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00:00J'espère que vous avez apprécié cette vidéo, si c'est le cas n'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez dans les commentaires.
00:07Merci d'avoir regardé cette vidéo, et je vous dis à la prochaine !
00:31Mesdames et Messieurs, bienvenue dans le programme.
00:37La constitution de Cameroun ne donne pas de l'espace pour une postponition de l'élection présidentielle.
00:44De l'octobre 27 au 5 octobre 2025, nous avons 343 jours pour la prochaine élection présidentielle au pays.
00:57Quelles sont les postes de signes sur le sol pour signaler que les partis politiques sont prêts pour l'élection ?
01:05C'est notre objectif au jour d'aujourd'hui.
01:08Je m'appelle Kilian Nda Ndifon.
01:12Bienvenue à nouveau.
01:23C'est une période dans notre pays que beaucoup d'hommes ont décrit comme très sensible, très délicat, pour de nombreuses raisons.
01:34Nous pensons que c'est, nous pensons que ces gens, leurs différentes descriptions sont correctes.
01:40Nous devons faire attention.
01:42Aujourd'hui, nous commençons une série de questions sur le plan politique.
01:49Aujourd'hui, les partis politiques de notre pays sont prêts pour une élection présidentielle qui est un an, qui est moins de 365 jours.
02:03Quelqu'un a dit, si vous choisissez de ne pas voter, vous avez voté pour quelqu'un qui sera votre leader.
02:11Et il n'y a juste pas de façon pour que vous puissiez venir et blesser cette personne.
02:16Rester à l'étranger est une faiblesse dans la politique.
02:20Beaucoup de gens le disent.
02:21Nous allons discuter de cela et de plus sur l'édition d'aujourd'hui de Presse R.
02:26Et nous allons parler de ce sujet très important qui touche les vies de tous nos frères et soeurs camerooniennes.
02:37C'est Khungaba Fungo Lionel.
02:40Il est membre du comité national d'exécution du Front Social-Démocratique, le SDF.
02:47Bienvenue dans le programme.
02:49Merci, Kiran.
02:50Bonne soirée à tous nos spectateurs du monde entier.
02:54Bonne soirée à mes copanélistes.
02:57C'est toujours un plaisir d'être sur Presse R pour discuter des sujets concernant notre pays.
03:02Et le sujet que nous allons discuter aujourd'hui est très important,
03:07parce que cela concerne l'avenir et le Cameroun de demain.
03:13Donc c'est un plaisir pour moi d'être ici aujourd'hui pour parler de ce sujet pertinent.
03:18Merci beaucoup d'être venu.
03:21Et nous avons aussi une autre personne qui représente le Parti politique, le Parti régulier.
03:28Robert Kadia est un officiel de communication du comité national d'exécution du Front Social-Démocratique.
03:35Bienvenue dans le programme, Robert.
03:37Merci beaucoup, c'est un plaisir.
03:39Mes copanélistes et tous les Camerooniens qui ont pris leur temps de s'asseoir devant leur TV set
03:45afin d'analyser les sujets politiques dans notre pays.
03:49Un grand souhait pour le Président de la République,
03:52le grand leader qui est revenu triomphalement dans le Cameroun,
03:56où la rue de Yaoundé était remplie de gens qui chantaient et applaudissaient son retour triomphalement.
04:02C'est un honneur d'avoir le Président de la République de retour dans le pays.
04:07Un grand souhait pour le ministre de l'Administration territoriale, Paula Tangany.
04:11Et tant d'autres sont là.
04:13Je pense que c'est une bonne décision d'arrêter le rumeur
04:17qui a été mené par l'ennemi de l'État pour effrayer nos investisseurs.
04:22Rappelez-vous, quand les élections présidentielles se déroulent,
04:25quand le Président s'en va,
04:27ou quand le Président meurt,
04:30vous réalisez que tous les investisseurs
04:33ont déterminé de s'investir dans ce pays.
