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Pendant les campagnes Napoléoniennes en Espagne, le jeune Juan d'Aranda décide de rejoindre la résistance pour lutter | dG1fOHQyUk9ON2d2STg
Transcript
00:00Caroline, chérie, un nom qui est encore sur toutes les lèvres et dans tous les cœurs.
00:08Chère Caroline, qui fit tout d'abord notre joie en noir et blanc,
00:12pour mieux nous ravir ensuite en empruntant la gamme variée des coloris du Technicolor.
00:17Mais des amours aussi turbulentes, aussi fantasques, aussi passionnées, aussi célèbres,
00:22que celles de Caroline et du général de Salange, devaient porter leurs fruits.
00:26En effet, après bien des péripéties, bien des aventures, Caroline eut un fils en Angleterre.
00:32Sacré pistolet. Je te reconnais bien là, j'étais tout pareil à 20 ans.
00:35Embrasse-moi.
00:37Tu vas lui donner du fil à retordre à ta mère.
00:39Un fils qui d'ailleurs, nous revient sans sa mère,
00:42mais pour vivre comme sa mère sur cet écran, des aventures aussi folles qu'exaltantes.
00:48Mon père, je suis honteux d'apprendre qu'un poète espagnol peut manquer à sa parole.
00:54Le fils de Caroline, chéri, où vous ne verrez pas Caroline, maintenant mariée et assagie,
00:59mais son fils, virtuose de la séduction, qui ne pouvait être personnifiée que par Jean-Claude Pascal.
01:05Viens-nous étendre bas, trouver un autre témoin. Je veux que vous me soyez rencontré dans une heure.
01:09Un fils qui, pour ne pas faire mentir le vieux dicton, tel père, tel... pardon.
01:13Tel mère, tel fils se devait de connaître l'amour dès son plus jeune âge.
01:16C'est vrai d'ailleurs. J'ai la plus mauvaise réputation, entièrement justifiée.
01:20Et cela tout bonnement parce qu'il m'arrive de faire ce dont les autres se contentent d'avoir envie.
01:25Et quels amours. Et quelles jolies filles.
01:34Tu es une folle. On dirait une femme jalouse.
01:37Va-t'en.
01:39Tu es une folle. On dirait une femme jalouse.
01:42Mais tu es ma soeur.
01:44Mais il n'est pas possible d'aimer son frère.
01:47C'est un bien trop grand péché.
01:51Mais croyez-moi, vous ne viennez pas assez qu'à la guerre.
01:55C'est encore plus amusant que les femmes.
02:06Hélo!
02:10En saucisson aussi, mon lieutenant? Ils vous ont déguisé?
02:13Jean-Claude Pascal, accampé de façon magistrale,
02:16le héros de cette histoire sensationnelle et à sensation,
02:20imaginée par Cécile Saint-Laurent et mise en scène par Jean Devers.
02:24Une production d'un faste exceptionnel, en couleur, par Technicolor.
02:29Nous éviterons ainsi à tous beaucoup d'explications.
02:31Mais enfin, qu'est-ce qu'il vous a fait, ce jeune homme?
02:33Il est tellement sympathique.
02:35J'ai l'honneur de vous demander réparation par les armes de votre insolence à mon égard.
02:40Si j'avais le droit de te dire la vérité.
02:42Je suis déjà un petit peu plus grande que la dernière fois, tu sais.
02:45Je ne l'ai plus maîtresse.
02:49Même si vous me faites mal, ne criez pas.
02:52Mais c'est mon pistolet.
02:54Vous ne finirez donc jamais d'en entendre parler de ce bougre-là.
02:56Non, non, nous serons tous déshonorés. Ce sera sûrement merveilleux pour vous.
03:02Non, non, nous serons tous déshonorés. Ce sera sûrement merveilleux pour vous.
03:05Réfléchissez, je vais prendre un sorbet au buffet.
03:07Vous vous foutez, madame la Duchesse.
03:09Quand un soldat commence à se poser des questions pareilles, il est foutu.
03:12Je te laisse seule un instant pour prévenir le surveillant de ta division.
03:17Voici la soupe. La soupe comme ma mère la faisait.
03:20Non, monsieur Jean. Non, monsieur Jean.
03:23Bientôt sur cet écran, Jean-Claude Pascal, le fils de Caroline Chéry,
03:29comme sa mère, vous séduira par son charme et son audace.

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