Avant-dernier de Premier League avec 9 points, Wolverhampton est mal parti pour se sauver en fin de saison. Très critiqué, Gary O'Neil, entraîneur des Wolves, estime que la politique de vente massive et de rajeunissement de son effectif mise en place par ses dirigeants ne pouvait pas déboucher sur un autre résultat, sauf miracle.
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00:00Je comprends le bruit et la scrutinée, mais quand je suis arrivé à ce football club, il avait juste atteint 39 points dans la Première Ligue.
00:08Depuis, nous avons réussi à vendre 200 millions de pouces de talent.
00:15Si vous commencez à 39 et que vous prenez 200 millions de pouces de talent, il y a une chance que ce sera difficile.
00:21Si quelqu'un attendait que ce soit facile, qu'il y ait des eaux calmes, que tout le monde soit bien, nous avons été touchés par tous les pundits de la Ligue.
00:36Nous avons réalisé des choses incroyables.
00:41Plus de points, plus de victoires à Stamford Bridge, à Tottenham, contre Man City à la maison.
00:47Tottenham à la maison, à la fin d'une semi-finale de la FA Cup, avec une équipe qui avait perdu Neves, Martinho, Traore, Jiménez, Costa, Nathan Collins, Daniel Podence,
00:58et qui n'avait pas signé aucun joueur de la Première Ligue à ce moment-là.
01:03Et puis cet été, nous perdons notre capitaine Max Killmann, et nous perdons Pedro Neto pour un total de 100 millions de pouces.
01:08Et nous signons des jeunes qui vont être géniaux pour le club de football dans le futur.
01:13C'est là que le club de football est.
01:16Je suis heureux d'être jugé, et je serai jugé sur les résultats, et sur ce que je peux donner à cette équipe.
01:22Mais cela devrait être fait dans le contexte.