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Le journaliste sportif Stéphane Bitton revient sur les messages politiques dans les stades : «J’ai toujours été choqué que lors d’un match PSG-Marseille, on voit tous les drapeaux de différentes nationalités. Ils n’ont pas leur place ces soirs-là dans les stades. C’était un des derniers fiefs où on pouvait encore communier ensemble.»

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Transcription
00:00Bon, un dernier mot avec vous Stéphane Piton. Vraiment en guise de conclusion, on sait qu'il y a un PSG Toulouse au Parc.
00:07Est-ce qu'il peut y avoir un risque qui pèse sur ce match ?
00:11Evidemment, d'ailleurs on se rappelle que très récemment le Free Palestine de 40 mètres sur 30 était au Parc des Princes.
00:21Alors j'imagine que les dirigeants du Paris Saint-Germain vont être un peu plus vigilants ce soir.
00:27Mais on risque effectivement de voir et de revoir ce genre de drapeau.
00:34De toute façon, je vais vous dire pour finir, et je fréquente les stades depuis plus de 60 ans,
00:39j'ai toujours été choqué que lors d'un PSG Marseille, un PSG Saint-Étienne, on voit des drapeaux de toutes les nationalités qui n'ont rien à voir.
00:48On a deux clubs qui s'affrontent et ni le drapeau israélien, ni le drapeau palestinien, ni même le drapeau argentin ou brésilien
00:55n'ont pas leur place ces soirs-là dans un stade.
00:57Les règlements sont clairs, il n'y a pas de politique dans les stades. Point final.
01:02C'était un des derniers fiefs où on pouvait encore communier ensemble.
01:06Et bien là, c'est un appel encore au partage, à la mise de côté d'une certaine partie de la population.
01:12Et une fois encore, ce sont les Juifs.

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