trouve le lancement un peu exagéré.
01:09:13Jérôme Alonso. À la pause, il y a un changement.
01:09:15Ben Seguir sort. Golovin rentre.
01:09:1745 minutes. Horrible.
01:09:19Il marque à la 46e.
01:09:21Moi, j'ai adoré les 1.5h. Je suis comme toi.
01:09:23Je me suis régalé. J'ai regardé ça.
01:09:25D'ailleurs, dans cette équipe-là, il y a un joueur pour le PSG.
01:09:27C'est Zakaria.
01:09:29Mais ce n'est pas le style de l'entraîneur.
01:09:31La première mi-temps, vous ne pouvez pas dire qu'il vous a plu.
01:09:33Côté Monaco, moi aussi.
01:09:35Même sans être exceptionnel,
01:09:37ils ont eu des occasions.
01:09:39Le but qu'ils prennent, c'est une double erreur de l'axe central.
01:09:41Syngo Keler.
01:09:43Syngo Keler.
01:09:45Le but qu'ils mettent,
01:09:47ce n'est pas un cadeau ?
01:09:49Un cadeau. Après, il y a une action.
01:09:51Les mecs jouent mal défensivement.
01:09:53Ils vont le chercher. Ce n'est pas une erreur défensive.
01:09:55C'est un cadeau de Monaco.
01:09:57C'est un cadeau sur deux erreurs.
01:09:59Ils auraient pu rattraper les deux prévues sur deux erreurs.
01:10:01Jérôme, pardon.
01:10:03S'il vous plaît.
01:10:05Je reprends juste la main.
01:10:07L'Etoile Rouge de Belgrade est une équipe très faible.
01:10:09J'ai trouvé que le match
01:10:11et le rythme imprimé par Monaco.
01:10:13J'ai retrouvé le Monaco de vendredi soir
01:10:15contre Lille. En première période.
01:10:17Et juste après, j'ai vu quelque chose
01:10:19s'animer. J'ai vu des propositions.
01:10:21Il y a eu une amélioration en deuxième mi-temps.
01:10:23Je ne me dis pas
01:10:25à la mi-temps, s'ils ne changent pas
01:10:27quelque chose, ils vont à la catastrophe.
01:10:29Ils dominent
01:10:31assez nettement une équipe qui est faible
01:10:33et ils mènent au score.
01:10:35J'avais un sentiment que le match pouvait
01:10:37éventuellement leur échapper.
01:10:39C'est un changement tactique ?
01:10:41Non, c'est juste un changement tactique.
01:10:43Vous êtes sûr ?
01:10:45Je suis d'accord sur l'analyse
01:10:47sur la première mi-temps. Mais la lecture
01:10:49change parce qu'il y a ce but à la 45 plus 4.
01:10:51Si on fait la même analyse
01:10:53avec un partout à la mi-temps,
01:10:55on n'a pas la même lecture.
01:10:57C'est le score qui nous fait...
01:10:59Ils ont fait presque le plus dur
01:11:01en mettant le deuxième.
01:11:03Le score a quand même une importance en football.
01:11:05Vous n'étiez pas servi du score,
01:11:07vous étiez servi du contenu
01:11:09de la première mi-temps.
01:11:11Je ne me dis pas à la mi-temps,
01:11:13s'ils ne changent pas quelque chose, ils vont dans le mur.
01:11:15Ce n'est pas ça que je me dis.
01:11:17Il y a une équipe faible en face.
01:11:19Monaco s'est déjà procuré des occasions
01:11:21en deuxième mi-temps et s'ils continuent
01:11:23et qu'ils améliorent un peu leur niveau,
01:11:25ils vont gagner assez largement.
01:11:27Et Golovin qui rentre dans l'état où il est en ce moment,
01:11:29c'est-à-dire qu'il est bien physiquement,
01:11:31ce qui n'est pas toujours le cas avec lui.
01:11:33Contre Lille, on ne l'a pas vu.
