Retrouvez le replay de l'Équipe de choc du 20/12/2024.
Category
🥇
SportTranscription
00:00:00Bonjour à tous, il est 16h50, on attendait la fin du biathlon pour démarrer l'équipe de choc.
00:00:11On est toujours au grand bandan pour l'étape française de la saison, le meilleur moment de l'année avec une ambiance de dingo
00:00:15et surtout quand on a une victoire française à la clé, les filles nous ont régalé.
00:00:19C'est Justine Brézade-Boucher bien sûr qui est tout sourire, qui a eu les larmes aux yeux après sa première victoire de la saison.
00:00:24Bon ça, ça va faire sauter mes seaux de venterqui dans la foule c'est sûr.
00:00:27Bref, on l'attendait cette première victoire de la saison et surtout du côté du grand bandan près d'Annecy.
00:00:32Et ça nous fait bien plaisir et on va même y retourner tout à l'heure pour voir si l'ambiance n'est pas trop retombée.
00:00:35Bonjour, bonjour à tous. Est-ce que vous avez vibré devant les exploits du biathlon français les copains ?
00:00:40Oui, on était un peu déçus hier et là aujourd'hui c'est bien.
00:00:44Top 7, top 8, top 9, on ne veut pas.
00:00:46Là on discute.
00:00:47Et de la victoire.
00:00:48C'est un plaisir.
00:00:49Tu discutes pendant que je fais la prise d'antenne alors je suis déstabilisée.
00:00:53Si ça servait à quelque chose en plus.
00:00:54Les copains, on trouvait en plus.
00:00:56Vous savez qu'on diffuse ce soir les mondiaux de fléchettes à Noël.
00:01:00Ça a commencé le week-end dernier, ça continue ce soir à Londres, ça continue ce week-end et pendant toutes les vacances.
00:01:05Vous savez qu'ils ont des accueils de stars, il y a une ambiance de dingo, c'est encore pire qu'au grand bandan.
00:01:10Regardez-moi, il y a des déguisements, il y a des petits surnoms de folie pour tous les athlètes, pour tous les fléchetteurs, pour tous les joueurs de fléchettes.
00:01:17Donc je pense qu'on renomme un petit peu nos chroniqueurs à la façon des stars des fléchettes.
00:01:21Regardez lui par exemple, c'est Dedeye.
00:01:23Chez nous, nous avons Frédéric Lecanu.
00:01:25Frédéric Lecanu, je vais le renommer.
00:01:27Comment on va l'appeler Frédéric Lecanu ?
00:01:28Il va se mettre en place et on va l'appeler par exemple...
00:01:31Non, reste en place Frédéric, on attend la caméra qui va venir vers toi.
00:01:34C'est la Fred Touch.
00:01:35Son point fort, c'est la puissance et son coup préféré, c'est la bulle.
00:01:38Démonstration ?
00:01:39La bulle, c'est le milieu Fréd.
00:01:40J'avais compris.
00:01:41Un peu plus vite s'il vous plaît.
00:01:42Pardon.
00:01:44Voilà ! C'est bien ça !
00:01:45Trois, tu peux venir.
00:01:46C'est bon, ça compte.
00:01:47Ce n'est pas une bulle.
00:01:48Je n'ai pas dit adresse code de Noël ?
00:01:50Oui, on avait dit adresse code de Noël.
00:01:52Et tu as ton petit bonnet.
00:01:53Vous m'avez dit, vous faites avec un pull.
00:01:55Je n'ai pas de pull, à part Pierre que personne ne remarque.
00:01:58Parce que quand on sait que c'est son visage de quand il était petit.
00:02:00Voilà, photo de Noël.
00:02:01Le gars n'est pas égocentrique.
00:02:03Je me sens moins seul grâce à Pierre Bouby.
00:02:05J'ai un pull de Noël.
00:02:06Après ce qu'il dit, c'est un peu ambiance Noël.
00:02:07On ne voit pas ce qu'il dit.
00:02:08On peut revenir aux fléchettes s'il vous plaît ?
00:02:09Parce que toi, tu nous avais fait un petit dominable.
00:02:11On va voir ce que ça donne.
00:02:12Séverine Parlacourt, on l'a renommé Nonentrit.
00:02:14Nonentrit, son point fort, c'est la précision et son coup préféré.
00:02:17C'est le triple 20.
00:02:18Démonstration.
00:02:19Triple 20, c'est haut.
00:02:21Et en talons en plus.
00:02:22Triple 20.
00:02:23Il ne s'est pas passé loin.
00:02:24C'est un 18.
00:02:25C'est pas mal, 18.
00:02:26C'est pas mal, franchement.
00:02:27Et la Belgique, grand pays du fléchette.
00:02:29Dimitri Vandenberghe.
00:02:30Bien sûr.
00:02:31Tellement bien.
00:02:32Calé en fléchette.
00:02:33Il faut bien qu'il soit bon quelque part.
00:02:36Je ne suis pas aussi connu que lui.
00:02:37Je suis en pleine forme.
00:02:38Écoute, c'est la fin de l'année.
00:02:40T'es prêt pour l'émission que tu vas vivre ?
00:02:41Dernière émission de la semaine.
00:02:42Ça commence très bien.
00:02:43Bon, les copains, le sommaire est dans le décor.
00:02:44Il y a des fléchettes, mais pas que.
00:02:45Il y a du Vendée Globe.
00:02:46Parce que les skippers prennent de plus en plus de risques.
00:02:48C'est très inquiétant.
00:02:49On sera avec l'un d'entre eux et avec la docteur du Vendée Globe.
00:02:52On a du Dakar parce qu'on sera avec Daniel Helena.
00:02:54Vous savez, l'ancien copilote de Seb Loeb à 15 jours du départ.
00:02:58Il sera avec nous.
00:02:59Il faut nous donner un petit peu les chances de son ancien pilote.
00:03:02Du Wembi en folie.
00:03:03Je vois un nouveau pilote en Formule 1.
00:03:05Un français.
00:03:07Un nouveau coach chez les Verts.
00:03:08Il y a plein de petites nouveautés comme ça.
00:03:1016h53, on retourne au Grand Bornand.
00:03:13Bien sûr.
00:03:14La fête, la fête.
00:03:15Allez, on retourne au Grand Bornand, tout près d'Annecy, en Haute-Savoie.
00:03:17Parce que Mesaut Benterky porte tellement bien le bonnet.
00:03:19Rien que pour ça, il faut qu'on y retourne sur le pas de tir de cette 3e étape de Coupe du Monde.
00:03:23Mais vous avez dû vivre une après-midi de folie.
00:03:27Le temps a été suspendu, France.
00:03:29Et effectivement, vraiment, c'est l'une des plus belles émotions qu'on ait vécue.
00:03:32Parce que Justine Brézins-Boucher avait remporté sa première Coupe du Monde en biathlon.
00:03:35Ici, il y a 7 ans.
00:03:36Et aujourd'hui, à l'armisa donc.
00:03:38Et regardez cette image qui ne trompe pas.
00:03:40Toute l'équipe de France est venue autour de Justine.
00:03:43Fêter cette victoire sur le sprint.
00:03:46Et même Lou Jormono, elle a complètement raté sa course.
00:03:48Lou Jormono, 35e seulement.
00:03:50Et elle vient embrasser Justine.
00:03:51Et partager cette joie.
00:03:52Julia Simon également.
00:03:53Et là, vous le voyez, à la droite de Justine, pour le traditionnel petit cri après une victoire.
00:03:58Et ça, c'est une image qui ne trompe pas.
00:04:06Le bonheur de toute cette équipe de France grâce à Julia.
00:04:08Justine, pardon.
00:04:11Il commence à faire froid.
00:04:13C'est incroyable de vivre ça à la maison.
00:04:17Justine, ça fait la deuxième fois qu'elle gagne au Grand Bornand.
00:04:20Devant le public français.
00:04:22Ça efface un petit peu la déception des autres.
00:04:25Je pense qu'elles sont contentes globalement pour que l'équipe marche.
00:04:28C'est important que l'équipe de France soit devant.
00:04:30Et ça nous augure un bon week-end.
00:04:32Un bon week-end de bilatelons.
00:04:34Et on a atteint du très très haut niveau en bilatelons France.
00:04:36On va vous montrer les deux tirs de Justine avec Alexis et Anaïs.
00:04:40Sur le tir couché, tout d'abord Alexis.
00:04:43C'est la beauté du bilatelon.
00:04:45Elle est résumée par ce tir de Justine.
00:04:47On sent qu'elle rend vraiment mieux que toutes les autres courses depuis le début de la saison dans celle-ci.
00:04:51Tout de suite, ça commence bien avec un tir qui est propre, qui est simple, qui est efficace.
00:04:56Peut-être que les autres tirs depuis le début de l'hiver,
00:04:59elles les avaient trop chargés d'émotions ou d'envie de bien faire, d'envie de résultats.
00:05:03Là, c'est un vrai tir comme on lui souhaite maintenant pour tout le reste de la saison.
00:05:07Qui lance bien les choses.
00:05:09Derrière, on sait qu'il va y avoir un gros combat pour le debout.
00:05:12Ça commence bien.
00:05:14Et quand ça commence bien en bilatelons, en général ça aide.
00:05:16Sur ce debout, elle en rate une.
00:05:18On pourrait penser qu'à un moment donné, ça pourrait permettre à quelqu'un de lui passer devant.
00:05:24Mais finalement, on va l'avoir.
00:05:26Cette balle qu'elle va rater tout de suite.
00:05:28Et derrière, elle termine avec un 9.
00:05:31Plus personne ne sera capable d'aller la chercher.
00:05:33C'est votre copine, vous le disiez Anaïs, pour les téléspectateurs de l'équipe de choc.
00:05:37Il n'était peut-être pas là tout à l'heure Anaïs.
00:05:39On aime les personnalités des champions.
00:05:41Si vous deviez dire quelques mots sur la personnalité de Justine qui fait qu'elle est si attachante.
00:05:46C'est quelqu'un de très attachant, effectivement.
00:05:49Et c'est quelqu'un qui sait répondre de la meilleure des manières à chaque fois.
00:05:54Elle peut être au fond du saut et rebondir.
00:05:57Ce n'est pas une troisième place qu'elle va chercher.
00:05:59C'est une victoire.
00:06:00Et les victoires, ce n'est pas si facile d'aller les chercher.
00:06:03Donc, ça montre le caractère de cette grande championne.
00:06:06On voit qu'elle ferme les yeux avant le podium pour vraiment capter toute l'émotion de ce moment-là.
00:06:11Pour s'avouer, elle a eu du mal à lancer sa saison.
00:06:14C'était frustrant pour elle.
00:06:15Là, c'est tout l'inverse.
00:06:17Il y a tout qui s'assemble au bon moment.
00:06:19Cette victoire qui est géniale et qui a dû faire hurler, en effet, France dans la rédac.
00:06:24Qui aime de toute façon uniquement la victoire.
00:06:27Est-ce que Pierre Bouby a hurlé dans la rédac aussi, France ?
00:06:30On veut savoir.
00:06:31Une seconde 4 seulement d'écart avec Francis Capreuse.
00:06:34Alors ?
00:06:35Oui, évidemment, Metz.
00:06:36Mais là, on a répondu à mes attentes.
00:06:38Là, je suis d'accord.
00:06:39Là, on discute, la Metz.
00:06:41Mais Saoud, ça veut dire qu'elle est forcément favorite pour demain pour la poursuite ou pas forcément ?
00:06:44Parce qu'elle va se lancer en premier avec une seconde 4, c'est ça ?
00:06:48Vu sa qualité de ski, elle est tellement forte sur les skis.
00:06:52Elle a retrouvé son tir.
00:06:53Du coup, en se lançant avec une seconde 4, c'est la favorite demain forcément.
00:06:56Un peu quand même, Anaïs.
00:06:58On lui souhaite.
00:06:59Mais on fait du biathlon.
00:07:00Alors, on ne sait jamais.
00:07:01Mais tout le mal que je lui souhaite, en tout cas.
00:07:04Et attention, France, parce qu'il y a la spécialiste des remontées fantastiques.
00:07:07Et on a la chance de l'avoir dans l'équipe de France.
00:07:09C'est Julia Simon.
00:07:10Et là, elle va se lancer à 37 secondes.
00:07:12Donc, 37 secondes pour Julia, c'est trois fois rien, Alex.
00:07:15Oui, oui.
00:07:16Tout est possible.
00:07:17Et on va en débattre dans l'avant-course de savoir si Justine est favorite ou pas.
00:07:20Mais quoi qu'il arrive, il y aura une belle équipe de France qui sera encore bien représentée.
00:07:23Et peut-être que ce sera le tour de Julia demain, effectivement.
00:07:26Une seconde 4 seulement pour Justine devant Francis Capreuse.
00:07:29Et 37 secondes pour Julia.
00:07:31Les poursuites, France, ça va être vraiment un très, très grand moment là encore à partir de 11 heures demain.
00:07:35Et puis dimanche, ce seront les mass-starts également à partir de 11 heures.
00:07:39Aussi chaud qu'il l'était aujourd'hui, ça promet.
00:07:41Franchement, vous avez un public extraordinaire.
00:07:43On attend le fan club de Messaoud.
00:07:44On attend les pancartes avec la grosse tête de Messaoud comme il y avait pour Justine.
00:07:47J'espère que ça arrivera bientôt.
00:07:49Bonne nouvelle.
00:07:50Mais tu sais que j'ai une grosse tête, France.
00:07:51Je n'ai pas dit ça.
00:07:52Le billet à clôt, c'est jusqu'en 2030 sur la chaîne L'Équipe.
00:07:54Donc, si vous aimez MESS et toute la chaîne L'Équipe et tous les consultants et toute l'équipe,
00:07:57on va se régaler pendant des années encore.
00:07:59Salut MESS, à demain.
00:08:00Bonne soirée.
00:08:01Ils vont fêter ça, à mon avis.
00:08:02Il y a de quoi quand même.
00:08:04C'était très sympa.
00:08:06J'espère bien.
00:08:0716h58.
00:08:08Je me lève un peu parce que l'horloge est un peu baissée.
00:08:10Je vous raconte toutes les coulisses.
00:08:1116h58.
00:08:12Il faut qu'on parle voile.
00:08:13Il faut qu'on parle Vendée Globe.
00:08:15Et pour ça, on a un jingle.
00:08:20Ce n'est pas forcément une musique de voile.
00:08:22C'est une musique Allô Maman Bobo parce qu'on est à mi-parcours du Vendée Globe.
00:08:25Après 40 jours de mer.
00:08:26Le record, c'est 74.
00:08:27Je vous le rappelle.
00:08:28Le dernier, c'était 80 jours.
00:08:30Est-ce que le record sera battu ?
00:08:31On ne sait pas.
00:08:32C'est toujours serré en tête de course.
00:08:34Ensuite, on parlera des petits bobos.
00:08:36Au pointage de 15h, vous dire que le leader Charlie Dalin n'a plus que 15 000 nautiques d'avance sur Johan Richaume qui se rapproche.
00:08:45En revanche, l'écart s'est creusé avec Sébastien Simon qui a 147 000 nautiques de retard désormais sur Charlie Dalin.
00:08:53La bataille continue entre ces trois skippers qui se dirigent vers le Point Nemo.
00:08:58Le Point Nemo, qu'est-ce que c'est ?
00:09:00Johan Richaume, actuel deuxième dans l'émission Mercredi, va nous raconter.
00:09:07Au milieu du Pacifique, je pense, et on est surtout proche du Point Nemo.
00:09:13Ça fait un peu rêver le Point Nemo.
00:09:15Visuellement, c'est forcément un petit peu entre la Nouvelle-Zélande et le Cap-Horne, l'Argentine, le Chili.
00:09:28Mais c'est aussi entre l'Antarctique et les îles qui sont au nord.
00:09:32C'est un peu le centre de ce plan d'eau sans terre.
00:09:38C'est le point le plus éloigné de toute terre sur l'océan.
00:09:42Là, on est en train de passer à côté, on est en train de passer au sud.
00:09:45En réalité, notre terre la plus proche, c'est l'Antarctique.
00:09:49C'est le point où il ne faut pas avoir d'accident parce qu'il n'y a personne pour venir vous rechercher.
00:09:52Vous ne l'avez pas compris. Vous l'avez bien compris plutôt.
00:09:54Ça, c'est pour le côté sportif du Vendée.
00:09:56Il y a autre chose qui nous intéresse aujourd'hui.
00:09:58C'est l'aspect sécurité blessure.
00:10:00Alors, pas trop grave pour l'instant.
00:10:02On le rappelle, il n'y a eu que quatre abandons.
00:10:04Mais plutôt les petits bobos, ceux du quotidien.
00:10:06Parce qu'apparemment, il y en a de plus en plus.
00:10:08On sera avec le docteur du Vendée Globe tout à l'heure qui est sur sollicité,
00:10:10qui n'a jamais eu autant de coups de fil.
00:10:12Mais d'abord, c'est lui qui nous a un petit peu alerté sur la situation.
00:10:14C'est le skipper Romain Atanasio qui est actuel 15e de la course au large de la Nouvelle-Zélande,
00:10:19qui est avec nous je crois.
00:10:20Salut Romain, il fait nuit chez toi.
