• il y a 7 heures
Les invités perdent leur sang froid en plein direct dans "Morandini Live" à propos de l'immigration illégale et se mettent à hurler: "Vous êtes un inculte ! C'est une honte !" - Regardez

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00:0011h38 sur CNews, voilà le ton est monté pendant le CNews Info, autant vous le dire, c'est parti de Garenge Norwekian qui disait que lui voulait mettre dans des bateaux...
00:11Mais en fait, les OQTF, on n'arrive pas à les exécuter, on n'arrive pas.
00:14Et votre solution à vous c'est quoi ?
00:15On les prend et on les remet dans leur pays, on les remet dans leur pays et on a peut-être des moyens de pression sur les pays, par exemple, on va expliquer à l'Algérie qu'on va arrêter de leur donner de l'argent gratuitement de la France tous les ans.
00:24Vous voulez faire quoi ?
00:25Non mais dites que vous les dépensez dans la pause, on les met dans les bateaux, on ne respecte pas leurs droits et on les renvoie et on les dépose sur la grève.
00:33Mais c'est insupportable ! Dans l'histoire, on sait ce que ça donne les gens dans des bateaux ou dans des trains à les renvoyer.
00:38C'est insupportable !
00:39C'est insupportable !
00:40C'est insupportable qu'il y ait des OQTF qui violent et qui tuent les gens en France.
00:43Tous les jours, on a des étrangers qui sont illégalement sur le territoire, qui tuent et qui violent.
00:48On a Héloïse.
00:49Mais attendez, je veux que je vous fasse la liste des derniers jours de tous les étrangers qui ont encore tué, violé, égorgé des Français.
00:56Il y en a ras-le-bol.
00:57Il y en a ras-le-bol que pour votre idéologie de droit de l'homme, gauchiste, que votre idéologie mortifère tue tous les jours des Français.
01:04Tous les jours, il y a des Français qui se font agresser et tuer par des étrangers qui sont là illégalement dans ce pays.
01:09Et vous inquiétez plus pour les droits des clandestins que des Français qui se font tuer.
01:13Et c'est ça, j'en ai ras-le-bol.
01:14J'en ai marre d'entendre ça.
01:15Vous n'avez rien à faire des Français.
01:16Vous n'avez rien à faire de la France.
01:18Tout ce qui vous intéresse, c'est les étrangers.
01:19On entend très bien la haine qui s'exprime.
01:21Réponse de Maître Omega, tranquillement.
01:23Mais en fait, c'est explicite.
01:24On entend la haine absolue de ce monsieur qui s'exprime.
01:27Et quand on ressent cette haine totalement déchaînée, on comprend très très bien ce qui pourrait se passer si on donnait le pouvoir à ces gens-là.
01:34J'en ai marre de sourire les morts tous les jours.
01:36Toutes les semaines, je pleure des Français qui se font tuer.
01:39Qui sont tués par des étrangers.
01:40Je vous ai laissé hurler, si vous pouvez juste me laisser parler.
01:43Quand j'entends les propos de ce monsieur.
01:46Quand j'entends les pseudo-solutions qu'il essaye de proposer.
01:50En fait, ça me renvoie 70 ans en arrière.
01:53Je me dis, je comprends le sentiment d'impuissance qu'ont pu avoir les gens à cette époque-là.
01:58Et très honnêtement, je ne sais pas ce qu'on va pouvoir faire.
02:02Laissez-moi finir de parler.
02:03Laissez-moi finir de parler.
02:04Laissez-moi finir de parler.
02:05Laissez-moi finir de parler.
02:06Laissez-moi finir de parler.
02:07Encore une banalisation de la Shoah.
02:09Donc je le dis, de la même manière qu'il y a 70 ans, on a pu être impuissant face à cette haine absolument déchaînée.
02:15Je me demande comment on va faire pour réussir à résister, il faut le dire, à cette vague de xénophobie.
02:21C'est marrant, les Français sont d'accord avec moi.
02:22Qui propose ces solutions-là.
02:23C'est marrant, les Français sont d'accord avec moi.
02:25Jean-Marc, on n'en est pas tout à fait, ni dans des bateaux, ni...