01:11:35Quand il rentre sur une équipe un peu fatiguée,
01:11:37qui était déjà un peu à la limite
01:11:39parce que c'est très faible.
01:11:41Mais quand Golovin rentre dans ce match-là,
01:11:43c'est sûr que dans l'état où il est en ce moment...
01:11:45J'ai vu à Cliouche aussi en deuxième mi-temps
01:11:47qui fait des différences
01:11:49qui étaient déjà pas mal en première.
01:11:51Je pense qu'il y avait déjà les éléments
01:11:53dans l'effectif et dans la compo
01:11:55de Monaco en première mi-temps.
01:11:57Ça, ils tiennent d'accord.
01:11:59Les éléments, c'est pareil.
01:12:01Il n'y a pas photo.
01:12:03Les équipes arrivent sur le terrain,
01:12:05il n'y a pas photo.
01:12:07Mais la première mi-temps, elle te fait douter.
01:12:09Évidemment, tu te dis qu'à 45 minutes, ça peut changer.
01:12:11Mais tu te dis, est-ce qu'ils ne vont pas faire
01:12:13une mauvaise limonade comme un peu à Lille ils ont fait ?
01:12:15Comme le match d'avant à Zagreb
01:12:17où les conditions étaient très particulières.
01:12:19Ils ont quand même fait un match
01:12:21un peu tordu.
01:12:23Je pense qu'il était prévu que Golovin
01:12:25joue une partie de ce match de toute façon.
01:12:27À la mi-temps,
01:12:29forcément, ça donne l'idée d'une sanction.
01:12:31Les changements à la pause,
01:12:33Daddy Hutter,
01:12:35lors de sa compétition Ligue des champions,
01:12:37lors du Barça à la pause,
01:12:39c'est Lamine Camara qui sort, c'est Golovin qui rentre.
01:12:41Alors, il est vrai qu'il y a un partout à la pause.
01:12:43Il est vrai qu'Eric Garcia a été exclu
01:12:45depuis la dixième minute.
01:12:47Donc là, il y a un changement, un message envoyé
01:12:49d'Addy Hutter à son équipe pour dire
01:12:51on y va. Et surtout, le contenu de ce match-là
01:12:53était vraiment très enthousiasmant
01:12:55de la part de Monaco.
01:12:57À Zagreb, bis repetita, la pause.
01:12:59Addy Hutter sort deux joueurs, Golovin et Mbolo.
01:13:01Ileni Kenna et Balogun rentrent.
01:13:03Ils étaient menés 1-0, finalement,
01:13:05score final. Deux buts partout.
01:13:07C'est peut-être d'ailleurs le plus mauvais match
01:13:09de Monaco sur ces trois matches.
01:13:11Dans la culture du foot,
01:13:13un changement à la mi-temps signifie
01:13:15sanction terrible pour celui qui est sorti.
01:13:17Alors qu'avec cinq changements,
01:13:19ça devrait être possible de faire un changement à la mi-temps.
01:13:21Benseguia n'a pas été terrible.
01:13:23C'est rare de sortir celui qui a été le meilleur.
01:13:27Mais ça veut dire aussi que
01:13:29peut-être que Hutter
01:13:31il se trompe au départ des matchs.
01:13:35Il ne fait pas le bon choix au départ.
01:13:37Par contre, moi j'aime bien
01:13:39les coachs qui réagissent comme ça.
01:13:41Aujourd'hui, c'est le foot moderne
01:13:43le vœu, le commande.
01:13:45On s'est engueulé.
01:13:47Ça fait partie du sel de cette émission.
01:13:49Après, quand Monaco a commencé
01:13:51à prendre les choses en main,
01:13:53c'est vraiment un régal, mon Johan.
01:13:55Vous avez commencé à nous parler de Monaco
01:13:57en plein débrief de Paris.
01:13:59C'est votre côté meneur de jeu.
01:14:05Ce qui se passe dans cette équipe,
01:14:07il y a vraiment des connexions un peu partout.
