• il y a 15 ans
Loin vers l’infini s’étendent
Des grands prés marécageux.
Pas un seul oiseau ne chante
Sur les arbres secs et creux.

Refrain
Ô, terre de détresse
Où nous devons sans cesse
Piocher (bis)

Dans ce camp morne et sauvage
Entouré de murs de fer
Il nous semble vivre en cage
Au milieu d’un grand désert

Bruit des pas et bruit des armes,
Sentinelles jours et nuits,
Et du sang, des cris, des larmes,
La mort pour celui qui fuit.

Mais un jour dans notre vie,
Le printemps refleurira.
Liberté, liberté chérie
Je dirai « tu es à moi ».

Refrain
Ô, terre d'allégresse
Où nous pourrons sans cesse
Aimer (bis)

Le massacre de Katyń désigne le meurtre de plusieurs milliers de Polonais — essentiellement des personnalités, des officiers mais aussi des étudiants (officiers de réserve), des médecins et des membres des élites polonaises réputées hostiles à l'idéologie communiste — par la police politique de l’Union soviétique (le NKVD) au printemps 1940 dans une forêt russe près de Smolensk. Par extension, l’expression recouvre l’ensemble des exécutions de membres de l’élite polonaise (de 15 à 22 000 personnes) perpétrées en 1940 en divers lieux de l’ouest de l’URSS. Ce fut le crime le plus symbolique de la guerre idéologique entre l’Allemagne nazie et l'Union soviétique, celle-ci étant soutenue à l'époque de la guerre par le Royaume-Uni et les États-Unis. La polémique fut brièvement relancée par des prisonniers de guerre américains durant la Guerre de Corée.

1942, le régime nazi décide d'exterminer tous les Juifs d'Europe. Plus de six millions d'entre eux, hommes, femmes et enfants, ont péri. Cette "Catastrophe", Shoah en hébreux, a-t-elle servi de leçon ? Depuis, bien d'autres crimes contre l'humanité ont été commis.