Regardez Le journal RTL avec Céline Landreau du 05 décembre 2024.
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00:00RTL midi, le 12h, Céline Landreau et Eric Brunet.
00:09RTL midi, les auditeurs ont la parole, c'est vous qui commentez l'information, et l'information c'est Céline Landreau.
00:15Bonjour Céline.
00:16Bonjour Eric, bonjour à tous.
00:17Le menu aujourd'hui.
00:18Renversé hier, Michel Barnier est venu remettre sa démission ce matin à l'Elysée à Emmanuel Macron,
00:24le chef de l'État qui s'adressera ce soir aux Français à 20h et qui cherche déjà un nouveau locataire pour Matignon en pleine crise politique,
00:32alors qu'il a fallu deux mois, rappelez-vous, pour nommer Michel Barnier.
00:35Cette fois, le président semble vouloir aller vite.
00:38On va tout vous dire de ce qui se joue aujourd'hui dans cette édition,
00:41et on va continuer évidemment de vous expliquer les conséquences que cette crise politique peut avoir dans votre vie quotidienne.
00:47Toute la rédaction est mobilisée.
00:49Ce qui est sûr, c'est que la séquence ne vous laisse pas indifférent et vous agace même souvent.
00:53Ça commence à bien faire, quoi.
00:55Il y a des gens qui travaillent, qui payent des impôts pour payer tous ces guignols qui s'amusent avec leurs petits égos.
01:01J'ai toujours voté et la plupart du temps, à gauche, je ne voterai plus.
01:05C'est réglé.
01:06À un moment, il faut que ça s'arrête.
01:07Il faut que les gens se mettent autour de la table et bossent sérieusement pour les Français.
01:11C'est vrai que le rendu du tableau est assez pitoyable et je comprends la colère de cette auditrice.
01:17Dites, si vous vous posez des questions.
01:20Est-ce que nos impôts vont augmenter, comme certains le disent ?
01:22Est-ce que les pensions de retraite vont vraiment être versées ?
01:26Dans quelles conditions ? Indexées ou pas ?
01:28Et les prestations sociales sont-elles en danger ?
01:31Tous ces aspects-là, nous allons y répondre aujourd'hui.
01:34Donc, 30 de 10, vous posez des questions, vous laissez des messages ou vous intervenez en direct.
01:40Et nous, on est là pour répondre.
01:41Et la suite ? Demain, à gauche, certains veulent un pacte de non-censure pour assurer une certaine stabilité.
01:48On en parlera à 12h50 avec notre invité Yannick Jadot, l'écologiste trans studio.
01:53À la une également, les fonctionnaires dans la rue aujourd'hui pour mettre la pression, justement,
01:57sur le successeur de Michel Barnier et prévenir qu'ils ne sont pas prêts à être les sacrifiés du futur budget.
02:03Amnesty International qui accuse Israël, je cite, de « massacre génocidaire » dans la bande de Gaza.
02:09Et puis le bitcoin qui dit merci à Donald Trump depuis l'élection du président américain.
02:13Son cours s'envole enfin dans 20 minutes.
02:16Un peu de douceur et de musique.
02:18Paul McCartney est à Paris.
02:21Bien !
02:22La météo, c'est avec vous aujourd'hui, Peggy Brosh.
02:24Bonjour Peggy.
02:25Bonjour Céline, bonjour à tous.
02:26Est-ce qu'on ne peut pas sauter cette séquence de la météo ?
02:28Si vous voulez, je ne vous en parle pas parce que de toute façon, c'est gris et tout ce que vous n'aimez pas est plus vieux.
02:33Terrible.
02:34A tout à l'heure alors pour les détails quand même.
02:37RTL midi.
02:39Il est donc arrivé en milieu de matinée à l'Elysée pour la dernière fois en tant que Premier ministre.
02:44Au lendemain de la censure de son gouvernement, Michel Barnier est venu présenter sa démission au chef de l'État.
02:50Bonjour Thomas Despraies.
02:51Bonjour.
02:52On vous retrouve en direct de l'Elysée où le rendez-vous entre les deux hommes a duré un peu plus d'une heure.
02:56Oui absolument.
02:57Michel Barnier qui a quitté le palais de l'Elysée à 11h10 très précisément raccompagné sur le perron de l'Elysée
03:03par Emmanuel Macron au pied du sapin qui a été décoré dans la cour cette semaine.
03:07Michel Barnier qui n'aura donc pas passé Noël.