02:28Qu'est-ce qui se passe en France aujourd'hui ?
02:30C'est, si vous promenez un peu dans ce pays, les trains, les gares sont pleins.
02:33Non pas de convois qu'on amène vers les camps de la mort.
02:37Honnêtement, voilà...
02:40Non mais sérieusement, c'est pour ça que je trouve que c'est pas normal.
02:43Moi je suis très gêné, je suis très gêné par ce qu'il dit là.
02:46Non mais attends, c'est pour ça que je rapporte ça.
02:49Vous comparez à la Shoah le fait de ramener des projets dans leur propre pays.
02:52Il faut rapporter ça. Aujourd'hui, on est dans un pays d'État de droit pour le coup.
02:55Les gens, ils se baladent. Il y a beaucoup d'activités sur la migration, des gens qui sont déplacés.
02:59Mais ils vont où ? Ils vont dans des hôtels.
03:00Parce que le vrai business aujourd'hui, il n'est pas dans des camps d'intermédiaires de concentration,
03:04mais on les amène vers quelque part.
03:05Il est dans des hôtels une étoile, deux étoiles qui font le plan en France,
03:08qui grèvent les budgets des conseils départementaux parce que c'est l'année d'urgence payée par les Français.
03:13Donc ce n'est pas un pays qui maltraite le migrant ou qui maltraite l'immigration.
03:16Il n'y a pas pour projet de les envoyer dans un camp de la mort, dans un pays comme l'Algérie...
03:21Personne n'a ça comme projet.
03:22Attendez, attendez.
03:23Pour l'instant, il y a des cas.
03:25Si on est en Algérie, dans le désert algérien ou en Libye,
03:27on verrait là où il y a des camps particuliers où il se passe des choses sur la migration.
03:30Donc effectivement, il faut faire attention et faire attention à ce qu'on fait
03:33parce que les gens ont des droits, même quand ils sont migrants, illégaux.
03:36Mais il n'empêche qu'on doit faire face à une réalité qui est celle qui est décrite aussi.
03:39Et entre les camps de la mort en 1943-1942, quand il y avait eu des étoiles de David sur des boutiques,
03:46quand on avait enlevé les droits bien précédemment,
03:48on n'aurait pas promis de retourner chez eux dans un pays qui était Israël quelque part.
03:52Ce n'était pas du tout la même chose.
03:53Je veux dire tranquillement quand même, parce qu'on est quand même sur quelque chose de grave.
03:57On ne peut pas comparer un bateau qu'on pourrait faire pour envoyer des Algériens en Algérie
04:01ou renvoyer des Marocains au Maroc.
04:02Ou des gens qui disent qu'on ne peut pas comparer, c'est à la choix.
04:04Vous savez très bien ce qu'il a dit.
04:05Maître Néga, franchement, je trouve que la comparaison là-dessus n'est pas raison.
04:10Vraiment, et vraiment tranquillement.
04:12Vous savez très bien ce qu'il a dit.
04:14Il n'a jamais dit qu'on les envoyait dans les camps de la mort.
04:17Il a dit qu'on les renvoie dans leur pays.
04:19Il n'a pas dit ça.
04:20Il a dit qu'on les prend, on ne leur montre pas leur avis,
04:22on les met dans un bateau et on les balance.
04:25Dans leur pays !
04:27Il a dit qu'on les met dans leur pays !
04:29Vous savez très bien ce que ce discours, il implique de haine et de conséquences que ça peut avoir.
04:35C'est-à-dire que ces gens-là, on les traite comme des animaux,
04:38on les paque dans des bateaux et on les renvoie peu importe où
04:41pour espérer qu'ils vont se réunir quelque part.
04:43Vous savez très bien ce que ça veut dire historiquement.
04:45Évidemment qu'il n'y a jamais personne dans l'histoire qui a dit
04:47on les prend, on les met dans des trains et on va tous les tuer au gaz.
04:50Personne n'a jamais dit ça, sans le savoir.
04:53Personne n'a jamais dit ça dans l'histoire.
04:55Ces propos-là, ils sont insupportables.
04:57Ils révèlent une haine qui est insupportable.
