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Dans ses vœux de fin d'année, Olaf Scholz a déclaré avec fermeté que le scrutin allemand du 23 février "ne sera pas décidé par les patrons des réseaux sociaux", en référence aux déclarations d'Elon Musk après l'attentat de Magdebourg.

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Transcription
00:00Après le terrible attentat de Magdeburg, il n'a pas duré que quelques minutes
00:05jusqu'à ce que des rumeurs violentes sur Internet et sur les médias sociaux s'effondrent.
00:10C'est clair, où il y a eu des erreurs dans les services de sécurité,
00:14ils sont clarifiés et éliminés.
00:17Mais peu de rumeurs et d'assurances se sont désormais révélées comme inévitables.
00:22Celle-ci divise et affaiblit notre pays.
00:25Celle-ci ne fait pas de bien à notre pays.
00:28C'est aussi clair comment ça se passe en Allemagne.
00:31C'est à eux de décider, les citoyennes et les citoyens.
00:35Ce n'est pas les propriétaires des médias sociaux qui décident.
00:39Dans nos débats, on peut parfois obtenir l'impression
00:42que plus extrême est l'opinion, plus grand est l'attention.
00:46Mais ce n'est pas celui qui crie le plus fort qui décide comment ça se passe en Allemagne.
00:51C'est la grande majorité des sensibles et des adéquats.
00:55Et c'est ce qui s'est passé au 23 février dans la prochaine élection du Parlement.

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