04:36Et c'était le motif de la haine de la République
04:40qui a mené à ce rumeur pour effrayer nos investisseurs.
04:45Mais le ministre de l'Administration territoriale, Paula Tangany,
04:48a été très intelligente pour prendre cette décision
04:50pour arrêter ce rumeur pour que nos investisseurs reviennent.
04:53Quand d'autres personnes parlaient de...
04:55Oui, nous allons...
04:57Vous avez le temps de parler de cela.
04:59Nous allons commencer avec...
05:01C'est juste une partie introductrice du programme.
05:04Je vous en prie,
05:06parce que vous parlez de votre Président,
05:09vous parlez de notre Président du pays,
05:12et ensuite du Président national de votre parti.
05:15C'est-à-dire le CPDM.
05:17Vous avez assez de temps pour parler de lui et d'autres personnes.
05:20Merci beaucoup, Kedia.
05:22Vous venez d'arriver de Douala pour ce programme,
05:25et nous apprécions toujours votre présence
05:27chaque fois que nous vous appuyons.
05:30Encore en politique,
05:32je vous présente Franklin Sengui Morpho,
05:35qui est un scientifique politique.
05:38Bienvenue dans le programme.
05:40Vous êtes un scientifique politique.
05:42Vous m'avez dit que vous étudiez la science politique.
05:45Où avez-vous étudié ?
05:47Merci, M. Killian,
05:49de m'avoir donné l'opportunité d'expérimenter ici.
05:53Un grand salut à mes copanélistes,
05:56et un grand salut à toute la République du Cameroun.
05:59Oui, j'ai étudié la science politique et la loi
06:02à l'Université de Hong-Kong.
06:04J'ai gradué.
06:06J'ai étudié la science politique et la loi à l'Université de Hong-Kong.
06:09J'ai obtenu un diplôme postgraduate,
06:12ou en France, la maîtrise en loi publique,
06:16avant de partir en Europe pour étudier mon master
06:19en études ethniques et migratoires,
06:21spécialisé en analyse politique.
06:25Merci.
06:26C'est pourquoi nous vous avons amené ici,
06:28avec tout votre portfolio.
06:30Nous savons que vous pouvez analyser les événements politiques.
06:35Nous allons passer à l'extrême gauche de la table
06:40pour accueillir Richard Ndeye-Lajon,
06:43un collègue, publisseur et éditeur en chef
06:47du journal Heather Tribune.
06:50Richard, heureux de vous avoir ici aujourd'hui.
06:54C'est un plaisir de vous rencontrer,
06:56et un salut à tous les panélistes.
06:59Je suis heureux d'être auparavant dans différentes parties politiques,
07:06et de pouvoir partager mes connaissances,
07:09en particulier avec les événements à venir.
07:13Je pense que, à la fin du jour,
07:15les Canadiens pourront obtenir quelque chose d'important
07:20de ce qui va venir de nos discussions.
07:23Oui, et le plus important est la presse.
07:28Emmanuella Vemnuy a été sur ce point.
07:31Elle a lu les journaux pour la presse.
07:34Emmanuella.
07:37Les journaux sont écrits avec la histoire du retour du président Paul Beah à Cameroon.
07:42Cameroon Insider annonce que Paul Beah est de retour à l'office.
07:46A la voix, après 49 jours, Beah est à la maison.
07:50C'est un réel retour à la média,
07:53qui inscrit que Paul Beah est de retour,
07:56de retour à un accueil messianique,
07:58accordé par la nation dans les Journaux Chroniques,
08:01la même nation qui accueille sa père dans l'écstasie.
08:04Dans les nouvelles municipales,
08:05Eden voit un accueil historique pour Paul Beah,
08:09mais c'est un retour triomphant après 49 jours d'absence sur le horizon.
08:15Le Guardian poste sur ses partis,
08:18une nécessité urgente pour un anglophone comme président de l'État.