05:00C'est monstrueux ce que vous dites.
05:02Et je ne parle pas de la situation de la France actuelle,
05:04je parle de vos idées.
05:06Je le redis maître, je comprends votre opposition
05:08et je veux bien entendre que vous êtes en opposition
05:11avec son idée de faire des bateaux.
05:13Juste voilà, encore une fois, on ne les envoie pas dans des camps de la mort.
05:16Encore une fois, renvoyez dans les pays.
05:18Juste que vous soyez en opposition, vous êtes là pour ça.
05:21Il parle de ses idées à lui, il parle des idées qu'il défend,
05:23il parle des implications de ce qu'il défend.
05:25C'est ça qui est intéressant.
05:27Juste une seconde, pour essayer de calmer un peu le débat.
05:30Montesquieu, le père de la démocratie, disait
05:34la procédure est la colonne vertébrale de la démocratie.
05:38Tout ce qu'on peut dire aujourd'hui,
05:40si on veut faire une opposition entre l'état de droit et l'état des droits,
05:43c'est que cette procédure a une sacrée scoliose.
05:46Et qu'il serait grand temps de trouver un ostéopathe
05:49qui nous remette tout ça en place.
05:51Parce qu'effectivement, l'avocat a raison,
05:54les droits des étrangers existent.
05:57Moi aussi j'ai raison lorsque je dis que c'est dommage
06:00qu'on ait abandonné ce délit.
06:03D'accord, mais quand un chelon au camp vous dit
06:05faisons des bateaux, leur demandons pas leur avis, leur envoyez.
06:07Est-ce que vous faites un bon, comme le fait Maître Néguer,
06:10ou vous trouvez que c'est une idée sur laquelle on peut avancer ?
06:13Non, c'est des excès de langage de part et d'autre.
06:16C'est des excès d'idées qui sont abominables.
06:18C'est pas des excès de langage.
06:20Quand le gouvernement travailliste en Grande-Bretagne,
06:24après avoir eu des conservateurs qui ont imaginé le faire au Rwanda,
06:27pense le faire dans d'autres pays,
06:29qui ne sont pas les pays d'origine des migrants illégaux,
06:33pour les ramener dans un endroit où on va faire l'étude
06:36comme Mélanie veut le faire en Italie,
06:38qui est, évidemment, pensée comme extrême droite
06:40dans l'échiquier politique européen,
06:42la réalité c'est que c'est quand même un sujet
06:44qui est en train d'être conversé.
06:46On fait face à une réalité.
06:48La réalité, c'est pas toujours le droit.
06:50Elle précède le droit à la réalité.
06:52Et le droit suit la réalité.
06:54Après, elle peut suivre dans un sens ou dans l'autre.
06:56Parce que le droit, il est fabriqué par les gens.
06:58Ce que vous dites là, ça n'a rien à voir avec ceci.
07:00C'est important qu'on travaille et chercher des solutions
07:03plutôt que de dire, oui, on va le faire d'un seul coup.
07:05D'ailleurs, ça n'existera pas.
07:07Aujourd'hui, ils sont dans des hôtels deux étoiles, un étoile,
07:09qui sont très contents parce qu'ils font le plein tous les ans.
07:11Ils font 100% de réservation,
07:13remise à niveau chaque année de la réalité.
07:15Et ça, c'est payé par tout le monde.
07:17Ça n'est pas acceptable.
07:19Les trains sont pleins de familles qui se déplacent à droite et à gauche.
07:21Faites un tour dans les gares françaises aujourd'hui.
07:23C'est ça, la réalité.
07:25C'est pas un pays qui jette tout le monde dehors, à la frontière,
07:27et qui s'en occupe plus.
07:29Et donc, par contre, que l'Europe, aujourd'hui, cherche des solutions.
07:31Parce que c'est un défi.
07:33C'est un défi, non seulement, évidemment, économique,
07:35mais évidemment aussi, quelque part, culturel,
07:37qui se joue là.
07:39Parce que c'est un avenir qu'on doit faire en commun
07:41et pas les uns contre les autres.
07:43D'un seul coup dire, le droit dit ça.
07:45Non, le droit, il est précédé par le réel.
