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00:00— On a appris par Le Parisien récemment que vous avez refusé de recevoir une célébrité, le président de la République. C'est vrai ?
00:07— Ah ! On y va. D'accord. Alors certainement pas refusé. J'ai juste estimé que ça n'était pas le bon moment.
00:14— Oui. Bah ça revient. — Non, parce que c'est compliqué quand même de prendre ce genre de décision.
00:19— C'était juste avant les législatives. — C'était juste avant les législatives. Et j'avais estimé que j'ai cette capacité à rendre, je pense,
00:26sympathique beaucoup de monde. Et je me sentais un chouï, instrumentalisée. Et donc après, voilà, beaucoup de conversations,
00:34j'ai essayé d'expliquer pourquoi je serais extrêmement contente de recevoir le président, mais que le timing faisait que je trouvais
00:40que ça n'était pas ma place. Par ailleurs, je ne suis pas journaliste politique. Et je ne pouvais pas en 3 jours faire l'ENA, Sciences Po
00:46et 10 ans de BFM. Donc je trouvais qu'à un moment, il fallait aussi rester à ma juste place. — Il y a une histoire intime qui existe aussi.
00:52— Et c'est le président qui vous a appelé lui-même ? — Alors j'ai eu son cabinet et j'ai fini par l'avoir en direct, oui.
00:57— On va maintenant écouter celui qui est votre modèle, Michel Drucker. — Oui ! Il a un message pour vous. Vous avez beaucoup de souvenirs avec lui, chroniqueux.
01:06— Alors Faustine, moi, j'ai quitté l'émission de Drucker en 2006. Et qui a pris ma place sur le divan ? Faustine Blas.

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