Tempo La So À quel point les réseaux sociaux influencent-ils la présente campagne électorale et quel est le rôle des médias traditionnels ?

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Ce lundi 28 octobre dans Tempo la So de 16h30 à 17h30  À quel point les réseaux sociaux influencent-ils la présente campagne électorale et quel est le rôle des médias traditionnels ?  Michael Jean Louis reçoit Me Ashok Radhakissoon, ancien chairman de l’IBA et de l’ICTA, Bijaye Madhou, ancien directeur général de la MBC, et Bernard Saminaden, journaliste et rédacteur en chef. En raison des émissions liées aux législatives 2024 chaque jour à partir de 17h30, Tempo la So débutera exceptionnellement à 16h30 ce lundi.  Vos appels au 213 7777.  Emission live à suivre également sur notre application TOPFM LIVE TV et sur Parabole chaine 10 Comment faire: Téléchargez notre application "Top FM Mauritius" sur l'App Store ou le Google Play Store, puis sélectionnez TOPFM LIVE TV

Transcript

00:00:00partie qui peut bon après-midi à tous, bienvenue dans une nouvelle émission de Tempo Lasso,

00:00:06une édition spéciale étant donné que nous finissons par une émission politique à partir

00:00:10de 17h30 donc 16h30 aujourd'hui c'est Tempo Lasso pour vous évoquer un sujet qui peut moquer la

00:00:16campagne électorale, ce sont les fameuses moustache leaks ou du moins les bandes audio

00:00:23qui peut circuler sur les réseaux sociaux notamment sur TikTok dans un premier temps

00:00:28et maintenant sur Youtube, donc à quel point les réseaux sociaux et ces réseaux-là en particulier

00:00:36influencent la campagne électorale et quel est le rôle donc de chacun, des bandes médias en général,

00:00:42c'est la question qui nous peut aborder aujourd'hui avec nos trois invités, nous avons d'abord Meta

00:00:48Chokra Dakissune, ancien chairman de l'IBE et de l'ICTA, nous avons Bijay Madu, ancien directeur

00:00:53général de la MBC et nous avons Benoît Samilandène, journaliste et rédacteur en chef,

00:00:58messieurs bon après-midi et merci de votre présence. Allez voilà donc sans plus tarder,

00:01:05je vous rappelle qu'il y a un temps, ça passe très très vite, le petit printemps pour cette campagne électorale,

00:01:12Maitre Radakissume, donc M. Pépé, donc nous avons des doutes de l'authenticité de

00:01:19certains trucs, là parait-il qu'il nous fait doute de la théorie qui certaines affaires falsifiées,

00:01:25est-ce que c'est pas un peu ironique? Oui et non, le deep fake c'est pas un phénomène nouveau,

00:01:33quand on est dans un contexte électoral, il y a un autre objectif qu'il faut faire, ou il faut

00:01:39faire un résultat éventuellement d'une élection nationale ou régionale, et puis

00:01:45maintenant faire un genre de fausseté, faudrerie, ça aussi c'est pas une affaire nouvelle, c'est

00:01:53habillé à plusieurs étapes, mais aujourd'hui la technologie est là, qui nous permettrait les deux,

00:01:57peut-être en même temps, sur le même sujet, et soit pour une raison particulière ou bien pour

00:02:05plusieurs raisons, et tout ça en même temps. Donc pour dire qu'aujourd'hui avec l'avènement de la

00:02:10numérisation, tous ces problèmes-là, ou bien si on peut dire tous ces outils de communication,

00:02:18le but ne va pas prendre compte, les outils de communication deviennent des outils faciles à

00:02:24utiliser, et des outils qui vont très loin dans le sens du temps et dans le sens de l'espace

00:02:32également. Donc pour répondre à votre question, moi je ne suis pas sûr de moi ce qui vient d'arriver,

00:02:39et d'ailleurs moi j'ai encore certaines affaires qui sont déjà plus ou moins annoncées, peut-être que tu vas

00:02:43comprendre plus tôt, parce que moi j'imagine bien que tu fais une émission pour NN Radio, pour le

00:02:47Diaspora, première question que je me pose moi, c'est l'Olympique, donc comme on suit un peu les événements

00:02:54de l'élection indienne également, il y a ça aussi à évoquer. Donc c'est un phénomène qui existait

00:03:00journalistiquement et qui vient attiser par l'existence d'un moyen technique qui nous

00:03:07patient dans peut-être dix ans de ceux-là. Mais en ce moment-là, est-ce qu'il s'est débuffé quoi ?

00:03:12Beaucoup de monde peut dire non. Moi j'ai vu dans l'éducation un peu plus loin, et quand l'internet a été inventé,

00:03:20c'était dans les années 70, l'internet son but c'était l'usage militaire, tout comme le

00:03:28téléphone portable, c'était l'usage militaire, il y a une cercle restreint, mais le but c'était quoi, c'était

00:03:34de communiquer et aussi essayer de faire de l'espionnage, c'était ça le but. Le but ce n'était pas

00:03:40pour seulement le grand public, après ils se sont mis dessus, moi aussi. Mais c'est inévitable quand c'est une

00:03:47technologie de l'information, l'internet et un téléphone portable, il y a des hommes redoutables et

00:03:54aujourd'hui, Annelie Maurice nous trouve son efficacité et nous trouve ce côté dangereux de ça.

