• il y a 11 heures
Après que le tsunami le plus meurtrier de l'histoire a emporté sa fille unique en Thaïlande, Elisabeth Zana a pensé au suicide: c'est au chevet d'une école alors décrépie, près des lieux de la tragédie, que la vie de cette Française âgée de 79 ans a repris sens.

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Transcription
00:00On est arrivés ici deux jours après, dans un chaos qu'on ne peut pas oublier.
00:27Dès qu'on rentrait un tout petit peu dans l'intérieur des terres,
00:30il y avait encore des monticules avec des frigos plus hauts que les montagnes,
00:37enfin que la montagne de gravats, etc.
00:40Et on marchait en se disant, mais il y a peut-être, probablement, des cadavres là-dessous,
00:46et peut-être y est-elle.
00:57Pour nous, pas d'autres enfants, pas de petits-enfants,
01:02donc nos vies étaient terminées.
01:07La tentation de suicide a été très forte à ce moment-là.
01:27Je pense qu'ils prennent l'or.
01:54C'est la classe de l'équivalent du propre, en taille des pôles neufs.
02:21Beaucoup de écoles sont en colère pour nous, qu'on ait Elisabeth et pas l'association.
02:51C'est la classe de l'équivalent du propre, en taille des pôles neufs.
03:19Peu à peu, une certaine paix s'est installée, mais il a fallu du temps, beaucoup de temps.
03:47C'est la classe de l'équivalent du propre, en taille des pôles neufs.

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