08:22À l'écriture, après 63 ans d'absence francophone,
08:26c'est le moment pour l'anglophone d'être président.
08:29Newswatch annonce que Beah fait des appels militaires stratégiques
08:33après le retour de Paul Longstie à l'étranger.
08:35Ce qui s'est passé à un moment où le Nord-Ouest avait beaucoup d'impôts.
08:38Les parlementaires pauvres ont envoyé des motifs de soutien à Beah
08:41après qu'ils ont concilié leurs doutes dans le Poste.
08:44Puis, le maire de Limbe,
08:45a lancé une orientation budgétaire sur les projets de génération d'argent
08:49pour améliorer le développement de l'Éden.
08:51Les polls montrent que seulement 24,7% des anglophones
08:56soutiennent la lutte pour l'indépendance à travers la guerre sur le horizon,
09:00avant que le ministre des Mines
09:02n'embarque sur une visite officielle
09:04aux régions du sud-ouest et du sud-ouest de la Tribune du Hérault.
09:07Les médias sont clairs que la visite du gentil Professeur Foucalistou
09:11est pour implémenter le plan d'industrialisation.
09:14Un plan qui va améliorer l'industrialisation de Cameroun,
09:18selon Le Voix.
09:19Lorsque le ministre de l'Intérieur
09:21s'est engagé à l'application du gaz sustainable dans les annonces municipales,
09:25il dit que Cameroun sera bientôt
09:27un producteur le plus important en Afrique centrale,
09:30dans le Poste du Gardien.
09:31À ce moment-là, Beah, son envoyé, Dion Goutey et d'autres
09:34pourront révéler le potentiel économique de Cameroun
09:38à l'assemblée commune à Samoa.
09:40Dans les annonces municipales,
09:42l'université de l'ICT dévoile 5 millions d'investissements de Sèvres-France
09:46pour conduire l'économie de Cameroun
09:48et encourager l'innovation, selon Le Voix.
09:50La nation est répondue en choc
09:52lorsque la vidéo d'un soldat torturant Longuet-Longuet
09:55s'émerge dans le Poste du Gardien.
09:57Ensuite, le ministre de la Défense
09:59demande une enquête dans cette vidéo, selon Le Voix.
10:02Dans les sports,
10:03pendant la super-bataille de la Ligue des combattants professionnels,
10:06Francis Ngannou a dévoilé
10:08un pouvoir effrayant sur Renan Ferreira,
10:11dans le Tribunal Hérault.
10:12Ensuite, 6 millions de Sèvres-France
10:14en 3 minutes, dans Le Média.
10:16Ce qui permet à Cameroun Insider
10:18d'affirmer que le Predator est de retour,
10:20car il annonce son prochain objectif
10:22d'être soit l'ennemi, soit le boxeur.
10:25Jusqu'à ce que je ne m'éloigne plus.
10:27C'est votre R avec la presse.
10:37Merci beaucoup, Emmanuella.
10:39Le R avec la presse est en marche.
10:43Richard, vous êtes le homme de la presse sur scène.
10:46Vous avez suivi certains journaux
10:49et nous avons aussi vu
10:51ce que le journal du Tribunal Hérault a écrit.
10:54Un sujet qui a attiré votre attention
10:58que nous allons parler de.
11:00Oui, Kilian.
11:01Je pense que trois sujets
11:03m'ont attiré l'attention cette semaine dans la presse.
11:06Je veux parler de la présidence Sarah Ballest,
11:10mais j'aimerais d'abord parler de M. Foucault.
11:13C'est une visite à l'étranger
11:15dans la région du sud-ouest.
11:17Je pense qu'il essaie d'implémenter
11:20le rêve, les vues du président
11:23en ce qui concerne la substitution d'impôts.
11:26Dans la visite des ministres,
11:28nous avons pu savoir que Cameroun
11:31a beaucoup de potentiel
11:33et que nous pouvons utiliser du clay
11:36au lieu du clinker,
11:38qui est un produit fin pour la terre,
11:41et nous en avons beaucoup en Cameroun.
