• l’année dernière
Six ans après son dernier spectacle, Thomas Ngijol dresse le bilan de cette période post-Covid en une sorte de thérapie à cœur ouvert. Violences policières, racisme, sexisme et pauvreté sont passés en revue. C'est également l'occasion pour l'humoriste, révélé à ses débuts par le Jamel Comedy Club, de poser un regard amusé sur sa vie de père de famille au sein d'une tribu entièrement féminine. Loin de la course à la vanne, Thomas Ngijol prend son temps, installe une ambiance et lâche les uppercuts, comme un boxeur qui remonterait sur le ring après des années d'absence. Le titre, référence au film "Rocky III", n'est d'ailleurs pas un hasard.

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Transcription
00:00C'est vrai qu'on vit une époque violente, on vit une époque où il y a du racisme à l'emploi, du racisme aux logements, des violences policières.
00:15Mais à la fin de la fin, messieurs, dames, n'oubliez jamais une chose essentielle, c'est que la France est un bon pays.
00:27Applaudissements
00:39Il n'y a pas de chute, hein ?
00:42Non mais c'est vrai, je crois à ce que tu viens de dire, je vois des renois qui me regardent genre « Rex, renois, tu vas trop loin là ! »
00:49Non mais je suis sincère, hein ! Non les gars, non, la France n'est un bon pays, il est temps de remettre l'église au centre du village !
00:56La France est un bon pays, messieurs, dames, mais la France, c'est quand même un pays où tu peux te lever le matin, être au chômage, avoir des aides,
01:09voir même que le président de la République vient dans ta ville, aller à sa rencontre et lui foutre une putain de claque dans la gueule !
01:19Vive la République, vive la France, messieurs, dames !
01:22Oui mon ami, c'est ça notre pays, un pays où tu peux gifler normal le président !

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