00:10:22On est de l'autre côté du globe, on te distingue.
00:10:24Bonjour Romain, bienvenue dans l'équipe de choc.
00:10:27Oui, bonjour.
00:10:28J'ai mis une petite lumière d'ambiance pour que vous me voyiez.
00:10:30Mais c'est vrai que sinon, c'est noir.
00:10:32Ça va, on te distingue.
00:10:33Bon, Romain, tu nous as fait très, très peur.
00:10:34Parce qu'il paraît que tu fais des malaises à répétition,
00:10:37que tu tombes dans les pommes souvent.
00:10:38Et vu le contexte, nous, on trouve ça un peu dangereux.
00:10:40Tu nous racontes ?
00:10:43Ah non, il ne faut pas exagérer.
00:10:45Ce n'est pas que je tombe dans les pommes souvent.
00:10:46C'est que quand je me fais mal, bien mal,
00:10:49il m'arrive d'avoir des petits malaises.
00:10:51Enfin, de tomber dans les pommes, mais comme tout le monde en fait.
00:10:53C'est juste qu'en fait, c'est vrai que sur ces bateaux,
00:10:56on se cogne beaucoup.
00:10:59Parce que là par exemple, face au vent, dans de la grosse mer,
00:11:03et donc le bateau tombe dans les vagues,
00:11:06et si on ne tient pas, même en se tenant, on se cogne.
00:11:10Et c'est vrai que, je ne sais pas si c'est pareil,
00:11:13mais c'est vrai que souvent quand je me cogne très fort,
00:11:15il peut m'arriver de tomber dans les pommes.
00:11:17Les deux dernières fois, c'est quand même que je me suis ouvert le crâne.
00:11:20Donc j'avais des circonstances atteignantes.
00:11:22Toi, tu ne portes pas de casque ?
00:11:24Je sais qu'il y en a plusieurs qui portent un casque de rugby pour se protéger.
00:11:26Ce n'est pas ton cas ?
00:11:29Si, bien sûr, je mets le casque.
00:11:31Mais le problème, c'est qu'en rugby, on le porte une heure et demie.
00:11:36Et une heure, en voiture, c'est pareil, en course auto.
00:11:41Mais nous, on ne peut pas le porter des jours et des jours.
00:11:43Parce que ça gratte, c'est vraiment pas confortable.
00:11:46Donc je le mets en fait pour me déplacer.
00:11:48Mais évidemment, dans tout accident, c'est au moment où on n'a pas le casque
00:11:53qu'arrive le problème.
00:11:56Toi Romain, c'est ton troisième Vendée.
00:11:58Forcément, j'imagine qu'on cherche à faire mieux qu'avant.
00:12:00Est-ce que tu trouves que les bateaux vont trop vite finalement
00:12:03et qu'on prend de plus en plus de risques ?
00:12:08Oui, alors je ne sais pas si ils vont trop vite,
00:12:10mais c'est sûr qu'il y a eu des spoilers.
00:12:12C'est un spoiler.
00:12:13Ça n'a rien à voir avec les deux bateaux que j'ai eus précédemment.
00:12:16Et c'est vrai que c'est complètement dingue.
00:12:20C'est-à-dire que le bateau, il part à 30-35 nœuds dans les surfs.
00:12:2335 nœuds, c'est avec mon semi-rigide, l'été, 4 quêtes à l'envers,
00:12:29pas le plein, vent dans le dos, je ne vais pas aussi vite.
00:12:33Donc c'est des vitesses tout à fait hallucinantes.
00:12:35Et quand le bateau vient taper une vague, il s'arrête net.
00:12:40C'est vrai que c'est dingue, complètement dingue.
00:12:42Ensuite, il vole au-dessus de l'eau.
00:12:44Mais forcément, quand il retombe, et il retombe souvent
00:12:48parce que la mer n'est pas lisse,
00:12:50à chaque fois, c'est un choc, un arrêt.
00:12:53Et c'est vraiment difficile à vivre.
00:12:56Ça s'éclaire obligé.
00:12:58Cette année, le Vendée allait être particulier.
00:13:00On allait atteindre des sommets d'inconfort.
00:13:03Et là, je pense qu'on y est.
00:13:06Les deux présents au Vendée n'étaient pas du tout
00:13:09aussi inconfortables que celui-là.
00:13:11On a quelqu'un en plateau qui a l'habitude de prendre des coups,
00:13:13c'est l'ancien judoka Fred Lecanu
00:13:15qui a une question pour le skipper.
00:13:17J'avais une petite question.
00:13:18Tu parles des chocs, tu parles de la violence,
00:13:20de l'impact avec la vitesse.
00:13:21Mais est-ce qu'il y a aussi des vibrations permanentes,
00:13:23c'est-à-dire au-delà de la violence des coups et des vagues ?
00:13:26Est-ce que tout le temps, tu te sens balloté ?
00:13:29Est-ce qu'avec cette survitesse, tu te sens un peu
00:13:31comme à l'intérieur d'une machine à laver en permanence ?
00:13:36Oui, c'est exactement ça.
00:13:38Il y a certes le choc qui est brutal,
00:13:41mais il y a un truc qui est presque pire.
00:13:43Là, j'ai mon casque, vous l'entendez moins,
00:13:45mais c'est la vibration et le sifflement du foil.
00:13:49Ça fait un bruit d'enfer à longueur de journée.
00:13:52C'est un truc de bruit entre le sifflement et la vibration.
00:13:58C'est un effet d'entre-deux qui est vraiment désagréable.
00:14:01Peut-être que c'est une puissance à ce bruit permanent.
00:14:04On parlait tout à l'heure du casque pour les chocs,
00:14:07mais on a aussi un casque anti-bruit qui refond le son.
00:14:11Est-ce que c'est vrai, Romain Tannasio, que tu as le mal de mer ?
00:14:17Oui, un petit peu, mais comme tout le monde,
00:14:19mais pas plus là.
00:14:21En fait, le mal de mer, il est au départ des courses,
00:14:24parce que c'est vrai qu'on passe trois semaines,
00:14:28le Vendée, c'est trois semaines au village
00:14:30à manger des petits fours, à serrer des mains,
00:14:33à préparer la course, à tout faire sauf naviguer.
00:14:37Et puis quand on prend le départ, en général,
00:14:40il y a du vent fort, parce qu'il s'est expirpé de France,
00:14:44du Golfe de Gaston et de Haute-Amande
00:14:46pour les autres courses en plein hiver.
00:14:48Forcément, il y a une dépression à passer, la mer est mauvaise.
00:14:51On est stressé, pas très amariné.
00:14:54Souvent, on est malade parce qu'on a passé,
00:14:56encore une fois, trois semaines de village
00:14:59à serrer des mains et du coup, on part avec la crève.
00:15:02Tout ça fait que souvent, les skippers,
00:15:04et moi en particulier, chez le mal de mer,
00:15:07les deux, trois premiers jours,
00:15:09mais bon, après, ça passe et puis après, ça s'épile.
00:15:12Là, par exemple, la mer est vraiment mauvaise.
00:15:15C'est des conditions où j'aurais le mal de mer en partant,
00:15:18mais là, je ne l'ai plus.
00:15:20Romain, pour finir, on sera dans un instant
00:15:22avec la docteure officielle du Vendée Globe
00:15:24qui vous soigne.
00:15:25Combien de fois tu l'as appelée depuis le début pour voir ?
00:15:28Je ne l'ai pas encore appelée,
00:15:31mais c'est elle qui m'a appelée
00:15:33parce qu'en fait, je me suis ouvert à l'arcade
00:15:35il y a quelques jours,
00:15:37en paraoussolliant, bêtement,
00:15:39quand le bateau a tapé dans une vague.
00:15:41J'ai l'habitude que je suis du kickboxing.
00:15:43J'ai souvent ça parce qu'il y a un gros kickboxing chez nous
00:15:46qui m'aime bien et qui aime bien les arcades.
00:15:48Je ne me suis pas trop inquiété
00:15:50et c'est elle qui m'a appelée parce qu'elle avait...
00:15:53En fait, j'ai eu un...
00:15:55A la course Retour des Antilles l'année dernière,
00:15:58j'ai eu une commotion
00:16:00parce que là, je me suis vraiment ouvert la tête.
00:16:02J'avais 5 points.
00:16:03C'est vraiment plus brutal que ça.
00:16:05Donc, elle fait gaffe à ça.
00:16:07C'est elle qui m'a appelée en disant
00:16:08« Comment ça va ? »
00:16:09J'ai dit « Ne t'inquiète pas, cette fois,
00:16:11ce n'est pas très grave. »
00:16:12Mais oui, elle veille, elle est là.
00:16:13J'espère bien.
00:16:14Nous aussi, on veille,
00:16:15mais on veille à distance.
00:16:17On regarde où vous êtes en tout cas.
00:16:18Merci beaucoup Romain Tannasio
00:16:19au direct de la Nouvelle-Zélande,
00:16:20pas très loin de la Nouvelle-Zélande,
00:16:22au large plutôt.
00:16:23J'espère que tu tiens le coup.
00:16:24Encore moitié de la course.
00:16:25Allez, on tient bon.
00:16:26On est avec toi.
00:16:28Oui, merci.
00:16:29Bye bye, je tiens le coup.
00:16:30Ciao.
00:16:31Salut Romain.
00:16:32C'est toujours sympa.
00:16:33Ce n'est quand même pas évident.
00:16:34On est avec un skipper
00:16:35qui est au milieu de l'océan,
00:16:36à l'autre bout du monde.
00:16:37Et ça se passe super bien.
00:16:38Il fait nuit chez eux.
00:16:39Vos réactions avant d'entendre la docteur,
00:16:41est-ce que vous pensiez que c'était aussi physique,
00:16:43aussi fatiguant et rintant ?
00:16:44On savait que ce n'était pas une partie de plaisir
00:16:46de Vendée Globe,
00:16:47mais apparemment, c'est de plus en plus difficile.
00:16:48Sa réponse à la question de Fred,
00:16:49je la trouve flippante.
00:16:51C'est constamment.
00:16:52C'est du non-stop.
00:16:53Je ne sais pas si on se rend compte,
00:16:54mais moi j'ai le mal de mer.
00:16:55Par exemple, tu ne me mettras jamais là-bas.
00:16:56Mais je trouve ça hyper impressionnant
00:16:58de se dire que pendant X jours,
00:16:59constamment, ils ont des douleurs,
00:17:01ils ont des problèmes.
00:17:02Je trouve ça hallucinant.
00:17:03Et puis, il y a des problèmes
00:17:04de recherche de vitesse extrême.
00:17:06C'est-à-dire qu'il y a des records de vitesse
00:17:08qui sont tombés pendant ce Vendée Globe.
00:17:09Combien de records on a tombés jus ?
00:17:11Au moins 5 ou 6.
00:17:13Mais pour être très précis,
00:17:15dans une journée,
00:17:16je crois que c'est la journée du 24 novembre,
00:17:18il y a 4 records qui sont tombés.
00:17:20Le record de la plus grande distance
00:17:22parcourue en 24 heures.
00:17:23Vous les voyez,
00:17:24Nicolas Lennevel, Charlie Dalin,
00:17:25Thomas Rouillant ou encore Johan Richombe
00:17:27ont battu ces records-là.
00:17:28Sébastien Simon, lui,
00:17:30il a pulvérisé ce fameux record.
00:17:32615 000 nautiques parcourues en 24 heures.
00:17:35Effectivement, la vitesse dans ce Vendée Globe
00:17:37est démentielle.
00:17:39Dans un instant, on sera avec la docteure officielle
00:17:41qui va nous dire comment ça a augmenté un petit peu.
00:17:43Juste pour rajouter,
00:17:44je suis en train de m'imaginer
00:17:45parce que chez moi,
00:17:46j'ai des travaux à côté depuis deux semaines.
00:17:48Je suis assis dans mon canapé,
00:17:49je regarde la télé
00:17:50et ça me donne mal à la tête,
00:17:51ça me fatigue.
00:17:52Et là, je m'imagine le fait
00:17:54d'avoir des acouphènes constamment
00:17:55pendant 30 jours ou 60 jours
00:17:57et puis d'entendre taper tout le temps.
00:18:00Mais tu dois devenir maboule.
00:18:01Et la difficulté là-dedans,
00:18:02c'est de rester lucide
00:18:03et de faire des bons choix
00:18:04en ayant un mec qui tape avec un marteau
00:18:06sur la tête constamment.
00:18:07C'est quand il n'y a plus de bruit
00:18:08qu'il y a un problème.
00:18:09Quand c'est silencieux, c'est que ça ne va pas.
00:18:10Franchement.
00:18:12Qu'est-ce qu'elle en dit la docteure alors ?
00:18:13Alors, Marge Acollo,
00:18:14que notre journaliste Colline Méran a contactée,
00:18:16c'est la médecin officielle du Vendée Globe.
00:18:19Elle, elle nous raconte
00:18:20comment elle détecte finalement
00:18:21les malaises des skippers.
00:18:24C'est sûr que Romain,
00:18:25au décours d'un traumatisme
00:18:27au niveau du thorax,
00:18:29avait présenté un malaise qu'on appelle
00:18:31un malaise vagal
00:18:32qui est quelque chose d'assez bénin
00:18:34finalement dans la vie de terrien.
00:18:36Alors qu'un malaise seul sur un bateau
00:18:38peut vite être problématique,
00:18:39d'autant plus que la perte de connaissance
00:18:41peut engendrer une chute
00:18:42et évidemment un homme à la mer.
00:18:43Alors évidemment,
00:18:44lorsque le malaise est arrivé,
00:18:45il ne peut pas grand-chose.
00:18:46Maintenant, on travaille avec lui en amont
00:18:48pendant les formations pour apprendre.
00:18:49Et justement, avec Romain,
00:18:50on a travaillé pour apprendre
00:18:51les signes potentiels
00:18:52qui peuvent lui faire penser
00:18:53qu'il va faire un malaise.
00:18:55Alors Romain, il se connaît bien.
00:18:56Il sait maintenant dans quelles circonstances
00:18:59et quels signes peuvent lui faire penser
00:19:01qu'il va perdre connaissance
00:19:02et se mettre rapidement
00:19:04en situation de sécurité.
00:19:08En position de sécurité
00:19:09alors que tu es à l'autre bout du monde ?
00:19:10Pierre, tu me disais
00:19:11pendant le sonore de la docteure
00:19:13que tu as déjà fait des malaises
00:19:15et que tu avais eu peur finalement.
00:19:17Quand on te réveille, tu avais eu peur.
00:19:19Oui, en fait, c'est une perte de connaissance.
00:19:21Ce n'est rien un malaise vagal.
00:19:22On l'a tous fait.
00:19:23N'empêche que c'est un peu les mêmes sensations
00:19:25qu'un AVC.
00:19:26Donc en fait, il faut le savoir.
00:19:28C'est une perte de connaissance
00:19:29et après, si tu te réveilles
00:19:31et que tu sais que c'est un malaise vagal,
00:19:32c'est rassurant.
00:19:33Mais voilà, quand tu as une montée de chaleur,
00:19:36une montée de fièvre
00:19:37ou d'un seul coup,
00:19:38le truc, c'est que le cerveau n'est plus irrigué.
00:19:40C'est ça un malaise vagal.
00:19:41Donc il y a des choses à faire.
00:19:42Se mettre sur le dos,
00:19:43lever les jambes.
00:19:44Mais là, tu es sur ton bateau en pleine mer.
00:19:45Ça ne peut pas que tu ne sois pas attaché.
00:19:46Attention, je ne dis pas que c'est simple.
00:19:48Pour l'idée.
00:19:49Vas-y, Fred.
00:19:50Non, mais moi, ce qui m'intéresse,
00:19:51tu sais, tout à l'heure,
00:19:52j'ai parlé des vibrations,
00:19:53ce qui me fait peur
00:19:54parce que tout ce que j'entends là,
00:19:55tu sais, sur le choc direct
00:19:56qui tombe dans les pommes,
00:19:57commotion cérébrale et tout,
00:19:58c'est pas quelque chose
00:19:59qu'on découvre forcément.
00:20:00C'est-à-dire que tu vois,
00:20:01la nouvelle vitesse
00:20:02dont parlait Julien tout à l'heure,
00:20:03tu vois, cette notion de record,
00:20:04moi, c'est cette notion de vibration
00:20:05qui m'interpelle
00:20:06parce que tu vois,
00:20:07si je fais un parallèle
00:20:08avec des discussions
00:20:09qu'on a beaucoup eues avec les boxeurs,
00:20:10à un moment donné,
00:20:11quand il y avait des KO,
00:20:12pour protéger notamment au boxe amateur,
00:20:13on mettait un casque.
00:20:14Et on s'est rendu compte
00:20:15avec les études
00:20:16que le choc était absorbé
00:20:17mais que le cerveau
00:20:18il prenait quand même
00:20:19et que dans le temps,
00:20:20en fait, la multiplicité des coups,
00:20:21même si tu n'es pas KO,
00:20:22la multiplicité des coups
00:20:23dans le temps
00:20:24peut amener des problèmes
00:20:25à long terme.
00:20:26En fait, moi, ma question,
00:20:27c'est là où Pierre
00:20:28a entièrement raison,
00:20:29c'est que c'est pas dangereux
00:20:30le malaise vagal entre guillemets,
00:20:31sauf si tu tombes dans l'eau
00:20:32et que là, tu te noies.