03:10Démissionnaire trois mois jour pour jour après sa nomination.
03:13Emmanuel Macron, lui, est déjà en train de lui chercher un successeur parce qu'il veut cette fois aller vite.
03:19C'est en tout cas ce que nous dit ce midi son entourage.
03:21Emmanuel Macron qui a donné rendez-vous aux Français à 20h ce soir depuis l'Elysée d'ailleurs.
03:28Il s'exprimera depuis l'Elysée.
03:29Il va dire quoi ?
03:31C'est toute la question.
03:32D'abord, a priori, il va revenir sur le vote d'hier.
03:35Une coalition des irresponsables selon les mots de ses conseillers.
03:39Une coalition entre la gauche et les extrêmes.
03:42Un front anti-républicain dit-il.
03:44Et puis peut-être pour une fois Emmanuel Macron sera rapide et qu'il annoncera dès ce soir
03:49qui c'est le nouveau nom de son premier ministre.
03:51Ça c'est pas vraiment certain quand même.
03:53Avant ça Thomas, il va consulter toute la journée à l'Elysée.
03:57Il y a pas mal de rendez-vous prévus.
03:59Absolument dans un quart d'heure.
04:00C'est Yaël Braun-Pivet la présidente de l'Assemblée qui est attendue dans son bureau.
04:04Puis le président du Sénat Gérard Larcher à 15h.
04:07Rendez-vous très institutionnel avec les deux présidents des deux chambres au Parlement.
04:12Puis il aura des rendez-vous plus politiques.
04:14Ceux-là ne sont pas à l'agenda officiel.
04:16Peut-être des premiers ministres potentiels.
04:18Une chose est sûre, on le sait, Emmanuel Macron multiplie les contacts depuis plusieurs jours déjà
04:23pour tenter de sortir au plus vite de la crise politique.
04:26Merci Thomas Dépré en direct de l'Elysée pour RT.
04:29L'Arthur Bélier, on vous retrouve à l'Assemblée nationale
04:32où l'on scrute évidemment avec beaucoup d'attention
04:36les noms des premiers ministrables comme on dit.
04:39Oui, exactement.
04:40Et je vous donne d'abord un peu l'équation que tente de résoudre Emmanuel Macron.
04:44Le président veut évidemment trouver un profil qui consolide le socle commun
04:49sur lequel reposait Michel Barnier.
04:51Garder en rang serré les macronistes, les centristes et les républicains.
04:54Mais on a bien vu hier ici à l'Assemblée que ça ne suffisait pas.
04:58Alors Emmanuel Macron cherche un profil qui ne serait pas assommé immédiatement
05:02par une promesse de censure du Rassemblement national.
05:05Ou alors pourquoi pas un profil qui permette d'élargir le socle à gauche.
05:09Le Bloc central lorgne sur les socialistes.
05:11Trois profils circulent depuis hier et un nom prend de la valeur ce midi.
05:16Selon les informations du service politique d'RTL,
05:19François Bayrou, le patron du Modem, sera reçu cet après-midi à l'Elysée.
05:24Lui qui a récemment critiqué la peine d'inigibilité requise contre la patronne du RN.
05:30Autre nom qui circule, le loyal parmi les loyals,
05:33le ministre des armées Sébastien Lecornu,
05:35qui ce matin sur RTL ne débordait pas d'enthousiasme pour le poste.
05:39C'est le président de la République qui nomme.
05:41Et puis de toute façon, à chaque remaniement, c'est à peu près...
05:44Mais vous ne dites pas non.
05:45Parce que ce n'est pas comme ça que ça fonctionne.
05:47Moi, je suis candidat à rien.
05:48J'ai fait récemment un livre, vous le savez,
05:50qui revient sur uniquement les questions militaires.
05:52Parce que justement, je considère que c'est un des grands sujets majeurs
05:56des semaines et des mois qui vont venir.
05:57Et c'est ma grande passion par ailleurs.
05:59Et c'est un secret pour personne que je me suis battu pour être ministre des armées.
06:02En tout cas, je l'ai ardemment voulu.
06:03Et le président de la République m'a fait confiance pour ce faire.
06:05Et un dernier nom qui circule depuis hier après-midi,
06:09celui de François Baroin, maire de Troyes,
06:12qui d'après son entourage pourrait être intéressé par le poste.
06:15Alors, Arthur Bélier, s'il n'y a pas, ce soir, de Premier ministre nommé,
06:20que se passe-t-il ?