07:47Et le réel, il doit être traité.
07:49Et ensuite, le droit intervient, qu'il soit l'état des droits
07:51ou l'état de droit.
07:53Mais le droit ne fait que suivre.
07:55– Maître Neguer, on peut juste quand même dire
07:57que votre comparaison est un peu excessive.
07:59En reprenant qu'à un moment,
08:01que vous soyez contre son idée, encore une fois,
08:03je vous le dis, que vous soyez contre son idée,
08:05et vous êtes là pour ça, et c'est un débat,
08:07et c'est ce qu'on fait tous les jours, et tous les avis s'expriment.
08:09Voilà, juste sur la comparaison,
08:11au minimum, un peu excessive.
08:13– Je ne veux pas qu'on déforme ce que j'ai dit.
08:15Il y a un problème avec l'immigration, très bien.
08:17Il y a des solutions qu'on essaye de trouver, très bien.
08:19Que vous disiez qu'il faut adapter le droit,
08:21qu'il faut adapter les moyens, qu'il faut que ça avance,
08:23il n'y a pas de soucis. Là, ce n'est pas de ça dont on parle.
08:25C'est un propos qu'il a tenu hors antenne.
08:27– Je l'ai répété, je ne l'ai même pas répété.
08:29– Il a décrit une situation qui, historiquement,
08:31a une résonance très forte,
08:33qu'on ne peut pas ignorer, c'est tout.
08:35C'est-à-dire, dire, on va prendre des gens,
08:37on ne va pas leur demander leur avis,
08:39on ne respecte aucun droit, on les met dans les bateaux
08:41et on les renvoie sur le grec.
08:43– Dans leur pays, dans leur pays.
08:45– Peu importe l'endroit où on les renvoie,
08:47peu importe l'endroit où on les renvoie.
08:49La question, ce n'est pas le lieu de destination,
08:51la question, c'est les moyens utilisés.
08:53– Aux États-Unis, ils le font, au Canada, ils le font.
08:55– Mais non, monsieur, vous dites n'importe quoi.
08:57– Aux États-Unis, ils font renvoyer les gens au premier avion.
08:59– Prendre des gens sans respecter leurs droits,
09:01les traiter comme des animaux, les parquer dans des bateaux
09:03ou dans des trains, parce que c'est ça que vous décrivez.
09:05Ça, c'est une honte historique.
09:07– Vous racontez n'importe quoi.
09:09– Si vous me disiez, si vous me disiez,
09:11on va trouver des nouvelles solutions juridiques,
09:13on va donner des droits aux gens.
09:15– Ça, c'est du pipeau.
09:17– Voilà, mais j'entends que vous disiez
09:19c'est du pipeau, et c'est ça qui est insupportable.
09:21J'ai compris, monsieur.
09:23L'implication de ce que vous dites,
09:25elle a existé historiquement,
09:27et on sait très bien ce que ça a donné.
09:29Je ne retire pas en moi ce que vous dites.
09:31– L'Australie, il y a 10 ans.
09:33– C'est terrifiant, c'est horrible.
09:35Je pense à l'histoire,
09:37je pense à tous ces gens
09:39qui ont été traités comme ça.
09:41Je pense, parce que je connais très bien
09:43cette époque historique, au débat qu'il y a pu avoir
09:45dans les médias dans les années 30,
09:47avec des gens qui disaient exactement la même chose que vous.
09:49Et je suis horrifié de penser
09:51que vous êtes en train d'arriver au pouvoir.
09:53Horrifié.
09:55Je le dis, c'est terrifiant.
09:57– Je vais vous expliquer, c'est exactement ce qu'a fait l'Australie,
09:59il y a 10 ans, ils ont fait le no-way.
10:01Ils ont pris les bateaux
10:03et les ont remis même pas dans leur pays.
10:05– Prendre des gens, sans respecter aucun des droits,
10:09et les traiter comme des animaux,
10:11pour aller partout dans des bateaux ou dans des trains,
10:13ça n'a jamais été fait dans un pays comme l'Australie.
10:15– Alors le gars, il ne sait aucun, vous répondez.
10:17– Ça s'appelle exactement ce qu'a fait l'Australie,
10:19avec le no-way.