00:20:33Donc là, il y a des effets secondaires.
00:20:34C'est bien ennuyeux
00:20:35de faire un malaise vagal dans l'eau.
00:20:36Oui, voilà.
00:20:37Mais si tu veux,
00:20:38moi, ma question,
00:20:39c'est dans le temps.
00:20:40C'est-à-dire que si on amène
00:20:41des bateaux à aller
00:20:42beaucoup plus vite
00:20:43et qu'il y a beaucoup plus de vibrations,
00:20:44est-ce que dans le temps,
00:20:45comme on a eu certains boxeurs
00:20:46qui, dans le temps,
00:20:47ont eu des problèmes
00:20:48dix, vingt ans plus tard ?
00:20:49T'as raison sur ce que tu dis
00:20:50et moi, j'insiste même
00:20:51sur les bruits
00:20:52parce que je pense qu'au niveau
00:20:53des tympans et au niveau
00:20:54des oreilles, l'équilibre
00:20:55et tout ça,
00:20:56tu dois ramasser en arrivant quand même.
00:20:57Est-ce qu'il y a plus de coups de fil
00:20:58qu'avant auprès de Madame
00:20:59la docteure du Vendée Globe ?
00:21:00C'est dur à dire, Françaisette.
00:21:01En moyenne,
00:21:02elle reçoit
00:21:03deux appels par jour.
00:21:04Ah oui, c'est beaucoup.
00:21:05Madame Laure Jacollo.
00:21:06Sur trente-six skippers maintenant ?
00:21:07Exactement.
00:21:08Elle, elle nous raconte
00:21:16Écoutez ce qu'elle raconte.
00:21:17On n'a pas eu de pathologie
00:21:19vraiment grave.
00:21:20Il y a des vols planés
00:21:21tous les jours dans les bateaux
00:21:22mais finalement,
00:21:23ça engendre beaucoup
00:21:24d'hématomes
00:21:25mais rien de vital,
00:21:28heureusement.
00:21:29J'espère que ça continuera ainsi.
00:21:31Une des pathologies
00:21:32qu'on a fréquemment
00:21:33dues à la vitesse des bateaux
00:21:34et à la décélération
00:21:35sont les commotions cérébrales.
00:21:37On n'en a pas pour l'instant.
00:21:39Heureusement, j'espère
00:21:40que ce ne sera pas le cas
00:21:41pendant la course
00:21:42puisque c'est une pathologie
00:21:43qui est compliquée
00:21:44à prendre en charge
00:21:45en course au large
00:21:46puisque finalement,
00:21:47si le marin est victime
00:21:49d'une commotion cérébrale,
00:21:51il peut ne pas avoir
00:21:52les capacités à analyser
00:21:54le degré de gravité
00:21:56et le bon discernement
00:21:57concernant sa sécurité
00:21:58et sa santé
00:21:59et on n'a pas la possibilité
00:22:01en tant que staff médical
00:22:03d'arrêter un marin.
00:22:04Ça fait partie
00:22:05des spécificités
00:22:06de la course au large.
00:22:07Le marin est maître à bord,
00:22:09est chef de bord
00:22:10et peut avoir le choix
00:22:11de continuer
00:22:12malgré des éléments
00:22:13de gravité
00:22:14concernant sa santé
00:22:15et même sa vie
00:22:16et sa survie.
00:22:17Merci encore
00:22:18à Laure Giacolo,
00:22:19la médecin officielle
00:22:20du Vendée Globe
00:22:21de nous avoir parlé.
00:22:22Ce qui m'embête,
00:22:23c'est que dans tous les sports,
00:22:24si tu veux battre des records,
00:22:25si tu veux performer,
00:22:26il faut prendre des risques.
00:22:27En ski, c'est pareil.
00:22:28En F1, c'est pareil.
00:22:29Pélo ?
00:22:30Oui, bien sûr.
00:22:31Finalement,
00:22:32on ne leur demande pas
00:22:33d'accélérer
00:22:34s'ils ne veulent pas
00:22:35prendre de risques.
00:22:36C'est un peu comme
00:22:37le sportif qui veut
00:22:38arrêter de faire le match.
00:22:39Le problème,
00:22:40c'est que c'est une course
00:22:41et mécanique
00:22:42et en plus de vitesse.
00:22:43Si tu veux demander
00:22:44à des ingénieurs
00:22:45et une équipe
00:22:46d'essayer de faire
00:22:47un bateau un peu moins rapide
00:22:48par sécurité,
00:22:49je pense que les anciens
00:22:50qui vont faire le Vendée Globe
00:22:51vont dire
00:22:52« Ecoute, tu es bien gentil
00:22:53mais c'est moi qui est dedans
00:22:54donc tu vas me faire
00:22:55une Formule 1
00:22:56qui va à 4000 à l'heure
00:22:57et je veux arriver le premier,
00:22:58je veux gagner des titres
00:22:59et des records. »
00:23:00En tout cas,
00:23:01le record pourra peut-être
00:23:02être battu
00:23:03parce qu'on est sur
00:23:04de très bonnes bases.
00:23:05Là, Charlie Dalin
00:23:06est très en forme.
00:23:07Il est en avance
00:23:08sur le recordman
00:23:09Armel Le Cleac'h
00:23:10d'il y a 8 ans
00:23:11donc ça peut être battu
00:23:12et on suivra ça
00:23:13avec attention.
00:23:14Fred, je sens
00:23:15que tu as envie
00:23:16de passer à la suite.
00:23:17Ça tombe bien
00:23:18parce qu'après la pub,
00:23:19on ira sur la planète sport
00:23:20avec plein de bons résultats
00:23:21en ski
00:23:22et aussi un Wemby hier soir
00:23:23qui a écrasé Rizacher
00:23:24en NBA.
00:23:25C'était le duel
00:23:26dédrafté un petit peu,
00:23:27remporté haut la main
00:23:28par Victor Umbanema
00:23:29pour la victoire des Spurs.
00:23:30Même s'il s'est fait dunker dessus,
00:23:31il a été brillant.
00:23:32Vous verrez ça
00:23:33dans quelques minutes.
00:23:34A tout de suite.
00:23:42Bientôt le début du Dakar.
00:23:43Dans deux semaines,
00:23:44on sera en Arabie Saoudite
00:23:45pour suivre les exploits
00:23:46de Sébastien Loeb
00:23:47en quête d'un tout premier sacre.
00:23:48D'ailleurs,
00:23:49on sera dans un instant
00:23:50avec son ancien copilote
00:23:51de toujours,
00:23:52Daniel Hélénard
00:23:53qui rejoint notre équipe
00:23:54cette année
00:23:55pour commenter la course
00:23:56et qui pourra nous dire
00:23:57si c'est l'année ou jamais
00:23:58pour le français.
00:23:59Mais d'abord,
00:24:0017h19,
00:24:01je vois que Juju
00:24:02est en pleine forme.
00:24:03Il dodoline,
00:24:04il danse sur son siège,
00:24:05il rebondit.
00:24:06Pourquoi ?
00:24:07J'essaie de lui
00:24:08donner quelque chose à Pierre.
00:24:09Parce que c'est l'heure
00:24:11On démarre avec de la F1,
00:24:12Pierre,
00:24:13pour te faire plaisir.
00:24:14Le jeune pilote français
00:24:15Isaac Hadjar,
00:24:1620 ans,
00:24:17pilotera donc
00:24:18pour Racing Bulls,
00:24:19pardon,
00:24:20j'allais dire Racing Bulls,
00:24:21Racing Bulls,
00:24:22la petite sœur
00:24:23de l'écurie Red Bull
00:24:24lors de la saison 2025.
00:24:25Il y aura donc
00:24:26trois pilotes français
00:24:27sur la grille,
00:24:28après Pierre Gasly
00:24:29pour Alpine
00:24:30et Stéphane Ocon
00:24:31avec As.
00:24:32Isaac Hadjar,
00:24:33vice-champion du monde
00:24:34de Formule 2,
00:24:35fera équipe avec Yuki Tsunoda
00:24:36en place depuis 2021.
00:24:37Mais Hadjar,
00:24:38il récupère le volant
00:24:39laissé libre
00:24:40par Liam Lawson
00:24:41promu chez
00:24:42l'écurie mère Red Bull
00:24:43en remplacement
00:24:44de Sergio Perez.
00:24:45Il a été nommé
00:24:46pilote de réserve
00:24:47chez Red Bull
00:24:48l'automne dernier,
00:24:49Isaac Hadjar.
00:24:50Et il est membre du programme
00:24:51de jeune pilote
00:24:52du groupe autrichien.
00:24:53Il était surnommé,
00:24:54même il est surnommé
00:24:55le petit Prost
00:24:56dans le monde
00:24:57de la F1.
00:24:58Il a réagi
00:24:59par communauté
00:25:00après cette nomination.
00:25:01C'est énorme pour moi,
00:25:02pour ma famille
00:25:03et toutes les personnes
00:25:04qui ont cru en moi
00:25:05depuis le début.
00:25:06Le parcours
00:25:07qui m'a mené
00:25:08de la karting
00:25:09à la monoplace
00:25:10puis à la Formule 1
00:25:11est le moment
00:25:12pour lequel
00:25:13j'ai travaillé
00:25:14toute ma vie.
00:25:15C'est le rêve.
00:25:16Nous, on a demandé
00:25:17à Eric Bildarman,
00:25:18notre journaliste spécialiste
00:25:19F1,
00:25:20de nous présenter
00:25:21un petit peu
00:25:22le phénomène.
00:25:23L'arrivée d'Isaac Hadjar,
00:25:24c'est une très bonne nouvelle
00:25:25pour le sport automobile français.
00:25:26On aura trois pilotes
00:25:27de Formule 1
00:25:28la saison prochaine
00:25:29sur la grille
00:25:30avec Pierre Gassi
00:25:31et Steve Anocone
00:25:32et donc Isaac Hadjar.
00:25:33Pourquoi c'est une bonne nouvelle
00:25:34au-delà du nombre,
00:25:35c'est qu'on a aussi
00:25:36un pilote
00:25:37un pilote impétueux,
00:25:38un pilote agressif,
00:25:39un pilote qui,
00:25:40quelque part,
00:25:41pourrait nous faire penser
00:25:42et on espère
00:25:43que cette comparaison
00:25:44fera sens
00:25:45dans les années à venir
00:25:46à Max Verstappen
00:25:47du début.
00:25:48Donc quelqu'un
00:25:49qui n'a peur de rien,
00:25:50qui a un gros caractère
00:25:51et qui en même temps
00:25:52peut se laisser déborder
00:25:53par ses émotions
00:25:54et c'est certainement
00:25:55aujourd'hui
00:25:56au-delà de la nécessité
00:25:57d'apprendre
00:25:58et de comprendre
00:25:59la Formule 1,
00:26:00c'est certainement
00:26:01là où est sa faille.
00:26:02Cette faille,
00:26:03s'il n'arrive pas
00:26:04à la gérer
00:26:05dans les deux prochaines saisons
00:26:06où là,
00:26:07il sera là
00:26:08dans un premier temps
00:26:09pour apprendre,
00:26:10dans un deuxième temps
00:26:11pour comprendre
00:26:12et ensuite,
00:26:13pour délivrer véritablement
00:26:14le potentiel
00:26:15qu'on croit déceler en lui.
00:26:16Il a deux saisons pour ça.
00:26:17Soit Red Bull,
00:26:18qui est une famille
00:26:19avec Helmut Marko,
00:26:20le découvreur
00:26:21et le gestionnaire
00:26:22des jeunes talents
00:26:23de Formule 1
00:26:24chez Red Bull,
00:26:25ne fait aucun cadeau.
00:26:26Donc soit
00:26:27il progresse
00:26:28et il aura peut-être
00:26:29l'occasion
00:26:30d'avoir un volant
00:26:31de première qualité
00:26:32d'ici le début
00:26:33de sa carrière
00:26:35soit il ne progresse pas
00:26:36et au mieux,
00:26:37il aura un profil
00:26:38de carrière
00:26:39à l'Ayuki Tsunoda.
00:26:40En tout cas,
00:26:41Pierre,
00:26:42ça reste une excellente nouvelle
00:26:43pour le sport automobile français.
00:26:44Je te sens très impatient
00:26:45que la saison 2025
00:26:46redémarre.
00:26:47Déjà,
00:26:48par rapport
00:26:49au phénomène
00:26:50de McLaren
00:26:51qui a fini
00:26:52comme une fusée.
00:26:53Tu l'avais dit en plus.
00:26:54Je me souviens,
00:26:55en tout début de la saison,
00:26:56tu en avais parlé.
00:26:57Après,
00:26:58je n'invente rien.
00:26:59Ce qui se dit,
00:27:00mais ce que je veux dire,
00:27:01c'est que les gars
00:27:02ont été très,
00:27:03les gars ont été
00:27:04à la hauteur.
00:27:05Donc là,
00:27:06l'arrivée d'Isaac Hadjar,
00:27:07c'est intéressant.
00:27:08Tu le connaissais lui ?
00:27:09Oui, parce que je regarde
00:27:10un petit peu la Formule 2.
00:27:11Mais c'est un...
00:27:12Il n'a pas été loin du titre
00:27:13aussi l'année dernière.
00:27:14Donc c'est un gamin.
00:27:15Il a une gueule d'ange
00:27:16comme ça.
00:27:17Mais il a un caractère.
00:27:18C'est un vrai gagneur.
00:27:19Il déteste perdre.
00:27:20Il a une vraie personnalité.
00:27:21C'est pour ça
00:27:22que l'arrivée
00:27:23dans la deuxième équipe
00:27:24de Red Bull
00:27:25et,
00:27:26enfin Eric le dit,
00:27:27l'équipe Red Bull
00:27:28avec Helmut Marco,
00:27:29ils ne blaguent pas non plus.
00:27:34Sa vraie progression,
00:27:35elle est là.
00:27:36Savoir gérer ses émotions
00:27:37et comment vivre aussi
00:27:38le fait d'être des fois,
00:27:39de jouer pour l'équipe
00:27:40et pas forcément pour lui.
00:27:41Donc...
00:27:42Ça ne parle pas
00:27:43d'un grand champion.
00:27:44T'as des personnalités
00:27:45comme ça aussi.
00:27:46Il a déjà roulé
00:27:47avec les voitures Red Bull.
00:27:49Il est dans sa progression.
00:27:51Mais j'en attends
00:27:52beaucoup de lui, vraiment.
00:27:53Oh, la pression.
00:27:54Ça fait du bien.
00:27:55On t'appelle
00:27:56le petit proste.
00:27:57Il y a une raison aussi.
00:27:58De l'NBA,
00:27:59maintenant,
00:28:00si tu le veux bien,
00:28:01Pierre,
00:28:02en mode...
00:28:03Oui, t'as le choix.
00:28:04Wembley,
00:28:05en mode All-Star,
00:28:06c'était face
00:28:07au Atlanta Hawks
00:28:08de Zachary Zaché.
00:28:09C'était les deux derniers
00:28:10premiers de draft français
00:28:11qui s'affrontaient finalement.
00:28:12Wembley était incroyable.
00:28:13Il y a 42 points,
00:28:14donc quelques highlights
00:28:15pour lui-même
00:28:16avec la planche.
00:28:1742 points
00:28:18donc pour Wembley.
00:28:196 rebonds,
00:28:204 contres
00:28:21et quelques passes
00:28:22aussi bien sentis
00:28:23pour le pivot star
00:28:24des Spurs
00:28:25qui permet à son équipe
00:28:26de l'emporter
00:28:27133 à 126.
00:28:28Regardez-moi ce contre.
00:28:294 contres dans le match.
00:28:30Zachary Zaché
00:28:31en face aura mis
00:28:329 petits points.
00:28:3314 victoires pour les Spurs
00:28:34qui sont 11e à l'Ouest.
00:28:35Prochain match,
00:28:36ce sera contre Portland
00:28:37dimanche.
00:28:38D'autres français
00:28:39se sont illustrés
00:28:40hier soir en NBA.
00:28:41Je pense notamment
00:28:42à Bilal Koulibaly
00:28:43ou encore
00:28:44Alexandre Sarr
00:28:45avec les Washington Wizards
00:28:46qui ont gagné,
00:28:47enfin,
00:28:48qui ont regagné
00:28:49un match.
00:28:50Victoire
00:28:51pour Charlotte.
00:28:52Victoire 123 à 114.
00:28:53Vous avez vu
00:28:54ce dunk magnifique.
00:28:55L'allée hoop
00:28:56pour Brooklyn.
00:28:57C'est un dunk
00:28:58magnifique.
00:28:59C'est un dunk
00:29:00magnifique.
00:29:01L'allée hoop
00:29:02pour Bilal Koulibaly
00:29:03qui aura inscrit, lui,
00:29:0414 points
00:29:05contre Charlotte.
00:29:06Il a ajouté 7 rebonds
00:29:07et 5 passes.
00:29:08Mais Alexandre Sarr,
00:29:09vous allez le voir
00:29:10juste là,
00:29:11merci beaucoup,
00:29:12a inscrit, lui,
00:29:1319 points
00:29:14et effectué 9 rebonds
00:29:15aussi dans cette partie.