06:22Eh bien, Michel Barnier et son équipe de démissionnaires
06:25vont passer en mode gestion des affaires courantes.
06:28C'est une sorte de gouvernement sans grand pouvoir.
06:31Impossible de faire voter des lois, de lancer de nouveaux projets.
06:35Mais ce gouvernement assurera l'essentiel,
06:38le strict nécessaire pour faire tourner le pays
06:40et appliquer ce qui a déjà été décidé.
06:43Rappelez-vous, Gabriel Attal et son gouvernement
06:45sont bien restés pendant quasiment deux mois cet été
06:49dans cette situation de gouvernement démissionnaire.
06:52On commence à savoir faire.
06:54Merci beaucoup, Arthur Bélier, en direct de l'Assemblée nationale pour RTL.
06:59Et on va, évidemment, scruter tout ça avec vous,
07:02tout au long de la journée, on rappelle cette édition spéciale,
07:05ce soir, 18h21, autour d'Yves Calvi, sur l'antenne d'RTL.
07:09En tout cas, la démission du gouvernement Barnier,
07:12enfin, le gouvernement Barnier censuré,
07:17tout ça n'a pas éteint la colère des agents publics
07:20qui sont nombreux à se mobiliser aujourd'hui à travers le pays.
07:24C'est le cas, par exemple, dans les rangs de l'éducation nationale
07:26avec 54% de grévistes dans les collèges et lycées.
07:29Selon le SNESFSU, le principal syndicat du secondaire,
07:32illustration de cette mobilisation à Lorient,
07:35où les manifestants, Nicolas Bobi, sont venus mettre la pression
07:38sur le prochain gouvernement.
07:406600 fonctionnaires, braves.
07:42Le crachin breton, ce n'est pas un défilé inutile
07:44pour Sébastien de la CGT de l'hôpital de Lorient.
07:47On continue la pression.
07:49On supprime encore des postes à l'hôpital sans arrêt.
07:51L'hécatombe continue, donc on a envie que ça s'arrête.
07:53Il est temps de revoir le financement pour l'hôpital public.
07:56Daniel accompagne des enfants en situation de handicap.
07:59Faut pas se leurrer, notre super président
08:02va quand même bien nous mettre encore quelqu'un de droite.
08:05Et le président doit rester ?
08:06Moi, à sa place, je partirais, j'aurais franchement trop honte.
08:09Il est tellement bien logé, il mange tellement bien,
08:11il a tellement de belles soirées qu'il va pas lâcher.
08:14Syndiquée au SNES, Cathy enseigne dans un lycée.
08:17C'est pas parce que le gouvernement est tombé
08:18que le suivant va pas être pire.
08:20On met tout à plat, peut-être, mais c'est pas pour autant
08:23qu'il faut pas rester vigilant.
08:24Régis est prof de maths, il manifeste avec un drapeau,
08:27une sainte flottante au vent.
08:28Je suis beaucoup plus inquiété par les changements des statuts
08:31qui ont eu lieu que par les déboires
08:34de notre gouvernement actuel.
08:35Ces agents de la fonction publique vont achever
08:37la traversée de l'Orient devant la sous-préfecture.
08:40Nicolas Bobby à l'Orient pour RTL.
08:42Et en marge de cette journée d'action,
08:44un proviseur a été légèrement blessé ce matin
08:46par le jet d'un projectile inflammé.
08:48Selon le rectorat, il sortait de son établissement
08:51pour tenter d'éviter tout débordement
08:53alors que des individus cherchaient à bloquer
08:55son lycée à Dijon.
08:56Un jeune homme a été interpellé dans la foulée.
08:59Le père du petit Santiago, lui, sera remis
09:01à la justice française aujourd'hui.
09:03Lui qui avait, dans un premier temps,
09:05refusé de revenir en France.
09:06Il sera présenté à un juge d'instruction demain
09:08et fixé sur sa probable mise en examen
09:10et un éventuel placement en détention provisoire.
09:13Santiago, né grand, prématuré,
09:15avait été enlevé de sa couveuse d'hôpital
09:18le 21 octobre dernier par ses parents,
09:20retrouvé ensuite quatre jours plus tard
09:22à Amsterdam en bonne santé.
09:24Sa mère avait déjà été remise à la France
09:27il y a un mois et placée sous contrôle judiciaire.
09:31Et puis dans un instant, les amis,
09:32peut-on parler de génocide à Gaza ?
09:35C'est ce qu'affirme Amnesty International,
09:38d'où la colère de l'Etat d'Israël.