10:21– Sans aucun droit, sans respecter rien du tout,
10:23on les prend dans la rue, on les met.
10:25– Ils les ont pris, les bateaux, et les ont mis sur des îles,
10:27à côté, même pas dans le pays d'origine.
10:29– Est-ce que l'Australie, c'est la vague nazie ?
10:31– Vous mentez en fait.
10:33– Mais vous êtes un culte, ce n'est pas ma faute,
10:35mais je vous dis que c'est ce qu'a fait l'Australie,
10:37et depuis, il n'y a plus de migrants illégaux qui arrivent en Australie.
10:39Ils l'ont fait pendant plusieurs mois,
10:41et les illégaux ont dit, on va arrêter d'aller en Australie,
10:43parce que dès qu'on arrive, paf, le bateau est retourné sur une île.
10:45– Mais comment on sait qu'ils sont illégaux ?
10:47Puisqu'on les prend au hasard et qu'on les met dans des bateaux.
10:49– Parce qu'ils savent très bien.
10:51– Ça se voit sur leur tête ?
10:53– Ils se piroguent légalement d'un pays étranger jusqu'à l'Australie.
10:55Vous avez raison, c'est les Australiens,
10:57qui sont beaucoup plus intelligents.
10:59– C'est hallucinant.
11:01– Peut-être que vous ferez des petites affiches,
11:03et puis vous direz, regardez à quoi ça ressemble un illégal,
11:05comme ça vous pouvez le récupérer et le mettre dans un bateau,
11:07qui vous donnerait des traits caractéristiques de ces gens-là,
11:09et puis vous appellerez ça la solution finale contre l'immigration.
11:13C'est excellent vos idées, excellent.
11:15– On essaie d'avoir une conclusion calme.
11:17Jean-Christophe Gagnon.
11:19– Autant il faut être très vigilant avec l'histoire,
11:21et la réalité, et ce qui peut venir effectivement,
11:23et ce qui se déroule malheureusement.
11:25– Ce qui est défendu par ce monsieur.
11:27– Ce qui se déroule dans beaucoup de pays, rappelons-le,
11:29dans beaucoup de géographies dans le monde,
11:31où on déplace des populations de force, rappelons-le.
11:33Ce n'est pas en Europe qu'on le fait, c'est dans d'autres pays.
11:35Et ce n'est pas forcément des avions, c'est beaucoup plus difficile,
11:37parce qu'ils sont sur le terrain, on les pousse.
11:39Je crois pas aujourd'hui, je crois pas aujourd'hui,
11:41je l'espère, je croise les doigts, il faut être vigilant,
11:43je le dis, qu'il y ait des envies de rafle.
11:45Des envies de rafle et de déplacement de population.
11:47Parce que les mots, c'est ce qu'il décrit.
11:49– C'est ce qu'il décrit.
11:51– Et donc je crois qu'effectivement, on a un devoir collectif de vigilance,
11:53mais aussi de traitement du réel.
11:55De traitement du réel, parce que la vigilance,
11:57ça ne veut pas dire pour autant qu'on déplace le regard,
11:59et qu'on ne regarde pas le réel en face,
12:01et de trouver des solutions.
12:03Et je crois qu'effectivement, cette vigilance européenne,
12:05parce qu'elle a été soumise à quelque chose
12:07qui a été une trahison effectivement de ce qu'était l'idéal européen.
12:09C'est venu d'un pays, c'est venu d'un certain nombre d'individus
12:11qui ont collaboré ensuite dans différents pays européens,
12:13et d'une idéologie.
12:15Face à la même religion dont on parle aujourd'hui,
12:17des comportements homosexuels,
12:19et d'autres choses comme ça.
12:21Aujourd'hui, je ne pense pas que dans notre France,
12:23à nous et dans notre Europe, on ait ce risque-là.
12:25Mais gardons vigilance et soyons concrets
12:27dans le traitement du quotidien,
12:29parce que si on n'est pas traitement du quotidien concrètement,
12:31on arrête ce risque.
12:33– Je crois que le week-end tombe bien.
12:35Thierry Cabane, c'est dans un instant, on se retrouve.

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