00:04:02Et c'est inévitable la communication, aujourd'hui quand il y a une compagnie qui est la plus riche dans le monde,

00:04:09c'est Benjamin qui est dans le secteur de la communication, c'est-à-dire pénalimite, pénalimite,

00:04:16le deep fake, pénalimite, la diffamation sur la toile, pénalimite, c'est aussi

00:04:25percutant qu'une bombe nucléaire, ça c'est mon budget aujourd'hui. Aujourd'hui quand on veut

00:04:32qu'il y ait ce genre de dégâts que Moustace Lix peut faire, il fallait s'y attendre, qu'il y ait de bonnes

00:04:38affaires comme ça et le temps était donné depuis pas mal de temps, maintenant il y a une

00:04:43question de l'éthique, il y a une question de la morale, ça c'est un autre débat et il fallait s'y attendre

00:04:50pour arriver à ce qu'on peut trouver aujourd'hui. Et on n'est pas à l'abri de ces dérives et

00:05:02il y a des gens qui démocratisent l'information, l'information n'est plus enfermée dans une bulle,

00:05:10aujourd'hui l'information est accessible à tout le monde, maintenant c'est à vous de voir comment vous

00:05:17utilisez-le, à bon échant, à mauvais échant, ça c'est un autre problème. Comment vous avez dit, maintenant

00:05:23on a une presse responsable, on a un asileur responsable, mais il y a un autre débat comme ça,

00:05:29qui est-ce qui est redevable et qui est-ce qui est redevable envers l'auditeur ou envers l'auditeur,

00:05:39est-ce qu'il faut censurer ou est-ce qu'il ne faut pas censurer, ça c'est un grand débat, il y a une loi

00:05:44et qui l'a, M. Jésus pour poursuivre, mais le dégât est déjà fait dans l'opinion publique aujourd'hui,

00:05:51l'opinion publique quand ils écoutent Moustasli et dans plusieurs débats, le doute est là,

00:05:59l'inquiétude dans le public est là, on va voir comment on peut se dire ça. Allez, Bidjaimadou, nous ne pouvons pas dire que Moustasli,

00:06:10la la absolue autorité symbolique, enfin le leasa confinement de Dioulard, définitivement défi

00:06:14et pour en influence la la loi, comme elle

00:06:23Elon Yuma. Mais moi, pas chier du tout, c'est ce qui fait arriver. De tout peut

00:06:30suivre des mouvement de technologie, nous pouvons suivre que tout ça fait pour

00:06:37c'est pas la guerre.

00:06:43qui m'attends. Winning

00:06:45qui m'attends. Winning

00:06:45qui m'attends. Winning matters. And nothing else matters.

00:06:49matters. Winning matters. And nothing else matters.

00:06:49matters. Winning matters. And nothing else matters. Sa

00:06:52matters. Winning matters. And nothing else matters. Sa

00:06:52matters. Winning matters. And nothing else matters. Sa Jimun

00:06:55Jimun Jimun Jimun Jimun Jimun Jimun Jimun Jimun Jimun Jimun

00:06:55Jimun Jimun Jimun Jimun Jimun Jimun Jimun Jimun Jimun Jimun Jimun

00:06:56Donc, tout ce débat qu'il y a là,

00:06:59Donc, tout ce débat qu'il y a là,

00:06:59Donc, tout ce débat qu'il y a là, tout ça, c'est

00:07:03tout ça, c'est

00:07:03tout ça, c'est only winning that matters.

00:07:06Donc,

00:07:09Oh, tout ça va en fake news,

00:07:11Oh, tout ça va en fake news,

00:07:11Oh, tout ça va en fake news, tout ce qui est passé dans

00:07:12tout ce qui est passé dans

00:07:12tout ce qui est passé dans social media, tout ça là, c'est

00:07:16social media, tout ça là, c'est

00:07:16social media, tout ça là, c'est moi qui ai entendu.

00:07:18moi qui ai entendu.

00:07:18moi qui ai entendu. Moi le suivi et moi pas surpris

00:07:21Moi le suivi et moi pas surpris

00:07:22existe

00:07:25dans le grand public et il peut

00:07:27dans le grand public et il peut

00:07:27dans le grand public et il peut servir comme un homme. Et

00:07:29servir comme un homme. Et

00:07:29servir comme un homme. Et ça, c'est un homme-là, il affecte

00:07:32ça, c'est un homme-là, il affecte

00:07:32ça, c'est un homme-là, il affecte l'État-Mason qui peut

00:07:34l'État-Mason qui peut

00:07:34l'État-Mason qui peut gérer cette campagne-là. Tout parti

00:07:37gérer cette campagne-là. Tout parti

00:07:37gérer cette campagne-là. Tout parti politique, au niveau des

00:07:39politique, au niveau des

00:07:39politique, au niveau des circonscriptions, au niveau des

00:07:41circonscriptions, au niveau des

00:07:41circonscriptions, au niveau des mains parties, ça ben là, tout

00:07:52Mais finit sa vie. Parce que

00:07:55Mais finit sa vie. Parce que

00:07:55Mais finit sa vie. Parce que c'est ce que je dis, c'est

00:07:57c'est ce que je dis, c'est

00:07:57c'est ce que je dis, c'est super sonique. Oui. Plus vite que la

00:07:59super sonique. Oui. Plus vite que la

00:08:00super sonique. Oui. Plus vite que la lumière, plus vite que le

00:08:01lumière, plus vite que le

00:08:02lumière, plus vite que le saut et c'est super sonique et c'est

00:08:04saut et c'est super sonique et c'est

00:08:04saut et c'est super sonique et c'est un homme

00:08:06un homme

00:08:06un homme à double tranchant. Il est capable de servir euh

00:08:09à double tranchant. Il est capable de servir euh

00:08:10et il est capable des mains, il

00:08:13et il est capable des mains, il

00:08:13et il est capable des mains, il fait des faits, il est capable

00:08:15fait des faits, il est capable

00:08:15fait des faits, il est capable d'étruire aussi

00:08:18d'étruire aussi

00:08:18d'étruire aussi qui s'est vécu aujourd'hui. Il dit

00:08:21qui s'est vécu aujourd'hui. Il dit

00:08:21qui s'est vécu aujourd'hui. Il dit il est incontrôlable.

00:08:26Il est incontrôlable.