11:44Donc au lieu d'importer du clinker
11:46pour produire de la terre,
11:48ce qui est cher,
11:50je pense qu'en utilisant du clay
11:52qui se trouve sur notre sol,
11:54cela va faire que la terre soit plus chère
11:56dans le marché,
11:58et cela va améliorer le développement
12:01en ce qui concerne la construction.
12:03Le deuxième sujet.
12:05Avant de passer au deuxième sujet,
12:07j'aimerais aussi recommander
12:09le ministre Foucault.
12:12Il révolutionne en fait
12:15beaucoup de choses
12:17dans le secteur minier et industriel.
12:19Le deuxième sujet.
12:21Le deuxième sujet qui nous a donné la nouvelle
12:24dans la semaine,
12:26c'est le vidéo qui est sorti
12:28avec le célèbre artiste Lange Lange
12:31qui a été torturé par des éléments
12:35de la sécurité militaire.
12:38Ce qu'on obtient,
12:40c'est qu'il a été accusé
12:42de faire un statement
12:44après l'élection présidentielle
12:46en 2019.
12:48Je pense que ce qu'il a dit,
12:50c'était son opinion,
12:52et le type de punition
12:54qui lui a été donnée,
12:56je ne pense pas qu'une personne de ce calibre
12:58soit une star.
13:00Il est connu dans le monde entier
13:02pour ses contributions artistiques.
13:04Ce type de punition,
13:06c'est quelque chose à condamner.
13:08Je suis heureux que le ministre délégué,
13:11le président en charge de la défense,
13:13ait ordonné une enquête.
13:16Nous espérons que le résultat
13:18de cette enquête
13:20soit publié.
13:22Ceux qui ont répété l'acte
13:24doivent être apportés au livre
13:26et bientôt au public.
13:28Cette enquête ne doit finir qu'en droits.
13:30C'est vrai.
13:32Le ministre délégué,
13:34le président en charge de la défense,
13:36Joseph-Betty Assoma,
13:38qui est une personne très stricte,
13:40dont nous savons qu'il a puni
13:42des officiers
13:44et des éléments
13:46de la défense
13:48qui ont refusé
13:50d'être professionnels,
13:52va faire cela.
13:54Nous sommes d'accord.
13:56Mais à ce niveau,
13:58nous ne pouvons pas conclure
14:00qu'avec les forces de sécurité.
14:02Merci.
14:04La dernière question
14:06concerne l'entrée triomphale
14:08du président
14:10à son pays.
14:12Beaucoup pensent
14:14qu'il visite
14:16notre pays.
14:18Beaucoup pensent
14:20qu'il visite
14:22notre pays.
14:24Pour un président
14:26d'un pays
14:28pour 50 jours,
14:30sans que les gens
14:32comprennent ce qui se passe,
14:34ce qui a évoqué
14:36beaucoup de spéculations.
14:38Certains ministres
14:40vont venir dire que c'est vrai.
14:42Et vous semblez rejoindre
14:44ces gens sans leur dire
14:46que le président
14:48a quitté Cameroon
14:50pour un visite officielle en Chine.
14:52Et vous l'avez lié
14:54à un autre visite officielle
14:56en Europe.
14:58C'était un visite public.
15:00C'était un visite public
15:02parce qu'il y avait d'autres
15:04événements dans le monde
15:06que l'Assemblée générale du Royaume-Uni
15:08et d'autres événements.
15:10Mais il n'était pas là.
15:12Est-ce que c'était un visite public
15:14qu'il attendait à d'autres
15:16questions à partir de Cameroun,
15:18à part le délai
15:20que le directeur du cabinet
15:22a reçu après
15:24avoir parlé de la santé
15:26du directeur du gouvernement?
15:28Je ne comprends pas comment
15:30un président,
15:32je prie que Dieu lui donne une longue vie,
15:34pour 42 ans en pouvoir,
15:36on n'a jamais su que le directeur du gouvernement
15:38était malade.