09:51Un rapport, je cite, fabriqué de toute pièce,
09:54un rapport, je cite, basé sur des mensonges,
09:57Israël balaie les accusations de génocide
10:00dans la bande de Gaza.
10:02Massacre génocidaire, oui,
10:04ce sont les mots de l'Organisation de défense des droits humains Amnesty International,
10:07qui étrille l'attitude de l'Etat hébreu
10:09dans l'enclave palestinienne depuis plus d'un an, Sophie Jousselin.
10:12Oui, Amnesty se base sur les témoignages
10:14de plus de 200 Gazaouis recueillis sur place,
10:16sur des images satellites,
10:18des photos qui montrent la dévastation
10:20de l'enclave palestinienne,
10:22des documents qui permettent, selon l'ONG,
10:24de caractériser un génocide,
10:26selon des critères bien précis,
10:28notamment le fait d'avoir sciemment visé
10:30les civils lors des frappes
10:32pour anéantir la population palestinienne.
10:34Tchérina Jorolon est responsable
10:36du programme Conflit, Migration et Justice
10:38à Amnesty International France.
10:40Ces frappes ont visé des bâtiments résidentiels,
10:42ont visé des maisons,
10:44ont visé des zones qui étaient
10:46densément peuplées.
10:48Ces frappes ont délibérément
10:50ciblé les populations civiles.
10:52Autre accusation, Amnesty dénonce le blocus
10:54de Gaza imposé par Israël,
10:56dans le but, là aussi, de faire disparaître
10:58la population palestinienne.
11:00L'Unité israélienne impose,
11:02depuis de nombreux mois, des conditions de vie
11:04qui ont pour objectif d'entraîner
11:06une mort lente et calculée des palestiniens
11:08de Gaza, en coupant l'approvisionnement
11:10en électricité, l'approvisionnement en eau,
11:12l'approvisionnement en carburant,
11:14et elles maintiennent depuis lors un blocus
11:16qui est absolument asphyxiant pour les populations.
11:18Dans son rapport, l'ONG appelle
11:20les pays qui livrent des armes à Israël
11:22à cesser de le faire.
11:24Sophie Jousselin pour RTL1.
11:26RTL midi.
11:28Pour la première fois dans son histoire,
11:30il franchit la barre des 100 000 dollars.
11:32Je ne parle pas de
11:34je ne sais quel con que l'ingot d'or.
11:36Non, non, non, on parle du bitcoin.
11:38Le bitcoin s'envole.
11:40Oui, le bitcoin, c'est cette crypto-monnaie,
11:42monnaie électronique virtuelle
11:44qui ne s'appuie pas sur le système
11:46bancaire traditionnel.
11:48Une monnaie, Martialiou, dont le cours,
11:50Eric le disait à l'instant, s'envole.
11:52Et ça depuis l'élection de Donald Trump.
11:54Voilà, dans l'ascenseur émotionnel du bitcoin,
11:56il a eu trois paliers en un mois.
11:585 novembre, élection triomphale
12:00de Donald Trump. Le candidat républicain
12:02a dit qu'il aiderait
12:04ce marché à se développer pour que les États-Unis
12:06deviennent la capitale mondiale
12:08des crypto-monnaies. Alors c'est un sacré
12:10volte-face parce qu'en 2019,
12:12quand il était président, le même Donald Trump
12:14qualifiait le bitcoin d'escroquerie.
12:1612 novembre ensuite, désignation d'Elon Musk.
12:18Dans l'administration Trump,
12:20Musk possède sa propre crypto-monnaie
12:22baptisée Doge.
12:24Le département que dirigera Elon Musk
12:26a été baptisé par
12:28Donald Trump, devinez,
12:30Doge aussi ! Donc nouvel appel
12:32du pied au monde des cryptos. Et puis 5 décembre,
12:34on apprend que le nouveau
12:36gendarme des marchés financiers,
12:38la SEC, est un défenseur
12:40des crypto-monnaies, c'est l'avocat Paul Atkins.
12:42Ça veut dire que le bitcoin va
12:44devenir une monnaie légitime avec laquelle on pourra
12:46pourquoi pas payer ses impôts ou faire du
12:48commerce. Le bitcoin sort donc
12:50d'une certaine clandestinité. Avant
12:52l'élection de Donald Trump, le bitcoin
12:54valait 69.000 dollars. En
12:56dépassant les 100.000 cette nuit,
12:58il a donc progressé de 48%.