00:29:164e victoire seulement
00:29:17de la saison
00:29:18pour Washington.
00:29:19Prochain match,
00:29:20ce sera dimanche
00:29:21contre les Bucks
00:29:22de Giannis Antetokounmpo.
00:29:23En Euroleague,
00:29:24maintenant,
00:29:25Monaco a sombré
00:29:26contre le Real Madrid.
00:29:27Défaite 94
00:29:28à 72
00:29:29pour les Monégasques.
00:29:30C'est la première défaite
00:29:31lors des 4 derniers matchs
00:29:32d'Euroleague.
00:29:33Ils étaient privés
00:29:34d'Elio Kobo,
00:29:35malade.
00:29:36Mais Mike James
00:29:37a essayé,
00:29:38tant bien que mal,
00:29:39de recoller au score
00:29:40avec ses 19 points
00:29:41au total.
00:29:42Monaco a longtemps,
00:29:43longtemps,
00:29:44longtemps couru
00:29:45après le score
00:29:46sur le plan défensif.
00:29:47Monaco a eu
00:29:48beaucoup de difficultés
00:29:49à cadrer
00:29:50ce garçon,
00:29:51Moussa,
00:29:52qui a marqué
00:29:5322 points
00:29:54dans le match.
00:29:55Prochain match
00:29:56pour les Monégasques,
00:29:57ce sera donc
00:29:58en décembre.
00:29:59Une image
00:30:00terrible,
00:30:01maintenant,
00:30:02à vous montrer.
00:30:03Elle concerne
00:30:04le pivot français
00:30:05du Panathinaikos,
00:30:06Mathias Lessord,
00:30:07qui s'est gravement
00:30:08blessé hier
00:30:09contre les Espagnols
00:30:10du Vitoria.
00:30:11Âme sensible,
00:30:12s'abstenir,
00:30:13vraiment,
00:30:14les images sont
00:30:15choquantes.
00:30:16Vous allez le voir
00:30:17sur ce qu'on va
00:30:18vous montrer.
00:30:19Il va tenter
00:30:20de récupérer
00:30:21le ballon,
00:30:22mais la réception
00:30:23va être terrible
00:30:24pour lui.
00:30:25Il va retomber
00:30:26sur sa jambe gauche.
00:30:27La rencontre
00:30:28a dû être
00:30:29interrompue.
00:30:30Il a été opéré ce matin
00:30:31d'une fracture
00:30:32du perronné gauche
00:30:33et devrait,
00:30:34selon la presse grecque,
00:30:35manquer les 4 prochains
00:30:36mois de compétition.
00:30:37Les images sont
00:30:38vraiment terribles.
00:30:39Mathias Lessord
00:30:40a communiqué sur ses
00:30:41réseaux sociaux
00:30:42après le match
00:30:43ce qui ne tue pas
00:30:44à rendre plus fort.
00:30:45Merci pour tous
00:30:46vos messages
00:30:47et vos prières.
00:30:48On lui souhaite
00:30:49bien évidemment
00:30:50un prompt rétablissement.
00:30:51Fredo, je crois
00:30:52que tu as déjà eu
00:30:53ce genre de blessure.
00:30:54Est-ce que tu peux
00:30:55nous raconter un petit peu ?
00:30:56Dans mes souvenirs,
00:30:57le perronné,
00:30:58c'est 3 mois,
00:30:593-4 mois d'arrêt.
00:31:00Après, le perronné,
00:31:01ça dépend où est la fracture,
00:31:02ça dépend comment
00:31:03c'est morcelé ou pas,
00:31:04ça dépend si tu as besoin
00:31:05d'une opération.
00:31:06C'est déjà ça qui joue.
00:31:07Est-ce que l'os a bougé
00:31:08beaucoup ?
00:31:09Si jamais il y a
00:31:10plein de petits morceaux,
00:31:11c'est très compliqué.
00:31:12Après, la chance,
00:31:13entre guillemets,
00:31:14si c'est une fracture
00:31:15du perronné,
00:31:16c'est qu'il y a le tibia
00:31:17qui est solide
00:31:18et le tibia sert
00:31:19comme une attelle.
00:31:20C'est-à-dire que le perronné
00:31:21va pouvoir se poser
00:31:23Il y a ça,
00:31:24et après,
00:31:25c'est quel niveau dans la jambe
00:31:26par rapport à la cheville.
00:31:27Si c'est vraiment proche,
00:31:28ça peut être très long.
00:31:29Si l'articulation est touchée,
00:31:30il y a plein d'éléments.
00:31:31Par contre,
00:31:32par expérience aussi,
00:31:33une fracture,
00:31:34c'est toujours moins compliqué
00:31:35qu'une articulation
00:31:36ou qu'un croisé.
00:31:37Quand c'est un ligament
00:31:38qui est explosé,
00:31:39il faut refaire l'articulation.
00:31:40C'est beaucoup plus compliqué.
00:31:41C'est très impressionnant,
00:31:42mais ce n'est pas forcément
00:31:43ce qu'elle tue.
00:31:44Une fissure,
00:31:45c'est une plaque.
00:31:46Il y en a beaucoup.
00:31:47Je ne vais pas comparer
00:31:48à la blessure de Le Sors,
00:31:50qui sont justement
00:31:51des brèches dans l'os.
00:31:52Ils sont beaucoup plus compliqués
00:31:53à traiter sur le temps
00:31:54plutôt qu'il y en a même
00:31:55qui cassent
00:31:56pour pouvoir mettre
00:31:57une plaque derrière.
00:31:58Donc,
00:31:59il faut essayer
00:32:00de trouver du positif
00:32:01dans le malheur.
00:32:02J'espère que ça aura pu
00:32:03être encore pire.
00:32:04On ouvre maintenant
00:32:05la page sport d'hiver
00:32:06dans cette planète sport
00:32:07avec la quatrième étape
00:32:08de la Coupe du monde
00:32:09de ski-boss
00:32:10à Bakouriani,
00:32:11en Géorgie,
00:32:12et la victoire du français
00:32:13Ben Cavey en finale.
00:32:14Il n'avait plus gagné
00:32:15une étape de Coupe du monde
00:32:16depuis quatre ans.
00:32:17On va revivre
00:32:18sa course
00:32:19avec Bertrand Puchot
00:32:20et Marie Martineau
00:32:21aux commentaires.
00:32:23Ben Cavey, lui,
00:32:24est notre tête d'affiche
00:32:25depuis de nombreuses années.
00:32:26Ben Cavey,
00:32:27vice-champion du monde
00:32:28de victoire en Coupe du monde.
00:32:29Et pourquoi pas
00:32:30une troisième aujourd'hui ?
00:32:31Allez, le back full.
00:32:32Très bien, très bien.
00:32:33Très beau back full.
00:32:34Magnifique, belle amplitude.
00:32:35Allez, il lâche
00:32:36un petit peu plus là.
00:32:37Il est bien, il est bien.
00:32:38Encore une fois.
00:32:39Allez, c'est pour toi
00:32:40mon Ben aujourd'hui là.
00:32:41Allez, allez,
00:32:42chercher en bas
00:32:43une grosse figure.
00:32:44Ben Cavey,
00:32:45il est parfait Ben Cavey !
00:32:46Oui, oui, je suis spectatrice,
00:32:47tout le monde pleure.
00:32:48Allez, oui, devant.
00:32:49Il est parfait,
00:32:50il est magnifique.
00:32:5125 secondes 60
00:32:52pour Ben Cavey.
00:32:53La technique de ski
00:32:54dans la bosse
00:32:55est parfaite.
00:32:56Les sauts sont parfaits.
00:32:58Le premier podium
00:32:59de Ben Cavey
00:33:00lui tend les bras.
00:33:01J'ai envie de pleurer.
00:33:14Alors, on a la chance
00:33:15d'être en direct
00:33:16avec Ben déjà.
00:33:17Allez !
00:33:19Il est où ?
00:33:20Il arrive, il arrive.
00:33:21Salut Ben.
00:33:22Bravo !
00:33:23D'abord, félicitations
00:33:24pour ta victoire.
00:33:25Je me disais tout à l'heure
00:33:26que ça faisait 4 ans
00:33:27que tu avais pu gagner
00:33:28une course en Coupe du Monde.
00:33:29J'imagine que c'est
00:33:30un énorme soulagement
00:33:31pour toi aujourd'hui.
00:33:34Oui, c'est vraiment
00:33:35un soulagement
00:33:36et je me sens vraiment bien
00:33:37cet hiver.
00:33:38Sur les skis,
00:33:39je me sens bien.
00:33:40Dans ma tête,
00:33:41je me sens vraiment bien.
00:33:42Donc, je me sens capable
00:33:43de le répéter
00:33:44et c'est ça le plus important.
00:33:46On a perdu Marie Martineau
00:33:47aux commentaires.
00:33:48Tu l'avais au bord des larmes.
00:33:49Il y avait beaucoup d'émotions.
00:33:50Pierre Boubier,
00:33:51tu as vibré toi aussi.
00:33:52Alors, j'ai vibré
00:33:53mais surtout,
00:33:54c'est l'une des disciplines
00:33:55qui m'impressionne le plus.
00:33:56C'est vrai ?
00:33:57Parce que je me demande
00:33:58comment tu fais
00:33:59pour ne pas finir en fauteuil
00:34:00avec des genoux
00:34:01qui tapent comme ça tout le temps.
00:34:02Je ne sais pas
00:34:03s'il y a des séquelles après
00:34:04ou comment tu bosses ça.
00:34:05Tu as des cuisses
00:34:06de mammouth en fait.
00:34:07Comment tu fais ?
00:34:08Je bosse les bosses.
00:34:09Oui, du coup,
00:34:10il y a énormément
00:34:11de préparation physique.
00:34:12Mais moi, il faut savoir
00:34:13que je ne me suis jamais
00:34:14fait mal aux genoux.
00:34:15Il y a le dos aussi
00:34:16qui prend très cher.
00:34:17Il y a beaucoup d'impact.
00:34:18Mais c'est cool.
00:34:19Michael Kingsbury,
00:34:20lui, il a 32 ans.
00:34:21Moi, j'en ai 30.
00:34:22Donc, on est en train
00:34:23de montrer,
00:34:24on est une génération
00:34:25qui est en train de montrer
00:34:26que c'est possible
00:34:27de faire du ski de bosse,
00:34:28d'avoir une carrière longue
00:34:29avec la bonne préparation physique,
00:34:30la bonne technique de ski.
00:34:31C'est tout à fait possible.
00:34:32Tu me dis si je me trompe
00:34:33mais votre prépa,
00:34:34c'est uniquement
00:34:35du gainage de la muscu,
00:34:36du dos, du…
00:34:37Du pirouette un peu quand même.
00:34:38Non, mais oui,
00:34:39il y a de la technique.
00:34:40Mais ce que je veux dire,
00:34:41c'est qu'il faut préparer ton corps
00:34:42pour être bon techniquement.
00:34:43Tu es obligé.
00:34:44Et oui, exactement.
00:34:45Donc, la préparation physique,
00:34:46c'est la moitié du travail.
00:34:47C'est d'enlever les tensions,
00:34:48d'enlever toutes les douleurs
00:34:49qu'on peut avoir.
00:34:50Et beaucoup de travail est mis
00:34:51pour éviter la blessure.
00:34:52Et une fois que ça s'est fait,
00:34:53là, on peut se concentrer
00:34:54sur la performance.
00:34:55Mais un skieur en forme,
00:34:56c'est un skieur
00:34:57qui performe.
00:34:58On peut revenir
00:34:59sur la réparation physique.
00:35:00Est-ce qu'il y a
00:35:01de la réparation physique
00:35:02dans le corps ?
00:35:03Est-ce qu'il y a
00:35:05Un skieur en forme,
00:35:06c'est un skieur
00:35:07qui performe.
00:35:08On peut revenir sur
00:35:09la réception du deuxième saut.
00:35:10Je ne suis pas une grande spécialiste,
00:35:11mais j'ai l'impression
00:35:12que la réception,
00:35:13tu ne peux pas faire
00:35:14plus parfait que ça.
00:35:15Je crois que c'est le d-spin.
00:35:16C'est ça, Ben ?
00:35:17Je ne dis pas de bêtises ?
00:35:18C'est un run d-spin.
00:35:19Regarde.
00:35:20Regarde.
00:35:21Il y a une autre technique et tout.
00:35:22Non mais regarde.
00:35:23Ça colle à la neige,
00:35:24ça ne rebondit pas.
00:35:25Tu me confimes.
00:35:26C'est une réception d'école
00:35:27que tu me les as montrées
00:35:28ou c'est normal pour toi ?
00:35:29Je suis vraiment content
00:35:30que tu le remarques
00:35:34Les réceptions nous coûtent très cher parce que si on fait une mauvaise réception, ça nous enlève des points aussi bien sur la note de ski que la note de saut.
00:35:43C'est vraiment un point essentiel pour nous.
00:35:45C'est un 20 sur 20 si j'étais dans le jury.
00:35:47Fred Lecanu !
00:35:48J'avais une question dans la continuité de ce que t'as demandé Pierre sur la partie musculation, préparation physique, etc.
00:35:53Toutes ces parties-là, ok, mais les sauts, est-ce que vous les préparez en dehors du monde du ski ?
00:35:58Est-ce que vous êtes dans le monde des gymnastes ? Est-ce que vous allez dans les fosses pour préparer ces sauts-là ou est-ce que c'est exclusivement sur la neige ?
00:36:05Oui, exactement. Nous, on travaille beaucoup en trampoline d'abord et après, on a des tremplins qui arrivent dans l'eau.
00:36:11Tout l'été est passé là-dessus pour avoir les repères dans l'espace.
00:36:16Les figures qu'on fait ne sont pas si compliquées, mais quand on les fait dans les bosses, ça devient vraiment très compliqué parce que l'enchaînement entre les deux est très rapide.
00:36:25On est obligé de poser pile au bon endroit. Si on est trop à gauche, trop à droite, trop loin, là on est dans les bosses.
00:36:30Et là, c'est la chute assurée. Nos sauts deviennent très complexes quand elles sont réalisées dans les bosses.
00:36:37Benj, j'ai une petite question. Est-ce que cette victoire va te servir de déclic mentalement ? Est-ce que ça t'a libéré ? Il y a un poids qui s'est libéré pour toi ?
00:36:48Après, c'est vraiment dans la continuité de ma saison. J'ai eu deux quatrièmes places sur les deux premières Coupes du Monde avec une victoire sur une des premières finales.
00:36:59C'est clair que ça valide vraiment ma façon de me préparer cette année. En fait, cet hiver, je suis concentré sur le travail que j'ai à faire.
00:37:08Je ne suis pas concentré sur mes pensées, je ne suis pas concentré sur ce que je ressens.
00:37:13Parce qu'en fait, une journée de course, on passe par toutes les émotions. Il y a des moments de doute. Parfois, on se voit sortir de la piste, on se voit tomber.
00:37:20Mais en fait, maintenant, ce n'est pas très grave pour moi. Maintenant, je reviens juste à être concentré sur ma descente et ça marche très très bien.
00:37:28Et pour une fois, le roi du week-end, ça n'a pas été Périne Laffont. Ça a été Ben Cave, parce que d'habitude, dans ce qui danse, forcément, c'est la queen.
00:37:35Elle aussi, elle était à Bakouriani en Géorgie comme toi. Elle a fait deuxième, c'est ça Juju ?
00:37:40Un petit podium, comme si c'était facile à faire. Un beau podium, mais on la connaît, habituée avec son dossard de maillot jaune de leader.
00:37:48On est habitué à mieux, j'ai envie de dire, de la part de Périne. Mais ça fait du bien que ce ne soit pas toujours elle qui trotte le haut des places.
00:37:53C'était ton tour ce week-end Ben.
00:37:56Pour Périne, c'est top de la voir de retour. Elle a fait la saison dernière off. C'est une décision qui est dure à prendre.
00:38:04Et là, on voit que ça paye. Elle est déjà maillot jaune cette année. Retour en force.
00:38:09Ce sera bientôt ton tour le maillot jaune, parce que tu es juste deuxième derrière le roi Kingsbury. Demain, ça continue.
00:38:14Tu pensais que c'était fini, qu'il était au repos ? Pas du tout. Demain, il y a la même chose. En parallèle, on a juste mis une petite image prétexte.
00:38:20Tu préfères être en solo ou en parallèle ? En sachant que tu as le mec qui te met la pression à côté.
00:38:26J'ai lancé ma carrière avec le parallèle. J'aime beaucoup ça.
00:38:31Maintenant, c'est une épreuve olympique. Ça sera olympique dès les prochains JO à Milan.
00:38:36Ça me tient vraiment à cœur de briller dans les deux disciplines. J'ai hâte d'être demain aussi.
00:38:43Nous aussi, ce sera dans la station, samedi après-midi, sur la chaîne équipe.
00:38:47Avec, on l'espère, une victoire de Ben Cavet et pourquoi pas de Périne Laffont.
00:38:50Merci Ben, c'est sympa d'avoir été avec nous. Repose-toi bien. Demain, on t'attend.
00:38:53Merci beaucoup. A bientôt.
00:38:55Salut Ben, on en apprend un peu plus sur le ski de bosse et le guêlage, selon Pierre Bouby.