00:08:26Il est incontrôlable. Non, c'est un aspect de ce problème

00:08:29Non, c'est un aspect de ce problème

00:08:29Non, c'est un aspect de ce problème qui ne peut faire face

00:08:31qui ne peut faire face

00:08:31Le doute est d'accord que c'est un phénomène

00:08:33Le doute est d'accord que c'est un phénomène

00:08:33Le doute est d'accord que c'est un phénomène technologiquement impossible, réalisable et

00:08:36technologiquement impossible, réalisable et

00:08:36technologiquement impossible, réalisable et finale. Le plus

00:08:38finale. Le plus

00:08:38finale. Le plus grand débat maintenant, au sein de ça,

00:08:41grand débat maintenant, au sein de ça, au sein de ça,

00:08:41grand débat maintenant, au sein de ça, le même problème, c'est

00:08:42le même problème, c'est

00:08:42le même problème, c'est comme c'est l'érosion de la présence

00:08:45comme c'est l'érosion de la présence

00:08:45comme c'est l'érosion de la présence de la presse

00:08:47de la presse

00:08:47sur lequel le public, l'électorat, jamais

00:08:50sur lequel le public, l'électorat, jamais

00:08:50sur lequel le public, l'électorat, jamais t'as un doute pour croire parce

00:08:52t'as un doute pour croire parce

00:08:52t'as un doute pour croire parce qu'il y a 95% tout ce qui s'écrit

00:08:54qu'il y a 95% tout ce qui s'écrit

00:08:54qu'il y a 95% tout ce qui s'écrit dans la gazette, tu peux croire.

00:08:56dans la gazette, tu peux croire.

00:08:56dans la gazette, tu peux croire. Moi, donne un exemple, mon

00:08:58Moi, donne un exemple, mon

00:08:58Moi, donne un exemple, mon camarade, excuse-moi, mon

00:09:00camarade, excuse-moi, mon

00:09:00camarade, excuse-moi, mon service

00:09:02longtemps

00:09:04longtemps

00:09:18plus fondé

00:09:19plus fondé

00:09:19plus fondé qu'il nous peut causer. Techniquement, alright.

00:09:21qu'il nous peut causer. Techniquement, alright.

00:09:21qu'il nous peut causer. Techniquement, alright. Pour une élection, gagner, pas gagner.

00:09:23Pour une élection, gagner, pas gagner. Mais la presse, comme une

00:09:25Mais la presse, comme une

00:09:25Mais la presse, comme une entité, comme un élément de

00:09:27entité, comme un élément de

00:09:27entité, comme un élément de stabilité sociologique

00:09:29stabilité sociologique

00:09:29stabilité sociologique que tu peux amener, mais

00:09:31que tu peux amener, mais

00:09:32que tu peux amener, mais moi, tout ça, ça

00:09:34moi, tout ça, ça

00:09:34moi, tout ça, ça roule là, une effritée, effacée

00:09:36roule là, une effritée, effacée

00:09:47de l'utilisation des outils

00:09:49de l'utilisation des outils

00:09:49de l'utilisation des outils numériques. Les outils sont

00:09:51numériques. Les outils sont

00:09:51numériques. Les outils sont là, bon, maintenant, atomique,

00:09:53là, bon, maintenant, atomique,

00:09:53là, bon, maintenant, atomique, vous faites l'énergie, bon,

00:09:55vous faites l'énergie, bon,

00:09:55vous faites l'énergie, bon, soyez

00:09:56soyez

00:09:56soyez dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon,

00:09:56dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon,

00:09:56dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon,

00:09:56dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon,

00:10:04dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon,

00:10:04dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon,

00:10:12dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon,

00:10:12dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon,

00:10:13dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon,

00:10:13dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon,

00:10:13dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon,

00:10:13dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon,

00:10:14dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon

00:10:44dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon

00:11:14dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon

00:11:44dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon, dimon

00:12:14dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon

00:12:44dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dim

00:13:14dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dim

00:13:44dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dim

00:14:14dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon

00:14:44dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dim

00:15:14Dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dimon dim

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00:32:12Sans doute qu'ils diront, Guernard, mon thé, mon temps.

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00:33:58Le meilleur goût vert, herbes et goûts, donne un goût qui est deux fois plus agréable.

00:34:04La détoxification est maintenant faite facilement.

00:34:06Choisissez l'application et dépêchez-vous.

00:34:08Sans doute qu'ils diront, Guernard.

00:34:28Oui, c'est-à-dire, par exemple, le choix des bonnes personnes qui pour dirigent nos bonnes institutions, sensibles ou autres,

00:34:36deviennent critiques dans ce qui nous peut gagner comme résultat au niveau de la gouvernance ou bien au niveau de la gestion de nos pays.

00:34:43Mais en mon cas, quand on peut dire comme ça, il y a une solution simple et une solution compliquée.

00:34:48Mais à qui la responsabilité de s'assurer que nous avons ce choix-là déjà et nous faisons le bon choix?

00:34:56Est-ce que le public, le citoyen lambda, à mon avis, il y en a deux choix.

00:35:04Le premier choix, ça concerne lui, dans l'utilisation de l'outil informatique.

00:35:12Si lui, qu'on ne servit l'outil informatique pour le besoin pour lequel tu crées, pour communiquer, pour s'informer, pour s'éduquer,

00:35:21ça, nous ne pouvons avoir aucun gros problème pour gagner des rapaces autour.

00:35:26Mais si nous trouvons une utilisation d'une façon sans comprendre, sans qu'il faut éduquer, sans qu'on n'a pas hôté de ce qu'on peut faire,

00:35:37là, nous pouvons avoir beaucoup de problèmes dans l'avenir.

00:35:40Ça, c'est le problème, le premier problème qui est réglable très facilement par une conduite, par une auto-éducation de notre public

00:35:48dans l'utilisation de l'outil informatique qui provient de plus en plus sophistiqués encore et qui sont riches par le plus loin qu'il y a pour le moment.

00:35:57Tout développement peut monter dans ce sens-là.

00:35:59Maintenant, le public a un deuxième choix.

00:36:02Ça pourrait venir à ce qu'il vient d'en dire.

00:36:04C'est lui qui choisit le véhicule qui éventuellement choisit les hommes.

00:36:11C'est lui qui sait quand il va voter.

00:36:14Est-ce qu'il n'a pas des couleurs, des symboles, des tam-tams, des pavillons avec des flammes, ou bien un petit moment pour y réfléchir.

00:36:23J'ai envie d'un pays mieux gouverné.