15:40Si les gens, à un moment donné,
15:42commencent à spéculer que le directeur du gouvernement
15:44n'a pas quitté le pays parce qu'il était malade,
15:46je pense que...
15:48C'est pas normal?
15:50C'est normal.
15:52Si on parle de la santé du directeur du gouvernement,
15:54c'est normal.
15:56Nous devons être très honnêtes.
15:58Nous devons être très honnêtes avec nous-mêmes.
16:00Ils spéculent seulement
16:02sur sa santé,
16:04ou ils parlent de sa disparition.
16:06Non, je ne veux pas aller là-dedans.
16:08Non, parce que c'est là le problème.
16:10Je ne veux pas parler de sa disparition.
16:12Sa disparition vient d'où que ce soit,
16:14ce n'est pas mon problème.
16:16C'est exactement ce que nous disons.
16:18En tant qu'informateur,
16:20nous devons commencer comme nous l'avons commencé,
16:22en formant la même...
16:24Si la disparition vient d'où que ce soit,
16:26c'est parce que
16:28les gens ont déjà
16:30spéculé sur sa santé.
16:32C'était juste normal.
16:34Les gens qui souhaitent
16:36qu'il ne soit pas là,
16:38ils ont des parents qui sont comme lui,
16:40qui souhaitent que ces parents vivent longtemps.
16:42C'est exactement ça.
16:44Ce n'est qu'un malheur
16:46pour les gens qui ont des parents
16:48qui souhaitent qu'ils vivent longtemps.
16:50C'est exactement ça.
16:52En tant qu'informateur,
16:54c'est exactement ce type de message
16:56que je pense qu'il faut porter.
16:58Et maintenant,
17:00vous venez et vous dites,
17:02oui, nous avons le droit
17:04de savoir ce qui s'est passé
17:06de notre chef d'État.
17:08Nous voulions savoir.
17:10Les journaux ont publié
17:12et ont demandé ce qui s'était passé
17:14du chef d'État.
17:16Jusqu'à ce qu'un vidéo s'éteigne
17:18parlant de son décès.
17:20Ce qui n'était pas vrai, bien sûr.
17:22Combien de vos journaux avez-vous utilisé
17:24pour investiger, pour dire aux gens
17:26que c'était faux, parce que c'était faux.
17:28Maintenant, laissez-moi passer au
17:30chef d'État pour dire un mot sur ça
17:32et puis on va passer à
17:34d'autres choses.
17:36L'issue est très claire.
17:38Quand les gens prennent des mesures
17:40pour déstabiliser la nation,
17:42nous tous, nous sommes intellectuels,
17:44nous savons que le décès d'un président,
17:46ce qu'il s'est passé,
17:48surtout dans le domaine économique,
17:50a été fait pour faire peur à nos investisseurs.
17:52Même dans le pays, il y a beaucoup de gens
17:54qui sortent leur argent des banques.
17:56Ce sont les effets qu'il a eu sur notre économie.
17:58C'est pourquoi le ministre a dû venir
18:00et l'arrêter.
18:02Vous êtes un journaliste
18:04investigatif.
18:06Permettez-moi d'en aller plus loin
18:08pour parler du fait que
18:10ces gens veulent déstabiliser
18:12l'État. J'ai vu
18:14qu'ils se battaient pour la haine.
18:16Quand le président est sorti, il a été
18:18accueilli par les enfants, les parents,
18:20les enfants de l'école.
18:22Si vous pouviez regarder
18:24de Simalène, permettez-moi de remercier
18:26le général-manager de CRTV qui a été capable
18:28de télécharger ce live, où nous avons vu
18:30des gens s'éloigner de Simalène
18:32vers le palais de l'Unité.
18:34C'est toujours le problème.
18:36Quand les gens sortent pour se réjouir,
18:38parce que nous ne partageons pas la même opinion avec eux,
18:40ils nous disent qu'ils ont été éloignés.