00:38:59Ça continue les sports blancs ?
00:39:01Bien sûr. Après le ski de bosse, on va faire du ski de crosse.
00:39:04L'équipe de France a brillé en Italie, à Énichen.
00:39:07Notamment, Yuri Duplessis, que vous voyez à gauche de votre écran, qui a terminé deuxième dans le tableau masculin.
00:39:14Une course remportée par l'allemand Florian Wilsmann, le français de 28 ans,
00:39:19monte pour la dixième fois de sa carrière sur le podium.
00:39:24Il fallait le noter puisque l'étape précédente avait été un peu plus compliquée pour Yuri Duplessis
00:39:28et pour Terrence Cicnavourian, qui s'est arrêté en quart de finale de cette épreuve italienne.
00:39:34Dans le tableau féminin...
00:39:36Il était devant là, comment il n'a pas pu finir devant ?
00:39:38Il s'est fait dépasser.
00:39:40Ah c'est là !
00:39:41Et là c'est fini, il n'est plus devant.
00:39:43Terrible ce sport.
00:39:44Dans le tableau féminin, la troisième place pour Marielle Berger-Sabatelle.
00:39:49La française s'est accrochée face à la concurrence.
00:39:53Elle a aussi profité de la faute de la canadienne Chérette pour se placer en troisième position.
00:39:59Marielle Berger-Sabatelle, c'est la deuxième du classement général de la saison dernière.
00:40:03Elle renoue avec le podium depuis celui d'Idrufal.
00:40:08C'était le 23 mars dernier en Suède, donc ça faisait un moment qu'elle n'était plus montée sur le podium.
00:40:13Dans la petite finale, Mylène Balébaze a terminé quatrième.
00:40:18Les français remettent ça dès demain.
00:40:20A partir de 13h, c'est à suivre sur l'équipe live du MMA.
00:40:25Maintenant, à vous proposer dans cette planète sport,
00:40:28avec le duel très attendu entre le français Saladin Parnas et Wilson Varela.
00:40:34Parnas, c'est lui que vous voyez à l'écran.
00:40:36C'est le Mbappé du MMA, double champion du KSW.
00:40:39Le KSW, c'est une organisation européenne de MMA.
00:40:42Il détient les ceintures des poids plumes et des poids légers.
00:40:45Il est natif d'Aubervilliers, Saladin Parnas qui a la casquette à l'envers.
00:40:48Face à lui, Wilson Varela est marseillais.
00:40:51Ça fait un classique dans cette finale du MMA.
00:40:55Ils se connaissent très bien, ils s'apprécient énormément.
00:40:58Ce n'est que du folklore.
00:41:01Ils se sont déjà entraînés ensemble.
00:41:04Le combat se déroule ce soir.
00:41:06C'est un gros combat pour le MMA français.
00:41:08Ça se déroule du côté de la Défense Arena.
00:41:12Tu veux me dire quelque chose ?
00:41:14Comme ils se connaissent bien, c'est un enjeu dans le sport de combat.
00:41:19Quand tu te connais très bien comme ça, il faut se surprendre.
00:41:22J'ai hâte de savoir s'ils vont réussir à se surprendre.
00:41:24Quand tu as deux compatriotes sur une équipe de France de judo,
00:41:27ça peut nuire au spectacle.
00:41:29Je trouve que l'enjeu, c'est ça.
00:41:31Est-ce que le fait qu'ils se connaissent bien,
00:41:33ils vont réussir à trouver des choses un peu inédites ?
00:41:36C'est la surprise que j'attends de voir.
00:41:38Est-ce qu'ils vont arriver à se surprendre ?
00:41:40C'est une très bonne question.
00:41:42Je te dirai ça ce soir.
00:41:44Je vais y aller.
00:41:46Je veux aussi y aller.
00:41:48C'est super.
00:41:50On parle de le soiré ou quoi ?
00:41:52Pas du tout, c'est pas ça.
00:41:54On va rester dans les sports de combat.
00:41:56Pour parler maintenant de boxe.
00:41:58Avec un énorme choc qui s'annonce samedi soir
00:42:00entre les deux poids lourds.
00:42:02Tyson Fury et Alexandre Huzy.
00:42:04C'est la revanche en Arabie Saoudite à Riyad.
00:42:08Hier, c'était le face-à-face
00:42:10entre les deux colosses.
00:42:12Le face-à-face a été intense, long, très long.
00:42:14Il a duré 11 minutes et 20 secondes.
00:42:16Le tout sans dire un mot.
00:42:18Ils sont restés 11 minutes comme ça ?
00:42:20On ne va pas regarder les 11 minutes ?
00:42:22Moi, Fred, j'adore cette tension.
00:42:24Vraiment, dans ce face-à-face.
00:42:26C'est quoi ton prono pour demain ?
00:42:28Il y a deux choses.
00:42:30La première, on se connaît suffisamment
00:42:32pour que je te donne mon vrai avis.
00:42:34C'est tout ce qui est trash talk,
00:42:36organisation avant.
00:42:38J'ai jamais été très fan.
00:42:40Après, c'est le jeu.
00:42:42C'est la culture.
00:42:4411 minutes, ça n'a aucun sens.
00:42:46Pour le coup, c'est la première fois
00:42:48depuis très longtemps que j'ai regardé
00:42:50les deux et j'étais...
00:42:52T'as regardé les 11 minutes ?
00:42:54J'ai regardé et je me dis
00:42:56quand est-ce que ça s'arrête ?
00:42:58La tension n'était pas artificielle.
00:43:00Pour une fois, c'était pas organisé.
00:43:02Et qui a craqué ?
00:43:04Les deux se regardent.
00:43:06Il n'y a pas de mot, c'est pas artificiel.
00:43:08Là, c'est un vrai combat.
00:43:10D'habitude, t'es toujours en train
00:43:12de rajouter des lumières, des trucs.
00:43:14Moi, j'ai beaucoup de mal.
00:43:16Là, ça m'a ramené à l'essence
00:43:18première de l'animalité.
00:43:20Les gars, ils ne lâchent rien.
00:43:22Fury, il est affûté de dingue.
00:43:24Il est prêt.
00:43:26Je connais suffisamment
00:43:28ta connaissance de la boxe
00:43:30pour que tu sois un musicien.
00:43:32Fury, je le sens.
00:43:34Le vrai enjeu, c'est
00:43:36est-ce qu'il a retrouvé de sa superbe ?
00:43:38Il a des fois manqué de respect à ses adversaires
00:43:40en arrivant très empatté et pas du tout dedans.
00:43:42Plus pour l'argent que pour l'or.
00:43:44Je trouve que le vrai enjeu, c'est ça.
00:43:46Si c'est un grand Fury, ça peut être un combat d'anthologie.
00:43:48Celui-là, il faut se réveiller,
00:43:50il faut le regarder.
00:43:52Je pense que Fury, si vraiment il est affûté,
00:43:54alors je sais que toi, tu seras pour Usik.
00:43:56Je donne rendez-vous.
00:43:58Je vois mal Fury
00:44:00terracier Usik.
00:44:02Je ne vois pas comment Fury va pouvoir attraper Usik.
00:44:04On en reparlera en 2025.
00:44:06En ce moment,
00:44:08c'est le championnat du monde de fléchettes
00:44:10qui se déroule en Angleterre.
00:44:12Vous pouvez suivre ça sur la chaîne Nikit.
00:44:14On vous dit souvent que ce sont des moments
00:44:16assez exceptionnels à vivre devant la télévision
00:44:18et même pour les joueurs de fléchettes.
00:44:20Petite amuse-bouche,
00:44:22on va vous montrer la plus belle manche
00:44:24de l'histoire du championnat du monde
00:44:26de fléchettes.
00:44:28Franchement, ça met les poils.
00:44:58C'est incroyable.
00:45:28Wow, le championnat du monde.
00:45:30Michael Van Geurwen.
00:45:32Il est sur la main.
00:45:34Dans le championnat du monde.
00:45:36Il a juste perdu le double 12.
00:45:38C'est à toi, Michael.
00:45:40Je n'ai jamais vu ça.
00:45:42Allez, mon garçon.
00:45:44Oui, le double 12.
00:45:46C'est le plus incroyable
00:45:48que j'ai jamais vu.
00:45:50Je ne peux pas me cacher.
00:45:52Je ne peux pas me cacher.
00:45:58Rendez-vous ce soir à 21h
00:46:00avec Hamza Rahmani
00:46:02et Swan Borsellino.
00:46:04Je veux voir la même chose.
00:46:06Je veux un nine darter ce soir.
00:46:08Et les mêmes commentaires.
00:46:10Ce sera version française.
00:46:12On fera de notre mieux.
00:46:14Tu ne vas pas t'ennuyer.
00:46:16C'est pour ça.
00:46:18Les compétences,
00:46:20c'est pour ça.
00:46:22Les compétences, c'est pour ça.
00:46:24Les compétences, c'est pour ça.
00:46:26C'est pour ça.
00:46:28On va voir d'autres émotions
00:46:30avec une autre discipline sportive.
00:46:32C'est le Dakar.
00:46:34On est à 14 jours.
00:46:36Je suis très excitée.
00:46:38Je suis très excitée.
00:46:40Je suis très excitée.
00:46:42Je suis très excitée.
00:46:44Je suis très excitée.
00:46:46Le plus grand rallye red au monde.
00:46:48Le plus grand rallye red au monde.
00:46:50On a eu des copilotes.
00:46:52On a eu des copilotes.
00:46:54Daniel Héléna.
00:46:56Daniel Héléna.
00:46:58Il est avec nous.
00:47:00Il est avec nous.
00:47:02Il est avec nous.
00:47:04Bonjour Daniel.
00:47:06Bonjour Daniel.
00:47:08Bonjour Daniel.
00:47:10Comment tu as réagi quand on t'a proposé
00:47:12de rejoindre l'équipe pour suivre le Dakar ?
00:47:14de rejoindre l'équipe pour suivre le Dakar ?
00:47:16Comment tu as réagi ?
00:47:18J'ai réfléchi un tout petit peu.
00:47:20J'ai réfléchi un tout petit peu.
00:47:22J'ai sauté de joie.
00:47:24J'ai sauté de joie.
00:47:26L'Arabie Saoudite, ce n'est pas le meilleur endroit.
00:47:28L'Arabie Saoudite, ce n'est pas le meilleur endroit.
00:47:30Je suis un bon vivant de base.
00:47:32Je suis un bon vivant de base.
00:47:34C'est un vrai challenge.
00:47:36C'est une passion que j'aime.
00:47:38C'est une passion que j'aime.
00:47:40C'est une passion que j'aime.
00:47:42Je valide complètement ses propos.
00:47:44Je valide complètement ses propos.
00:47:46Je valide complètement ses propos.
00:47:48Je valide complètement ses propos.
00:47:50J'ai 9ème, 2ème, j'ai abandonne, 3ème.
00:47:52J'ai 9ème, 2ème, j'ai abandonne, 3ème.
00:47:54C'est quoi le 5ème ?
00:47:56C'est encore abandonne.
00:47:58C'est encore abandonne.
00:48:00Vous n'êtes pas passé loin.
00:48:02Vous n'êtes pas passé loin.
00:48:04Quel souvenir t'en as ?
00:48:06Quel souvenir t'en as ?
00:48:08J'ai de super souvenirs.
00:48:10J'ai connu que ce soit l'Argentine
00:48:12ou l'Arabie Saoudite.
00:48:14J'ai connu que ce soit l'Argentine
00:48:16ou l'Arabie Saoudite.
00:48:18ce n'est que des bons souvenirs et puis c'est une discipline qui est atypique.
00:48:24Danos, on ne t'a pas briefé, il y a des enfants qui nous regardent, il est 17h44, on va faire attention.
00:48:30Avec moi le corps de fils, comme on voulait que je l'appelle.
00:48:33En tout cas évidemment qu'on va t'attendre aussi sur les perfs de Seb Ladd que tu connais par cœur
00:48:37pour avoir à passer des années à ses côtés, on le rappelle, 9 titres de champion du monde.
00:48:41Ce sera sa 9e tentative sur le Dakar, maintenant il est avec son copilote belge Fabien Lurquin.
00:48:45Est-ce qu'il peut le faire cette année ? Parce que lui aussi il tourne autour depuis un moment.
00:48:51Tous les ans il part pour ça, je le connais.
00:48:54Maintenant j'espère qu'il a mis un petit peu d'eau dans son vin et qu'il va apprendre à ralentir un petit peu
00:48:58parce que ça a toujours été sa marque de fabrique.
00:49:01Seb c'est toujours pas plus qu'à fond mais voilà il a l'expérience, Fabien il a l'expérience aussi.
00:49:06Je veux dire maintenant la voiture est nouvelle, ils ont dans leur équipe leur plus gros adversaire
00:49:11donc ça va toujours être chaud mais il n'y a pas de raison que ça n'aille pas au bout.
00:49:15La serre à la tia avec Edouard Boulanger, le copilote qu'on avait hier.
00:49:18Tu as un regard critique sur les autres copilotes, est-ce que tu ne peux pas t'empêcher de dire
00:49:21moi je n'aurais pas fait ça, moi à la place j'aurais fait une autre truc ?
00:49:26Alors franchement c'est un truc qu'on ne peut pas avoir parce que quand on est là-bas,
00:49:29on est seul au bout du monde, on est seul à tourner en rond et quand on voit une autre voiture
00:49:33qui tourne aussi en rond, on dit bah ça va j'ai pas fait de la merde, on y est deux.
00:49:37Et c'est toujours pas évident.
00:49:40On va bien se marrer en tout cas, vous avez compris qu'avec Dano sur le plateau.
00:49:43Des petites questions ou pas sur son expertise ?
00:49:45Pierrot je sais que tu es à fond Dakar.
00:49:47Je vais poser un peu la même que j'avais posé à Luc, c'est-à-dire que cette nouvelle voiture
00:49:51avec Sébastien Loeb en fait un favori avec le rallye du Maroc.
00:49:54Est-ce que tes sensations aussi par rapport à ce nouveau binôme,
00:49:58comment est-ce que tu sens le truc, toi la sensation que tu as ?
00:50:04La voiture elle est nouvelle, du moins elles ont des bonnes bases,
00:50:07après ils ont créé pas mal de trucs tout autour.
00:50:09Comme j'ai dit l'autre jour en débrief, il n'y a pas qu'eux qui sont neufs,
00:50:13il y a aussi Ford qui arrive avec une voiture neuve.
00:50:15Donc voilà, où il y a les plus gros favoris, c'est où il y a les voitures les plus récentes,
00:50:20mais peut-être les moins fiables.
00:50:21Donc maintenant on va regarder, Dakar c'est toujours long.
00:50:24Comme on a un vieux dicton, Dakar est encore loin,
00:50:27donc chaque jour il faudra se remettre en question je pense.
00:50:30Ça te va ?
00:50:31Ouais bah je vais finir sur ces belles paroles, bravo philosophe.
00:50:33C'est pas mal hein ?
00:50:34Bon on a hâte de le retrouver en tout cas.
00:50:35Danos on te retrouve le 3 janvier, donc tous les midis dans le Grand Direct.
00:50:38Vous savez qu'on a quatre gros rendez-vous tous les jours,
00:50:40le midi, l'après-midi, le soir, on sera tout le temps là.
00:50:42Et Daniel lui ce sera ici le midi en plateau.
00:50:44On t'accueillera bien mon Danos.
00:50:45On a du café, il y a Pierre Bouilly qui t'emmènera.
00:50:47À midi pour me mettre à la diète, c'est ça.
00:50:49Ouais, 11h50 on commencera pour y aller en douceur.
00:50:52Salut Danos, merci, on a hâte de voir ce Dakar avec toi.
00:50:57Je vous promets qu'il y aura une bonne ambiance.
00:50:59En tout cas, à mon avis, il y aura un pot de départ.
00:51:01Je ne suis pas sûr, mais je crois qu'à la fin du Dakar, il y aura un truc.
00:51:06Tiens, puisqu'on est dans l'ambiance Dakar,
00:51:08ça vous intéresse de savoir ce qu'il y a dans la valise d'un pilote ?
00:51:10Surtout toi.
00:51:11Mais oui, c'est intéressant quand même.
00:51:12Tu n'auras pas envie de savoir ce qu'ils ont là ?
00:51:13Je me doute qu'ils ne vont pas y aller avec un maillot de bain par exemple.
00:51:16Attendez, véridique, j'ai appris que les caleçons étaient interdits.
00:51:19Parce qu'ils ne sont pas unifugés par dit.
00:51:21Donc sous la combi, tu ne dois pas avoir de caleçon.
00:51:23On dit entre nous, personne n'est au courant.
00:51:25Et comment vous avez recueilli ces informations ?
00:51:28Et comment ça se passe en dessous alors ?
00:51:30Je n'en sais rien, ils ont un caleçon infugé, collant, je n'en sais rien.
00:51:34Pardon, on s'égare.
00:51:35Adrien Van Beveren, le pilote, le motard,
00:51:38qui a fini 3e de la dernière édition,
00:51:40qui est actuellement vice-champion du monde du rallye red en moto.
00:51:43Il nous a envoyé une petite vidéo.
00:51:44Qu'est-ce qu'il y a dans la valise d'Adrien ? On regarde.