00:36:26J'ai envie, comme Bernard dit, d'une personne qui est à la tête de mon institution, d'une institution qui dirige mon pays bien.

00:36:34Là, je me demande, est-ce que le profil proposé par une chaire à moi de faire un choix,

00:36:42est-ce qu'elle me laisse sa proposition du tiers, qui sont les partis politiques,

00:36:47influence-moi à 100% ?

00:36:49Ou bien, j'ai l'école, l'éducation m'a payé 1 milliard pour éduquer moi.

00:36:53Est-ce qu'elle me fait service à l'éducation là ?

00:36:56Ou moi, je vais dire, sa proposition qui m'a été faite par une chaire, je ne vais pas accepter sa proposition.

00:37:02Moi, j'ai la tête, c'est X, Y, Z, et moi, j'ai mes propres raisons.

00:37:07D'abord, si je veux une personne d'une certaine position,

00:37:11je veux qu'elle ait un bagage intellectuel, académique, qui est nécessaire dans ce monde moderne.

00:37:17Je suis bien content d'avoir une personne qui n'est pas tout le temps capable,

00:37:21mais qui est bien capable, effectivement capable.

00:37:24Quand on met sa position, c'est capable de délivrer, et c'est capable de dire non

00:37:28à des gens qui peuvent lui donner leur place,

00:37:32bien arrivé, amener sa culture là dans les gens.

00:37:35Nous, on dit, je ne suis pas capable de faire ça.

00:37:37Si je ne suis pas capable, je ne sais pas quoi faire.

00:37:39Il y a beaucoup d'affaires qu'il faut faire, ça fait pitié à faire, pas ce qu'il faut faire.

00:37:42Donc, c'est deux choix qui sont là pour le public,

00:37:45un pour lui-même, pour les prothèses,

00:37:47un pour les prothèses du pays, parce qu'il faut des choix collectifs

00:37:51qui, je crois qu'ils ont posé la question,

00:37:54pas les slogans, pas l'espoir d'avion, pas l'espoir d'ouvrir.

00:37:58Moi, je le dis à ce pays, nous choisir des gens qui nous nous baisons,

00:38:03parce qu'il y a un tiers qui est dedans ou l'autre,

00:38:06il y a pas beaucoup d'entre eux, pourquoi?

00:38:10Si il n'y en a pas, malheureusement, peut-être dans une prochaine élection,

00:38:14nous prenons le choix, mais nous ne sommes pas capables,

00:38:16laissons-nous continuer dans cette traine,

00:38:18laissons les gens imposer leurs choix,

00:38:21éventuellement, c'est nous qui faisons le pot au roi, le pot cassé.

00:38:24Soit la taxe est montée, soit il y a des choses qui ne sont pas bien faites dans notre pays.

00:38:28Allez, voilà.

00:38:29Bon, suite à sa fameuse moustache qui est l'influence,

00:38:33qui s'affine dans la campagne,

00:38:35il y a quelques appels, donc nous prenons deux dans l'émission,

00:38:40des gens qui peuvent s'entendre,

00:38:43qui se posent la question, est-ce qu'il n'y a pas besoin de renvoyer l'élection,

00:38:47qui n'est pas disposé comme question,

00:38:49il y a un peu plus loin,

00:38:51laissons-nous écouter d'abord Maitre Ajay Debi,

00:38:55qui vient d'intervenir dans l'émission Zoom Extra la semaine dernière,

00:39:00est-ce qu'il a réussi à faire ce déclaration, s'il vous plaît?

00:39:03Pour la première fois,

00:39:06on trouve une preuve d'une invasion de nos espaces,

00:39:13par une organisation qui peut s'influencer dans l'élection,

00:39:20de part et d'autre,

00:39:22à l'avantage de quelqu'un ou au désavantage de quelqu'un,

00:39:27pour qu'ils ne nourrissent un moyen

00:39:30à part le fait qu'ils perdent taf au reflamme,

00:39:33qu'ils ne comprennent pas du tout le contexte dans lequel cette élection peut se faire,

00:39:38alors qu'il y a un problème de fond très grave

00:39:42au cœur de notre pays.

00:39:44Cette élection-là peut se faire,

00:39:46pas simplement avec des ramifications locales,

00:39:50il y a des ramifications internationales,

00:39:53il y a une grande absence dans cette élection-là,

00:39:55et c'est celui qui en change la tenue de ces élections.

00:40:00Qui fait aussi une grande absence?

00:40:02Finalement, justement,

00:40:04la publication, l'audio,

00:40:07qui est en désaccord avec Xavier Duval,

00:40:11qui n'est pas simplement la vie privée,

00:40:14la promiscuité rampante parmi la classe politique,

00:40:17mais qui concerne le fonctionnement de l'État au sommet.

00:40:22C'est le vrai, bien sûr, il y en a à répondre,

00:40:25mais c'est le faux, le très grave.

00:40:28Mais qu'est-ce qu'il y a pour établir ça?

00:40:30Qu'est-ce qu'il y a pour contrôler qu'il y a une élection

00:40:32qui peut se faire sous son responsabilité,

00:40:34pas envahie par un facteur externe?

00:40:38On peut dire, donc, le grand absent,

00:40:40on peut dire, c'est le commissaire électoral,

00:40:43il y a Van Raman, parce qu'il est en convalescence.

00:40:46Bon, il peut suivre des lois, c'est qu'il va le comprendre,

00:40:48mais de toute façon...

00:40:49Non, ce n'est pas un prétexte à convalescence.

00:40:51Allez, mais...

00:40:52Au niveau constitutionnel,

00:40:53on n'est pas capable d'arrêter cette élection-là.

00:40:55Le ministère de l'Intérieur, il dit,

00:40:57il n'a pas connu qu'il y en a qui ont fait ça,

00:40:59il peut faire l'enquête.

00:41:00On peut avoir un candidat,

00:41:02sa coupure va au labo,

00:41:03il se trouve qu'il y en a quatre adversaires,

00:41:05donc, le public mauricien, ça veut dire la vérité.