01:14:09Si on prend les Cailloux-Henriquez,
01:14:11les Vanderson, des latéraux
01:14:13qui sont extrêmement joueurs et offensifs
01:14:15et qui défendent plutôt pas mal.
01:14:17Il y a un rééquilibre dans cette équipe.
01:14:19Il y a le milieu terrain.
01:14:21Les deux axios sont énormes.
01:14:23Camaras-Zakaria.
01:14:25Les deux latéraux peuvent monter
01:14:27parce qu'ils peuvent compenser.
01:14:29Ils ont un impact. Ils savent jouer au foot.
01:14:31Ils jouent simple.
01:14:33Tu as quatre joueurs offensifs à chaque fois.
01:14:35C'est assez rare en Ligue des Champions.
01:14:37Il y a des combinaisons.
01:14:39Quand tu as deux joueurs devant,
01:14:41ça peut combiner ensemble.
01:14:43Ça peut combiner sur les côtés.
01:14:45Même quand ils sont un peu moins bien
01:14:47comme la première mi-temps,
01:14:49parce qu'on a l'impression
01:14:51que c'était une victoire de Ligue des Champions.
01:14:53Même dans les moments difficiles,
01:14:55tu sens qu'ils essayent de combiner.
01:14:57Ça ne passe pas parce que ça manque d'intensité.
01:14:59Peut-être qu'ils sont un peu moins bien.
01:15:01C'était plutôt ça en première mi-temps.
01:15:03C'est ce que je trouve.
01:15:05Ben Zegir a fait échouer beaucoup d'actions.
01:15:07Peut-être. Il y a eu ça.
01:15:09Après, le coach décide de faire ce choix-là.
01:15:11C'est vrai qu'en deuxième mi-temps,
01:15:13on s'est régalé.
01:15:15Quand ça fonctionne, c'est top.
01:15:17Tu vois l'ensemble de l'équipe
01:15:19qui participe dans ce match.
01:15:21Ce n'est pas uniquement deux ou trois joueurs.
01:15:23Tu n'as pas un doute défensif sur Monaco ?
01:15:25Là, tout le monde s'emballe
01:15:27et se rappelle 2017.
01:15:29Le but qu'ils prennent...
01:15:31Il y a le single finale.
01:15:33Il y a Kerer qui va tacler.
01:15:35Le but qu'ils prennent, je veux dire...
01:15:37Sur le coup, je n'ai pas vu
01:15:39qu'il y ait eu trop d'erreurs sur ce match.
01:15:41Peut-être qu'ils ont moins été embêtés.
01:15:43C'est vrai que les deux font une erreur.
01:15:45Mais dans l'ensemble, je les ai trouvés costauds.
01:15:47Singo met un but exceptionnel.
01:15:49J'ai Kerer et Singo.
01:15:51Devant, j'ai Zakaria Kamara.
01:15:53Je trouve qu'ils ont retrouvé cette doublette
01:15:55qu'ils avaient à l'époque.
01:15:57Avec Bakayoko et Fabinho.
01:15:59C'est extraordinaire.
01:16:01Je trouve qu'ils retrouvent ce système-là.
01:16:03C'est un vrai équilibre dans cette équipe.
01:16:05Après, défensivement...
01:16:07Quand ils avaient ce binôme...
01:16:09Je trouve qu'ils ont retrouvé ça
01:16:11avec un potentiel offensif énorme.
01:16:13Ben Seger a peut-être raté ça
01:16:15à sa mi-temps.
01:16:17C'est un joueur qui est en devenir
01:16:19et qui est déjà performant.
01:16:21Sur le banc, tu as Golovkin.
01:16:23Tu as des joueurs...
01:16:25Et sur le terrain, tu as Klijus.
01:16:27C'est votre chouchou.
01:16:29Moi, je l'adore.
01:16:31Pour une fois, je rejoins Etienne.