00:51:46Salut à tous.
00:51:47France m'a demandé par surprise de vous montrer ce que j'emmenais dans mes bagages.
00:51:50Donc là, j'ai trois sacs et je vous en montre une partie.
00:51:54Une casquette pour être un peu plus coiffé.
00:51:59J'emmène surtout des compléments, la nourriture lyophilisée.
00:52:03Pour l'étape marathon, c'est pratique.
00:52:05Des compléments, des vitamines.
00:52:07Le petit Kadom pour mes fesses.
00:52:0915 jours de moto, ce n'est pas rien.
00:52:13La partie camelback, les lunettes, des gants.
00:52:15Je change de gants tous les jours.
00:52:17C'est super important pour être bien serré et ne pas avoir d'ampoule.
00:52:20Vous allez découvrir mes couleurs bientôt.
00:52:22Mes genouillères sur mesure.
00:52:24Des sous-vêtements chauds en merino.
00:52:27Super pratique.
00:52:28Et quelque chose d'indispensable.
00:52:31Les voilà, les voilà.
00:52:33On ne les oublie pas.
00:52:34Number 42.
00:52:36C'est son numéro 42.
00:52:38Ce n'est pas un sponsor, c'est son numéro de dossard.
00:52:40Et alors, ton analyse sur ce sac ?
00:52:42Le talc pour les fesses, je ne savais pas.
00:52:44Les gants tous les jours, je ne savais pas.
00:52:45Moi, j'apprends des trucs.
00:52:46Excusez-moi de fouiller un petit peu.
00:52:48Il y avait des sous-vêtements dedans.
00:52:49Oui, mais il n'y fut jamais, je crois.
00:52:51Vous allez retourner à l'enquête.
00:52:53C'est possible.
00:52:55Il n'y a pas qu'Adrien Van Mevrene et Seb Loeb qu'on va suivre.
00:52:57Je sais que côté français, on est très cocorico.
00:52:59Xavier Dessous-le-Très, vainqueur en Buggy l'an passé.
00:53:02Buggy, c'est SSV.
00:53:03Petite image parce qu'il est en pleine répétition.
00:53:05Chez lui, en Auvergne, avant de prendre le départ le 3 janvier.
00:53:08Alors en Buggy, ça secoue.
00:53:10Il n'y a pas de vitre, je vous rappelle.
00:53:11Normalement, ils sont à deux là-dedans.
00:53:12Ça envoie du bois, regarde ça.
00:53:14Et lui aussi, on va le suivre parce qu'il veut défendre son titre.
00:53:17Il y a plein de catégories, on le rappelle.
00:53:19Il y a les camions, il est classique.
00:53:20Et le Buggy, mais regarde comment ça secoue.
00:53:21On parlait du Vendée tout à l'heure.
00:53:23Après, là, il n'est pas dans le désert.
00:53:25Donc, il peut accélérer un peu.
00:53:26Ils sont complètement ravagés.
00:53:30Voilà, le Dakar qui approche, on vous le rappelle.
00:53:32Ce sera le 3 janvier à vivre tous les jours sur la chaîne Équipe.
00:53:34On va sur la planète foot ?
00:53:37Allez, je suis là.
00:53:42Donc, c'est la Coupe de France ce soir.
00:53:4332e de finale de Coupe de France.
00:53:46Avec un match notamment entre les Lillois de Bruno Genesio
00:53:49qui se déplacent en Normandie pour affronter Rouen.
00:53:52Pensionnaire de National, l'équipe de Régis Broard,
00:53:55ancien consultant ici.
00:53:57On va filer sur place pour rejoindre notre envoyé spécial,
00:54:01Timothée Mémon.
00:54:02Salut, Timothée.
00:54:03Salut, Timothée.
00:54:04On se demande souvent si la Coupe de France fait encore rêver.
00:54:07Est-ce que, pour toi, la magie va encore opérer ce soir ?
00:54:14Bonsoir à tous.
00:54:15En termes de magie, on a eu un aperçu de la playlist.
00:54:17On est plus sur la magie de Noël que sur la magie de la Coupe
00:54:20à Robert Duchon, ici à Rouen.
00:54:23On devrait avoir un match, en tout cas intéressant,
00:54:25entre deux équipes très ambitieuses.
00:54:27Un ambitieux de la Ligue 1, cette équipe de Lille,
00:54:29bien structurée, qui a des résultats en Coupe d'Europe,
00:54:31qui veut bien figurer en Coupe de France.
00:54:33Et puis, cette équipe de Rouen, ultra ambitieuse,
00:54:36de par les déclarations de ses nouveaux propriétaires,
00:54:39le propriétaire turc, le président néerlandais,
00:54:42qui fait des promesses à très court terme,
00:54:45d'une idée de voir Rouen en Ligue des champions.
00:54:48Bref, ce sont deux ambitieux qui vont s'affronter ce soir.
00:54:50Après, pour ce qui est de la magie de la Coupe,
00:54:52pour qu'il y ait véritablement magie,
00:54:53il faut un vrai petit pousset et un gros.
00:54:55Alors, le gros, on l'aura.
00:54:57Lille est un gros du Championnat de France.
00:54:59Rouen est une équipe de national.
00:55:00On n'est pas au niveau des Spalli-Saint-Marcel
00:55:02ou des autres équipes du niveau régional ou départemental
00:55:05qui vont jouer ce week-end.
00:55:06Merci beaucoup, Timothée.
00:55:08Pierre, j'ai envie de te demander si, toi,
00:55:10la Coupe de France, elle te fait encore rêver.
00:55:13Alors, en tant que joueur ou...
00:55:15Non, en tant que spectateur.
00:55:16Parce que tu ne joues plus, là.
00:55:17Non, non, parce que je...
00:55:19Merci de lui rappeler.
00:55:20Non, parce que le souvenir des matchs fin décembre
00:55:23ou début janvier, qui étaient affreux, honnêtement,
00:55:25c'est aucun plaisir là-dedans, plus un peu plus tard.
00:55:29Moi, j'ai un peu de mal.
00:55:30J'aime bien l'ambiance et tout,
00:55:32mais j'ai besoin d'avoir un produit...
00:55:34Un scénario.
00:55:35Oui, j'ai besoin d'avoir un produit qui est un peu propre.
00:55:37J'ai le souvenir de regarder des matchs dans la boue
00:55:39avec des fumées de merguez et tout.
00:55:41Et c'est ça aussi la Ligue de France.
00:55:42Bien sûr, mais à regarder, c'est un peu compliqué
00:55:44parce que des exploits, si on les appelle comme ça,
00:55:45c'est une raison.
00:55:46C'est que ça n'arrive pas tous les jours.
00:55:48Donc, bon, un multiplex de Coupe de France en 32e,
00:55:51j'aime bien.
00:55:52Maintenant, je ne vais pas aller regarder...
00:55:5490 minutes de...
00:55:56Tu ne les respectes pas.
00:55:57Mais non, mais attends, je suis honnête.
00:55:59A jouer, c'était une partie de plaisir ou de la souffrance ?
00:56:02A jouer, c'est une partie de plaisir.
00:56:04Quand tu joues une équipe qui est en Ligue 1
00:56:06ou alors tu vas dans le stade où tu n'as pas l'habitude d'y aller.
00:56:09Quand tu es pro et que tu te déplaces...
00:56:12J'ai un souvenir d'un match à Limoges
00:56:14où on est sortis avec Osser,
00:56:15qui avait été absolument insupportable.
00:56:17Mais hâte que ça se finisse.
00:56:19Parce qu'eux, on perd.
00:56:20Eux, ils sont galvanisés.
00:56:21T'entends partout.
00:56:22T'as envie de mourir.
00:56:23T'as les pieds gelés.
00:56:24L'autre, il te marche dessus.
00:56:25T'as un ombre noir.
00:56:26C'est affreux.
00:56:27Mais c'est affreux.
00:56:28La magie de la Coupe de France.
00:56:29Mais là, tu vois, il y a Lille.
00:56:30Ils vont à Rouen.
00:56:31Il y a un beau terrain.
00:56:32Ce n'est pas bon pour Rouen.
00:56:34Parce que ça reste aussi une manière de passer pour un petit club.
00:56:36D'avoir un stade un peu catastrophique.
00:56:38Mais là, dans ces conditions-là,
00:56:40évidemment, c'est un bon match.
00:56:42Fredo, ça te fait encore rêver, toi, la Coupe de France ?
00:56:45Oui, ça me fait rêver.
00:56:46Parce que la Coupe, c'est un peu particulier.
00:56:48Il y a le championnat et la Coupe, c'est la culture de l'Inde.
00:56:51Il y a toujours un match.
00:56:53Tout peut arriver.
00:56:55Et puis, pour avoir travaillé aussi,
00:56:57essayer de comprendre l'univers foot,
00:56:59ça a fait tomber aussi une espèce de représentation.
00:57:01Parce qu'on parle beaucoup du petit poussé.
00:57:03Et c'est ce qu'on dit là avec Rouen.
00:57:04Les petits poussés, ça n'existe pas vraiment.
00:57:08On peut finir cette émission et exprimer ses propos.
00:57:10Ce que je veux dire, c'est que t'as la Ligue 1.
00:57:15Par exemple, dans les sports de combat,
00:57:17celui qui est vraiment moins fort,
00:57:18il y a vraiment des fois des univers.
00:57:19Là, il n'y a pas tant d'univers que ça.
00:57:21C'est-à-dire que d'un point de vue absolu,
00:57:22la différence de Lille et de Rouen,
00:57:25il n'y a pas un cratère.
00:57:27C'est le foot qui permet ça.
00:57:28Oui, c'est ce que je veux dire.
00:57:29Moi, ce que j'ai compris,
00:57:30c'est la puissance du foot dans sa globalité.
00:57:32C'est vrai.
00:57:33C'est-à-dire qu'il y a beaucoup…
00:57:34Une CFA 2 peut taper une Ligue 1.
00:57:35T'as beaucoup de championnats dans d'autres disciplines
00:57:37où quand, par exemple, le numéro 1,
00:57:38il prend le numéro 3, 4,
00:57:39bon, t'as vraiment un delta.
00:57:40Là, Ligue 1, Ligue 2, Nationale, etc.
00:57:43Ça se tient, quoi.
00:57:45Ça peut très, très bien jouer.
00:57:47Le truc, c'est qu'en CFA, en Nationale,
00:57:49il y a des joueurs qui sont passés
00:57:50par des centres de formation
00:57:51pour avoir la même formation
00:57:52ou d'autres qui éclosent un peu plus tard.
00:57:53C'est ce que j'ai compris, oui.
00:57:54Moi, c'est en sac, ça m'excite blindé,
00:57:56la Coupe de France.
00:57:57Ça t'excite blindé ?
00:57:58Vraiment, oui, j'aime beaucoup.
00:57:59Il y a des belles histoires à chaque fois.
00:58:00Il y a des exploits,
00:58:01il y a des one-shots,
00:58:02il y a des surprises.
00:58:03C'est en sac, c'est hyper excitant.
00:58:04C'est pour ça qu'on aime le sport,
00:58:05c'est pour ça qu'on aime le foot.
00:58:06Ça m'excite, ça m'excite blindé.
00:58:08Il y a aussi la Coupe de Belgique,
00:58:09il y a aussi des petits coups.
00:58:10Et la valeur de cette Coupe en Belgique,
00:58:12elle est comment ?
00:58:13Elle est… En vrai, de vrai,
00:58:15ce n'est pas la folie.
00:58:16Ce n'est pas la folie,
00:58:17mais ça reste le grand rendez-vous.
00:58:19Mais à chaque fois,
00:58:20dans les quatre dernières équipes,
00:58:21tu n'as que les quatre équipes
00:58:22qui jouent en première division,
00:58:24de toute manière.
00:58:25Donc, tu n'as rarement des surprises,
00:58:26tu n'as rarement des très belles histoires
00:58:27comme ça,
00:58:28où tu as des petites équipes
00:58:29qui remportent la Coupe.
00:58:30Est-ce qu'il y en a encore des surprises ?
00:58:31Oui.
00:58:32Est-ce qu'il y en a encore des vrais,
00:58:33des trucs surprenants,
00:58:34des grandes finales inattendues ?
00:58:35Rappelle-toi Annecy
00:58:36qui avait éliminé l'OM
00:58:37il n'y a pas…
00:58:38Il y a deux ans.
00:58:39Il y a deux ans.
00:58:40Mais bien sûr,
00:58:41en fait, pour ces joueurs-là,
00:58:42en fait,
00:58:43et j'en ai fait partie,
00:58:44c'est les matchs un peu d'une vie.
00:58:45Moi, j'ai eu la chance
00:58:46de jouer contre le PSG,
00:58:47j'ai eu la chance
00:58:48de jouer contre l'OM.
00:58:49Évidemment que ça te marque à vie.
00:58:50Tu n'essaies pas de passer
00:58:51à côté de ton match
00:58:52et d'être spectateur.
00:58:53Tu essaies d'être acteur du match
00:58:54et après,
00:58:55tu sais ce qui se passe
00:58:56si jamais il y a victoire.
00:58:57Dans l'actualité de la Ligue,
00:58:58je vais vous dire
00:58:59que c'est désormais officiel.
00:59:00Saint-Etienne a un nouvel entraîneur,
00:59:01il s'appelle Eirik Orneland.
00:59:02Il est norvégien.
00:59:03Il succède donc
00:59:04à Olivier Daloglio.
00:59:05Il a signé jusqu'en 2027
00:59:06avec les Verts,
00:59:07avec une année supplémentaire
00:59:08en option.
00:59:09Hier soir,
00:59:10nos copains de l'équipe du soir
00:59:11ont contacté
00:59:12un journaliste français,
00:59:13spécialiste du foot norvégien,
00:59:14Antonin Bardin,
00:59:15qui nous présente
00:59:16un petit peu
00:59:17le nouveau coach
00:59:18de l'équipe du soir.
00:59:19Alors,
00:59:20Antonin Bardin,
00:59:21bonjour.
00:59:23C'est un entraîneur norvégien
00:59:24qui n'a entraîné
00:59:25qu'en Norvège.
00:59:26Il était entraîneur
00:59:27de Brannes.
00:59:28C'est une équipe
00:59:29qu'il a reprise
00:59:30en seconde division
00:59:31norvégienne
00:59:32après une relégation.
00:59:33Et aussitôt,
00:59:34il a eu de très bons résultats
00:59:35parce qu'il a fait
00:59:36remonter l'équipe
00:59:37en première division
00:59:38et il a fini
00:59:39deux fois de suite
00:59:40deuxième
00:59:41en première division.
00:59:42Donc juste derrière
00:59:43Boudoglimt,
00:59:44qui est un club
00:59:45vraiment intouchable
00:59:46et donc c'est un club
00:59:47qui est vraiment
00:59:48un club qui est vraiment
00:59:49un club qui est vraiment
00:59:50un club qui est vraiment
00:59:52C'est un entraîneur
00:59:53vraiment adepte
00:59:54d'un 4-3-3 offensif
00:59:55avec énormément
00:59:56de pressing
00:59:57sur le porteur
00:59:58de balles adverses
00:59:59parce qu'il aime beaucoup
01:00:00les équipes
01:00:01qui jouent collectif.
01:00:02Il est très proche
01:00:03de ses joueurs.
01:00:04Il sait dire les choses
01:00:05quand il faut.
01:00:06Quand il faut gueuler,
01:00:07il le fait.
01:00:08Certes,
01:00:09lui ne parle pas français
01:00:10mais il arrive
01:00:11avec son adjoint
01:00:12Hassan El Fakiri
01:00:13qui est un ancien joueur
01:00:14de Monaco
01:00:15qui lui parle français.
01:00:16Hassan El Fakiri,
01:00:17ancien latéral droit
01:00:18monégasque
01:00:19dans les débuts
01:00:20de sa carrière.
01:00:21Eric Horneland
01:00:22était en conférence
01:00:23de presse tout à l'heure
01:00:24pour sa présentation
01:00:25officielle.
01:00:26On va lire
01:00:27ses premiers mots.
01:00:28Voilà ce qu'il a dit.
01:00:29« On doit avoir
01:00:30un style de jeu discipliné
01:00:31que ce soit défensivement
01:00:32ou offensivement.
01:00:33Je veux une équipe active
01:00:34qui passe très vite
01:00:35à l'offensive
01:00:36tout en étant rigoureuse
01:00:37défensivement.
01:00:38C'est quelque chose
01:00:39qui me semble possible
01:00:40avec l'aide
01:00:41de ce stade
01:00:42avec notre travail.
01:00:43Au fil du temps,
01:00:44j'espère que les observateurs
01:00:45verront une vraie identité. »
01:00:46Pierre, je sais que cette arrivée,
01:00:47elle te plaît ?
01:00:48Elle t'excite
01:00:49même un petit peu,
01:00:50beaucoup.
01:00:51Tu connaissais ?
01:00:52Non, non, pas du tout.
01:00:53Mais justement,
01:00:54c'est de la curiosité
01:00:55parce que je ne connaissais
01:00:56pas Alsner aussi,
01:00:57je ne connaissais pas Will Steele.
01:00:58Il s'avère qu'il y a
01:00:59quand même pas mal de qualités
01:01:00rien qu'avec les deux noms
01:01:01que je viens de citer.