00:41:08Il y a des commissaires de personnes,

00:41:09ils viennent accuser aussi.

00:41:10Il n'est pas drôle qu'il y en ait qui ont fait ça.

00:41:13Il peut dire qu'il n'est pas drôle

00:41:15que si quelqu'un l'a emmerdé,

00:41:16il a fait la même chose.

00:41:18Donc, il est dans l'intérêt de tout le monde

00:41:20et dans l'intérêt du citoyen

00:41:22que cette élection-là ne soit pas faite dans ce contexte-là,

00:41:25tant que cette affaire-là n'a pas été réglée.

00:41:27Le monde ne peut pas dire qu'il n'y a pas de pouvoir,

00:41:29quand il n'y a pas de pouvoir,

00:41:30il faut qu'on l'invente,

00:41:31où il y a la discrétion,

00:41:33où il n'y a pas de pouvoir

00:41:34pour décider de la date d'élection

00:41:36en tant que parlementaire du zone.

00:41:37Où le président républicain n'a pas fait rien,

00:41:39il n'a pas convoqué l'électoral-commissionnaire,

00:41:41il n'a pas convoqué le ministre de l'Intérieur.

00:41:43Allez, Adja, débile bien,

00:41:45fausse foule.

00:41:46Laisse-nous écouter José-Moi,

00:41:48après, on va voir les autres réagir.

00:41:49José-Moi aussi, il est sur le plateau,

00:41:51donc, il finit par ça.

00:41:54Nous bannons Airwaves

00:41:57et l'IP manipule les élections générales.

00:42:00Dans un contexte pareil,

00:42:02il y a un troisième parti

00:42:04qui manipule l'opinion publique

00:42:07à la veille,

00:42:0818 jours de l'élection générale,

00:42:11qui manipule l'opinion publique,

00:42:13d'un côté.

00:42:14De l'autre côté,

00:42:15il y a l'institution prévue par la Constitution,

00:42:17l'électoral supervisory commission,

00:42:19le président de la République

00:42:21qui uphold institutions of democracy,

00:42:24où il n'y a pas tant d'eux du tout.

00:42:26Comment ils n'ont pas existé ?

00:42:28Alors là, il y a une espèce de vacuum

00:42:31qui permet de tout bannir l'ambassade étrangère

00:42:33en high alert,

00:42:34parce qu'il n'y a pas de papier marché

00:42:37et il n'y a pas de papier respecté.

00:42:38Donc, je me pose la question,

00:42:41pour le mot de la fin,

00:42:43est-ce qu'il nous faisait gouverner

00:42:45avec cette élection générale-là ?

00:42:48Ou bien, l'électoral supervisory commission

00:42:51a-t-il ça sous la Constitution prévue ?

00:42:53Parce que c'est lui qui doit conduire les élections.

00:42:56S'il y a une situation

00:42:58où il n'y a pas de free and fair elections,

00:43:00où l'électorat n'exerce pas ce droit de vote

00:43:03en âme et conscience,

00:43:05il y a l'obligation constitutionnelle

00:43:07de lui faire un rapport au Président de la République

00:43:10et de prendre une décision.

00:43:11Est-ce qu'il peut continuer avec cette élection générale-là ?

00:43:13Ou bien, il peut renvoyer cette élection générale-là

00:43:15dans les circonstances qu'il y a eu.

00:43:17Mais cela n'est pas possible,

00:43:18parce que cette partie-là

00:43:21peut agir dans l'intérêt de l'Alliance.

00:43:24C'est à cause de ça qu'ils sont venus dire

00:43:28quand nous vivons nos pouvoirs,

00:43:29quand nous vivons nos pouvoirs,

00:43:30quand nous vivons nos pouvoirs.

00:43:31Non, si je vis nos pouvoirs.

00:43:34Voilà, allez.

00:43:36Réagir, réagir avant.

00:43:38Donc, à ce qui est José Moua et

00:43:41Maitre Ajay, Maitre José Moua aussi.

00:43:43Est-ce qu'il nous arrive à cette situation-là

00:43:45quand vous allez renvoyer l'élection ?

00:43:46Moi, moi, j'ai beaucoup de respect pour Ajay.

00:43:49Qu'on dit bien.

00:43:51Je ne dis pas qu'on dit bien.

00:43:53Mais respectez votre opinion.

00:43:55Mais est-ce que je peux réaliser

00:43:56que nous étions aujourd'hui ?

00:43:58D'abord, nous avons lutté pour que l'élection ne soit pas renvoyée.

00:44:02Nous avons légiféré de cela.

00:44:05Et nous avons trouvé qu'il y a une élection municipale

00:44:08qui ne peut pas tenir la loi

00:44:09et nous continuons à la renvoyer.

00:44:11Qui est-ce qui est capable de renvoyer cette élection-là aujourd'hui ?

00:44:14Qui est-ce qui a le pouvoir ?

00:44:16C'est la personne qui fait les mots.

00:44:19C'est le gouvernement pour renvoyer.

00:44:21Est-ce que le gouvernement a le pouvoir de renvoyer

00:44:23quand nous étions là ?

00:44:25Qui peut arriver ?

00:44:27Ce pays-là pour brûler.

00:44:28Exact.

00:44:29Ce pays-là pour brûler.

00:44:31Pour avoir des violences qu'il n'est pas capable de penser.

00:44:33Il n'y a pas une seule chose que vous pouvez dire.

00:44:35Il y a un homme qui dit à Mahabharata

00:44:37quand il y a de l'eau, il y a des hommes

00:44:39qui nous soignent, nous soignons

00:44:41et après ça nous récompense.

00:44:42Il n'y a pas ça.

00:44:44Il n'y a pas ça.

00:44:45Il n'existe pas ça.

00:44:47Il y a un terrain qui peut arriver.

00:44:49Tous les jours.

00:44:51Un petit peu nous gagner nos socials médias,

00:44:53nous trouver un meeting, un congrès,

00:44:55un c'est-ce-qui-vient.

00:44:56Il y a quelqu'un qui peut causer.