18:42Vous voulez dire qu'il y a plus d'un million de gens
18:44qui ont été éloignés ?
18:46Non, nous ne devons pas même
18:48partager des nouvelles fausses.
18:50Je remercie tous ceux qui sont venus
18:52accueillir le président. Il a toujours
18:54marché, il est sorti du pays,
18:56et il est encore en marche.
18:58Les gens qui parlent de nouvelles fausses peuvent se battre pour la haine.
19:00Richard, il y a certaines choses
19:02dont nous sommes là
19:04pour élargir la population.
19:06Pouvez-vous nous regarder
19:08encore une fois
19:10et dire que ces gens ont été éloignés,
19:12en termes de représentation politique
19:14et de l'économie ?
19:16Est-ce qu'il y a une différence
19:18entre les femmes et les hommes ?
19:20Pouvez-vous aussi dire au public
19:22que ceux qui sont sortis
19:24sont sortis
19:26avec la sincérité,
19:28que personne ne les a empêchés de sortir,
19:30de se mettre sur les rues ?
19:32Pouvez-vous aussi dire au public que nous savons
19:34qu'ils ont été éloignés.
19:36Nous savons qu'ils ont été éloignés
19:38il y a presque une semaine.
19:40Nous savons qu'il y a eu des bus
19:42qui ont été employés.
19:44Les gens sont allés
19:46à l'aéroport
19:48pour recevoir la personne
19:50à la date qu'elle a été éloignée.
19:54C'est un sujet important.
19:56Vous attendez que les gens partent
19:58de Yaoundé à Saint-Mahalène
20:00pour montrer...
20:02Pourquoi ne pas payer leur transport ?
20:04C'est votre problème ?
20:06Je ne parle pas de ceux qui sont à l'aéroport.
20:08Je parle de ceux qui sont à Yaoundé.
20:12La population à Saint-Mahalène a été éloignée.
20:14Ils étaient juste curieux.
20:16Vous l'avez déjà dit, ils ont été éloignés.
20:18Vous l'avez déjà dit, ils ont été éloignés.
20:20Vous ne devriez même pas dire qu'ils ont été éloignés.
20:22Ils ont été éloignés.
20:26Quand nous sommes ici,
20:28l'avantage que nous avons
20:30c'est que
20:32le public nous voit directement.
20:34Quand nous faisons
20:36certaines déclarations,
20:38nous devons assumer,
20:40au mieux de mon savoir,
20:42et profondément,
20:44nous savons que
20:46il y a des opinions divergentes
20:48en Cameroune.
20:50C'est une partie de la démocratie.
20:52Mais dire que les gens sont éloignés
20:54en suivant cette partie politique,
20:56je pense qu'il y a un manque de sincérité.
20:58Oui, Lionel.
21:00Avant de passer au sujet principal,
21:02je veux dire qu'il faut être sincère
21:04avec les Camerounais.
21:06Des gens ont été éloignés,
21:08certains ont même été forcés de quitter
21:10leurs écoles et d'autres institutions
21:12pour aller accueillir le président.
21:14L'autre chose, mon frère Keja
21:16disait que la population est en banque.
21:18Vous m'acceptez que quand il y a
21:20une sortie du président,
21:22toutes les activités sont arrêtées.
21:24Les véhicules sont bloqués.
21:26Certains sont obligés
21:28de rester à côté
21:30pour attendre le président.
21:32Ce que je veux dire ici,
21:34c'est qu'on ne peut pas être
21:36dans un pays où la démocratie...
21:38Laissez-moi vous poser une question.
21:40Vous insistez sur ça.
21:42Est-ce que vous insinuez
21:44que ces gens
21:46atteignent
21:48les rallies SDF
21:50et d'autres réunions?
21:52C'était un rallye?
21:54Ce n'était pas un rallye.
21:56Laissez-moi vous expliquer.