01:16:33Je suis d'accord avec lui.
01:16:35On est à combien ?
01:16:37A Klijus.
01:16:39On va parler d'un beau joueur
01:16:41et on nous envoie la pub.
01:16:45A Klijus ou Cherquier ?
01:16:47On a oublié de nous donner les raquettes.
01:16:49Des citations tronquées.
01:16:51Là, ils sont là.
01:16:53Merci beaucoup.
01:16:55Etienne Moati commence à repeindre le 3ème étage.
01:16:57Les amis, dans quelques minutes,
01:16:59la suite de l'équipe du soir.
01:17:01On ira voir les matchs de demain
01:17:03avec le chouchou de Stéphane Guy.
01:17:05C'est son cœur breton.
01:17:07À l'Everest, à tout de suite.
01:17:15Juste avant la pause,
01:17:17on était en train de parler
01:17:19d'un joueur de foot.
01:17:21Magnès Klijus,
01:17:23le chouchou de l'équipe du soir.
01:17:25C'est un beau joueur.
01:17:27Il joue avec les autres.
01:17:29Il sait faire des passes.
01:17:31Un joueur à demi-coup, non ?
01:17:33Pas loin.
01:17:35Il y a encore un peu de travail.
01:17:37Il va plus vite.
01:17:39J'ai l'impression qu'il a un meilleur pied gauche que toi.
01:17:41Son pied droit, un peu moins bien.
01:17:43Il a voulu le mettre à Golovin.
01:17:45Etienne voulait en parler.
01:17:47C'est un peu son registre.
01:17:49Etienne, qu'est-ce que vous aimez chez ce joueur ?
01:17:51Ça va être mieux dit.
01:17:53Non, parce qu'en plus,
01:17:55il y a un aspect esthétique.
01:17:57Il ne fait pas que des matchs exceptionnels.
01:17:59Il faudra qu'il en fasse beaucoup plus.
01:18:01Il n'a pas du tout le profil d'un joueur pour Deschamps.
01:18:03Pourquoi ?
01:18:05Deschamps, regarde dans les listes,
01:18:07il n'y a pas beaucoup de ce type de joueur.
01:18:09Pour venir en équipe de France,
01:18:11il va falloir qu'il répète des prestations
01:18:13comme il l'a fait ce soir.
01:18:15J'ai envie qu'il y soit.
01:18:17Il apporte une touche technique.
01:18:19Il apporte une vision du jeu.
01:18:21Il apporte des combinaisons
01:18:23qu'on ne voit pas en équipe de France.
01:18:25C'est vrai qu'il n'est pas
01:18:27d'une régularité absolue.
01:18:29C'est ce que je veux dire.
01:18:31Quand tu n'es pas bon,
01:18:33il faut que tu aies au moins mon rien.
01:18:35C'est ce que dit Etienne.
01:18:37Au lieu de faire des gros matchs
01:18:39et puis disparaître complètement,
01:18:41même quand tu n'es pas bon,
01:18:43il faut que tu aies un niveau général.
01:18:45Il y a quelques semaines,
01:18:47sur ce plateau, on cherchait
01:18:49une équipe de France.
01:18:51À travers votre exemple,
01:18:53vous avez été sélectionné
01:18:55chez les Espoirs.
01:18:57La dernière sélection,
01:18:59c'est en 1994-1995.
01:19:01Votre première sélection en bleu,
01:19:03c'est avec Roger Lemaire en 1999.
01:19:05Entre les cinq ans,
01:19:07vous avez dit que vous avez changé de club.
01:19:09Vous êtes passé de Cannes à Bordeaux.
01:19:11Avec Bordeaux, vous avez commencé
01:19:13à côtoyer un peu plus régulièrement
01:19:15le très haut niveau.
01:19:17C'est peut-être une année,
01:19:19je ne dis pas le prochain rassemblement,
01:19:21mais peut-être une année un peu bascule
01:19:23où peut-être que Deschamps
01:19:25changerait de logiciel.
