Des militants favorables à la Russie ont mené une offensive sur les sites de plusieurs collectivités françaises le 31 décembre, comme le révèlent des messages de revendication sur Telegram. Pour l'instant, les conséquences de cette cyberattaque semblent modérées.
## Le groupe "Noname"
Ce collectif de hackers, connu sous le nom de Noname057, a entrepris une attaque de type déni de service. Cette méthode consiste à submerger un site ciblé de requêtes, entraînant ainsi son immobilisation. En revanche, aucune fuite ni vol de données n’est observé lors de ce type d'attaque. Christian Estrosi, maire de Nice, a qualifié cet incident d'"acte grave et inacceptable" sur X, annonçant qu'une plainte serait déposée et que l'ANSSI, l'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information, serait informée.
## Impact sur les collectivités
Mardi midi, plusieurs villes, dont Nice, Tarbes et Pau, ainsi que les départements des Landes et de la Haute-Garonne, étaient encore affectés par des dysfonctionnements de leurs sites. Néanmoins, les plateformes de démarches administratives en ligne, ainsi que celles des services publics de Nouvelle-Calédonie et de Polynésie française, avaient été rétablies, tout comme le site de la mairie de Montpellier.
## Précedentes attaques
Il est à noter qu'en 2023, des sites tels que ceux de l'Assemblée nationale et du Sénat avaient également subi des interruptions temporaires à cause d'attaques similaires menées par le groupe Noname, en raison de leur soutien à l'Ukraine.
## Le groupe "Noname"
Ce collectif de hackers, connu sous le nom de Noname057, a entrepris une attaque de type déni de service. Cette méthode consiste à submerger un site ciblé de requêtes, entraînant ainsi son immobilisation. En revanche, aucune fuite ni vol de données n’est observé lors de ce type d'attaque. Christian Estrosi, maire de Nice, a qualifié cet incident d'"acte grave et inacceptable" sur X, annonçant qu'une plainte serait déposée et que l'ANSSI, l'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information, serait informée.
## Impact sur les collectivités
Mardi midi, plusieurs villes, dont Nice, Tarbes et Pau, ainsi que les départements des Landes et de la Haute-Garonne, étaient encore affectés par des dysfonctionnements de leurs sites. Néanmoins, les plateformes de démarches administratives en ligne, ainsi que celles des services publics de Nouvelle-Calédonie et de Polynésie française, avaient été rétablies, tout comme le site de la mairie de Montpellier.
## Précedentes attaques
Il est à noter qu'en 2023, des sites tels que ceux de l'Assemblée nationale et du Sénat avaient également subi des interruptions temporaires à cause d'attaques similaires menées par le groupe Noname, en raison de leur soutien à l'Ukraine.
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00:20Cette méthode consiste à submerger un site ciblé de requêtes entraînant ainsi son
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00:29Christian Estrosi, maire de Nice, a qualifié cet incident d'acte grave et inacceptable
00:34sur X, annonçant qu'une plainte serait déposée et qu'elle a un incessi.
00:38L'Agence Nationale de la Sécurité des Systèmes d'Information serait informée.
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00:48et de l'Argyrom, étaient encore affectés par des dysfonctionnements de leurs sites,
00:52néanmoins les plateformes de démarches administratives en ligne, ainsi que celles des services publics
00:57de Nouvelle-Calédonie et de Polynésie françaises, avaient été rétablies, tout comme le site
01:02de la mairie de Montpellier.
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01:08Sénat avaient également subi des interruptions temporaires à cause d'attaques similaires
01:12menées par le groupe Nonam, en raison de leur soutien à l'Ukraine.