21:58Je suis un militant
22:00de Yaoundé 2.
22:02Je suis un militant de Yaoundé 2
22:04et j'ai vu...
22:06Je n'ai pas terminé de poser ma question.
22:08Répondez à ma question.
22:10Les SDF empruntent
22:12ces gens.
22:14Ce n'était pas un rallye, s'il vous plaît.
22:16Un rallye est juste un exemple.
22:18Les SDF empruntent ou non?
22:20Nous n'empruntons pas de gens.
22:22C'est pour ça que vous ne voyez pas
22:24ces gens.
22:26Nous sommes des politiciens
22:28et nous sommes sur le terrain.
22:30Je prends l'exemple de Yaoundé 2.
22:32Je sais comment les gens
22:34ont été empruntés par les SDF
22:36et le conseil de Yaoundé 2
22:38à la présidence et aux autres...
22:40C'est une autre question.
22:42Je n'accepte pas ça.
22:44Ce n'est pas ce qui s'est passé.
22:46Nous devons dire aux Camerooniens
22:48de ne pas essayer de dire aux Camerooniens
22:50que ce n'est pas une situation normale.
22:52C'est très normal.
22:54Tout le monde est en situation normale.
22:56Ne dites pas que tous ceux qui étaient autour
22:58de la rue étaient empruntés.
23:00Nous devons être honnêtes.
23:02Vous pensez que tous ceux qui étaient autour
23:04de la rue étaient là parce qu'ils voulaient y être?
23:06Pourquoi vous dites que c'était passé?
23:08Vous dites que c'était passé.
23:10Au début, vous vous dites que c'était emprunté
23:12et maintenant que vous dites que c'est passé,
23:14c'est pas vrai.
23:16Vous dites que c'est passé
23:18C'est une lettre en ligne où il demandait à tous les étudiants d'être là.
23:33C'est ça. Toutes les lettres, vous les avez vu sur les médias sociaux. Vous avez une copie ?
23:48C'est ça. Toutes les lettres, vous les avez vu sur les médias sociaux. Vous avez une copie ?
23:58C'est ça. Toutes les lettres, vous les avez vu sur les médias sociaux. Vous avez une copie ?
24:08C'est ça. Toutes les lettres, vous les avez vu sur les médias sociaux. Vous avez une copie ?
24:16C'est ça. Toutes les lettres, vous les avez vu sur les médias sociaux. Vous avez une copie ?
24:46C'est ça. Toutes les lettres, vous les avez vu sur les médias sociaux. Vous avez une copie ?
24:56C'est ça. Toutes les lettres, vous les avez vu sur les médias sociaux. Vous avez une copie ?
25:06C'est ça. Toutes les lettres, vous les avez vu sur les médias sociaux. Vous avez une copie ?
25:16C'est ça. Toutes les lettres, vous les avez vu sur les médias sociaux. Vous avez une copie ?
25:26C'est ça. Toutes les lettres, vous les avez vu sur les médias sociaux. Vous avez une copie ?
25:36C'est ça. Toutes les lettres, vous les avez vu sur les médias sociaux. Vous avez une copie ?
25:46C'est ça. Toutes les lettres, vous les avez vu sur les médias sociaux. Vous avez une copie ?
25:56C'est ça. Toutes les lettres, vous les avez vu sur les médias sociaux. Vous avez une copie ?
26:06C'est ça. Toutes les lettres, vous les avez vu sur les médias sociaux. Vous avez une copie ?
26:16C'est ça. Toutes les lettres, vous les avez vu sur les médias sociaux. Vous avez une copie ?
26:26C'est ça. Toutes les lettres, vous les avez vu sur les médias sociaux. Vous avez une copie ?
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26:46C'est ça. Toutes les lettres, vous les avez vu sur les médias sociaux. Vous avez une copie ?
26:56C'est ça. Toutes les lettres, vous les avez vu sur les médias sociaux. Vous avez une copie ?
27:06C'est ça.
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