01:19:27J'aimerais le voir.
01:19:29Ce n'est pas un peu tôt là ?
01:19:31On va le protéger un peu.
01:19:33Finalement, ces creux
01:19:35sont de moins en moins creux.
01:19:37Je trouve que c'est un joueur aussi,
01:19:39après le contact, il est bon.
01:19:41On voit souvent des joueurs
01:19:43qui sont à cet âge-là,
01:19:45où physiquement,
01:19:47c'est déjà pas mal remplumé.
01:19:49Il est lucide après le contact.
01:19:51Quand il se fait bouger après,
01:19:53il fait quelque chose de bien.
01:19:55Il a un peu plus la panoplie.
01:19:57Dans les rassemblements de 2025,
01:19:59je pense qu'il est bien.
01:20:01Son but aussi est intéressant.
01:20:03Il rentre. Il ne va pas faire une frappe
01:20:05comme une mule n'importe où.
01:20:07Il va la placer petit intérieur
01:20:09dans le petit filet.
01:20:11Je ne pense à personne.
01:20:13Ce sont des joueurs aussi jeunes.
01:20:15Ce qui est très bien,
01:20:17avec Deschamps aussi,
01:20:19pour la liste de Deschamps,
01:20:21c'est que Deschamps veut aussi voir
01:20:23ses joueurs, pas uniquement en Ligue 1.
01:20:25Il veut les voir par rapport à la Ligue des champions
01:20:27et il y est.
01:20:29Quand il ne démarre pas, quand il rentre,
01:20:31il peut être très bon aussi.
01:20:33Vraiment pénible à jouer pour une défense fatiguée.
01:20:35C'est vraiment une horreur.
01:20:37On a fait un petit lobbying à Clioche.
01:20:39Bonne saison à vous, mon cher Magnès.
01:20:41Des infos, c'est demain.
01:20:43Lille, qui a battu l'Oréal,
01:20:45affronte un autre club de Madrid,
01:20:47c'est l'Atletico, mais là-bas.
01:20:49Bruno Genesio devrait partir sur un 4-2-3
01:20:51avec Jonathan David en pointe,
01:20:53Angel Gomez en soutien,
01:20:55Kabela Zegrova sur les côtés.
01:20:57Benjamin André plus boidit ou muco pour l'entrejeu.
01:20:59La charnière d'Iakite Alexandro
01:21:01avec Meunier couloir droit,
01:21:03Gudmundsson à gauche.
01:21:05A quel match s'attend le LOSC
01:21:07face à l'Atletico et après cette victoire
01:21:09réponse du coach ?
01:21:11On tient toujours compte de l'adversaire,
01:21:13des forces de l'adversaire
01:21:15lorsqu'on prépare un match.
01:21:17On doit aussi tenir compte
01:21:19de ce qu'on fait de moins bien
01:21:21et de ce qu'on fait de bien.
01:21:23On sait que c'est une équipe
01:21:25qui exerce un très gros pressing
01:21:27notamment lorsqu'ils perdent le ballon.
01:21:29Dans les 2-3 secondes
01:21:31à la perte du ballon.
01:21:33Il faudra être très vigilant
01:21:35dans ces périodes-là
01:21:37pour ne pas se faire contrer
01:21:39et perdre des ballons
01:21:41dans le dernier tiers
01:21:43de notre terrain.
01:21:45Une dernière info,
01:21:47ce sera sans Boidit,
01:21:49vous l'avez opposé un moment
01:21:51dans votre compo.
01:21:53Lille est extrêmement
01:21:55embêtée actuellement
01:21:57dans son niveau de jeu
01:21:59sur les pertes de balles.
01:22:01Pour ça que Bruno Genesio
01:22:03insiste en disant
01:22:05qu'au début, on regardera
01:22:07le match de demain.
01:22:09Il y a une absence énorme
01:22:11à Lille pour la suite du tournoi.
