François Bayrou a détaillé, le lundi 30 décembre, plusieurs actions dans le cadre du programme "Mayotte debout". Ces mesures incluent la restauration de l’électricité pour tous d'ici fin janvier, l'interdiction de la reconstruction des bidonvilles dans l'archipel ainsi que le déploiement de gendarmes pour sécuriser les établissements scolaires. Cependant, des résidents consultés exigent des résultats tangibles.
## Un retour à la normale problématique
Judith, une jeune femme vivant à Mayotte depuis plusieurs années, note certains points positifs comme la livraison rapide de 140 tonnes de bâches pour remplacer les toits emportés par le cyclone et la réouverture rapide des écoles. Néanmoins, elle souligne que la remise en état du réseau d’eau reste insuffisante. "Il est essentiel de remettre en perspective la situation à Mayotte. Avant le cyclone, l’eau était disponible au robinet deux jours sur trois, et c’était dans le meilleur des cas. Parler de retour à la normale dans l’accès à l’eau, c’est inquiétant pour un département français !"
## Des doutes sur l'interdiction des bidonvilles
Concernant l’interdiction de reconstruire les bidonvilles, Judith reste sceptique. Elle estime que cette mesure ne reflète pas la réalité. "Les bidonvilles renaissent rapidement car les gens ont un besoin urgent de se loger. Ils rassemblent des tôles et rétablissent leurs habitations par nécessité. C'est bien d’interdire, mais que doit-on faire des personnes vivant dans ces conditions ?".
## Un espoir marqué par l'attente
D'un autre côté, Abou, habitant de Mayotte, applaudit l'engagement à interdire les bidonvilles. "C’est une avancée significative qui impacte notre quotidien, exprime-t-il. J'espère que les autorités prendront les mesures nécessaires pour les personnes en situation régulière et que celles qui ne le sont pas seront renvoyées dans leur pays d'origine. Maintenant, il nous reste à voir concrètement ce qui va être fait." Cependant, Abou montre également son étonnement face à l'absence d'informations précises concernant le financement et le chiffrage du plan "Mayotte debout".
## Un retour à la normale problématique
Judith, une jeune femme vivant à Mayotte depuis plusieurs années, note certains points positifs comme la livraison rapide de 140 tonnes de bâches pour remplacer les toits emportés par le cyclone et la réouverture rapide des écoles. Néanmoins, elle souligne que la remise en état du réseau d’eau reste insuffisante. "Il est essentiel de remettre en perspective la situation à Mayotte. Avant le cyclone, l’eau était disponible au robinet deux jours sur trois, et c’était dans le meilleur des cas. Parler de retour à la normale dans l’accès à l’eau, c’est inquiétant pour un département français !"
## Des doutes sur l'interdiction des bidonvilles
Concernant l’interdiction de reconstruire les bidonvilles, Judith reste sceptique. Elle estime que cette mesure ne reflète pas la réalité. "Les bidonvilles renaissent rapidement car les gens ont un besoin urgent de se loger. Ils rassemblent des tôles et rétablissent leurs habitations par nécessité. C'est bien d’interdire, mais que doit-on faire des personnes vivant dans ces conditions ?".
## Un espoir marqué par l'attente
D'un autre côté, Abou, habitant de Mayotte, applaudit l'engagement à interdire les bidonvilles. "C’est une avancée significative qui impacte notre quotidien, exprime-t-il. J'espère que les autorités prendront les mesures nécessaires pour les personnes en situation régulière et que celles qui ne le sont pas seront renvoyées dans leur pays d'origine. Maintenant, il nous reste à voir concrètement ce qui va être fait." Cependant, Abou montre également son étonnement face à l'absence d'informations précises concernant le financement et le chiffrage du plan "Mayotte debout".
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00:00François Berroux a détaillé, le lundi 30 décembre, plusieurs actions dans le cadre du programme Mayotte Debout.
00:06Ces mesures incluent la restauration de l'électricité pour tous d'ici fin janvier,
00:10l'interdiction de la reconstruction des bidonvilles dans l'archipel ainsi que le déploiement de gendarmes pour sécuriser les établissements scolaires.
00:18Cependant, des résidents consultés exigent des résultats tangibles,
00:22ou dit une jeune femme vivant à Mayotte depuis plusieurs années.
00:25Note certains points positifs comme la livraison rapide de 140 tonnes de bâches pour remplacer les toits emportés par le cyclone et la réouverture rapide des écoles.
00:34Néanmoins, elle souligne que la remise en état du réseau d'eau reste insuffisante.
00:39Il est essentiel de remettre en perspective la situation à Mayotte.
00:42Avant le cyclone, l'eau était disponible au robinet deux jours sur trois.
00:46Et c'était dans le meilleur des cas.
00:48Parler de retour à un normal dans l'accès à l'eau, c'est inquiétant pour un département français.
00:52Concernant l'interdiction de reconstruire les bidonvilles, Woody reste sceptique.
00:56Elle estime que cette mesure ne reflète pas la réalité.
00:59Les bidonvilles renaissent rapidement car les gens ont un besoin urgent de se loger.
01:03Ils rassemblent des tôles et rétablissent leurs habitations par nécessité.
01:07C'est bien d'interdire, mais que doit-on faire des personnes vivant dans ces conditions ?
01:11D'un autre côté, Abu, habitant de Mayotte, applaudit l'engagement à interdire les bidonvilles.
01:16C'est une avancée significative qui impacte notre quotidien, exprime-t-il.
01:20J'espère que les autorités prendront les mesures nécessaires pour les personnes en situation régulière
01:25et que celles qui ne le sont pas seront renvoyées dans leur pays d'origine.
01:28Maintenant, il nous reste à voir concrètement ce qui va être fait.
01:31Cependant, Abu montre également son étonnement face à l'absence d'informations précises concernant le
01:37financement et le chiffrage du plan Mayotte-Debout.
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