Les images sont violentes et montrent une véritable intolérance de la part des manifestants qui refusaient la tenue d'un meeting du Rassemblement National, parti ayant pourtant le plus grand nombre de députés à l'Assemblée Nationale. Plusieurs organisations de gauche appelaient en effet à une mobilisation dans cette commune de la métropole nantaise, à 15 h ce samedi, pour protester contre une réunion du Rassemblement national en présence de Sébastien Chenu, l’un des cadres du parti.
Un black bloc de militants d’ultragauche s'est même constitué et a affronté les forces de l’ordre à proximité du lieu de la réunion. Au final les forces de l'ordre ont été attaquées à plusieurs reprises, comme on peut le voir sur les images et une sizaine d'interpellations ont eu lieu.
Dans son arrêté municipal publié le 25 octobre 2024 la ville de Vertou avait décidé d'interdire la manifestation anti RN en explique quant la manifestation contre la venue de Sébastien Chenu est " susceptible d'exacerber les tensions et de générer des confrontations".
Dans son arrêté municipal, Roldophe Amailland le maire de Vertou évoque un "risque avéré de troubles graves à l'ordre public" en se référant à un "contexte local depuis plusieurs années de recherche d'affrontements entre les "antifas" de l'extrême gauche et les partisans de l'ultra-droite".
Il est fait référence notamment à la marche aux flambeaux antifas à Nantes en janvier 2022 ou encore les affrontements entre les deux camps adverses lors de deux manifestations le même jour à Saint-Brévin-les-Pins en Loire-Atlantique.
Un black bloc de militants d’ultragauche s'est même constitué et a affronté les forces de l’ordre à proximité du lieu de la réunion. Au final les forces de l'ordre ont été attaquées à plusieurs reprises, comme on peut le voir sur les images et une sizaine d'interpellations ont eu lieu.
Dans son arrêté municipal publié le 25 octobre 2024 la ville de Vertou avait décidé d'interdire la manifestation anti RN en explique quant la manifestation contre la venue de Sébastien Chenu est " susceptible d'exacerber les tensions et de générer des confrontations".
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Il est fait référence notamment à la marche aux flambeaux antifas à Nantes en janvier 2022 ou encore les affrontements entre les deux camps adverses lors de deux manifestations le même jour à Saint-Brévin-les-Pins en Loire-Atlantique.
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