01:22:13Malheureusement,
01:22:15c'était à Los Santos.
01:22:17C'est une perte
01:22:19pour la Ligue des Champions
01:22:21en particulier colossale.
01:22:23C'était un exploit colossal.
01:22:25Reste une info
01:22:27côté l'adversaire,
01:22:29le Bayer Leverkusen.
01:22:31Victor Boniface n'a pas participé
01:22:33au dernier entraînement d'avant-match.
01:22:35L'attaquant de Leverkusen
01:22:37est légèrement blessé
01:22:39à la main gauche
01:22:41après un accident de voiture.
01:22:43Eric Roy ne s'enflamme pas pour autant.
01:22:45Le coach breton s'est montré
01:22:47très élogieux
01:22:49vis-à-vis de son homologue
01:22:51Xabi Alonso.
01:22:53C'était un garçon
01:22:55qui avait un QI football
01:22:57très élevé quand il jouait.
01:22:59Aujourd'hui, ça lui sert
01:23:01à être un entraîneur
01:23:03que l'Europe va s'arracher.
01:23:05Il est déjà dans un très grand club.
01:23:07Pour lui,
01:23:09c'est une magnifique carrière
01:23:11qui s'annonce.
01:23:13Pour ce qui est de la compo,
01:23:15Koulibaly, blessé ce week-end,
01:23:17devrait faire son retour en défense.
01:23:19Pareil pour Abdalassima dans la ligne d'attaque
01:23:21menée par Ajorque.
01:23:23Les Mélous enchaîneraient
01:23:25après Rennes au milieu de terrain.
01:23:27Une petite anecdote personnelle.
01:23:29Il y a deux ans,
01:23:31je commentais avec Eric Roy
01:23:33Monaco-Leverkusen.
01:23:35Monaco avait gagné à Leverkusen.
01:23:37Leverkusen vient gagner à Monaco
01:23:39et se qualifie à Monaco avec Florian Wirtz
01:23:41qui fait sa rentrée après un an d'absence.
01:23:43Je trouve ça génial.
01:23:45Je me souviens très bien
01:23:47de la discussion que j'ai eue ce soir-là
01:23:49avec Eric Roy et de me dire
01:23:51qu'il est là où il est demain.
01:23:53C'est magnifique.
01:23:55Je suis vraiment très heureux pour lui.
01:23:57C'est beau.
01:23:59Il y a des bons moments dans la vie.
01:24:01C'est quoi cette relance ?
01:24:03C'est gratuit.
01:24:05Montpellier choisit
01:24:07Jean-Louis Gasset.
01:24:09C'est officiel.
01:24:11Énième mission de sauvetage
01:24:13pour l'ancien coach de l'Olympique de Marseille.
01:24:15Sa deuxième à Montpellier.
01:24:17Il signe jusqu'en fin de saison
01:24:19après l'éviction de Michel Derzakarian dimanche soir.
01:24:21Le voilà de retour dans son club de cœur
01:24:23fondé il y a pile 50 ans par son père Bernard
01:24:25et Louis-Nicolas.
01:24:27Il sera épaulé par Ghislain Printemps,
01:24:29le fidèle, toujours au poste,
01:24:31et l'ancien capitaine emblématique Vito Hilton.
01:24:33Son fils Robin Gasset,
01:24:35jusque-là coach de l'équipe de Beach Soccer du MHSC,
01:24:37est lui nommé entraîneur des gardiens.
01:24:39Faire du neuf avec du vieux,
01:24:41c'est une spécialité montpellieraine.
01:24:43Voici la state trouvée par le journaliste
01:24:45Félix Hervé que je salue, qui est au troisième.
01:24:47Rappeler un coach à Montpellier,
01:24:49c'est une tradition.
01:24:51Mais ça n'a jamais marché.
01:24:53En termes de moyenne points par match,
01:24:55le deuxième passage,
01:24:57c'est toujours pire que le premier.
