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Des associations antillaises, kanaks et des élus ultramarins sont partis de Denfert-Rochereau pour rejoindre le ministère des Outre-mer.

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Transcription
00:00On est écoutés mais on n'est pas compris.
00:26Pourquoi ?
00:27Il est important pour nous de délocaliser le combat, de l'amener ici aux portes et
00:31aux pieds de ceux qui décident pour qu'enfin ils puissent nous entendre, nous écouter
00:35mais nous comprendre avec sagesse.
00:57Concrètement, c'est que les prix de la Martinique, de la Guadeloupe, de la Guyane, de la Réunion
01:04soient alignés au prix de la France hexagonale, ce qui est tout à fait normal.
01:07Ce qu'on demande c'est que le tout alimentaire soit intégré, pas une partie comme si on
01:11demande des miettes.
01:12Ils nous ont dit que la France est une et indivisible, qu'on a le droit de circuler
01:15tout et tout.
01:16Pour se nourrir ça devrait être pareil.
01:27C'est ce qu'on demande, c'est ce qu'on demande, c'est ce qu'on demande, c'est ce qu'on
01:34demande, c'est ce qu'on demande, c'est ce qu'on demande, c'est ce qu'on demande, c'est
01:39ce qu'on demande, c'est ce qu'on demande, c'est ce qu'on demande, c'est ce qu'on demande,
01:42c'est ce qu'on demande, c'est ce qu'on demande, c'est ce qu'on demande, c'est ce qu'on demande,
01:45c'est ce qu'on demande, c'est ce qu'on demande, c'est ce qu'on demande, c'est ce qu'on demande,
01:48c'est ce qu'on demande, c'est ce qu'on demande, c'est ce qu'on demande, c'est ce qu'on demande,

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