00:44:57Il y a quelqu'un qui peut organiser.

00:45:00Une idée.

00:45:01Incroyable.

00:45:02Je peux dire aux francs.

00:45:04Ça dit des lignes pour renvoyer.

00:45:06Si le gouvernement pensait pour renvoyer ça,

00:45:09dis-moi.

00:45:10En théorie, nous n'avons qu'un gouvernement.

00:45:11Vous ne pensez même pas qu'il y a un gouvernement capable.

00:45:13C'est le président.

00:45:15Vous avez des avocats.

00:45:18C'est mon idée impossible.

00:45:20C'est mon idée impossible.

00:45:22Pour mettre en pratique.

00:45:24Elle peut dire élection,

00:45:26parce qu'il va favoriser un parti.

00:45:28Mais déjà au départ même,

00:45:30quand le parlement est dissout,

00:45:32il faut qu'il y ait un MBC tous les jours.

00:45:34Est-ce que le MBC va donner un traitement

00:45:36à l'opposition?

00:45:38Est-ce que l'opposition va donner un traitement

00:45:40à la MBC?

00:45:42Il faut qu'il y ait un MBC,

00:45:44parce qu'il n'y a pas de MBC.

00:45:46Il faut qu'il y ait un MBC presque tous les jours.

00:45:48Il faut qu'il y ait un traitement.

00:45:50C'est injuste.

00:45:52Ce n'est pas une conférence.

00:45:56D'ailleurs,

00:45:58quand on critique l'opposition,

00:46:00comme un parti,

00:46:06comme un parti satellite,

00:46:08je critique l'opposition,

00:46:10je le critique en live.

00:46:12Le MBC passe en live.

00:46:14C'est un sacrifice.

00:46:16Mais Boris,

00:46:18dans la campagne électorale depuis octobre,

00:46:20déjà, l'élection ministre,

00:46:22vous avez envoyé plus de dix ans.

00:46:24Vous avez envoyé l'élection générale

00:46:26C'est une idée pour moi,

00:46:28faut l'appeler.

00:46:32Est-ce qu'il y a une

00:46:35quicaine,

00:46:37ils ont dit mauvaisement,

00:46:39la question,

00:46:41dans l'émission,

00:46:43pour envoyer trois euh élections

00:46:47dans trois arrondissements pour

00:46:49le numéro trois, quatre, cinq,

00:46:50c'était une chose spéciale.

00:46:52rappel les circonstances qui

00:46:56sont là qui prend la décision

00:46:58qui sont là qui n'a pas le cas

00:47:03euh le cas oblige pour une

00:47:06élection. Est-ce qu'il a la

00:47:08loi? Vous supposez la

00:47:11législation comme il se doit

00:47:12de la législation? Oui mais

00:47:15quand on met un électoral

00:47:17supervisory commission. Si

00:47:19c'est qui peut superviser

00:47:20élections, il fait une constat

00:47:22sur le terrain qui pas capable

00:47:24de l'élection accordant à la

00:47:26représentation de l'acte et ne

00:47:28pas capable de garantir une

00:47:30élection à mon avis des

00:47:32surcompétences pour élever à la

00:47:35personne qui capable prendre la

00:47:37décision éventuelle soit le

00:47:39ministre de l'intérieur ou encore

00:47:41le ministre et le président de

00:47:43la république éventuellement

00:47:44pour passer mon cas le rite

00:47:46pour faire élection soit-ci par

00:47:48le président peut-être la

00:47:51compétence éventuelle finale

00:47:52vienne avec lui. On fait comme

00:47:54ça sous réserve mémorée. Mais

00:47:56vous avez vu une petite

00:47:58parenthèse. Oui. Nouvelle

00:47:59élection dans le vif du sujet.

