• il y a 2 mois
Dans la nuit du 24 au 25 octobre, une frappe israélienne a touché un bâtiment où se trouvait une vingtaine de journalistes de divers médias, situé dans le sud du Liban. Le constat tragique révèle trois décès et plusieurs blessés dans un état critique.

## Des journalistes pris au piège des décombres
Au milieu des débris, des voitures portant le logo "PRESS" étaient visibles. Le bâtiment qui accueillait les journalistes s'est effondré suite à cette frappe à Hasbaya, au sud du Liban. Selon le témoignage d'Hassan Hattit, un journaliste blessé, "les voitures garées à proximité des habitations nous ont préservés de l'explosion".

## Le Liban qualifie l'attaque de crime de guerre
Alors que l'armée israélienne a indiqué qu'elle examine l'incident, le gouvernement libanais a qualifié cette action de crime de guerre, estimant qu'il s'agissait d'une attaque ciblant délibérément les journalistes afin de les chasser du pays. Cette frappe remet en question l'accès à une information impartiale. Mirjana Spoljaric, présidente du Comité international de la Croix-Rouge, a souligné l'importance cruciale de protéger les journalistes en période de conflit, affirmant que cela doit être impérativement respecté.

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Transcription
00:00Dans la nuit du 24-25 octobre, une frappe israélienne a touché un bâtiment, se trouvaient une vingtaine de journalistes de divers médias situés dans le sud du Liban.
00:10Le constat tragique révèle trois décès et plusieurs blessés dans un état critique, des journalistes pris au piège des décombres.
00:16Au milieu des débris, des voitures portant le logo PRSS étaient visibles. Le bâtiment qui accueillait les journalistes s'est effondré suite à cette frappe à Azbaya, au sud du Liban, selon le témoignage d'Assan Hatti, un journaliste blessé.
00:29« Les voitures garées à proximité des habitations nous ont préservé de l'explosion », le Liban qualifie l'attaque de crime de guerre, alors que l'armée israélienne a indiqué qu'elle examine l'incident.
00:39Le gouvernement libanais a qualifié cette action de crime de guerre, estimant qu'il s'agissait d'une attaque ciblant délibérément les journalistes afin de les chasser.
00:48Du pays, cette frappe remet en question l'accès à une information impartiale. Mirjanas Poljaric, présidente du Comité international de la Croix-Rouge, a souligné l'importance cruciale de protéger les journalistes en période de conflit, affirmant que cela doit être impérativement respecté.

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