01:01:02Je trouve que c'est cohérent
01:01:05avec les nouveaux propriétaires
01:01:07de Saint-Etienne
01:01:08qui ne font pas du réchauffé
01:01:10et qui vont chercher
01:01:12un coach avec leurs moyens
01:01:14et ce qu'ils veulent faire.
01:01:15Donc moi, je ne suis pas
01:01:17du tout pessimiste.
01:01:18Je pense que de toute façon,
01:01:19avoir de la nouveauté,
01:01:20même si le championnat français
01:01:22est particulier aussi,
01:01:23il va falloir un petit peu
01:01:24s'adapter,
01:01:25mais un gars qui arrive
01:01:26avec des idées,
01:01:27pris par la direction
01:01:28qui est en place
01:01:29et validée par tout le monde,
01:01:30ça se passe toujours
01:01:31à peu près mieux
01:01:32que si jamais...
01:01:33Mais par rapport à l'effectif
01:01:34et tout ça qu'il a,
01:01:35tu crois qu'il n'y aura pas
01:01:36un monteur de Nermel ?
01:01:37Apparemment, de ce qu'il est dit
01:01:38à droite à gauche,
01:01:39il y aura quand même
01:01:40un regroupement forcément
01:01:41qui sera fait.
01:01:42En fait, t'es obligé.
01:01:43Moi, j'ai l'impression
01:01:44que tout tient...
01:01:45En termes de talent.
01:01:46Le fait qu'il ne connaisse pas
01:01:47la Ligue 1
01:01:48et qu'il arrive en mission commando
01:01:49pour sauver un petit peu,
01:01:50pour maintenir Saint-Etienne ?
01:01:51Je pense qu'il va s'adapter.
01:01:52Mais de toute manière,
01:01:53là, tu l'as dit,
01:01:54t'es en mission commando,
01:01:55donc à un moment donné,
01:01:56t'oublies pas des changements.
01:01:57Moi, je ne suis pas sûr de ça.
01:01:58De quoi ?
01:01:59Il doit sauver Saint-Etienne.
01:02:00Evidemment, mais je pense
01:02:01que dans les esprits
01:02:02des propriétaires
01:02:03qui le recrutent,
01:02:04je ne pense pas que ce soit
01:02:05un échec.
01:02:06Il ne va pas être remis
01:02:07en question si jamais
01:02:08il y a une descente.
01:02:09Ça, je suis d'accord.
01:02:11C'est évident.
01:02:12Je suis désolée,
01:02:13donc il arrive quand même
01:02:14en mission commando.
01:02:15On a un petit peu parlé
01:02:16du mercato hivernal,
01:02:17peut-être pour les Verts.
01:02:18Mehdi Benazia, lui,
01:02:19a évoqué la piste
01:02:20menant à Paul Pogba.
01:02:21Vous savez, il y a
01:02:22une petite bague
01:02:23installée du côté
01:02:24de l'Olympique de Marseille
01:02:25pour le recruter,
01:02:26ou pas, Paul Pogba.
01:02:27En tout cas,
01:02:28Mehdi Benazia,
01:02:29le conseiller sportif
01:02:30du club,
01:02:31a confié à nos confrères
01:02:32de RMC,
01:02:33bien que le dossier
01:02:34est un peu refroidi.
01:02:35Forcément,
01:02:36tu le vois sur le marché,
01:02:37tu as envie
01:02:38d'y aller.
01:02:39Aujourd'hui,
01:02:40concrètement,
01:02:41est-ce que l'OM
01:02:42peut se permettre
01:02:43de ramener un joueur
01:02:44comme Pogba
01:02:45s'il n'est pas prêt physiquement
01:02:46et qu'il faut attendre
01:02:47six mois ?
01:02:48Franchement,
01:02:49il referme un peu
01:02:50le dossier.
01:02:51Dans ce qu'il dit,
01:02:52il a raison.
01:02:53C'est factuel aussi.
01:02:54Quand tu vois l'état,
01:02:55on ne sait pas
01:02:56dans quel état il est.
01:02:57On n'a aucune idée.
01:02:58Pour moi,
01:02:59ça fait factuel.
01:03:00Pour moi,
01:03:01il ne ferme pas la porte.
01:03:02Pour moi,
01:03:03il dit juste
01:03:04« Coco,
01:03:05entraîne-toi un petit peu. »
01:03:06Pour moi,
01:03:07il ne ferme pas
01:03:08la porte.
01:03:09C'est Pogba
01:03:10qui a besoin de l'OM.
01:03:11C'est Pogba.
01:03:12Mais oui.
01:03:13Il doit se relancer.
01:03:14Du coup,
01:03:15l'OM,
01:03:16c'est si opportunité.
01:03:17Maintenant,
01:03:18ils ne vont pas dévaloriser
01:03:19une équipe qui marche bien,
01:03:20qui tourne bien.
01:03:21Là,
01:03:22tout se passe bien.
01:03:23Tu n'as pas besoin
01:03:24d'un rapport
01:03:25et d'un renfort extérieur.
01:03:26Oui,
01:03:27il doit se relancer.
01:03:28Mais si tu penses
01:03:29qu'il n'y aura que l'OM
01:03:30sur le marché pour Pogba,
01:03:31je ne suis pas sûr.
01:03:32On verra.
01:03:33En tout cas,
01:03:34on va enchaîner.
01:03:35Toujours dans la qualité
01:03:36de la Ligue 1,
01:03:37le directeur général,
01:03:38Franck Kita,
01:03:39l'avait rencontré,
01:03:40pourtant,
01:03:41mercredi.
01:03:42Et les discussions
01:03:43avec l'ancien coach du Red Star
01:03:44avaient bien avancé jeudi.
01:03:45Les contours d'un accord
01:03:46étaient même tracés
01:03:47pour un engagement
01:03:48jusqu'en fin de saison
01:03:49avec prolongation automatique
01:03:50d'un an en cas de maintien.
01:03:51Mais tout a été gelé
01:03:52en fin de journée
01:03:53jusqu'à ce que le dossier
01:03:54soit considéré
01:03:55comme totalement refermé
01:03:56dans la soirée.
01:03:57Les deux parties
01:03:58n'ont pas réussi
01:03:59à se mettre d'accord
01:04:00sur la constitution
01:04:01du futur staff d'Abibeille.
01:04:02Et pour le moment,
01:04:03il n'y aurait pas d'autres profils
01:04:04sérieusement envisagés
01:04:06C'est vraiment dommage, Pierre.
01:04:07C'est une porte encore
01:04:08qui se referme sur Abibeille.
01:04:09C'est...
01:04:10C'est...
01:04:11Comment dire ?
01:04:12C'est géré, mais...
01:04:13C'est n'importe quoi.
01:04:14Je m'imagine
01:04:15dans la tête de Campboiré
01:04:16qui se dit
01:04:17peut-être que je saute demain,
01:04:18je ne sais pas.
01:04:19Ils sont en train
01:04:20de discuter dans les bureaux.
01:04:21Lui, il a un match
01:04:22de la Coupe de France
01:04:23à préparer.
01:04:24Moi, Abibeille,
01:04:25sans parler de Abibeille
01:04:26ou pas Abibeille,
01:04:27même si je pense
01:04:28que c'est un bon choix,
01:04:29mais malgré tout,
01:04:30tout remettre en question
01:04:31par rapport à un staff
01:04:32pendant que Campboiré
01:04:33essaie de travailler.
01:04:36Je trouve ça
01:04:37assez scandaleux
01:04:38de gérer le dossier.
01:04:39On n'a pas de ploncée.
01:04:40On verra plus tard.
01:04:41On va essayer de gagner
01:04:42ce match-là.
01:04:43Il y a les vacances après.
01:04:44On ira bouffer
01:04:45et on discutera.
01:04:46Je suis d'accord avec toi,
01:04:47mais ce n'est pas la première
01:04:48ni la dernière fois
01:04:49que ça va se passer comme ça.
01:04:50C'est souvent le cas.
01:04:51En vrai, de vrai.
01:04:52Bien sûr.
01:04:53Je trouve que c'est
01:04:54un manque de respect.
01:04:55C'est un manque de respect
01:04:56incroyable pour Campboiré.
01:04:57Mais pour Abibeille,
01:04:58vous ne trouvez pas
01:04:59que c'est dommage ?
01:05:00C'est encore une porte
01:05:01qui se referme pour lui.
01:05:02C'est chaud.
01:05:03C'est le quatrième club.
01:05:04En vrai, de vrai.
01:05:05Je ne sais pas.
01:05:06Depuis le début de la saison,
01:05:07ça devient compliqué.
01:05:08Non, mais il va trouver un club.
01:05:09Il le veut.
01:05:10De toute manière,
01:05:11il toque à toutes les portes.
01:05:12Il y a une qui va s'ouvrir.
01:05:13Ça va bien fonctionner.
01:05:14Abibeille a raison aussi.
01:05:15Pour aller à Nantes,
01:05:16je pense qu'il a complètement
01:05:17raison de s'entourer
01:05:18d'un staff
01:05:19que lui veut,
01:05:20que lui soit cohérent
01:05:21parce qu'aller là-bas,
01:05:22ce n'est pas
01:05:23l'une des choses
01:05:24les plus simples.
01:05:25Ça peut être un bourbier.
01:05:26Ça le sera.
01:05:27Ça le sera l'office.
01:05:28Il faut que le prochain
01:05:29le save.
01:05:33Allez-y.
01:05:34Reprenez-moi.
01:05:35C'est le save.
01:05:36Il faut absolument le save.
01:05:37C'est ça qu'il faut dire.
01:05:38Il faut absolument le save.
01:05:39Hier soir,
01:05:40les copains et les copines,
01:05:41sur la chaîne l'équipe,
01:05:42il y avait quoi ?
01:05:43Il y avait de la Coupe d'Italie.
01:05:44Ah oui !
01:05:45Et bien,
01:05:46un huitième de finale
01:05:47entre l'Inter Milan
01:05:48de Marcus Thuram
01:05:49et l'Udinese de Flotovin.
01:05:50Les deux Français
01:05:51n'ont pas participé à la rencontre.
01:05:52Super !
01:05:53C'est pas grave.
01:05:54On va revivre
01:05:55les meilleurs moments
01:05:56de la partie
01:05:57avec Candice Roland
01:05:58et Yoann Rioux
01:05:59au commentaire.
01:06:00Attention à ce ballon
01:06:01avec Taremi.
01:06:02Et il a du choix.
01:06:03Taremi ne doit pas trop hésiter.
01:06:04Arnautovic,
01:06:05la frappe ensuite !
01:06:06L'altruisme de Taremi,
01:06:07le flair d'Arnautovic
01:06:08et la doublette d'attaquant
01:06:09qui permet à l'Inter
01:06:10de mener en but à zéro.
01:06:11Oh,
01:06:12juste devant le gardien
01:06:13qui n'y va pas !
01:06:14Oh,
01:06:15c'est direct !
01:06:16La reprise de jeu
01:06:17et ce but magnifique
01:06:18de Christian Aslany
01:06:19de but à zéro.
01:06:20C'est la douche prête
01:06:21pour l'Udinese
01:06:22qui n'était pas
01:06:23à l'arrière
01:06:24de l'arrière
01:06:25de l'arrière
01:06:26de l'arrière
01:06:27de l'arrière
01:06:29C'est la douche prête
01:06:30pour l'Udinese
01:06:31qui n'était même pas
01:06:32vraiment revenue
01:06:33de cet arrêt de jeu.
01:06:34Alors 2-0
01:06:35avec une équipe
01:06:36modifiée
01:06:37de la part
01:06:38de l'entraîneur
01:06:39de l'Inter.
01:06:40Je vous ai dit il n'y avait pas
01:06:41Marcus Thuram
01:06:42notamment dans le match.
01:06:43Ils ont beaucoup fait tourner
01:06:44devant.
01:06:45Medhi Taremi et Arnautovic
01:06:46étaient titulaires.
01:06:47Mais c'est une équipe régulière
01:06:48et depuis le début de saison
01:06:49elle ne fait que progresser
01:06:50Moi,
01:06:51elle m'impressionne
01:06:52cette équipe intériste.
01:06:53Elle m'impressionne moi aussi
01:06:54dans la régularité
01:06:55et dans la stabilité
01:06:56et non,
01:06:57Là c'est un match hyper tranquille pour eux, parce que je l'ai bien évidemment regardé le match, mais c'est vrai dans mes premiers deugs !
01:07:03Ok, mais peu importe. Ce que je veux dire c'est que c'était assez facile, assez tranquille, ils n'ont jamais stressé ni quoi que ce soit,
01:07:09et pourtant c'était une équipe remaniée. On sait, ils sont impressionnants, mais pour moi c'était victoire de fixe, c'est logique.
01:07:16Pourquoi tu étais impressionnée toi ?
01:07:18Je suis impressionnée par le rouleau compresseur de cette équipe finalement, parce qu'elle a joué contre des grosses équipes depuis le début de saison,
01:07:27ils ont joué contre des équipes plus inférieures, plus anonymes j'ai envie de te dire.
01:07:31Mais t'es en train de me raconter le début de saison quoi ? Des équipes fortes, des équipes moins fortes ?
01:07:34Non mais depuis le début de saison c'est régulier en fait, quelle que soit l'adversité, donc moi j'aime bien ça. Ils ne choisissent pas leurs matchs.
01:07:41Je suis plus convaincu par Céline.
01:07:43On termine avec un match que tu as peut-être vu cette fois-ci Pierrot, c'était de la Coupe de la Ligue Anglaise.
01:07:49Tottenham-Manchester, 7 buts dans le match. Tottenham a mené 3-0 à un moment dans la partie contre les Red Devils.
01:07:57Avec ce but de Solange qui est à la 54ème, on se dit bon c'est terminé pour Manchester, mais le gardien des Spurs va relancer la partie.
01:08:06D'abord cette relance ratée, Bruno Fernandes qui récupère et Zirkzee qui va réduire l'écart. 3-1.
01:08:10Mais le 3-2 c'est du grand art, il va dégager le ballon mais taclé par Ahmed Diallo, ça va faire 3-2.
01:08:18Donc toujours pour Tottenham, Ben Forster, on le voit le gardien des Spurs.
01:08:21Et là c'est un but typiquement j'ai envie de dire Première Ligue anglais.
01:08:25Parce qu'il y a une faute clairement du défenseur de Tottenham sur le gardien de Manchester.
01:08:30Mais il est correct.
01:08:31Ça passe tout seul.
01:08:33J'étais un peu surpris aussi, mais bon apparemment ce n'est pas les mêmes riles.
01:08:37Finalement ça se termine à 4-3.
01:08:39Il ne faut pas de gardien en ce moment.
01:08:41Si il n'y a pas de gardien qui joue avec des palmes aux pieds, normalement il n'y a même pas d'histoire de Manchester United qui revient au score.
01:08:47En même temps ça a animé le match, heureusement.
01:08:51Ça t'a réveillé.
01:08:52C'était vachement bien.
01:08:53C'était un bon moment.
01:08:54Qu'est-ce qu'on fait tomber.
01:08:55Vous savez quoi, il va y avoir un autre bon moment M. Bouhibi pendant qu'on ramasse la chaise.
01:08:59Vous savez ce que c'est, c'est un bout de chaise qui est cassé, il est temps que l'année se termine.
01:09:01Je reste là, je ne bouge plus.
01:09:03Tu prends tout le budget aussi.
01:09:05Bonjour Thierry Rebut.
01:09:06Jingle Thierry Rebut.
01:09:07Particulier aujourd'hui, attention.
01:09:09On prend une chaise ?
01:09:10Tu vas voir.
01:09:11On joue déjà ?
01:09:12Ah oui on joue déjà.
01:09:13Déjà parce que ce sera un Thierry Rebut bilan de l'année 2024.
01:09:16Ce n'est pas l'actu du jour, c'est le bilan de l'année sportive 2024.
01:09:20Un petit renfort.
01:09:21Non on ne peut pas tricher, mais on peut appeler un renfort.
01:09:23J'appelle Coline Méren.
01:09:24C'est son dernier jour de stage, c'est la stagiaire de l'équipe de choc.
01:09:27On ne la mérite pas et elle a même apporté le goûter.
01:09:29Viens me rejoindre Coline.
01:09:30Juste avant, montre-nous ce que tu donnes en fléchette parce que tout le monde y est passé.
01:09:33Ok.
01:09:34Attention.
01:09:35Triple.
01:09:36Allez c'est bon, tu peux nous rejoindre.
01:09:38Tu veux quelle équipe ?
01:09:39Je vais choisir la Team Blue.
01:09:41C'est d'accord.
01:09:42Il y a une raison.
01:09:43Elle nous a foutu au fond parce qu'elle en a fait des jeux.
01:09:45Mets-toi au milieu.
01:09:46Elle en a fait des jeux.
01:09:47C'est elle qui a saboté ma chaise.
01:09:48Alors c'est vrai que normalement, c'est Coline Méren qui fait les jeux tous les jours.
01:09:51Et donc là aujourd'hui, elle n'a pas pu le faire.
01:09:53Donc comment va-t-on se débrouiller ?
01:09:54Qu'est-ce qui nous prouve qu'elle n'a pas pu le faire ?