01:24:59Derzakarian, le dernier,
01:25:01premier passage 2017-2021,
01:25:031,49 de points en moyenne par match.
01:25:051,34 pour le Derzakarian saison 2.
01:25:07Même chose pour Gasset,
01:25:091,31 saison 1,
01:25:11entre 98 et 99.
01:25:13En 2017, il était revenu.
01:25:15C'est un point par match de moyenne tout pile.
01:25:17Roland Kourbis, notre président du lundi,
01:25:191,63
01:25:21pour son premier passage
01:25:232007-2009, saison 2 de Roland.
01:25:251,31.
01:25:27Même Roland.
01:25:29Robert Nouzaret, 1,62
01:25:31entre 83 et 85.
01:25:331,62 points par match.
01:25:350,72 lors de son deuxième passage.
01:25:37En 2004, c'est nul.
01:25:39Bon vent pour Jean-Louis Gasset,
01:25:41lui qui fera son troisième passage.
01:25:43En général, ils n'insistent pas.
01:25:45C'est quand même bête
01:25:47que celui qui est statistique pas là
01:25:49pour lui dire avant.
01:25:51Exactement.
01:25:53Robert Nouzaret a préféré
01:25:55Jean-Louis Gasset.
01:25:57A la Ligue 2, 9e journée,
01:25:59Pau et Bastia se quittent par un match nul.
01:26:011 partout, version du score sur Corner.
01:26:03Le bon coup de tête d'Anja Oussou
01:26:05pour permettre à Pau de prendre l'avantage.
01:26:07Et puis l'égalisation Corse à la 54e
01:26:09sur un missile de Clément Rodriguez.
01:26:11Superbe frappe.
01:26:13Pau est 7e au classement ce soir,
01:26:15Bastia 10e.
01:26:17Thélisse Thiem,
01:26:19c'est un adieu du côté de Vienne.
01:26:21C'est le dernier match ce soir pour Dominique Thiem,
01:26:23vainqueur de l'US Open.
01:26:25L'Autrichien de 30 ans termine sa carrière
01:26:27par une défaite au premier tour
01:26:29à Vienne battue par l'Italien Darderry.
01:26:31Il part avec un titre à l'US Open en 2020.
01:26:33Deux finales de Roland-Garros,
01:26:35une à l'Open d'Australie.
01:26:37Il sera diminué par une blessure au poignet en 2021.
01:26:39Il ne retrouvera jamais son meilleur niveau.
01:26:41Un bel hommage lui a été rendu ce soir
01:26:43par le public.
01:26:45La victoire de Gaël Monfils face à Quentin Alice,
01:26:47c'était leur premier face-à-face sur le circuit.
01:26:49Il s'en pose en deux manches
01:26:51avec du suspens sur la première,
01:26:53beaucoup moins sur la deuxième.
01:26:55Score final 7-6, 6-3.
01:26:57Il affrontera Lorenzo Muzzetti au prochain tour.
01:26:59L'actualité, c'est aussi à 0h49
01:27:01la une de l'équipe.
01:27:03On ouvre par quoi demain dans le journal ?
01:27:05Faux 9.
01:27:07Vrai raté, mémé.
01:27:09Et oui, ça pique.
01:27:11C'est l'équipe.
01:27:13On n'a pas le temps de jouer.
01:27:15Ça cliouche.
01:27:17Etienne,
01:27:19arrêtez de dire du mieux.
01:27:21C'est pour une bonne raison.
01:27:23Tu avais été synthétique.
01:27:27Merci demain.
01:27:29L'île du côté de l'Atlético de Madrid
01:27:31et Brest face à l'ogre
01:27:33Chavelonzo, le Bayer Leverkusen
01:27:35avec quelques souvenirs de Stéphane.
01:27:37Qui a lancé la carte de Chavelonzo.
01:27:39C'est ce qu'il m'a dit en explicité ce soir.
01:27:41On vous embrasse les amis.
01:27:43La maison est ouverte.
01:27:45A demain.

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