00:48:01Est-ce que vous trouvez ça

00:48:02faire? Vous mettez cent-cinquante

00:48:04candidats dans une dans une

00:48:07séquence enfin moins de mémoire

00:48:09d'expérience. Cent-cinquante

00:48:12candidats vienne poser dans

00:48:14l'élection et ça veut dire de

00:48:16vote qui pour créer une marée

00:48:18confusion le temps de vote

00:48:20recto version de l'élection

00:48:22jamais montre ça est-ce qu'il

00:48:24est est-ce qu'il vous appelle

00:48:25ça une chose démocratique un

00:48:27esprit démocratique voilà une

00:48:29élection dans cette construction

00:48:30niveau cinq on va se rigoler

00:48:32moi moi personnellement en tant

00:48:33qu'un journaliste indépendant

00:48:35de la

00:48:39réaction pour rapport à à à à

00:48:42la proposition comme on écoute

00:48:44mon confrère ben je donne nos

00:48:47réseaux autour de ce plateau

00:48:51qui nous viennent dans une

00:48:52situation qui vient prendre

00:48:56décision je vais prendre la

00:48:58décision qui fait ça dit mon

00:48:59n'a pas eu prendre décision et

00:49:01hiérarchiquement j'étais là-haut

00:49:03mais j'ai pas tant de directives

00:49:05qui sont ici en bas pour

00:49:07agir parce que nous prenons

00:49:10choisir les personnes qui

00:49:12hénaissent à l'intégrité

00:49:14compétences intellectuelles pour

00:49:16capables j'ai une situation

00:49:18objectivement et prend la

00:49:20solution qui vise et comme on

00:49:23nous dit à tout à l'heure cette

00:49:25élection là les viens de nous

00:49:26l'occasion qui nous capable

00:49:28de choisir les gens les

00:49:30compétences voulues pour capable

00:49:32j'ai un pays bien résultat un

00:49:34dysfonctionnement un résultat de

00:49:36miss governance que nous peut

00:49:38constater c'est-à-dire qu'on peut

00:49:40poser la question par exemple

00:49:42la question qui s'en a quand

00:49:44arrive ça donc quelque part il

00:49:46y a des gens qui ont la

00:49:47compétence peut-être lui il ne

00:49:49croit pas mais quelque part

00:49:50faire connaître la population

00:49:52qui les conditions sont pas

00:49:54réunies qu'on peut poser des

00:49:55questions puis il y a la

00:49:56réponse qui sorti quelque part

00:49:58et puis l'autre chose qu'il peut

00:50:00dire maintenant quand est-ce

00:50:02que c'est parce qu'il n'y a pas

00:50:04d'élections ça teste

00:50:06qu'il n'y a pas d'élections

00:50:08qu'est-ce qu'il fait ça

00:50:10éventuellement il y a un critère

00:50:12qui est sous la loi qui présente

00:50:14qu'un juge peut étudier

00:50:16il n'y a pas de constat

00:50:18qu'il n'y a pas d'élections

00:50:20c'est-à-dire le problème de

00:50:22150 10 millions d'habitants

00:50:24mais nous la loi

00:50:26permet 1500

00:50:28c'est dans toute la démocratie

00:50:30ça aussi

00:50:32comment on fait aux questions

00:50:34il y a des gens qui sont corrects

00:50:36pour ne pas être condamnés

00:50:38on ne peut pas poser un candidat

00:50:40nos systèmes démocratiques peut-être

00:50:42une ultradémocratie

00:50:44il permet de poser 1500

00:50:46il y a des gens qui gèrent l'élection

00:50:48c'est-à-dire de voir comment gère

00:50:50le polling, le scrutin quand il y a

00:50:52autant de personnes qui sortent

00:50:54c'est bien pour autant qu'il y a autant de choses

00:50:56dans certains cas

00:50:58peut-être que les gens considèrent

00:51:00ne pas faire l'élection

00:51:02dans certains cas

00:51:04mais dans quel cas ?

00:51:06personne ne peut dire exactement

00:51:08si je dis ça, problème de l'X

00:51:10mais nous on revient à cette élection

00:51:12on revient à l'élection

00:51:14on revient à l'X

00:51:16ça veut dire qu'il y a un cercle vicieux

00:51:18il n'y a pas de cercle vicieux

00:51:20parce que le contexte

00:51:22le logic actuel

00:51:24le riche

00:51:26le monde peut faire ça

00:51:28moi on finit là

00:51:30donc à ce moment-là

00:51:32la solution c'est pas ça

00:51:34la solution revient au public

00:51:36aux électeurs

00:51:38c'est à eux de faire ce choix

00:51:40qui garantit pour lui-même

00:51:42que ce pays est bien géré

00:51:44c'est-à-dire quels critères de choix

00:51:46c'est à lui de voir

00:51:48t'as une élection

00:51:50j'ai juste mon rappel

00:51:52j'ai une élection en 87

00:51:54et j'ai juste la veille d'élection

00:51:56j'ai juste la veille d'élection

00:51:58Bérengé m'a quand j'ai présenté

00:52:00comme premier ministre

00:52:0287

00:52:04MBC passait une film

00:52:06dans l'esclavage

00:52:08Conta Quinte

00:52:10il montrait comment un blanc

00:52:12il fait dominer avec un noir

00:52:14juste la veille d'élection

00:52:16il y a un effet psychologique

00:52:18il fait dominer

00:52:20avec un noir, avec un esclave

00:52:22un film planté

00:52:24est-ce qu'il était friais et fier à cette époque-là

00:52:26on va connaitre

00:52:28mais renvoyer l'élection pour ça non

00:52:30quand on renvoie l'élection pour force majeure

00:52:32c'est un cyclone

00:52:34qui a un tremblement des terres

00:52:36par exemple

00:52:38il y a un manémat

00:52:40quand on renvoie l'élection

00:52:42il y a moins de temps à renvoyer l'élection à cause des réseaux sociaux

00:52:44parce que je me rappelle

00:52:46tu fais critique de la presse

00:52:48c'est-à-dire la presse écrite

00:52:50tu influences les élections

00:52:52et puis à un moment

00:52:54tu fais une MBC

00:52:56et puis là dernièrement

00:52:58Facebook et là TikTok

00:53:00et là on voyait à cause de Moustache

00:53:02Moustache paye 30

00:53:04quand on était enfants

00:53:06on connait

00:53:08à l'époque

00:53:10t'as un groupe

00:53:12t'as le Mauritien

00:53:15CNA

00:53:17donc ça a qualité

00:53:19de positionnement électoral

00:53:21tout le temps

00:53:23aujourd'hui c'est un peu moins de la même

00:53:25cette technique est là pour m'entraîner un peu mieux

00:53:27mais finalement

00:53:29résultat vient quand

00:53:31les gens votent.

