Dimanche soir sous une coupole déchaînée, le chanteur a revisité ses chansons et celles de son père durant deux heures d'un concert 100 % Hallyday, dirigé par la puissance du rock et de l'émotion.
Sur un écran géant de la taille de la scène, il apparaît casque de moto sur la tête, prêt à vrombir. Le générique du spectacle défile, les voix de sa mère et de son père résonnent. Dans le noir, ses six musiciens entrent en scène. Puis voilà David Hallyday, tout en noir, blouson en cuir et démarche déterminée. Assisté d'un puissant dispositif lumineux, le show, spectaculaire, s'ouvre avec Éternel, clip à l'appui, et J'ai quelque chose à vous dire, deux titres de l'auteur-compositeur joués dans un souffle très rock qui balaiera un Dôme quasi complet pendant deux heures.
"Ce soir c'est Marseille bébé !, lance-t-il taquin. Il y a deux ans, je me suis replongé dans l'univers musical familial et j'y ai retrouvé beaucoup du mien. J'ai réuni nos carrières dans un même projet que j'ai très envie de vous présenter ce soir." En mêlant son répertoire à celui de l'icône disparue en 2017, David Hallyday donne sens et son à l'idée de transmission.
Talents de multi-instrumentiste
Requiem pour un fou, du nom de son dernier album et de la tournée de sa vie - une centaine de dates jusqu'à début 2026 - sonne davantage un récit familial, une façon de se raconter, qu'un hommage. Il ponctuera d'ailleurs le concert d'anecdotes. Après une version dépotante de L'envie, d'une voix certes moins rauque que son père mais tout aussi rock, il entonne avec émotion Quelque chose en nous de Tennessee alors que le visage de sa mère, Sylvie Vartan, puis un clip en noir et blanc avec son fils Cameron l'accompagnent sur l'écran géant.
David Hallyday ne cache pas ses talents de multi-instrumentiste. Le chanteur prend la guitare pour Derrière l'amour, qui fait monter l'ambiance d'un cran. Prend place sur une seconde batterie pour enflammer son tube Un paradis un enfer, appel au sursaut écologique. Plus tard, il s'assiéra au piano pour High, "cette chanson qui m'a permis de vous rencontrer, qui m'a ouvert la voix". Et reprendra Ooh la la en traversant la foule.
Père et fils unis grâce à l'IA
"On passe jamais assez de temps avec ceux qui ont pris soin de nous", introduit-il son titre le plus connu Tu ne m'as pas laissé le temps, que le public reprend avec ferveur, alors que défilent des images de lui et de Johnny jeunes. Puis Laura. "C'est la déclaration d'amour d'un père à sa fille, j'en ai fait aussi une déclaration d'amour d'un frère à sa sœur."
Frissons sur Diego libre dans sa tête, et lors du duo virtuel Sang pour sang, titre qu'il avait écrit en 1999 pour le Taulier. Dans une touchante mise en scène malgré le rendu approximatif produit par l'intelligence artificielle, père et fils se retrouvent unis dans la même passion brûlante de la musique. Sous un ciel étoilé, David Hallyday chante aussi Ma dernière lettre, celle qu'il a imaginée écrite par son père avant de mourir. Atmosphère da
Sur un écran géant de la taille de la scène, il apparaît casque de moto sur la tête, prêt à vrombir. Le générique du spectacle défile, les voix de sa mère et de son père résonnent. Dans le noir, ses six musiciens entrent en scène. Puis voilà David Hallyday, tout en noir, blouson en cuir et démarche déterminée. Assisté d'un puissant dispositif lumineux, le show, spectaculaire, s'ouvre avec Éternel, clip à l'appui, et J'ai quelque chose à vous dire, deux titres de l'auteur-compositeur joués dans un souffle très rock qui balaiera un Dôme quasi complet pendant deux heures.
"Ce soir c'est Marseille bébé !, lance-t-il taquin. Il y a deux ans, je me suis replongé dans l'univers musical familial et j'y ai retrouvé beaucoup du mien. J'ai réuni nos carrières dans un même projet que j'ai très envie de vous présenter ce soir." En mêlant son répertoire à celui de l'icône disparue en 2017, David Hallyday donne sens et son à l'idée de transmission.
Talents de multi-instrumentiste
Requiem pour un fou, du nom de son dernier album et de la tournée de sa vie - une centaine de dates jusqu'à début 2026 - sonne davantage un récit familial, une façon de se raconter, qu'un hommage. Il ponctuera d'ailleurs le concert d'anecdotes. Après une version dépotante de L'envie, d'une voix certes moins rauque que son père mais tout aussi rock, il entonne avec émotion Quelque chose en nous de Tennessee alors que le visage de sa mère, Sylvie Vartan, puis un clip en noir et blanc avec son fils Cameron l'accompagnent sur l'écran géant.
David Hallyday ne cache pas ses talents de multi-instrumentiste. Le chanteur prend la guitare pour Derrière l'amour, qui fait monter l'ambiance d'un cran. Prend place sur une seconde batterie pour enflammer son tube Un paradis un enfer, appel au sursaut écologique. Plus tard, il s'assiéra au piano pour High, "cette chanson qui m'a permis de vous rencontrer, qui m'a ouvert la voix". Et reprendra Ooh la la en traversant la foule.
Père et fils unis grâce à l'IA
"On passe jamais assez de temps avec ceux qui ont pris soin de nous", introduit-il son titre le plus connu Tu ne m'as pas laissé le temps, que le public reprend avec ferveur, alors que défilent des images de lui et de Johnny jeunes. Puis Laura. "C'est la déclaration d'amour d'un père à sa fille, j'en ai fait aussi une déclaration d'amour d'un frère à sa sœur."
Frissons sur Diego libre dans sa tête, et lors du duo virtuel Sang pour sang, titre qu'il avait écrit en 1999 pour le Taulier. Dans une touchante mise en scène malgré le rendu approximatif produit par l'intelligence artificielle, père et fils se retrouvent unis dans la même passion brûlante de la musique. Sous un ciel étoilé, David Hallyday chante aussi Ma dernière lettre, celle qu'il a imaginée écrite par son père avant de mourir. Atmosphère da
Category
📚
ÉducationTranscription
00:30Avec le soutien de Denix
01:00Avec le soutien de Denix