13:00Merci Martialiou. Et en parlant de
13:02Donald Trump, vous savez qu'il est attendu
13:04samedi pour assister aux cérémonies
13:06de réouverture de Notre-Dame de Paris.
13:08Et bien d'après les informations d'RTL, le président
13:10élu américain n'a pas prévu
13:12de dormir dans la capitale. Son avion qui atterrit
13:14en début de matinée doit repartir
13:16dès samedi soir 20h de
13:18l'aéroport d'Orly. Prudence si vous
13:20avez un vol parce que ça risque d'être peut-être
13:22un petit peu compliqué côté circulation
13:24à Orly samedi soir. Ah bah les dispositifs
13:26de sécurisation de
13:28Donald Trump dans ses voyages à l'étranger
13:30c'est un truc pharaonique, on peut pas
13:32imaginer. Je pense
13:34qu'il n'y aura plus un avion qui décollera
13:36d'Orly samedi soir. Au lendemain
13:38de l'annonce de la fermeture du parc
13:40aquatique Marineland, dont état
13:42hantible, mesdames, messieurs, dans le sud de la France
13:44ce sera le 5 janvier prochain
13:46et bien la justice a tranché
13:48les orques doivent rester
13:50sur place jusqu'à nouvel ordre.
13:52Une victoire pour l'association de défense
13:54des animaux One Voice qui craignait
13:56de voir Keijo et Wiki abandonner
13:58à leur sort Marie Bonnet Blanc.
14:00Effectivement un premier
14:02combat de gagné pour l'association
14:04maintenant les orques attendent les expertises
14:06judiciaires afin de déterminer leur
14:08état de santé qui pour Muriel Arnal
14:10la présidente de l'association One Voice
14:12est préoccupant. Ce qui
14:14est ennuyeux actuellement c'est la très
14:16mauvaise santé de Wiki et Keijo
14:18donc cette expertise elle est utile
14:20pour déterminer les soins
14:22dont ils ont besoin et nous avons
14:24proposé que nos experts viennent
14:26pour aider et pour les soigner
14:28parce que à l'heure où je vous parle
14:30elles ne sont pas transportables
14:32elles sont malades
14:34deux membres de leur famille sont décédés
14:36tout récemment
14:38nous l'avions dit
14:40nous n'avons pas été entendus sauf par les tribunaux
14:42nous espérons aujourd'hui que Marineland
14:44et le ministère de l'écologie va nous entendre
14:46Du côté de la direction
14:48de Marineland elle a fait savoir qu'elle
14:50comptait respecter cette décision de justice
14:52les orques resteront donc bel et bien ici
14:54à Antibes dans les bassins du parc
14:56jusqu'à la fin des expertises judiciaires
14:58après le débat reprendra il faudra
15:00trouver un accord et un nouveau lieu d'accueil
15:02pour Wiki et Keijo mais aussi
15:04les nombreux autres pensionnaires de Marineland
15:06Marie Bonnet Blanc à Antibes pour RTL
15:08Le temps pour cet après-midi
15:10Peggy
15:12vous nous l'aviez dit en titre c'est gris
15:14ah oui c'est bien gris sur les trois quarts du pays
15:16gris avec de faibles
15:18pluies quasiment partout, du vent également
15:20jusqu'à 50 kmh
15:22dans l'éther 60 sur les bords de Manches
15:24cet après-midi, ça faiblit légèrement
15:26par rapport à ce matin mais
15:28le vent va se renforcer de nouveau cette nuit
15:30les averses seront plus marquées
15:32dans l'après-midi sur la pointe bretonne parce qu'on a une nouvelle
15:34perturbation qui va arriver, puis elles sont
15:36plus marquées également sur le nord-est, en revanche si vous êtes dans
15:38le sud-est, là vous êtes à l'écart
15:40de cette perturbation pour le moment
15:42et pour cet après-midi avec un ciel
15:44plutôt lumineux comme en Corse, les températures
15:46sont toujours un peu fraîches
15:48par endroits, 4°C seulement à Nancy
15:506°C à Grenoble
15:52mais on se rapproche des normales avec
15:548°C à Clermont-Ferrand, sur le nord
15:569°C à Paris comme à Lille
15:5811°C à Montpellier, 12°C à Bordeaux
16:0014°C à Brest, là c'est plutôt
16:02doux pour la saison ainsi qu'à Bastia
16:0415°C à Nice, 16°C à Biarritz
16:06et 18°C à Perpignan. Merci Peggy
16:08Bon c'est pas réjouissant...