00:53:33Moi je veux vous dire dans un contexte

00:53:35qu'il n'est pas besoin d'oublier l'histoire

00:53:37il n'est pas besoin d'oublier l'histoire

00:53:39la lutte qui finit là

00:53:41pour qu'on a une suffrage universelle

00:53:43c'est une phrase qui me fait une passe-partie

00:53:45à l'étape là vous y trouvez

00:53:47et suffrage universelle

00:53:49c'est la clé

00:53:51que le peuple vient de gagner

00:53:53il y a beaucoup de lutte

00:53:55comme en ce moment tu dis il faut que t'es possédé pour te voter

00:53:57il faut que t'es lié pour te voter

00:53:59tout a été quelque chose qui est donné

00:54:01mais toute cette étape constitutionnelle

00:54:03est traversée par une suffrage universelle

00:54:05et moi j'ai

00:54:07un basic respect for the common man

00:54:09je ne crois pas

00:54:11je crois que le common man

00:54:13n'est pas convoité

00:54:15moi je sincèrement crois

00:54:17qu'il est convoité

00:54:19seulement il est influencé

00:54:21il n'y a plus grande cause de la presse traditionnelle

00:54:23je vous fais une référence

00:54:25c'est le seul

00:54:27pays au monde

00:54:29de 44% de la population qui vote contre l'indépendance

00:54:31dans ce pays là

00:54:33mais seulement

00:54:35nous aussi

00:54:37nous saluons

00:54:39la presse traditionnelle

00:54:41qui nous a fait réconcilier

00:54:43et aujourd'hui nous sommes une nation

00:54:45ça vous êtes salués

00:54:47mais est-ce que vous pensez

00:54:49que la presse nous fait causer

00:54:51la presse traditionnelle

00:54:53bien éclairée

00:54:55qui positionne l'entité

00:54:57mais aujourd'hui bien sur

00:54:59la situation est différente

00:55:01actuellement

00:55:03nous avons une responsabilité

00:55:05la presse traditionnelle

00:55:07qui nous apprend dans son ensemble

00:55:09pour la diversion

00:55:11pour tout un quelque chose

00:55:13cause de la presse

00:55:15moi je veux vivre et je veux apprendre

00:55:17sur un monde qui s'appelle

00:55:19docteur Philippe Fosé

00:55:21pas capable d'un monde plus droit

00:55:23qui fait créer

00:55:25une valeur

00:55:27indépendant

00:55:29ça je ne peux pas trouver

00:55:31encore une deuxième

00:55:33peut-être Ramlala

00:55:35mais les autres là

00:55:37bien sûr

00:55:39beaucoup de collègues

00:55:41des collègues

00:55:43mais

00:55:45c'est qu'il Fosé

00:55:47ça

00:55:49bien montré

00:55:51c'est même sur la presse

00:55:53et je te connais

00:55:55pour l'indépendance

00:55:57pour l'indépendance

00:55:59pour l'indépendance

00:56:01et

00:56:03l'express

00:56:05tu as des frères de côté

00:56:07ouais

00:56:09ça

00:56:11il n'y a pas besoin

00:56:13d'y aller

00:56:15moi bien quoi

00:56:17que ça question

00:56:19pour renvoyer une élection

00:56:21c'est une question

00:56:23pensez même ça

00:56:25la dernière question

00:56:27nous sommes prêts pour terminer

00:56:29comment les faire la presse traditionnelle

00:56:32la presse écrite

00:56:34même les radios ultra réglementées

00:56:36mais qui se fait

00:56:38comment

00:56:40dans la situation

00:56:42sur les réseaux sociaux

00:56:44une défaillante

00:56:46de campagne sur les réseaux sociaux

00:56:48la presse qu'il y a à faire

00:56:50traditionnelle

00:56:52je veux dire

00:56:54les lecteurs

00:56:56il n'est pas haut de l'information

00:56:58il est récipientel

00:57:00de cette information

00:57:02donc c'est un correctif à apporter

00:57:04dans un déficit quelque part

00:57:06dans la qualité de l'information

00:57:08mais ça le rôle vient aux journalistes

00:57:10c'est de constater sur le terrain que

00:57:12il y a une nouvelle dose d'un côté X

00:57:14il y a une nouvelle dose

00:57:16vis à l'expression d'un côté Y

00:57:18mais si le journaliste a envie de jouer ce rôle

00:57:20c'est lui qui va amener l'équilibre

00:57:22dans la qualité de l'information

00:57:24d'ailleurs c'est notre réalisme

00:57:26notre rôle comme ça

00:57:28la façon de présenter

00:57:30l'information

00:57:32c'est la façon

00:57:34pour que l'on comprenne

00:57:36mais la façon

00:57:38de présenter

00:57:40c'est la façon pour que l'on comprenne

00:57:42comme je vous ai dit tout à l'heure

00:57:44qui a écrit Rouleur d'indépendance ?

00:57:46il y a un gros

00:57:48événement historique

00:57:50qui s'est déroulé en 1967

00:57:52il y a une partie

00:57:54d'un groupe

00:57:56d'un groupe

00:57:58avec leur propre intérêt

00:58:00économique et autre

00:58:02un gros intérêt économique

00:58:04un intérêt existentiel

00:58:06culturel propre

00:58:08dans ce contexte

00:58:10ils ont besoin

00:58:12pour eux

00:58:14le rôle du journaliste

00:58:16c'est la même là

00:58:18à l'époque les journalistes étaient aussi politiciens

00:58:20est-ce que tu peux écrire ?

00:58:22oui mais il y avait

00:58:24quand on écrit éditorial

00:58:26tu peux écrire et donner un choix

00:58:28et éclairer

00:58:30mais aujourd'hui

00:58:32il y a des nouveautés techniques

00:58:34il y a des gens qui ont écrit des étangs

00:58:363 étangs, 4 étangs

00:58:38mais il n'y a aucune commission d'éducation

00:58:40pour les lecteurs éventuels

00:58:42il n'y a que pour l'information à gauche

00:58:44et l'information à droite

00:58:46c'est pas le travail du journaliste

00:58:48le journaliste

00:58:50il a autant

00:58:52le travail c'est éclairer

00:58:54son lectorat

00:58:56pour éclairer son lectorat

00:58:58il vient présenter toutes les informations

00:59:00qu'il y a dans le contexte

00:59:02l'émission est presque terminée

00:59:04le mot de la fin

00:59:06c'est que la presse libre doit continuer

00:59:08la presse écrite et la presse parolée

00:59:10ils ont continué à faire ce travail

00:59:12et pour autant

00:59:14pour la démocratie

00:59:16moi je compte la censure

00:59:18je compte la censure

00:59:20il y a des irresponsables

00:59:22il y a des limites

00:59:24il y a des affaires qui touchent tous les bourgichiens

00:59:26nous avons le droit de connaître la vérité

00:59:28nous avons le droit de connaître

00:59:30comment un pays peut fonctionner

00:59:32comment il fonctionne

00:59:34qui peut nous donner la clé

00:59:36pour qu'il y ait une clé à nous

00:59:38plus

00:59:40et le droit à l'information

00:59:42il y a des affaires importantes

00:59:44le droit à l'information

00:59:46pas le droit à la propagande

00:59:49il y a des choses

00:59:51il me rappelle que la dernière édition

00:59:53au magazine

00:59:55une spéciale élection

00:59:57merci beaucoup

00:59:59merci

01:00:01pour cette édition spéciale

01:00:03bonne soirée

01:00:05nous allons être à un autre point

01:00:07une autre émission dans quelques minutes

01:00:09bonsoir

01:00:18ouh

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