01:09:56Elle n'a pas triché.
01:09:57Ce n'est pas Julien Ariane.
01:09:59Julien Ariane qui est parti dans le décor pour récupérer une chaise.
01:10:01Viens mon Juju, tout va bien.
01:10:03Attention.
01:10:04La Team Boubi mène.
01:10:05Ce n'est jamais arrivé.
01:10:06Pour le dernier jeu que tu nous as fait.
01:10:08C'est arrivé très très tôt.
01:10:09Pour qu'on remonte, il faut être en paix.
01:10:10Et la Team Boubi qui va même commencer.
01:10:12T'arrêtes de râler.
01:10:13Oui, je râle.
01:10:14Coline.
01:10:15Tu choisis.
01:10:16C'est toi qui choisis.
01:10:17Concentre-toi.
01:10:18Regarde-moi.
01:10:19Là-dessus, c'est ton émission.
01:10:21Bien.
01:10:22Tu vois, elle est logique.
01:10:23Capillairement logique.
01:10:24Ça va Coline ?
01:10:25Très bien.
01:10:26Première télé ou pas ?
01:10:27Oui, première télé.
01:10:28Comme à l'aise.
01:10:29Tout va bien.
01:10:30Allez, bilan de l'année 2024.
01:10:31Team Boubi, c'est vous qui commencez.
01:10:32Question rugby.
01:10:33Le Stade Toulousain a gagné le top 14 cette saison.
01:10:36C'était contre qui en finale ?
01:10:37Oh là là.
01:10:38C'est compliqué.
01:10:39Contre l'UBB.
01:10:40Oui, oui, oui, c'est ça.
01:10:41L'UBB.
01:10:42Vous avez développé l'UBB ?
01:10:43C'est pas vrai.
01:10:44C'est pas vrai.
01:10:45Ah oui, j'allais dire.
01:10:46J'allais dire.
01:10:48C'est facile à dire ça.
01:10:49Non mais attends.
01:10:50Conférence à Jésus avant tout.
01:10:51C'est une bonne réponse.
01:10:52C'est l'UBB.
01:10:53C'est qui le capitaine ?
01:10:54C'est elle.
01:10:55C'est Coco.
01:10:56OK.
01:10:57Team Le Resto du Monde.
01:10:58OK.
01:10:59Bilan de Formule 1.
01:11:00Verstappen a été une nouvelle fois sacré champion du monde cette année.
01:11:03Combien de fois l'a-t-il été en tout ?
01:11:04C'est la quatrième fois.
01:11:06Moi, je suis d'accord.
01:11:07Quatrième fois.
01:11:08Attends, attends, deux secondes.
01:11:09Vas-y, vas-y, lance-toi.
01:11:10C'est bientôt les vacances.
01:11:11Il me semble que c'est la quatrième fois.
01:11:12Quatrième fois.
01:11:13Fais-toi plaisir.
01:11:14Je suis seul au monde.
01:11:15Quatrième fois.
01:11:16Mais oui.
01:11:17Mais oui, c'est une bonne réponse.
01:11:18On est large.
01:11:19On est tranquille.
01:11:20Fais confiance à Fred.
01:11:21Bien sûr.
01:11:22Je suis un spécialiste de ce jeu.
01:11:23Surtout avec Fred.
01:11:24Team UBB.
01:11:25Avec Coco.
01:11:26Question JO.
01:11:27Souvenez-vous combien de médailles les Français ont remportées à Paris 2024 ?
01:11:28A 8 près.
01:11:29Quoi ?
01:11:30A plus de 60 ans.
01:11:31Mais on n'est pas censé savoir ça.
01:11:32Il y a plus de 60, les gars.
01:11:33J'ai 67 ans.
01:11:34A combien près ?
01:11:35A 8.
01:11:36Mais c'est énorme.
01:11:37A 8 près.
01:11:3864.
01:11:39A 65.
01:11:40Combien ?
01:11:41A combien près ?
01:11:42A 64.
01:11:43Fais-toi confiance.
01:11:44C'est un tout petit 64.
01:11:45Je n'ai même pas besoin de vous dire 8.
01:11:46Toi, tu es là, toi.
01:11:47C'est Colin qui est là.
01:11:48C'est facile.
01:11:49Bien sûr.
01:11:50On a déjà fait de la recruter, celle-là.
01:11:51Céline, tu peux nous dire 8 ?
01:11:528.
01:11:53Non, c'est 8.
01:11:54On en voudrait 8.
01:11:55La puissance.
01:11:56C'est la puissance.
01:11:57Team Le Reste du Monde.
01:11:58Question football.
01:11:59Bilan de l'année 2024.
01:12:00Oui.
01:12:016 joueurs ont terminé meilleur buteur de l'Euro 2024 avec 3 buts.
01:12:04Donnez-moi 3.
01:12:05C'est compliqué, ça.
01:12:06Zizou.
01:12:07Pernod Dautorez.
01:12:09Pernod Dautorez.
01:12:10Très aiguë.
01:12:11Platini.
01:12:12C'est hyper dur, ça.
01:12:13Cavani.
01:12:14Bon, donnez-moi 1.
01:12:15Bon, alors.
01:12:16Neymar.
01:12:17Je n'ai même plus...
01:12:181.
01:12:19Non, mais là, il n'y a rien qui devient.
01:12:20Non.
01:12:21Combien ?
01:12:22Il y avait Moussiala, il y avait Cahine, il y avait Mikotazé, Olmo, Gakpo et Schrodinger.
01:12:25Pourquoi on a cette question-là ?
01:12:26Eux, ils ont le nombre de médailles des Jeux.
01:12:27Franchement, vous en aviez ?
01:12:28Tout le monde sait.
01:12:29Tout le monde a 8 près.
01:12:30Le choix de l'enveloppe.
01:12:31Tu sais quoi ?
01:12:32A 8 près, 60 et des brouettes.
01:12:34Nous, on doit savoir l'alphabet du truc du foot.
01:12:35Le choix de l'enveloppe.
01:12:36Nous, on doit savoir la date de naissance des gens.
01:12:38Peut-on éteindre son micro ?
01:12:39Petite poupée.
01:12:40Question tennis.
01:12:41Combien de grands chelèmes Novak Djokovic a-t-il gagné en 2024 ?
01:12:45Oh, je n'en sais rien.
01:12:47Je ne sais pas.
01:12:48Là, ça se regarde.
01:12:49J'allais dire 1.
01:12:50Là, on ne sait plus, là.
01:12:51J'allais dire...
01:12:52Pour moi, c'est 1.
01:12:53Oh, c'est toi.
01:12:54Fais confiance, ça.
01:12:55Vas-y.
01:12:56Absolument.
01:12:57Non, c'est quoi ?
01:12:580.
01:12:59Non, non, il a dit 1.
01:13:00Oh, c'est dur.
01:13:01Il l'a dit avant la fin de la jauge.
01:13:02Il l'a dit avant la fin de la jauge.
01:13:03Il a dit 1.
01:13:04C'est elle.
01:13:05En plus, c'est elle, la capitaine.
01:13:06C'est Coline, la capitaine.
01:13:07Moi, je n'ai rien dit.
01:13:08C'est Coline, la capitaine.
01:13:09Ce n'est pas faux.
01:13:10Chef ?
01:13:11C'est Coline, la capitaine.
01:13:12Pierre, il avait dit la bonne réponse avant la fin.
01:13:13Mais non.
01:13:14C'est Coline, la capitaine.
01:13:15Donc, c'est toi.
01:13:16Allez, c'est toi.
01:13:17Merci, monsieur Larbi.
01:13:18Justement, c'est ça qu'on te reproche.
01:13:19Je n'ai jamais douté, mais ne le refais pas.
01:13:20On vous a confiés.
01:13:22Mais non, mais tu m'as regardé.
01:13:23C'est bien jugé.
01:13:24Tu m'as regardé en mode c'est fini.
01:13:25Merci, Mathieu.
01:13:26Tu m'as regardé en mode c'est fini.
01:13:27C'est bien jugé.
01:13:28Je peux en placer une ?
01:13:29Oui.
01:13:30On ne donne pas la réponse avant la fin.
01:13:31Tu m'as regardé en mode c'est fini.
01:13:32Tu m'as regardé en mode c'est validé.
01:13:33Avant la fin de la jauge.
01:13:34Moi, je n'ai jamais douté.
01:13:35Je savais qu'il y avait un juge super impartial.
01:13:37Oh my god.
01:13:38Ça donne des indices aux adversaires.
01:13:39Attention.
01:13:40Dernière fois, toi.
01:13:412-1.
01:13:42Team le reste du monde.
01:13:43J'ai amené un point.
01:13:45Alexis Lebrun ou Félix Lebrun ?
01:13:46Oh, mais sérieux.
01:13:47C'est un qui tout double.
01:13:49C'est Wembi.
01:13:50Alexis.
01:13:51Et l'ours Lebrun.
01:13:52Alexis Lebrun.
01:13:54Alexis.
01:13:55OK, Alexis.
01:13:56T'es sûre ?
01:13:57Vas-y, vas-y.
01:13:58Ne change pas d'avis au dernier moment.
01:13:59Alexis, Alexis, Alexis, Alexis.
01:14:00C'est une bonne réponse.
01:14:01Alexis Lebrun.
01:14:02Le grand frère.
01:14:03C'est bon.
01:14:04C'est mon premier point de l'année 2024.
01:14:05Yeah !
01:14:08De partout.
01:14:09Team Boubi.
01:14:10Attention à la jauge.
01:14:11Ne lui donnez pas d'indices.
01:14:12Question vélo.
01:14:13Alexis Lebrun.
01:14:14C'est quoi ce truc-là ?
01:14:15Pogacar a remporté le Tour de France cette année.
01:14:18Combien en compte-t-il à son palmarès ?
01:14:21Attends.
01:14:22Si je dirais 3, moi.
01:14:25Moi, il me semble que c'est le troisième.
01:14:26Aussi, je dirais 3.
01:14:29Moi, j'étais sûr.
01:14:30Allez.
01:14:31Parlez plus fort.
01:14:32Vite.
01:14:333.
01:14:34Mais oui, c'est une bonne réponse.
01:14:35C'était son troisième.
01:14:36Vous avez tous les 3 raisons.
01:14:373-2.
01:14:38Team le reste du monde.
01:14:39C'était lui.
01:14:40Oui.
01:14:41Oui, nous sommes là.
01:14:42Ça va.
01:14:43On verra.
01:14:44Gymnastique.
01:14:45Qui organisait ?
01:14:46Ça dépend de la question.
01:14:47C'est large.
01:14:48Le sujet est large.
01:14:49Quel sport a rapporté le plus de médailles au bleu au JO de Paris 2024 ?
01:14:52Mesdames, Messieurs, la réponse.
01:14:54Je crois que c'est enfin mon jeu.
01:14:56Depuis le temps, je me fais marbrer à ce jeu.
01:14:57Je ne remets pas un point.
01:14:59C'est le judo.
01:15:01C'est mon dernier mot.
01:15:02Avec combien de médailles ?
01:15:03Avec 10 médailles.
01:15:05Une en or et créneur.
01:15:06Une en or et séquille.
01:15:07Stop.
01:15:08Arrête-toi.
01:15:09C'est bon.
01:15:10Et puis après la question, combien de médailles ?
01:15:11Vous allez me donner rapidement parce qu'il n'y a pas beaucoup de temps.
01:15:13Les clubs champions dans les cinq grands championnats en 2024.
01:15:17France.
01:15:18Paris.
01:15:19Italie.
01:15:20Inter.
01:15:21Allemagne.
01:15:22Bayer Leverkusen.
01:15:23Angleterre.
01:15:24City.
01:15:25Espagne.
01:15:26Eh bien, à la Madrid.
01:15:27Merci, Julien Allianz qui joue tout seul.
01:15:32Le capitaine, il répond encore parce qu'on est hors jauge.
01:15:34Il n'y a plus.
01:15:35On est hors jauge.
01:15:36Donc là, le capitaine n'a pas répondu.
01:15:37Monsieur l'arbitre, vous respectez toujours les règles.
01:15:39Il n'y a pas de capitaine dans votre équipe, on ne la ramène pas.
01:15:40Tim, le reste du monde en égalise ou pas ?
01:15:42Qui a gagné le championnat d'Europe de Hande cette année chez les hommes ?
01:15:45Est-ce que c'est la Norvège ? Est-ce que c'est le Danemark ? Est-ce que c'est aucun des deux ?
01:15:49Ah, ils ne savent pas.
01:15:51Qui est sacré champion d'Europe de Hande cette année chez les hommes ?
01:15:54Norvège, Danemark, aucun des deux ?
01:15:56Allez, Norvège.
01:15:58Eh non.
01:15:59C'est qui ?
01:16:00Aucun des deux ?
01:16:01Alors ?
01:16:02On a dit aucun des deux.
01:16:03Aucun des deux.
01:16:04Mais aucun des deux, c'est la France, les gars.
01:16:05Les champions d'Europe.
01:16:06Bien sûr.
01:16:07On n'a jamais douté.
01:16:08Question décisive.
01:16:09Vous prenez vos tablettes, vous prenez vos stylos.
01:16:11Je croyais que c'était la Norvège en vrai.
01:16:12Et on y va.
01:16:13Les Etats-Unis sont le pays qui, je ne répéterai pas, qui a remporté le plus de médailles à Paris 2024.
01:16:18Combien ?
01:16:19Hein ? Quoi ?
01:16:22Les Etats-Unis sont le pays qui a remporté le plus de médailles au JO.
01:16:25Combien de médailles pour les Etats-Unis ?
01:16:29Voilà, cousine, c'est ton jeu.
01:16:32T'as écrit des jeux toute l'année, donc tu vas peut-être faire ça.
01:16:33On retourne les tablettes.
01:16:34Trois de l'un.
01:16:35On retourne.
01:16:36123 contre 132, c'est 126.
01:16:39C'est la victoire.
01:16:42Bonne année, bonne santé.
01:16:43Voilà.
01:16:44Notre victoire.
01:16:45Félicitations.
01:16:46Et on égalise.
01:16:47Et on égalise.
01:16:48Du calme, Jean-Pierre.
01:16:49Mauvaise capitaine.
01:16:50On regarde le score, effectivement.
01:16:51Je crois que les deux équipes reviennent à égalité.
01:16:52Joyeux Noël.
01:16:5334 partout.
01:16:54Grég Acher, viens ici.
01:16:55Rejoins-nous.
01:16:56Eh oui, mais ça, c'est des émissions qui s'amusent.
01:16:57Tu vois, on sait s'amuser.
01:16:58Pas la poigne.
01:16:59Joyeux Noël.
01:17:00Vous êtes des enceintes.
01:17:01Bonsoir à tous.
01:17:02Bonsoir Pierre.
01:17:03Bonsoir les jeunes.
01:17:04Bonsoir, bonsoir Pauline.
01:17:05Dans l'équipe de Greg, on met des pulls de Noël ou pas ?
01:17:08Non, non, non.
01:17:09Dans l'équipe de Greg, nous sommes païens.
01:17:11Nous sommes...
01:17:12Voilà, pas de Noël.
01:17:13D'accord.
01:17:14Merci Paul.
01:17:15Bonne ambiance.
01:17:16Voilà.
01:17:17Vous me flaguez.
01:17:18Non, non, non.
01:17:19Pas du tout.
01:17:20Mais on vous laisse ça.
01:17:21C'est rigolo.
01:17:22On se marre bien.
01:17:23Nous, on va revenir sur Vincent Labrune qui a sauvé le foot français.
01:17:24Ah, c'est vrai ?
01:17:25Eh oui.
01:17:26J'ai sauvé le foot français d'une plus grande catastrophe, soyons tout à fait honnêtes.
01:17:28Avec ce qui va se passer à Paris, ce qui va se passer à Lyon, ce qui va se passer à Marseille.
01:17:31Ah oui.
01:17:32Là, il y a des infos.
01:17:33En plus, on a Luc Tanzi, pardon.
01:17:34On a Luc Tanzi qui sera là.
01:17:35Il va nous donner des infos.
01:17:36Bah oui, tu sais, il bosse derrière en sous-marin pour avoir des infos.
01:17:39On aura Tom Seravino pour le sans abonnement.
01:17:41On jouera deux fois, ma petite française.
01:17:42Et le pourquoi, rapidement ?
01:17:43Alors le pourquoi, c'est pourquoi le mercato d'hiver est indispensable.
01:17:46Ah, très bien.
01:17:47Pourquoi, il faut arrêter de nous dire, on supprime.
01:17:48C'est très important.
01:17:49Voilà.
01:17:50Tout de suite, l'équipe de Greg.
01:17:51Nous, on se retrouve à la rentrée.
01:17:52On fait une photo de ce côté-là, tous ensemble.
01:17:53On se dépêche à l'heure.
01:17:54Comme ça, on fait une petite photo finale.
01:17:55Je vous laisse y aller.
01:17:56Oui, parce que tu ne fais pas partie.
01:17:57Je garde ici, là.
01:17:58Vous, entrez dans le canut.
01:17:59Si tu veux.
01:18:00J'arrive.
01:18:01Allez, le can.
01:18:02Bonne vacances à tous.
01:18:03Salut, l'équipe de Greg, tout de suite.
01:18:04Mon frère.